Jacqueline Mirande

Je viens de finir de le lire et il n'est pas très facile a comprendre plutôt ennuyeux , Mardi j'ai un contrôle dessus et comme je ne l'ai pas très très bien compris est ce que vous pouvez me faire un remue s'il vous plaît ?

Roman de jeunesse relatant l'adolescence de Guiraud, trouvé encore bébé dans la forêt de Senlis. Il a été adopté par une noble, Dame Magdeleine, qui a pris soin de lui.

Aujourd'hui il s'interroge sur ses origines et comme sa tutrice ne veut rien lui révéler, il fugue, à la recherche de son passé.



Cette histoire simple et peu pourvue de rebondissements est peinte sur une toile de fond historique très documentée. Nous sommes au temps des premières croisades et de nombreux éléments sont à trouver, à décoder pour caractériser l'époque, le style de vie et le vocabulaire qui lui sont propres.



Un défi intéressant pour un jeune lectorat !

Le héros veut découvrir sa véritable identité, et bien entendu, elle ne sera pas celle d'un hère dans la peau duquel il ne se sent pas bien, forcément.

L'auteur maitrise l'époque et l'écriture, mais la quête du héros m'a semblé un peu vaine?

Un vrai polar médiéval, adapté aux bons lecteurs à partir de 10 ans. L'auteur ne ménage pas ses efforts pour nous faire découvrir un Moyen-Âge qu'elle connait bien, sans que cela ressemble à une leçon d'histoire quotidienne, et le polar tient la route.

Ce livre est sûrement interéssant car il nous montre la justice du moyen age mais je ne l'ai pas trouvé exceptionnel. Peut-être est-ce parce que je devais le lire pour mes cours de 5°.

Le métier de libraire n’a pas toujours été celui que nous connaissons aujourd’hui où il s’exerce sur deux fronts, à savoir à titre de libraire indépendant ou de vendeur de livres au sein d’une chaîne. Le métier de libraire était en effet bien différent au XVIIIe siècle, même si la concurrence existait déjà et qu’elle était parfois féroce. Entre libraires ambulants et ceux ayant pignon sur rue, chacun s’adressant à un public différent et offrant des éditions bien spécifiques, il y avait à la fois des alliances et de la compétition, comme nous le montre Jacqueline Mirande avec son Libraire de nuit.



Ce libraire, c’est Sylvain Graindorge. Commis pour le vieux Belle Humeur, un vendeur de livres qui l’a adopté il y a des années, Sylvain se retrouve avec un lot d’exemplaires de l’Encyclopédie, laquelle a été interdite à la vente par Louis XIV, entre les mains, lesquels doivent bien sûr être rapidement remis aux à ceux qui les ont commandés pour éviter toute sanction. Il devra agir vite, car Belle Humeur est malade et la justice l’attend au détour d’une ruelle. Mais heureusement, il aura le soutien d’une complice pour mener la délicate opération sans se faire prendre.



Roman d’aventure autant que roman historique, Libraire de nuit s’adresse aux 9-12 ans épris d’Histoire, l’aspect aventure du roman étant bien mince alors que tous les détails concernant l’édition, la vente et la distribution de livres sont très précis. de plus, il a l’originalité d’explorer le monde du livre au XVIIIe siècle, ce qu’on ne retrouve dans aucun autre livre destiné à cette catégorie d’âge.



Libraire de nuit, un livre que les libraires d’aujourd’hui devraient lire pour savoir d’où ils viennent à défaut de savoir où ils vont à l’heure où le monde du livre est en crise une fois de plus.
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Avec Gannorix, Jacqueline Mirande poursuit sur sa lancée des petits romans historiques à destination de la jeunesse (11-15 ans en général). Même si le contexte historique est bateau et toujours intéressant (les Romains en Gaule), je n'ai pas retrouvé ici le même plaisir que dans Double meurtre à l'abbaye où l'intrigue était digne de ce nom. À l'inverse, Gannorix peine à motiver son lectorat : sous l'effet de cette petite histoire mignonnette, on se rend vite compte qu'il n'y a pas spécialement de scénario bien défini. Ajoutons à cela que certains thèmes sont peut-être un peu trop forts pour cette tranche d'âge, comme la violence militaire ou l'esclavagisme antique qui peut prêter fortement à confusion.

Une lecture assez décevante pour moi, en tout cas c'est le souvenir que j'en garde encore aujourd'hui.

