Les films série Z, ce sont ces nanards incroyables, tellement nuls qu'ils en deviennent kultes, dont les titres mériteraient une thèse de troisième cycle (mais je suis absolument sûre qu'elle existe)
Voici donc sur vos écrans (tadadam!!!)
Série Z
alias L'Asile maudit du mystérieux professeur Schlockoff
alias La Fille du docteur Z contre les triplés diaboliques
alias L'Infirmière de nuit fait des vagues à l'hospice
alias le retour du troisième âge en folie
alias Du rififi à la Niche
(j'ai recopié la première page, suis-je paresseuse...)
Félix Zac est un anti-héros qui écrit des scénarios (l'histoire d'un vampire qui organise des collectes de sang en se faisant passer pour un médecin de l'ESF, un péplum racontant la disparition de l'Atlantide à la suite d'une invasion de marmottes extraterrestres); mais un jour pour "L'hospice de l'angoisse" la réalité rejoint la fiction...
J'ai a-do-ré. Grâce à mon goût (déplorable? mais j'assume totalement) pour les titres de séries Z, et les romans un peu fous voire même complètement allumés! Mais attention! Il y a du suspense et des rebondissements. Même une fin un peu douce amère.
Il y a aussi l'intervention d'un lecteur de Knokke-le-Zoute, Hubert C.
"Hubert C. pose son roman sur la table basse, la mine contrariée. Il estime avoir été indulgent avec l'auteur depuis le début de sa lecture. D'accord pour l'intrigue tirée par les cheveux, l'humour potache, la limite du mauvais goût, les caricatures faciles; d'accord pour l'hommage aux films de série Z auxquels le roman emprunte certaines facilités et invraisemblances; mais là, franchement, de qui se moque-t-on?"
Que voulez-vous reprocher à un auteur qui fait son auto-critique?
Hubert C. ira au bout de sa lecture...
Moi aussi, après bien des gloussements ravis et des "nôôôôn pas possible"...
Lien :
http://en-lisant-en-voyagean..