Toujours aussi addictif.
Complot intérieur, arme biologique par terroristes musulmans, terrorisme informatique par les asiatiques, on monte encore un cran : Terrorisme nucléaire au moyen orient et Russie sont au premier plan.
C'est court, c'est fort, ça défouraille de partout et tout le temps. Stone encore une fois, sauve les US et le monde à lui tout seul avec sa petite équipe. Bond est réellement une petite joueuse à côté. Un thriller d'action qui va à 100 à l'heure, et comme d'habitude, une fin un peu trop précipitée.
Au fil des épisodes, la vie privée de notre héros avance très doucement, et on a toujours en filigrane le complotisme intérieur et/ou international que visiblement l'auteur affectionne. Mais autant j'ai un esprit scientifique – cartésien -pourfendeur des illuminés (et Illuminati) et grand défenseur du consensus scientifique et sociétal, autant pour ma distraction, plus c'est gros, avec complots, extra terrestres, magie et tutti quanti, plus j'adore (Bon on n'a pas un gros fumeur qui cache des petits gris dans cette série, mais je ne désespère pas).
Donc du complot et du super espion qui gagne toujours à la fin, ça me va parfaitement.
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Houla ! Quel baisse de niveau et de rythme d'un seul coup ! On a du mal à reconnaître Luke STONE, et il se passe tellement peu de choses que j'ai sincèrement cru qu'il y avait moins de pages que dans les tomes précédents.
Par contre après les lectures SFFF que je suis en train de lire, cette histoire est surprenante d'actualité et le cadencement une vrai bouffée de fraîcheur !
Tout d'abord, j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans : le début est triste et long, déprimé je dirais, les principaux personnages ruminent leurs mauvais souvenirs et leurs états d'âme pendant quasiment tout le premier quart, et sont fatigués et usés !
Arrivé au premier tiers on retrouve enfin le rythme haletant de la série et une incroyable fausse piste !
On a l'impression d'un très bon opus, ça n'arrête pas une seconde, un condensé d'action, j'avais l'impression de lire du 24 heures chrono; et j'ai apprécié de lire la progression de Luke et Ed, seuls en territoire urbain ennemi.
Puis passé cette séquence, on s'aperçoit que nos héros sont vraiment mal engagés : Luke STONE s'est trompé, un de ces gars est mort, la présidence des États-Unis l'a lâché, et un de ses meilleurs amis s'est fait kidnapper par des terroristes et est sur le point de mourir… Il n'a que pour seul indice un laquais de troisième zone qui lui propose de se jeter dans la gueule du loup…
À partir de là le récit est bâclé, d'énormes ficelles, des ellipses temporelles soudaines, et qui plus est, il enfile des clichés qui m'ont gêné parce que trop gros et pas crédibles.
OK, il ne reste plus qu'à s'en foutre et à l'accepter, et finalement mettre le cerveau sur OFF et profiter du spectacle !
Vite expédié, vite oublié.
J'espère que l'auteur va se reprendre !
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Les terroristes n’étaient pas vraiment des musulmans. (…) Ils prétendaient être des musulmans, mais en réalité, c’étaient des nihilistes. C’étaient des accrocs au meurtre – ils étaient accrocs à la sensation que leur procurait le fait de tuer et de mourir. Ils n’avaient aucun plan à long terme.
Elle s’imagina avec Luke Stone à un champ de tir. Et elle imagina les gros titres des tabloïdes quand ils l’apprendraient. La présidente apprend à manier le pistolet du super espion.