La vie d'Aubri se déroule au Moyen-Âge, sur le chantier de Notre-Dame de Paris. Il apprend à tailler des pierres et à vivre au milieu des hommes, le plus difficile n'étant pas ce qu'on croit.

Art, religion, jalousie et gros sous se mêlent dans ce récit habilement mené, faisant découvrir aux enfants à partir de dix ans la société du Moyen-Âge, entre artisans et bourgeois.

Ce roman parti de la campagne en plein Moyen-Âge nous entraîne jusqu'en Terre Sainte, où le héros trouvera enfin sa place.

Un bon roman historique pour la jeunesse.

Double meurtre à l'abbaye, souvenir de ma jeunesse ô combien ancré dans mon esprit vieillissant et marqué par mes découvertes de lecteur débutant !

Nous voilà ainsi avec un roman historique sans prétention comme Jacqueline Mirande en a sûrement fait des dizaines, mais avec ici une intrigue honnête et très formatrice pour l'imaginaire de jeunes lecteurs sur la vie au Moyen Âge central. En effet, l'enquête peut paraître plus que réduite sur ce Double Meurtre à l'Abbaye (à l'échelle du livre du coup, qui est finalement beaucoup trop court), mais tout y est condensé assez subtilement. Rien qu'au niveau des personnages, on peut trouver le moine, le ménestrel, la noble dame, le noble guerrier banni, le pèlerin, tout est dans l'archétype, mais il faut bien en passer par là pour aborder ce genre d'histoire. Car finalement, cela passe plutôt bien : les thèmes principaux concernant cette époque sont tous présents et bien agencés les uns par rapport aux autres, avec en têtes de pont la noblesse, la religion, le brigandage, le pèlerinage, etc.

Un petit roman médiévo-policier très simple et ingénieux en somme.

Excalibur est fichée dans la pierre et celui qui pourra l’en ôter sera le roi. Le jeune Arthur parvient à accomplir cet exploit et une fois sur le trône, il choisit douze chevaliers pour siéger avec lui autour de la Table Ronde… Leur objectif : retrouver le Graal.



Cet auteur est très connu dans le monde de la littérature jeunesse et s’est plutôt spécialisée dans le monde médiéval. Le texte est très accessible, aéré et les illustrations sont agréables. De plus, ce livre a l’énorme avantage de respecter la légende arthurienne, ce qui est plutôt rare. Une vraie perle, donc.

Très bon polar, classé pour enfant sa lecture est agréable à tout âge. Le cadre médiéval est plutôt bien dressé et rend crédible cette histoire. Pas de suspense à l'excès mais juste ce qu'il faut pour que vous ne lâchiez pas l'ouvrage avant la toute dernière ligne.

"Double meurtre à L'abbaye" est un livre qui se lit très rapidement, sans aucune prétention hormis celle de faire revoir des notions de cours sur la vie au XIIème siècle aux jeunes lecteurs.

L'intrigue est basique: 2 meurtres, 2 innocents accusés d'office: l'espagnole "sorcière" et le jeune et rebelle Guy. Le vrai coupable, lui, est si antipathique que dès les 1ères pages le lecteur comprend que c'est lui...

Néanmoins ce roman est suffisamment bref (126 pages fluides) pour qu'on ne lui reproche pas ses nombreux clichés.

[...] Voici un nouveau roman très court de Jacqueline Mirande. Après Double Meurtre à l'abbaye, je fondais beaucoup d'espoir dans ce nouveau titre, malheureusement les deux se ressemblent beaucoup : profusion de personnages sans importance, dédale d'histoires secondaires... Bref, 120 pages qui nous semblent bien longues !



Simon, bâtisseur de cathédrale est construit en cinq chapitres totalement indépendants. Leur seul lien est qu'ils se passent pendant la construction de la cathédrale Notre-Dame, mais sur une période qui s'étend sur environ cent ans. Le titre en lui-même est très mal choisi puisque Simon n'apparaît que dans le second chapitre. Le lecteur suit les aventures de plusieurs personnages en rapport avec la construction de la cathédrale :

1.L'évêque de Paris et l'architecte tentent de faire adopter leurs plans au roi de France.

2.Simon vient rejoindre les ouvriers du chantier, grâce à son talent de tailleur de pierres.

3.Enlend de Scanie est un étudiant de l'"école cathédrale" amoureux de Bianca, fille d'un maître de musique.

