AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de J.C. Hutchins (51)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Chambre 507

Bon, autant le dire tout de suite, je n’ai pas aimé ce livre… Arrivée à la moitié, je me suis même demandé si je devais vraiment continuer ma lecture car je n’en retirais aucun plaisir… Pourtant, le style d’écriture est correct et le synopsis était prometteur mais malheureusement, ce livre est brouillon !



Peut-être est-ce l’écriture à quatre mains qui en est responsable mais ce livre donne l’impression que les auteurs n’ont pas été capables d’aller jusqu’au bout de leurs nombreuses idées et qu’ils les ont donc mises là en fouillis sans jamais les développer. Cela donne aussi l’impression que l’histoire principale a été bâclée. Dommage car je pense qu’il y avait un réel potentiel pour exploiter ce concept de tueur en série devenu un aveugle psychosomatique.



Pour conclure, ce livre est bourré d’éléments inutiles et d’histoires annexes sans aucun lien avec l’intrigue principale. Cette dernière étant gâchée par une fin sans aucun sens qui ne conclue absolument rien…
Lien : http://www.lesoccupationsdel..
Commenter  J’apprécie          30
Chambre 507

Une histoire qui traîne en longueur, une fin intéressante...un livre que je ne recommande pas
Commenter  J’apprécie          30
Chambre 507

Avant d'attaquer la lecture je lis que :

"Ce thriller cauchemardesque à l'atmosphère oppressante et à l'intrigue machiavélique est également un livre interactif. Le lecteur est en effet invité à mener l'enquête au même rythme que le thérapeute, grâce aux nombreuses pièces à conviction contenues dans l'ouvrage (photos, articles de journaux, des archives administratives, etc.)"

Alors, à moins d'avoir lu une version numérique allégée, il n'y a aucun documents permettant de mener une enquête!!!

D'ailleurs on ne retrouve même pas les 12 homicides, ni les alibis, RIEN de RIEN !



Finalement extrêmement déçue par ce bouquin qui promettait :

C'est un fiasco !

Ça commence bien et ça finit mal, tout le contraire de ce que l'on peut attendre d'une lecture prometteuse !

On commence en ne sachant rien et on fini pareil !

A se demander si les auteurs n'ont pas voulu nous enfermer dans cette chambre 507 pour nous y laisser !

Comme tout n'est pas expliqué dans ce délire, peut-être que les auteurs caressent l'espoir d'écrire le second volume ? (Ou l'ont-t-ils déjà écrit, ou bien est-ce qu'ils sont entrain ?)

Et bien ce sera sans moi !!!

C'était la première fois que je lisais ces auteurs, ce sera la dernière !

Un livre écrit à 4 mains, mais 4 mains gauches à 20 pouces ! ou 20 orteils, parce que c'est écrit comme un pied !



Commenter  J’apprécie          30
Chambre 507

Je n'ai pas du tout adhéré à ce livre. Décousu, manque d'action, ennui. Bref, je m'arrête aprés 20% de lecture.
Commenter  J’apprécie          30
Chambre 507

Je ne comprends pas l'engouement autour de ce roman. Malgré un début prometteur, je n'ai vraiment pas aimé chambre 507. Les 50 dernières pages ont été une longue et pénible traversée. Même l'interaction entre les personnages sonnent faux.
Commenter  J’apprécie          30
Chambre 507

En bref, je ne sais pas trop comment vous le dire, sans vous donner de faux espoir mais faisons le tel quel : Chambre 507 est un thriller très haletant où on ne cesse de se demander ce qui est réel et ce qui ne l'est pas, où à aucun moment on ne sait vraiment ce qui se passe, on ne comprend pas vraiment ce qu'on lit, on dévore les pages pour avoir le fin mot de l'histoire, sauf que c'est là que ça coince. Après 400 pages de pur délice mélangeant horreur et impatience, on tombe sur une fin plate et bien trop ouverte pour un thriller de cet acabit.



