Jack Mars

Sympathique thriller page turner



Luke Stone, ancien de la delta force, ancien d'une unité spéciale du FBI qui joue dans le très border line. Confronté à un risque de bombe sale, il va rapidement découvrir que les enjeux sont bien plus importants et complexes que prévu.



Un premier roman qui se lit très vite et bien. Assez récent (2017), il pourrait presque, et j'ai dit presque ne pas être trop déconnecté de la réalité de la géopolitique d'il y a 5 ans (l'Iran, c'est mort, c'est la Chine le nouvel ennemi, mais il est trop fort pour qu'on en fasse un nouvel Afghanistan).

Disons que l'objectif de cette lecture, n'est pas une prise de conscience complexe de la politique étrangère américaine. C'est très primaire. L'action prime et c'est elle qu'on vient chercher.



En dehors d'une fin beaucoup trop rapide pour le « happy end » mondial, il laisse en suspens le happy end personnel pour mieux inciter à la lecture du second tome, ce que je vais faire ce pas.

Une aventure de Luke Stone, principalement en Irak et en Afghanistan.



Pour mémoire, on avait découvert Luke Stone, ancien de la delta force, ancien d'une unité spéciale du FBI qui joue dans le très border line dans le premier tome de ses aventures : Tous les moyens nécessaires. La série principale comptant à ce jour 7 épisodes (en français, tout du moins).

On pensait avec la série dérivée (5 tomes) nommée L’entraînement, se retrouver avec des aventures au sein des Delta Force. Eh bien oui et non.

Après une première opération, Luke intègre en fait sa division spéciale. On est donc sur ses débuts dans le FBI.

Mais si la première série semble se concentrer sur des menaces intérieures, ce premier tome là se passe surtout sur des TOE en mode guerrier, plus qu’en mode police.

On aura quand même un problème avec le président des USA. A croire que peu importe l’époque, tout le monde complote pour destituer POTUS.

Les relations particulières de Luke Stone avec le président des Etats-Unis semble clairement la marque de fabrique de l’écrivain.



Pour le reste, c’est court, c’est intense, ça défouraille en mode limite Rambo surhomme. C’est clairement limite limite sur la géopolitique, la realpolitik ou tout simplement la crédibilité des décideurs (non mais qui m’a foutu une telle bande de bras cassé au pouvoir?), mais de l’action armée en veux-tu en voilà et c’est clairement ce qu’on vient chercher ici.



Donc après cible principale, on dévorera le suivant Directive Principale.

Ma 1000ième critique. Elle ne sera pas mémorable, mais je n’ai pas voulu, en dehors de cette petite ligne, la réserver à un bouquin spécial. (Bon disons plutôt que j’avais pas fait gaffe).



Dans la même ligne que les deux premiers.



Un barrage obsolète au niveau de la sécurité informatique est piraté et entraîne de nombreux morts sur le sol américain. Et ce n’est que le début



Après le complot intérieur, la guerre bio par les méchants muslims, on aborde donc ici le terrorisme informatique par les vilains asiatiques. Attention, hein, c’est du Luke Stone, ce ne sera donc pas un cyber-thriller. Le seul homme capable de sauver les US de tous les maux de la Terre répond toujours présent et efficacement.

Je me moque mais ça reste toujours très agréable à lire.

Page turner, sans temps mort.



Dans ce second tome, Luke est cette fois, confronté aux armes biologiques.



On continue de surfer sur les thèses complotistes, bien plus pratiques pour faire du sensationnel dans le domaine de l’action avec implication des plus hauts niveaux d’autorités (là encore, POTUS).

Ok, on serait parfait pour un scenario de film, genre jack ryan, 007.

Pas une ligne en trop en matière de page turner, ça défile à 1000 à l’heure et c’est efficace. Et c’est justement cette efficacité qu’on vient chercher dans ce genre de roman. Mettez votre cerveau sur pause et laisser vous porter.

