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Critiques de Jacqueline Mirande (102)
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Pauline en juillet

Un roman jeunesse qui sonne bizarrement à mes oreilles.

La narratrice Pauline, 15 ans, écrit des lettres à sa meilleure amie durant tout le mois de juillet. Ce qui nous parle d'un temps que leS moins d'un certain âge ne peuvent pas connaître... un temps d'avant, avant la communication instantanée des réseaux. Où à chaque vacances on guettait le facteur et on échangeait de longues lettres avec ses amies...

Bref, concernant ce roman, nous avons Pauline, 15 ans.

Sa mère refuse qu'elle parte en vacances avec sa meilleure amie et ses parents et l'expédie donc chez un cousin inconnu, âgé de 27 ans, qui cache un sombre secret, dans une maison isolée dans la campagne... Non mais sérieusement quel parent ferait ça ?

Quant au personnage de Pauline, qui repère le sombre mystère, à aucun moment donné, elle n'a l'idée d'appeler sa mère, son père, sa grand mère ou son frère pour essayer de savoir ce qu'il en est... Elle préfère échafauder de bien curieuses théories tout au long de longs courriers verbeux, avant que le cousin ne demande à une amie de lui raconter ce qui c'est passé.

De plus, l'attitude du cousin en question vis à vis de sa cousine de 15 ans est assez ambigu, voire dérangeant. Et la fin, qui sous entend une relation à venir entre eux, ne me plait pas du tout...

Peut être que cela passait à l'époque ...
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Double meurtre à l'Abbaye

Au 12e siècle un pèlerin est retrouvé assassiné dans l'enceinte d'une abbaye. Ce fait sera suivi d'un deuxième étrange décès.



Ce livre se lit très vite. Il y a les méchants et les gentils, quant à l'immersion dans le moyen-âge, elle n'est pas assez présente pour moi mais il est vrai que je ne je suis loin d'être le public à qui est destiné ce livre.

Je vous souhaite tout de même une bonne lecture.
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Sans nom ni blason

Un livre jeunesse ayant pour contexte les croisades qui se lit plutôt bien. Cependant, si vous recherchez un roman avec pour fond, la véritable histoire des croisades, ce livre n'est pas pour vous : l'auteur prend beaucoup de libertés (chose normale lorsque l'on sait qu'il s'agit d'un roman jeunesse et non pas d'un livre d'histoire). Je l'ai trouvé un peu frustrant tout de même, dans le sens où, dès la moitié du livre, on sait comment va finir l'histoire et je ne suis pas très friande de ces façons d'amener le lecteur vers la suite de l'histoire.
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Ce que savait le mort de la forêt

Un sympathique roman historique avec une enquête sur un meurtre, comme sait si bien les écrire Jacqueline Mirande!

Nous nous retrouvons au Château de Pleaux en plein Moyen-Age. C'est le chef de la Vicomté lui-même qui mène l'enquête entre son château et l'abbaye voisine. A la veille des fêtes de Pâques, il y a beaucoup de monde et notamment des chevaliers espagnols. Nous croisons une foule de personnages et progressivement l'intrigue va se resserrer sur quelques uns.

Le format court (100 pages) ne découragera pas les lecteurs et leur permettra au contraire de passer un bon moment en immersion dans l'époque médiévale. L'écriture est aussi soignée qu'efficace, et les détails donnent corps aux personnages dont certains sont attachants.

Un bon roman à recommander aux collégiens.
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Double meurtre à l'Abbaye

Double Meurtre à l’abbaye est un très bon roman jeunesse.



L’auteure, historienne de formation, écrit un polar court qui nous immerge avec justesse dans le Moyen Age.



Rapide à lire pour un adulte, environ une centaine de pages, ce livre a le mérite de bien introduire le thème du roman policier pour un jeune adolescent, tout en lui apportant des éléments enrichissants pour ses connaissances historiques.
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Double meurtre à l'Abbaye

Il faut bien reconnaître que l'immersion historique est très riche et complète : on se retrouve plongé en plein XIIeme siècle... ou en plein cours d'histoire de 5°.