Ma chronique complète ? Suivez le lien !
Lien : http://read-and-escape.blogs..
Commenter  J’apprécie          20
Chambre 507

Avec Chambre 507, nous suivons donc Zachary Taylor dans l’exercice de ses fonctions. Il est donc art-thérapeute en hôpital psychiatrique, et le Dr. Petterson vient de lui confier pour mission de juger si Martin Grace est apte ou non à passer devant la justice.



Mais qui est Martin Grace ? Devenu aveugle depuis deux ans, il est soupçonné du meurtre avec anticipation de douze personnes. En effet, il prédirait la mort des personnes à chaque fois peu de temps avec le passage à l’acte…



Dans l’ensemble, j’ai trouvé ce livre pas si évident que ça à comprendre. En effet, le personnage de Martin Grace est difficile à décrypter, et l’intrigue repose sur le thème de la paranoïa, des peurs enfouies en nous, de la matérialisation même de la Peur. Je ne sais pas trop si certains éléments m’ont échappés ou si l’interprétation est volontairement laissée libre, mais je trouve que pas mal de choses restent sans réponse, ou du moins floues.



La complexité de cette histoire m’a un peu refroidie, mais pourtant l’intrigue était excellente. Tout ce qui se passe en hôpital psychiatrique fait toujours peur, et là le patient était parfait pour laisser place à un bouquin bien angoissant. Seulement il a fallu que l’histoire familiale du thérapeute vienne s’y greffer, et je n’ai pas trop aimé la direction que ça a pris à partir de là. Surtout qu’on reste bien dans le flou concernant le personnage d’Henry…



La « tribu » de Zachary m’a en revanche plu, la relation qu’il entretien avec sa chérie est juste adorable, on sent qu’ils sont fous l’un de l’autre et cette petite touche d’amour dans tout ce macabre n’était pas pour me déplaire.



D’une manière générale, je trouve donc cette histoire confuse. La relation avec son père, avec son oncle, avec son patient, avec ses amis, avec cette entité malsaine de Martin Grace, avec le fils de ce dernier… C’est trop, ça part dans tous les sens. Martin est coupable oui ou non ? C’est quoi cette ombre finalement ? Quand j’ai refermé le livre je n’avais pas toutes les réponses à ma questions, c’est pourquoi je suis assez déçue.



Un peu trop de métaphysique pour moi. C’est entre le psychologique et le paranormal, mais sans jamais s’afficher plus d’un côté que de l’autre. Du coup ça me laisse sceptique.



En gros le cadre et le décor sont pour moi assez parfaits pour une histoire sombre comme je les aime, mais au final c’est un peu too much, difficile à suivre et même si ça laisse libre cours à notre interprétation, j’aurais aimé être davantage guidée. J’adore le côté « prédire la mort des gens » et donc être accusé derrière, mais pinaise, c’est quoi toute cette histoire farfelue!



Du coup si vous avez lu ce livre, n’hésitez pas à me laisser un message pour me donner votre interprétation, je ne peux pas en dire davantage ici sans spoiler…



Peut-être que ça mérite une relecture pour mieux comprendre…
Lien : http://www.chroniques-livres..
Commenter  J’apprécie          22
Chambre 507

Rétrospectivement si j'ai mis si longtemps à lire ce roman c'est qu'il n'était pas bon, mais pas bon du tout. Je n'ai pas accroché aux personnages, ni cru en eux. Du tueur aveugle ancien agent de la CIA en Russie à l'art thérapeute et sa famille frère, père, copine et oncle c dernier emprisonné mais on ne comprend pas bien ce qu'il vient faire là ni pourquoi il connait "l'homme sombre" qui hante le psychopathe de la chambre 507. C'est brouillon et inepte.
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Zachary Taylor est art-thérapeute (personnel de santé utilisant divers moyens artistiques pour traiter la maladie ou une situation de crise) dans l'hôpital psychiatrique le plus angoissant de la région : les patients qui y sont internés n'ont pas leur place dans une prison "ordinaire" car trop fou ni dans un hôpital psychiatrique "habituel" car trop dangereux.