Fait le job.



Retour au terrorisme islamiste international pour l’agent Zéro.



On passe vite sur les désormais clichés – Zéro est tout seul avec sa petite équipe, la CIA complotiste lui met des bâtons dans les roues. A chaque fois, il est désavoué, puis réhabilité puis désavoué bref, cela en devient lassant.

Zéro va retrouver intégralement la mémoire. Oui je spoile, mais comme ce ne sera qu’à la toute fin, c’est pour le tome suivant donc.



D’ailleurs, après 4 tomes, c’est la seule chose qui compte encore dans cette série. Le complot gouvernemental international, il est temps de le mettre en avant. Et comme il y a encore de nombreux tomes, je gage qu’il va être délayé à l’infini.

Mais, en ayant lu 3 d’affilé, je fais une petite overdose je ne compte pas m’engager de suite dans les suivants. Il faudra patienter. J’ai mon comptant de Zéro pour un moment. J’y reviendrais, assurément, mais un pause s’impose.

Confortable.



Après avoir sauvé le monde d’un groupement terroriste poseur de bombe, Zéro va sauver le monde d’un terroriste islamiste et d’un virus mortel.



Deuxième tome de la licence du super espion de la CIA. Plus « linéaire » que le premier opus qui partait un peu, il faut l’avouer dans tous les sens. On se concentre sur l’histoire principale. Pour le fil rouge, la perte de mémoire et le super complot international plus fort qu’Amon, on en parle juste à la fin histoire de relancer la machine.



La lecture de cet auteur reste vraiment agréable. C’est fluide, simple. Si on a toujours des enjeux mondiaux, de la torture, du super héros Jack Bauer improbable, qu’on y croit pas une seule seconde, à la manière des blockbusters américains avec Bruce Willis, on se laisse porter par ce petit page turner. Parfait pour bouquiner au lit, passer le temps, chiller devant un bouquin plutôt que devant Netflix ça le fait non ?

Fait le job.



Encore un coup des Russes. Nous sommes en 2005, c’est eux les grands méchants dans cette série sur la jeunesse de notre héros. Direction l’arctique, Moscou et Bagdad.



Que dire du plus sur cette série, que je n’ai pas déjà dit ? Ben, j’avoue que je suis sec de chez sec, donc, plutôt que du faire mon Balzac et être payé à la ligne, je vais m’arrêter là.

Un nouveau complot international entre président Russe et Américain déjoué en un épisode par Zéro.



Le livre commençait mal. Dans l’épisode d’avant, tout avait été résolu. Ce tome 6 que j’avais attaqué fin juillet était retombé dans les oubliettes, laissé de côté. La faute ? 18 mois sont passés, Kent est devenu un « mari » au foyer ventripotent, ses filles le haïssent. Bref que devient un héros torturé quand il raccroche ? Beurk Je ne viens pas lire Zéro pour ça moi.

Mais bon reprenons. Laissons passer ces affreuses 30 premières pages et ensuite, comme d’habitude. Zéro contre le monde entier, tous les services secrets à ses trousses et ça défouraille à tout va, de l’action à toutes les pages, toutes les lignes, tous les mots. Et quand la situation est désespérée, à cinq pages de la fin, tout se résout à une effarante vitesse. Faudrait pas non plus qu’on s’ennuie comme au début non ?



Mention spéciale : On savait que les Russes en voulaient à l’Ukraine depuis un moment (pour info l’invasion et l’annexion de la Crimée date de 2014) mais à la lumière des actualités, toute la série des Zéro prend une saveur toute particulière.

Zéro a intégralement retrouvé la mémoire. Le complot américain au plus haut niveau pour débuter une guerre au moyen orient est désormais une réalité avec des complotistes au plus haut niveau et dans toutes les agences. Zéro seul contre tous sauvera-t-il le président ?



