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Critiques de Isabelle Marsay (46)
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Rue des Dames : Petits plaisirs solidaires

Je viens de tourner la dernière page, sans numéro pourtant 253 pourrait y être imprimé, mais je cherche une suite, encore du texte ! Déçue ! Comme lorsque l'on marche vite, toujours plus vite, dans un rêve, et que brusquement le sol se dérobe sous mes pieds, il n'y a plus que le vide !

Voilà, un peu l'impression que j'ai eu en lisant ce livre. On commence doucement, intéressée par ce que peut devenir la vie de cette femme qui à 35 ans, se retrouve brusquement orpheline suite à un accident survenu à ses parents ! Que va-t-elle faire seule dans cette grande maison, bien trop grande pour elle ? Suivant la philosophie de ses parents, elle décide d'en faire profiter d'autres femmes qui ont besoin d'aide, avec leurs enfants.

Voici donc une petite communauté qui se forme, avec un cahier Règles de vie, accepté par tous. Petit à petit on s'intègre, nous aussi, puis ...

Je ne dirais plus rien, pour ne pas révéler plus de l'histoire. Cette dernière page tournée, j'ai eu envie de savoir ce qui allait se passer ensuite, Isabelle Marsay nous laisse sur notre faim.

D'autre part, je suis d'accord avec KEISHA en ce qui concerne la couverture du livre dont on se demande pourquoi ne pas avoir choisit, en effet, une belle maison bourgeoise, ou bien un vieux massifs de rosiers qui dépérit, et une vieille souche d'arbre ! Il faudra poser la question à qui de droit !

On attendrait une suite, y en aura-t-il une ! Difficile à dire.



Il est bon de rappeler que l'auteure nous a déjà gratifié d'un excellent livre "le fils de Jean-Jacques" !

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Le fils de Jean-Jacques

Je suis ressortie de ce roman un peu écœurée de constater un tel écart entre les discours de Rousseau et sa vie personnelle.

Écrire un traité d’éducation quand on a soi-même abandonné cinq enfants, c’est tout de même un peu fort.

On peut évidemment argüer de la volonté de l’auteur de rester libre, de ne pas s’attacher, mais c’est faire bien peu de cas de sa compagne Thérèse, dont les parents auraient apparemment pu s’occuper des enfants.

Quelle souffrance cela a dû être pour elle de se séparer de ses enfants les uns après les autres (même si le 18e siècle était une autre époque).

Je me suis demandée si elle n’aurait pas dû partir, mais pourquoi faire ?

Lingère, sans mari, déshonorée, elle avait sans doute peu de choix.



Il faut aussi rappeler que si Rousseau finit par tenter de retrouver son fils ainé, c’est sous la pression sociale entrainée par la dénonciation de Voltaire.

De lui-même, rien ne dit qu’il ait eu une réelle préoccupation pour ses enfants avant cette époque où il se met à écrire sur ce sujet.



L’écriture d’Isabelle Marsay sert parfaitement ce récit.

Son écriture est simple et agréable, sans pathos, sans jugement.

Elle donne les clés pour comprendre, organise les récits de la vie de Baptiste et de celle de Rousseau pour que le lecteur dispose de toutes les informations tout en conservant une réserve qui permet de ne pas se sentir obligé de penser dans un sens ou un autre.

J’ai vraiment apprécié que l’on me laisse penser ce que je veux, tout en sentant une volonté de comprendre, de pouvoir embrasser l’ensemble des informations.
Lien : http://lirerelire.blogspot.f..
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Le fils de Jean-Jacques

Cette fin de semaine, j'ai pris le "fils de Jean-Jacques" pour le feuilleter, puis page après page, je me suis attachée au sort de ce petit Baptiste arrivant ainsi jusqu'aux dernières pages. Je tournais les dernières pages du livre, croyant que j'avais oublié d'en lire une partie. Insatisfaite, encore sur ma faim, parce que je trouvais qu'Isabelle Marsay l'auteur de ce livre, nous donnait qu'une trop petite partie d'une histoire.