C'est dans cette ambiance très particulière que Zachary tente dans la mesure de ses moyens d'aider et de soulager les malades qui lui sont confiés. Un jour, un nouveau patient, aux portes de son procès, est confié à Zachary. Ce patient est accusé d'avoir tué douze personnes et de ne plus avoir commis de crime depuis deux ans, époque à laquelle il est devenu aveugle. Zachary, plein de bonne volonté au début, va alors très vite réaliser que l'homme est loin de vouloir accepter cette aide.



Pourtant, l'art-thérapeute est bien décidé à remplir sa mission et va, par tous les moyens, tenter de découvrir le secret de son patient, malgré l'hostilité de celui-ci et malgré le fait que son père fasse tout pour l'empêcher de s'occuper de ce fameux patient.



Un hôpital psychiatrique en toile de fond, un tueur en série aveugle, un jeune art-thérapeute combattant ses propres démons…autant dire que la quatrième de couverture en séduira plus d’un. Il faut bien avouer que tout bon amateur de thriller est attiré par les psychopathes enfermés dans une chambre capitonnée. Le livre s’annonçait donc prometteur malgré l’intrigue classique de l'homme enfermé dans un asile de fous et accusé de meurtres face à son art-thérapeute qui essaye de le sauver envers et contre tout.

Le lecteur, en débutant le roman, s’attend alors à un récit dans la même veine que « Glacé » de Bernard Minier : un roman mélangeant l'enquête du polar à l'angoisse du thriller au sein d'une ambiance malsaine et angoissante d'un hôpital psychiatrique hors du commun.



Mais si le début du roman nous plonge bien dans cette ambiance à la fois prenante, inquiétante et angoissante, l'ambiance change peu à peu et c'est quelque chose de tout à fait différent que le lecteur est amené à lire. En effet, alors que Zachary tente de comprendre le passé de son patient, c'est une ambiance mafieuse qui nous est offerte peu à peu avec de l'action bien loin de ce que l'on pouvait imaginer à l'ouverture du livre.



Zachary accompagné de son frère et de sa petite amie s’affranchissent des limites imposées ordinairement et n’hésitent pas à contourner la loi quand ça leur chante (hacking, cambriolage). Du coup, la progression de l’enquête sur Martin Grace s’offre des facilités flagrantes, qui desservent un peu le suspense. Dommage car le roman possédait un sacré potentiel qui ne demandait qu’à s’exprimer pleinement.



Le point de départ du thérapeute (ici un art-thérapeute, ce qui est une magnifique idée) confronté à un psychopathe dans une institution psychiatrique pouvait laisser présager un thriller psychologique à la Thomas Harris. Même si cet aspect psychologique n'est pas complètement absent du récit, "chambre 507" propose un traitement totalement différent. On n'est donc pas ici dans le registre du thriller psychologique mais bien dans celui d'un thriller qui flirt avec le fantastique (les entretiens entre le thérapeute, Zachary, et son patient, Martin Grace, sont d'ailleurs très peu nombreux). Pourtant, le roman ne bascule jamais vraiment explicitement dans le fantastique. Le surnaturel y est disséminé par petites touches subtiles de plus en plus inquiétantes. D'ailleurs cet élément fantastique n'est jamais avéré et sa véracité toujours laissée dans le doute. Zachary est-il en train de sombrer dans la folie ?



Si les deux auteurs parviennent à instaurer une ambiance oppressante en ballotant le lecteur entre réalité et fantastique, ils ont aussi le travers de rester dans le vague, sans jamais aller au fond des choses, la narration restant trop nébuleuse par moments. Des propos volontairement évasifs qui ne m’ont pas convaincu. L’intrigue tournant autour du passé tragique de Zachary offrait une piste intéressante, que les deux auteurs n’exploitent pas assez profondément une fois encore. Un choix délibéré étant donné que l’art-thérapeute est devenu le personnage central d’une saga tournant autour de l’hôpital psychiatrique Brinkvale (« Personal Effects »).