Mauvaise langue que je suis, moi qui avait dit faire une pause. Et me revoilà, si vite. Il faut dire que comme page turner, occupation du temps de cerveau, il se pose là l’agent Zéro. En plus, contrairement à ce que je pensais, le dénouement est là. Dans le tome 5. Non… Si.

Mars se rapproche de plus en plus de sa série Stone, avec le président toujours impliqué, de près ou de loin, histoire de donner une dimension plus importante à sa série. C’est toujours plus vendeur de démasquer un complot international et sauver Potus que de savoir qui a pris le dernier Marshmallow à la cafet de l’entreprise non ?



Donc et pour conclure, le tome 6 (oui, je l’ai déjà attaqué) se déroulant 18 mois après. Les cinq premiers tomes de la série zéro peuvent et doivent se lire d’une traite.

Toujours aussi addictif.



Complot intérieur, arme biologique par terroristes musulmans, terrorisme informatique par les asiatiques, on monte encore un cran : Terrorisme nucléaire au moyen orient et Russie sont au premier plan.



C'est court, c'est fort, ça défouraille de partout et tout le temps. Stone encore une fois, sauve les US et le monde à lui tout seul avec sa petite équipe. Bond est réellement une petite joueuse à côté. Un thriller d'action qui va à 100 à l'heure, et comme d'habitude, une fin un peu trop précipitée.

Au fil des épisodes, la vie privée de notre héros avance très doucement, et on a toujours en filigrane le complotisme intérieur et/ou international que visiblement l'auteur affectionne. Mais autant j'ai un esprit scientifique – cartésien -pourfendeur des illuminés (et Illuminati) et grand défenseur du consensus scientifique et sociétal, autant pour ma distraction, plus c'est gros, avec complots, extra terrestres, magie et tutti quanti, plus j'adore (Bon on n'a pas un gros fumeur qui cache des petits gris dans cette série, mais je ne désespère pas).



Donc du complot et du super espion qui gagne toujours à la fin, ça me va parfaitement.

Troisième licence de l'auteur avec les deux arcs de Luke Stone.



Un Agent de la CIA en lutte, seul contre un complot international de terroristes.



Tous les ingrédients sont là. Tous les clichés, tous les vieux poncifs en concentré… Et alors ? Ben ça marche. Si ça été utilisé à foison c'est que ça fonctionne. Et là ? Ça fonctionne à fond.

Du complot, de l'hémoglobine, de la torture, des explosions, de l'agitation, beaucoup d'agitation. Mais pas de sexe, pas un bout de téton à l'horizon.

On a désormais l'habitude avec cet auteur, c'est la même recette, et comme elle est bonne, elle est déclinée à l'infinie. Jusqu'à l'écœurement ? Même pas. J'en redemande.



De l'action barbouzade condensée, linéaire, une action chassant l'autre. L'auteur aurait pu faire un roman avec ses deux premiers chapitres.

De la lecture de divertissement par excellence. Ça se lit vite, à 100 à l'heure, ça s'oublie vite aussi (Tiens, pas sûr de me rappeler les contenus des Stone par exemple), mais l'essentiel en matière d'occupation du temps de cerveau, c'est d'être comblé, sans trop réfléchir (ce qui ne veut pas dire que le propos est stupide ou simpliste).



Parfait pour ce qu'on vient y chercher.

Désormais habituel.



Une nouvelle mission de Stone. La bande se retrouve dans des missions de l’équipe spéciale d’intervention sous le patronage du FBI. Et comme toujours, petite mission, grosses conséquences.

Encore une fois, le complot pour destituer le président. Encore une fois le héros sans peur et sans reproche (si un peu, il merde déjà grave avec sa vie privée) qui gagne à la fin.

Comme on est en 2005, la fin du monde, c’est les Russes. Pour mémoire dans la série principale, qui se passe 10 ans plus tard, c’est les chinois et les musulmans.