Quelles pages bien triste que l'évocation de ces "trouvés" !

Un livre bien écrit.

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Jean d'O(r)

Je remercie Babelio et Les Soleils Bleus Éditions qui m'ont permis de découvrir ce petit, mais succulent, livre. Je me suis régalée. Le format est très court mais on est immédiatement plongé dans cet hommage au grand écrivain. On savoure les mots, qui cliquent, qui sonnent. On en découvre d'autres dont on ignore le sens et on en voudrait encore.

L'héroïne rencontre, lors d'un salon du livre, l'auteur qu'elle admire. Habituée à cet exercice, lors duquel je me contente souvent d'un « j'aime beaucoup ce que vous faites », j'envie cette jeune fille que l'on invite à partager une vraie discussion avec celui qu'elle adore.

Une très jolie découverte, un texte charmant.
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Jean d'O(r)

Je souhaiterais remercier Babelio pour leur action de "Masse critique" ainsi que les éditions Les Soleils Bleus Editions pour leur envoi (et leur belle lettre d'ailleurs!).

Petite nouvelle très courte mais très apréciable!

L'histoire pourrait arriver à pas mal d'entre nous, et en ferait rêver plus d'un.

On a tous rêvé de rencontrer son auteur préféré, on s'est tous imaginé LA scène.

C'est très frais, et très drôle également (cette timidité!)

À tous ces lecteurs qui souhaitent rencontrer leur auteur favori, cet nouvelle nous apporte une idée de l'émotion ressentie.
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Rue des Dames : Petits plaisirs solidaires

Quand une utopie féminine se voit bouleversée par la dure réalité masculine...



On peut lire Rue des Dames comme une comédie en trois actes. D'ailleurs, le roman lui-même est découpé en plusieurs parties, cinq au total.



Acte 1 : Présentation du lieu et des personnages. Nous sommes dans une ancienne maison bourgeoise partagée en plusieurs appartements. Juliette, agent immobilier, célibataire sans enfants est la propriétaire. Elle accueille Prisca, mère de famille divorcée, deux enfants (Tom et Lucas), infirmière et militante altermondialiste ; et Florence, mère de famille divorcée, un enfant (Clément), vendeuse dans un magasin de vêtements et religieuse fanatique. Toutes les trois ont décidé de créer une communauté basée sur l'art et l'entraide. A ce stade, quatre appartements son encore vacants pour de nouveaux locataires. Un nouveau personnage entre alors en jeu : Vincent Fournol, spécialiste de la poésie courtoise et maître de conférences dans une université. D'abord tourné en ridicule par les trois femmes à cause de ses manières d'une autre époque, il entame une histoire d'amour avec Juliette.



Acte 2 : Juliette voulant éprouver les sentiments de Vincent, le pousse dans les bras de Florence, sous couvert de lui faire écrire son histoire comme un blason de la femme moderne. Ne sachant pas s'il l'a trompée, mais s'en doutant un peu, la défiance s'installe entre Juliette, Vincent et Florence.



Acte 3 : Prisca souhaite aussi avoir une histoire avec Vincent. Mais sa tentative de séduction se solde par un échec. Juliette découvre ensuite que Vincent les manipule toutes les trois dès le départ et a entrepris de toutes les séduire sur la base d'un pari. Juliette fomente une vengeance avec Prisca qui se termine mal pour Vincent. Les trois femmes reprennent ensuite le cours de leur vie en essayant d'oublier ce moment malheureux, soudées par un terrible secret.



Quelle morale à cette histoire ?



Le roman commence bien avec cet idéal de communauté solidaire où les liens humains comptent plus que l'argent, un thème très dans l'air du temps.

Mais au fil de l'histoire, on s'aperçoit que ce projet utopique est mis à mal par le caractère des personnages : trop théâtral pour Juliette, trop féministe pour Prisca et trop religieux pour Florence.