Malgré ce flou entretenu sur les personnages, l’écriture à deux mains offre un style cinématographique agréable qui permet au lecteur de bien visualiser ce qui est lui est raconté. Le livre sera d'ailleurs adapté au cinéma sachant que les droits de « Chambre 507 » ont été achetés par le producteur Gore Verbinski (réalisateur de Pirates des Caraïbes et The Lone Ranger). Le récit de « Chambre 507 » se veut actuel d’où sa narration moderne avec un langage ostentatoire et la nature geek et borderline de ses personnages. On apprécie ou pas, mais il est clair que les auteurs ont voulu dépoussiérer un peu le genre en mettant en scène des protagonistes jeunes mais accomplis. Certaines expressions ou choix de mots peuvent faire tiquer car les références ne sont pas toujours expliquées, ce qui n’aide pas à la compréhension.



En définitive, un thriller bien étrange, un poil surnaturel et fantasque qui ravira les amateurs du genre. Pourtant, on peut regretter une ambiance/atmosphère de récit davantage travaillée et soignée que ses personnages et cette fin foireuse.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Alors là, ça fait peur ... Le style S. KING dans sa grande période, quand il écrivait "ça" par exemple ... Dans un asile psychiatrique, un jeune art-thérapeute se voit confier la tâche délicate de déterminer si un homme qui annonçait les morts à venir, est bien un tueur. L'art-thérapeute a de bons résultats avec d'autres patients de l'asile et bien que son père soit le procureur en charge de l'affaire, Zachary va rencontrer l'occupant de la chambre 507. A partir de là, beaucoup de choses vont se mettre à changer : le jeune homme va découvrir les mensonges de son enfance, la vraie histoire de sa famille, affronter ses démons personnels et surtout s'affranchir de l'autorité d'un pater familias, trop pesant. Un livre qu'on lit d'une traite, inquiétant, qui ne propose pas forcément une explication rationnelle (et c'est très bien ainsi pour moi) qui raconte comment un enfant devint un adulte en somme. Une ambiance bien ficelée et l'impression de sentir des choses qui rampent partout : chic !
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

J’ai vu que ma cousine vendait ce livre sur Vinted, et je me suis empressée de le réclamer par message privé. La couverture et le résumé me tentaient pas mal. Une fois reçu, j’avais hâte de l’entamer !



On découvre une histoire racontée à la première personne, par Zachary Taylor lui-même. Cet homme de 25 ans est art-thérapeute à l’institut de Brinkvale. Art-thérapeute parce que c’est l’art qui l’a sauvé. Ses patients dessinent des choses et il les analyse.



Le jour où son patron lui demande de s’occuper de Martin Grace, afin de savoir si ce gars est apte mentalement à être jugé au tribunal, Zach sait qu’il y a anguille sous roche. En principe, quand on vient au Brink, c’est qu’on est foutu. On est fou ou coupable de crime, mais on ne va pas se faire juger après avoir été examiné par un thérapeute ça n’a aucun sens…



Au fil du récit, nous allons suivre Zach s’entretenir avec Martin Grace. Aidé par sa copine et son frère, Zach va enquêter autant qu’il le peut sur ce patient, parce que Zach veut savoir, comprendre. Il se dévoue corps et âme pour ses patients, il est comme ça et il ne changera pas…



Je vous avoue que je ne sais pas trop quoi penser de ce roman… J’ai été captivée tout au long du récit, surtout lors du dénouement… mais je vous avoue ne pas trop avoir saisi ce qu’il s’est passé, certaines choses me sont encore confuses.