4.Jean-de-loin est un ouvrier verrier amoureux de Remiette et pour qui il veut faire un vitrail de la couleur de ses yeux.

5.Guilhem est un étudiant qui parvient à résoudre le mystère d'un crime survenu sur le parvis de la cathédrale.



Toutes ses histoires sont à la fois très courtes, peu détaillées, et paradoxalement pleines de personnages secondaires qui ne facilitent pas la compréhension. La construction de la cathédrale n'est finalement que peu évoquée et on reste sur sa faim de ce point de vue. De plus, chaque chapitre tourne en histoire d'amour c'est un peu pathétique à mon goût.



J'espérais mieux, notamment en ce qui concerne la construction des cathédrales. J'aimerai trouver un roman qui l'évoque un peu mieux[...]
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[...] J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, beaucoup trop de personnages sont présentés dès le premier chapitre, on n'y comprend pas grand chose, on ne sait plus qui est qui. Au fil de la lecture, j'ai pris plus de plaisir car j'ai quand même réussi à différencier les protagonistes (heureusement!) Mais franchement, comme roman policier on fait mieux. Pour commencer, j'avais deviné qui était le meurtrier dès les chapitres 2 ou 3. Les raisons étaient plus obscures mais finalement l'explication n'est pas passionnante. Et puis on se perd dans les histoires secondaires, qui du coup ne sont pas assez développées pour être intéressantes. [...]
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Première déception : en fait de chevaliers de la table ronde, ce livre ne s'intéresse qu'à trois d'entre eux ou plutôt deux : Perceval et Lancelot, le premier n'étant autre que le roi Arthur. Je m'attendais à un ouvrage ressemblant aux Contes et légendes de la mythologie celtique de Christian LEOURIER, découvert dans la même collection, avec différentes histoires sur les différents chevaliers de ladite table ronde et pas seulement sur les deux plus connus, d'après l'auteur. Bref, passons : je m’attelle finalement à la lecture proprement dite et là deuxième déception quant à la première partie consacrée à Arthur : l'auteur passe très rapidement sur les grands moments forts de son existence, le tout étant juste survolé, très peu développé. Le lecteur n'a même pas le temps de s'attacher aux personnages principaux : Arthur et Merlin... Ok, ce livre et moi, c'est très mal parti ! Mais bon, je suis têtue, je continue. Avec la deuxième partie dédiée à Perceval, j'ai enfin appris quelques petites choses que j'ignorais mais là encore, tout est superficiel, l'auteur reste à la surface. Même chose pour la dernière partie sur Lancelot.

En clair, pour ceux qui ne savent rien ou pas grand chose de ces légendes, ce peut être un bon début mais ne vous arrêtez pas là... Pour les autres, pourquoi pas mais ne pensez pas apprendre grand chose de nouveau. Si vous cherchez un ouvrage assez complet tout en restant accessible, passez votre chemin, celui-là n'est pas très riche...

Une enquête policière au Moyen-Âge, bien ficelée et agréable à lire.



Parfaite pour les jeunes collégiens qui désirent s'informer sur la période médiévale et qui, de plus, s'intéressent aux romans plociers. Un bon compromis.

Voici un livre jeunesse très instructif et bien écrit. L'intrigue est prenante.
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Fin du 12e siècle. Les moines de l'abbaye d'Hautefage vivent en paix. Mais voilà que le jour de la foire de Saint Martin, un pélerin est retrouvé assassiné sur le parvis de l'église. Le seul à l'avoir connu est retrouvé mort à son tour. Les soupçons se portent alors sur Guy de Servières qui nie farouchement.



Mon avis :



Un texte court, bien écrit. Une histoire truffée de personnages et de rebondissements. Une atmosphère médiévale très bien rendue. Voilà de quoi plaire aux bons lecteurs qui savoureront cette intrigue intelligente. Le foisonnement de personnages pourrait cependant rendre la lecture moins aisée pour de plus faibles lecteurs.

J'ai trouvé ce livre ennuyeux à mourir, il se force à décrire des scènes du Moyen-Age à des enfants, en transformant cette époque violente en sorte de conte gentillet et puéril, où les gentils triomphent et les méchants sont punis. Trop de personnages, on s'y perd. Si votre enfant aime le Moyen-Age, qu'il lise plutôt les romans de chevalerie tels que Yvain, le chevalier de la charettes ou les légendes arthuriennes, qu'ils sont bien plus à même d'apprécier.