Ces caractères se révèlent et éclatent avec l'arrivée de Vincent qui chamboule toute leur communauté alors prolifique (organisation d'expositions, représentations théâtrales dans le salon...).

Que penser? Les féministes diront que les hommes mettent la pagaille dans les communautés de femmes et devraient s'abstenir d'y mettre les pieds. A mon sens, c'est une vision plutôt simpliste des choses. Je dirais plutôt que vivre ensemble dans une même communauté est un challenge car plusieurs caractères s'affrontent et que l'on ne connaît pas forcément bien les gens avec qui l'on vit. L'élément perturbateur de cette histoire est un homme, mais cela aurait pu être aussi autrechose.

La morale alors? On ne connaît pas forcément bien les gens qu'on aime et on n'a pas toujours conscience de ses limites. La rencontre avec l'autre permet de se connaître d'une certaine manière.



J'ai bien aimé tout de même ce début d'utopie à quoi on pourrait rêver en ce temps de crise : la solidarité entre tous, le développement de ses talents artistiques plutôt que céder aux sirènes de la société de consommation, le partage, redonner vie à un lieu chargé d'histoire...



Ce qui m'a déçue par contre, c'est la fin de ce roman qui s'annonçait si prometteur. En lectrice habituée aux fins heureuses, mon horizon d'attente a été nié. Mais admettons que l'auteur à le mérite de ne punir que les personnages qui l'avait mérité, ce qui me comble en partie.



Pour conclure, je conseille tout de même la lecture de ce roman, (bien que j'en ai décortiqué une bonne partie dans ce commentaire), ne serait-ce que pour vous rendre compte du suspens mis en place dès le départ par Isabelle Marsay. Dès le début, on sait qu'il va se passer quelque chose, tout l'annonce, et quand on sait la fin, le choc est immense !
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Rue des Dames : Petits plaisirs solidaires

« Dans une société où les gens étaient paradoxalement de plus en plus isolés, incapables de régler leurs factures, encombrés par d’innombrables papiers, pourquoi ne pas se regrouper ? » C’est l’idée qu’a Juliette en tête quand elle achète une grande demeure à Amiens. A 35 ans, elle a hérité de ses parents morts dans un accident d’avion d’une forte somme d’argent et décide d’investir dans cette grande bâtisse, mise en vente depuis un an dans son agence, et qui n’a toujours pas trouvé preneur. Elle va proposer à deux femmes divorcées avec enfants, Florence et Prisca, d’emménager avec elle. Chacune aura son appartement pour plus d’intimité, et il y a une pièce commune où elles peuvent se retrouver. Les règles de vie commune sont fixées et les dames souhaitent qu’un lieu soit dédié à la vie culturelle (débat, spectacle, sculpture,…) Elles se lancent avec enthousiasme dans cette nouvelle vie quand un grain de sable vient perturber tout ce petit monde. Ce grain de sable, c’est Vincent Fournol, un poète qui vient de publier un livre sur les blasons. Cet homme va bouleverser leurs existences…

Sans trop vouloir en dire, je ne m’attendais pas du tout à la tournure que les événements vont prendre ! Mais ce n’est pas pour me déplaire puisque justement, j’ai été surprise dans le bon sens. La plume d’Isabelle Marsay est piquante et ses personnages attachants, avec leurs failles et leur envie de changer le monde. J’attends avec impatience le second volet puisque la fin est odieuse avec nous, lecteurs !

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Haute sécurité

Petite pièce d'une trentaine de pages, sur l'absurdité d'une société hyper aseptisée où toutes les faiblesses humaines ont été bannies (crimes) mais aussi où toute diversité est abolie, les livres n'existent plus, les hommes sont clonés sur une seule image. Une "civilisation" ? dont le seul leitmotiv se résume en des mots slogans "fidélité, communauté, complicité, confraternité" des néologismes "criminullité".
Lien : http://passiondelecteur.over..
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Haute sécurité

Ce texte est une très courte pièce de théâtre qui s'ouvre sur : Les trois protagonistes marchent en se suivant dans un bac à sable. Ils portent des bonnets de bain et des gants en plastique, un chronomètre et de longues tenues identiques. Au dos de la tunique, un numéro à huit chiffres commençant par o6. Chacun d'entre d'eux tient une batte de base-ball.