Au début du récit, Zach va à l’enterrement de sa grand-mère et un mec qu’il ne connait pas se pointe. Le gars en question n’a pas l’air très apprécié par le père de Zach, il le fout dehors. Zach pressent quelque chose, il lui court après, et le mec lui lâche que son père à un frère, que tout ne s’est pas passé comme on l’a dit, et il lui passe un papier avec un message dessus…



Zach n’a aucun souvenir de cet oncle, il n’y croit pas trop, mais en même temps, il y croit un peu quand même. Et puis oui, il retrouve un peu la mémoire, il va voir son oncle, on comprend le lien entre ce gars et ce qui est en train de se passer… Enfin bref, je n’arrive pas à m’exprimer là-dessus mais ce lien, c’est du WTF, clairement. Je ne dirai rien pour ne pas spoiler, mais bon…



En vérité, Martin Grace est hyper intriguant parce qu’il est aveugle, mais il voit bien mieux que les autres. Il est réticent aux approches de Zach, puis il finit quand même par parler de l’Homme sombre. On ne sait pas qui c’est, ce que c’est… Puis ça s’éclaire un peu, c’est un truc surnaturel, mais les auteurs nous font quand même douter : est-ce que c’est l’imagination d’un fou ?



Et toute l’histoire tourne autour de cet Homme sombre, on se demande si c’est réel ou pas, si les personnages délirent…



Ah oui, Zach dit que l’art l’a sauvé, mais on ne nous dit jamais de quoi exactement… Il a aussi peur du noir, mais on ne sait pas pourquoi. Enfin peut-être que tout ça est dû à la mort de sa mère (no spoil), mais ce n’est pas dit clairement. Ou alors, c’est moi qui n’ai rien compris…



Je ne m’attendais pas du tout à une histoire pareille, en fait. Je crois que si le côté surnaturel de l’histoire n’avait pas été là, que tout avait découlé de l’aveugle, que l’horreur vienne vraiment de l’humain, j’aurais eu un sentiment satisfait, je dirais. Ici, je suis juste déçue de l’issue de l’histoire…



L’histoire est un peu inutile, en fait. Grace est accusé de 12 meurtres, et on doit savoir s’il a vraiment tué ces gens ou non. Et le verdict final n’a pas de surprise… Enfin, dans un sens, oui… et d’un autre, non. Et Zach frôle la mort pour prouver des trucs, alors qu’il prend des risques inutiles.



Je suis tellement frustrée que j’ai envie de tout spoiler, c’est horrible…



Bref, j’ai espéré lire un bon thriller psychologique, mais il a été mélangé avec un peu de Stephen King, et ça ne m’a pas convaincue.
Lien : https://auteurelivrovore.wor..
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Bof, bof, je suis déçue :(

Peut être ai je mal compris l’histoire, peut-etre l’ai je lu trop vite, mais le dénouement m’a beaucoup déçue.

Je ne recommande pas.
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

« J’avais les cheveux dressés sur la tête. Des pattes d’araignées glacées galopaient sur mes bras, mon cou, mon visage. »

Cette citation résume bien le sentiment ressenti tout au long de la lecture ! Elle est vraiment glaçante et effrayante. L’alternance de passages structurés et désordonnés font perdre ses repères au lecteur. Les scènes violentes sont mises en scène et finissent de terrifier un lecteur désorienté. Etant rarement sensible à la peur dans les romans j’ai vraiment apprécié ce roman horrifique par moments !

Le casting des personnages prend également une part importante dans l’adhésion du lecteur. Zach est accessible et possède une bonne dose d’humour ironique qui donne du peps tout au long de la lecture. Très humain, avec ses peurs, les sentiments du personnage sont exacerbés et contribuent à effrayer un peu plus le lecteur.

Les références cinématographiques sont nombreuses et c’est un plus pour ce roman qui se veut très scénarisé dans sa narration. On ressent fort le lien des deux auteurs avec le cinéma !