Mais qu’importe. S’il est certain que je ne relirais jamais ces livres, il est aussi certain que je vais très probablement lire tous les tomes de toutes les séries de cet auteur. C’est à chaque fois un concentré d’action, de suspense (mesuré tout de même, on sait qui gagne à la fin), les romans parfaits pour se distraire, sans prétention.

Moyen.



Un politicien républicain véreux gagne les élections. Il veut déclarer la guerre à la Chine (ou tout du moins engage un gros rapport de force) et veut construire des murs autours des chinatown. Mais Susan refuse de laisser la place. Une course contre la montre s’engage pour prouver qu’il y a eu fraude. Stone reprend du service.



Publié en VO en 2017. On se rappelle : Donald Trump candidat aux primaires en 2015 et élu en 2016. Et sur quel programme ? Ok, les ficelles sont grosses, mais il a toujours été politiquement correct, dans les milieux du divertissement US majoritairement démocrates, de taper sur Trump.



Et là, en matière de politicien véreux, on a du lourd, manipulation, assassinats, folie des grandeurs, folie tout court d’ailleurs. Tout y passe. Tellement gros que cela pourrait être vrai (Trump ? ). Mais Stone, englué dans sa vie personnelle désastreuse, n’est plus que l’ombre de lui-même et le rythme du début s’en ressent gravement au point de me faire baisser la note finale d’un bon point. La suite rejoint sa vitesse de croisière habituelle, mais on a sincèrement du mal à y croire avec, encore une fois, une fin expédiée et des moyens pour résoudre les conflits et les crises qu’on peut quasi à chaque fois ranger dans la catégorie « trucs et astuces » de Papy Stone.

Taken.



Rais revient en scène et il veut se venger. Quoi de mieux pour appâter Zéro que d’enlever ses filles et les livrer à un réseau de prostitution européen ?



Liam Neesson est dans la place. Pendant les 200 premières pages nous sommes totalement dans la même ligne que le film et les complices de l’enlèvement meurent comme des lemmings au bord de la falaise, en nombre et en rapidité.

Ensuite le fil rouge refait un peu surface (Zéro sait des choses mais il a oublié, tous les puissants sont des pourris corrompus et pédophiles au point qu’on soupçonnerait l’auteur d’écrire pour Qnon), mais on reste dans la mouvance Taken.



Au final la seule chose qui manque à ce bouquin, c’est justement sa dimension complot international. Mince, Steele n’a même sauvé le monde aujourd’hui.

Gageons que le tome 4 répare cette injustice.

On ne change pas une équipe qui gagne.



Que dire de plus qui n’a pas été déjà dit sur cette série ?

Zero, pour la première fois n’est plus seul contre tous et contre vents et marées pour sauver le monde. Il dispose des moyens et de la puissance des Etats unis. Mais pas pour longtemps, un petit revers et c’est reparti pour une aventure un peu hors des clous (mais pas trop quand même cette fois-ci).

Encore une fois : Si tu veux gagner, il faut absolument désobéir et n’en faire qu’à ta tête, c’est qu’il a toujours raison contre tout le monde notre espion. Ça en devient lassant ? Un peu mais pas suffisamment pour me faire lâcher ma série doudou du moment.



On sait ce qu’on vient chercher, un bon moment d’action épique, sans surprise au final.

L’amour du risque… Tin tin tin tin tin tin… Et qui gagne toujours à la fin.

Un événement assez majeur dans la vie de Zéro va remettre les pendules à zéro et beaucoup, sinon tout en jeu.



Mais le schéma reste le même. Zéro contre tout le monde, commet crime sur crime (toujours pour LA Cause) et est réhabilité à la fin. On ne change pas une équipe qui gagne. Sans vouloir insulter l’auteur, on se demande même si ChatGPT ne lui serait pas une aide précieuse tant dans le scenario que dans son développement « littéraire ».



Mais encore une fois, je le lis, c’est donc que le pari est gagné.

Huitième tome de la série.

Zéro va lutter cette fois contre un bateau-arme super sophistiqué à la demande du président.