Nos trois personnages sont formatés. Des hommes déshumanisés comme des robots qui répètent à l'unisson des phrases types.

Ce texte pointe un monde où il n'y aurait aucune place pour la différence, la liberté et la pensée d'expression. Car nos trois personnages se doivent de penser la même chose... moutons de panurge (lobotomisés?).



Certes... mais, je n'ai pas été convaincue. C'est trop court et l'ensemble est peu étoffé.


Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

La fabrique des livres anonymes

Un titre intrigant et un roman étonnant qui en comporte sept autres. « La fabrique des livres anonyme», embarque le lecteur sur une plateforme pétrolière désaffectée en pleine mer du Nord avec sept auteurs qui ont pour mission d’écrire un roman à partir de synopsis qu’un mystérieux mécène a sélectionnés. Le contrat juteux que Betty, Margot, Myrtille, Darius, Egon, Paul et Théo ont signé les contraint à écrire dans un lieu inconnu, coupé de tout. C’est réussi ! On n’a rien sans rien… Coincés dans des cabines étriquées entre le ciel et l’eau, nos sept auteurs vont subir les assauts des vagues, les tempêtes et affronter la nuit polaire sur leur « île de fer » en se demandant ce qu’ils fichent dans cette galère et en s’interrogant sur l’identité de leur mécène : amateur d’art et vrai philanthrope ? Escroc ? Bourreau ? Et s’ils ne revenaient jamais sur la terre ferme? Et s’ils ne revoyaient jamais les leurs?



Palpitations, angoisse, ambiance étrange, métallique sur une plateforme pétrolière isolée de tout, avec des rebondissements et des « cliffhanger » dignes d’un thriller ou d’une mini-série. Le lecteur de « La fabrique des livres anonymes » suit tour à tour la progression d’oeuvres très différentes ( roman intimiste, thriller, dystopie etc ) ainsi que les relations qui se nouent entre les auteurs, en tentant de résoudre, avec eux, l’énigme de leur présence en ce lieu insolite. Un final surprenant et un roman original qui distille de belles méditations sur l’écriture et sur la littérature. Un exercice de style réussi avec un petit côté « escape game » qui pourrait aussi séduire les jeunes générations. A suivre…
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Le fils de Jean-Jacques

Avec ce livre, Isabelle Marsay plonge son lecteur en plein coeur du 18ème siècle, siècle à cheval entre une société encore fortement emprunte de féodalité et qui s'engage vers la modernité des idées des Lumières.

Le récit alterne entre des écrits de Jean-Jacques Rousseau (extraits de ses différents livres, correspondance,...) et la vie romancée qu'elle a imaginé pour le fils aîné qu'il a abandonné en 1846.

Bien que Rousseau ait abandonné ses 5 enfants, il a beaucoup écrit sur les méthodes d'éducation des enfants , ce qui peut paraître assez surprenant ! A travers ses divers écrits, on comprend mieux ses motivations à ce moment là, et on découvre qu'il a, vers la fin de sa vie, regretté de ne pas savoir ce qu'il était advenu de son premier fils, le seul qu'il aurait pu retrouver puisqu'il avait joint dans les langes de celui-ci un document qui lui aurait permis de le faire.



C'est dans un style fluide et très bien écrit qu'Isabelle Marsay dépeint les terribles conditions de vie de ces enfants abandonnés - dont plus de 70% mourraient avant leur première année- , ainsi que le quotidien des paysans.

Le personnage de Baptiste est très attachant et le destin qu'elle lui choisit est prenant.