Globalement la première partie du livre est construite assez classiquement avec les codes du thriller. Un serial killer, quelques meurtres dont Zach doit déterminer la responsabilité. On part donc sur une enquête dans le passé du psychopathe. Puis dans la seconde partie du roman, on a de plus en plus de mal à déterminer si on a toujours pied dans la réalité ou si on a basculé dans le fantastique… C’est principalement ici qu’intervient l’originalité. Jusqu’à la fin, beaucoup d’éléments sèment le doute et nous font virevolter d’une option à l’autre jusqu’au dénouement final.

Pendant ma lecture, j’avais lu une critique d’un lecteur, déçu de la tournure des évènements et pour qui il manquait des réponses et dont la fin posait plus de questions qu’elle n’en résolvait. J’ai un sentiment un peu différent même s’il est vrai que le dénouement n’est pas arrêté. La fin n’est pas forcément ouverte, mais il faut choisir parmi deux situations qui nous sont proposées. Le choix étant fait, la plupart des éléments du roman trouvent une résolution. Mais cela peut être déconcertant pour les lecteurs qui attendent ce choix de la part de l’auteur et souhaitent rester uniquement spectateurs de l’intrigue. Ce procédé ne m’aurait pas plu dans tous les romans mais je dois avouer que cette petite part d’interactivité avec le lecteur m’a bien plu ici. Une manière de nous montrer également que quel que soit le livre, une bonne part de l’interprétation dépend du lecteur même si cela est beaucoup plus mis en avant ici.

Un bon thriller, original dans la part d’implication du lecteur et très cinématographique.
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Autant le début est prenant autant la fin nous laisse sur notre faim !!

La folie de la fin avec un être supranormal ne m'a pas convaincue, je suis cartésienne et aime bien que les choses soient réelles;

J'ai bâclé la fin en lisant une ligne sur deux. je ne recommande pas .
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Après avoir lu le résumé, je n’ai pas hésité trop longtemps avant de l’acheter. Et bien, j’aurai du, quelle déception !



Pourtant au départ, l’histoire paraissait prometteuse et originale avec notamment deux personnages à priori intéressants : un présumé tueur, aveugle de surcroit, accusé d’avoir commis de nombreux meurtres qui aurait également de nombreuses prémonitions et un jeune thérapeute qui communique avec ses patients à travers l’art, qui au début m’a conquise. Après plusieurs rencontres entre nos deux personnages, Zach notre thérapeute va faire le lien entre une enquête criminelle et un événement tragique de sa vie personnelle.



Qu’est ce que je reproche à ce livre ? Tout d’abord, c’est long à démarrer (enfin, si je peux dire que ça démarre un jour …), nous rencontrons Martin Grace le présumé tueur aveugle qui est pour moi le personnage le plus intéressant que très tardivement, environ à un quart du livre. J’ai également trouvé que l’analyse psychologique des personnages et notamment de Martin n’était pas assez approfondie, c’est resté trop superficiel à mon goût.L’histoire décrite dans la quatrième de couverture n’est pas l’intrigue principale du livre et c’est bien dommage : Je n’ai pas accroché à l’histoire personnelle et au secret de famille de notre thérapeute Zach qui occupe beaucoup de place dans le livre et qui nous laisse avec des questions restées sans réponse : qui est l’assassin de sa mère et pourquoi a-t-il fait cela ? Sans parler de cette fin qui est pour moi totalement brouillonne et sans aucun intérêt qui retombe comme un soufflet.



D’ordinaire j’ai plutôt tendance à voir les bons côtés d’un livre plutôt que ces défauts, mais là … Malgré un début prometteur j’ai été plus que déçue de cette lecture, j’ai même eu du mal à le finir. J’ai trouvé le rythme lent avec beaucoup d’incohérences et le côté « fantastique » avec les prémonitions de Martin ne m’a pas convaincu.