La mission n’est presque plus désormais qu’un prétexte pouvoir sortir un nouveau tome. On est loin des débuts tonitruants où chaque page vomissait d’action d’hémoglobine et de testostérone.

Le concept désormais éprouvé de Zéro contre le reste du monde, désavoué systématiquement par son pays, bravant les ordres, les interdits et les bâtons dans les roues des différentes administrations finit par agacer sérieusement.



La vie privé de Zéro, ses amours, ses filles et ses problèmes de mémoires prennent de plus en plus de place et d’importance et ce fil rouge entre les différents tomes est maintenant la seule raison pour continuer la série…

En plus maintenant, je suis incapable de différencier les missions de Zéro de celle de Stone (l’autre série de Mars) – ce qui prouve que c’est vraiment du consommable.

Un président US enlevé, des services secrets à la ramasse. Zéro et son équipe à la rescousse.



La recette désormais éprouvée est toujours la même. Zéro seul contre tous, désavoué et pourchassé, sauve la situation et est réhabilité. On tourne en rond assez vite maintenant. Si la série était un trou noir, on tirerait de son ergosphère assez d’énergie pour alimenter tous les enfers où se trouvent les scénaristes de thriller.



Mais si on n’apprend plus rien, on reste dans la lecture divertissante et occupation du temps de cerveau parfait. C’est pourquoi je continue…

Trop court pour me faire vraiment un avis sur la plume de l'auteur.

D'ailleurs auteur assez énigmatique, puisqu'il il est difficile de trouver des infos le concernant.



Dans cette nouvelle, nous découvrons l'Agent Zéro, agent de la CIA qui est le personnage d'une des séries de l'auteur. Il est en planque en Italie. Il est en fait recherché par la cellule de la CIA pour laquelle il travaillait, de laquelle il a été "radié" car devenu hors de contrôle suite au décès de son épouse. Contrairement à la version officielle sur les causes de son décès, l'Agent Zéro soupçonne une organisation criminelle d'avoir exécuté sa femme.



Je suis mitigée suite à cette lecture : je ne vous livre pas la fin de la nouvelle mais celle-ci est intéressante et donne envie d'aller plus loin. Je ne sais dire à quel moment de l'histoire de l'Agent Zéro cette nouvelle se situe : préquel ? clôture ? J'ai trouvé quelques facilités dans l'intrigue mais probablement que le format très court à contraint l'auteur à y recourir. Donc je suis partagée. Je pense qu'il faut que je lise le 1er tome de la série pour percevoir l'univers de cet agent spécial, la profondeur des personnages, la qualité de l'intrigue...

Je me suis égarée, irritée dans ce dédale obscur



L'extrait est engageant et le début du livre l'est également. Un prof de fac apprécié de ses étudiant mène une vie paisible de veuf s'occupant de deux adolescentes dont l'aînée annonce son premier rendez-vous. Puis, je ne sais comment malgré plusieurs retours sur les événements, il se trouve torturé par des Iraniens, rencontre un Serbe dans un bar qui le conduit à son chef (un Russe). Il met une raclée audit chef et rencontre une Belge qui le cache, puis une certaine Maria qui semble très bien le connaître sous le nom de Zéro. Enfin quoi, un roman d'espionnage avec tortures, bagarres, tueries, changement d'identité, puce électronique, armes en tout genre, local secret, voyage éclair et, hélas ! un lecteur qui débite ça à toute vitesse comme un vendeur vous réciterait la liste des articles qu'il a en rayon. Même en diminuant la vitesse d'un cran, je ne le supporte pas. Quant à l'auteur, pourtant très prolifique (donc il s'en trouve pour aimer ses productions), je n'ai trouvé sur lui que son goût prononcé pour la lecture de thriller.



Maintenant, c'est vous qui voyez. Si vous comprenez, venez en témoigner dans une critique, je pourrais la lire et être payée de mes efforts.