Qu'en est il de la réalité ? Ça, nulle ne le saura jamais! Par contre, on dispose ici d'informations quant aux interrogations de Rousseau, s'avait il que l'abandon équivalait à une mort presque certaine ?

Sans la "dénonciation" de ces abandons par Voltaire, Rousseau n'aurait sans doute jamais écrit "les confessions".



J'ai trouvé que "Le fils de jean-Jacques" est un livre fort bien écrit, instructif sur l'époque et l'opposition entre ces deux monstres sacrés qu'étaient Voltaire et Rousseau.



Charmée par l'époque et curieuse de savoir ce qu'il va arriver à Baptiste, je vous laisse de ce pas pour aller lire la suite de ce récit "L'apprenti des Lumières ou l'ombre de Voltaire".
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RSA, mon amour...

Je viens de finir rsa mon amour...à lire absolument
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

Le poisson qui rêve

Jubilatoire. Un petit chef d'oeuvre d'humour noir et une parabole sur le narcissisme des temps modernes et la solitude.

On déteste l'héroïne et on rit de des stratagemes ou de ses delires mortifères ou morbides.

Des chapitres courts, pour un livre eteage, insolite.
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

Rue des Dames : Petits plaisirs solidaires

Une belle découverte. Construit comme une pièce de théâtre en cinq actes, ce roman ressemble à une tragi-comédie pleine de rebondissements. Fin un peu frustrante cependant. Un tome 2 ?
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

RSA, mon amour...

Un roman drôle et tendre, qui m'a tantôt émue, tantôt amusée. Une histoire d'amour résolument moderne, au rythme trépidant, mais pas que. Une belle réflexion sur notre société en sursis, sur les risques d'effondrement, un couple choisissant un mode de vie décroissant pour profiter plus pleinement de leur amour. De magnifiques réflexions tout en chansons, des dialogues vifs, avec le personnage d'un ado très attachant.

Au final, beaucoup de thèmes abordés, l'air de rien, dans ce court roman de 250 pages, avec profondeur et légèreté : coups de foudre, divorces, harcèlement moral, collapsologie, maladie d' Alzheimer, résilience, reconstruction grâce à la musique.
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

L'Apprenti des Lumières ou L'ombre de Voltaire

Le choc de deux titans - Voltaire, Rousseau - qui s'affrontent sur le ring de la philosophie et la suite de la vie fictive du seul enfant que Rousseau aurait pu retrouver parmi les cinq nourrissons qu'il a abandonnés dans un hospice de la charité. Une histoire touchante et un roman très bien écrit qui fait revivre avec brio le 18ème siècle en n'épargnant pas Voltaire. On pense parfois au "Parfum"...
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Cette critique est susceptible d'être biaisée. Babelio ne garantit pas son authenticité

Haute sécurité

Une pièce courte, efficace, qui met en scène trois clones déshumanisés, décérébrés occupés à tracer des lignes sur le sol en suivant des ordres absurdes. Une intrigue resserrée qui déstabilise volontairement le lecteur ou le spectateur en l,interrogeant sur ses propres pratiques. Une dystopie percutante et pertinente.
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Le fils de Jean-Jacques

Une illustration trouvée récemment sur le site du musée de l'A.P.-H.P. :

Gravure de charrette servant au transport des enfants trouvés :

http://wfr.aphp.fr/site/diaporamas/collections_permanentes/10.htm



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Haute sécurité

..... Il est intéressant mais me marquera plus par le fait que ce soit une pièce en un acte et lu en un quart d’heure que par son fond.....
Lien : http://patacaisse.wordpress...
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La fabrique des livres anonymes

Roman très bien écrit, original, avec des intrigues qui s'emboîtent comme des poupées russes.Pour tous les amateurs de littérature et d 'écriture.

Une belle découverte dans un lieu très surprenant. Des personnages atypiques et attachants. Fin inattendue.
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