J’attendais avec ce livre de ressentir des sensations fortes, mais malheureusement il n’a pas répondu à ma demande.

Point positif : je l’ai acheté en poche et j’ai fais des économies.
Lien : https://blondreader.wordpres..
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Ce roman à succès a fait couler beaucoup d’encre àprès sa sortie….. Cette histoire, ce thriller frise avec le fantastique, est Angoissant, Terrifiant ! Inquiétant !

Je n’en dirais pas plus car tout a été dit……..beaucoup de critiques…..les avis complètement divergents complètement.

Je suis partagée, aimée….pas ….aimée sur la fin qui m’a laissée sur « ma faim » ….. (fin) non attendue, qui laisse libre cours à notre initiative……!

Alors si vous n’avez pas peur du noir? …… Lisez –le…….Votre séjour dans la Chambre 507 risque donc bien de vous marquer durablement.

A vous de voir.

Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Un livre dur à terminer....passez votre chemin
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Il ne m'a pas convaincue.

En dehors de faire ressortir les profondes angoisses dupersonnage principal, je n'y ai trouvé aucun intérêt!
Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

Un véritable cauchemar oui ! Préparez-vous à avoir encore plus peur du noir et des bruits qui peuvent en jaillir !



Cette confrontation entre un patient et son thérapeute au sein d'un hôpital qui recèle des patients trop dangereux pour être limités à un asile, nous fait sombrer dans des épisodes terrifiants et extrêmement bien décrits. La pression monte crescendo, et votre lecture va s'accélérer brutalement en attaquant la fin !



C'est du très bon, ça se dévore avec un petit frisson dans les tripes, et ça peut nous rappeler ces heures de lectures époustouflantes en compagnie de Stephen King ou de Clive Barker !



Oui, un régal pour les amateurs !

Commenter  J’apprécie          10
Chambre 507

A New York, construit dans une ancienne mine, l'hôpital psychiatrique Brinkvale accueille des criminels dits "irrécupérables", trop instables et trop dangereux pour être en prisons ou en hôpital psy "traditionnel".

Zachary Taylor, jeune art-thérapeute, en fonction depuis peu et aux résultats plus que surprenants, est sollicité pour déterminer si le nouveau détenu Martin Grace est sain d'esprit afin de répondre pénalement des crimes dont il est accusé, il aurait tué une douzaine de personnes, en fait il leur a surtout annoncé leur mort imminente ...

Les meurtres ont cessé quand il est devenu aveugle ...

Zacchary aura du mal à mener ses entretiens, étant poussé dans ses retranchements par Martin.

Entre cet homme, génie malfaisant, homme possédé et son procureur de père, Zac aura toutes les peines du monde à démêler le vrai du faux, l'imaginaire de la réalité, l'horreur à l'état pur à celle du quotidien ....



Ecrit à quatre mains, il n'en fallait pas moins pour sortir un livre aussi machiavélique, bizarre, perturbant ... au moins il n'y aura pas qu'un auteur traité de cinglé !

Je ne sais pas trop dans quelle catégorie ranger ce livre, il y a un peu de tout, un poil de thriller, un soupçon de fantastique, un zeste d'horreur ... enfin bref, un mélange de genre intéressant, ponctué d’énormément de références littéraires, cinématographiques, musicales, tout pour en faire un bouquin sympa, même si parfois on n'est pas sûr de tout comprendre et se sentir devenir ... fou à notre tour !!

Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de J.C. Hutchins (254)Voir plus

Quiz Voir plus

Littérature à l'école

Michel Tournier écrit en 1971 Vendredi ou la vie sauvage, souvent étudié au collège. Il s’agit d’une adaptation pour la jeunesse d’un autre de ses romans. Lequel ?

Robinson Crusoé
Vendredi ou les limbes du Pacifique
Vendredi et Dimanche
Seul au monde

10 questions
106 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature française , école , généralisteCréer un quiz sur cet auteur

{* *}