La multitude de personnage m'a complètement perdu : je dois dire que je me suis contenté de la version audio... Je suis déçu car je m'attendais à une enquête pleine de suspense et de rebondissements, alors que le coupable est quasiment identifiable dès le début de l'histoire. Peut-être que connaissant "Le nom de la Rose", mes attentes étaient trop grandes. Le vocabulaire médiéval est intéressant mais complexe et j'ai du mal à croire que des collégiens puissent avoir les compétences pour lire sans accompagnement ce roman. Bref, plutôt un cours d'histoire qu'un bon roman policier. Dommage...
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Double meurtre à l'Abbaye

Ce livre a une histoire. Il est paru l'année de mes vingt ans, année qui ne fut pas, vu la manière dont elle a commencé, une bonne année. Quand j'ai commencé mon année de professeur stagiaire, ce livre était donné comme LA référence du roman de littérature jeunesse pour parler du moyen-âge, pour "accompagner" le programme de 5e. C'était un classique qu'il fallait absolument avoir lu. Vingt-quatre ans plus tard, je n'ai plus de cinquième (depuis dix ans), je n'ai donc plus vraiment l'occasion de le faire lire. Quel regard portè-je sur ce livre aujourd'hui ?



Il est un personnage que je retiens, c'est le seigneur Hugues des Merle. Il est "hors-norme", le seul dans le récit, le seul qui en temps que lectrice adulte a retenu mon attention - il restera tout aussi intéressant dans les deux tomes suivants. L'intrigue est en effet classique, et pour qui connaît (un peu) les rouages de la littérature jeunesse, et la manière dont un récit devait être construit pour "plaire" aux professeurs (les romans de littérature jeunesse sont mois stéréotypés de nos jours), il contient des descriptions nettement délimités, des dialogues fréquents qui font progresser l'intrigue, des retours en arrière (pratique pour l'enseigner) contenus dans des récits qui nous en apprennent plus sur le passé des différents protagonistes. Les personnages sont nettement caractérisés et, parfois, assez manichéens. Il est question aussi de la vie quotidienne, avec les foires, qui ont leur importance, et les pèlerinages - sans oublier les ménestrels, de passage de ville en ville, voire de village en village. Oui, ce paragraphe est signé par un professeur de français.



Le roman est court, par conséquent, l'intrigue se résout vite, très vite, pour ne pas dire qu'elle est parfois cousue de fil blanc - oui, j'avais vu venir le coupable, ce n'était pas très difficile. Présomptueux ? Non, simple logique pour qui lisait déjà beaucoup de livres de littérature jeunesse.
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Double meurtre à l'Abbaye

Excellent polar pour jeune adolescent!
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Le cavalier

En cette fin de novembre 1765, ayant fini de ramasser des sarments de vigne, de les fagoter puis de les mettre sur le dos de sa mule, Jean-Baptiste quitte le petit village de Vaugirard et s’apprête à rejoindre le quartier de Saint-Germain-des-Prés dans Paris.



Tout en marchant dans le brouillard, Jean-Baptiste rêve de voyages, de Louisiane, de Mississipi ou encore des Indes. Ce n’est pas qu’il est mal traité chez Dame Anne-Françoise Floche comme commis marchand-drapier, mais l’aventure le tente, le tenaille.



Il longe le mur du clos Périchot, préférant prendre le petit chemin herbu à la grande route, trop encombrée. C’est alors que surgit un cavalier devant lui et il n’a que le temps de se jeter contre le mur. Un vif échange s’établit entre ce jeunot d’une quinzaine d’année et ce cavalier vêtu de gris et qui paraît la trentaine. Toutefois Jean-Baptiste raconte quelque peu sa vie d’orphelin, vivant chez la marchande-drapière devenue veuve et mère de Pernette, treize ans, et indiquant son adresse. Et ils se quittent, le cavalier promettant de se revoir car il doit se rendre justement dans le quartier de Saint Germain.



Jean-Baptiste aide de son mieux Dame Anne-Françoise mais les temps sont durs. Il n’y a plus guère de clients car la pénurie de tissus se fait sentir. Pourtant le vieil Eloi Picard reste attaché à cette boutique, vivant au dernier étage dans le grenier. De plus la boutiquière est criblée de dettes, à cause d’un voisin maître-rôtisseur qui pratique l’usure. Jean-Baptiste narre sa rencontre à Dame Anne-Françoise, laquelle est fort intéressée. Cela lui remémore sa jeunesse, ses quinze ans, avant qu’elle se marie avec Floche, la quarantaine sonnée, auprès de qui elle avait trouvé refuge.



Un soir, le jeune Gilles fait irruption dans la boutique. Il n’en peut plus d’être maltraité par son grand-père, perruquier de son état et qui n’est autre que le frère d’Eloi. Alors n’écoutant que leur bon cœur, Eloi et sa patronne recueillent le gamin de quatorze ans, un facétieux qui ne rêve lui que de devenir comédien et se produire sur les planches.



L’entente cordiale ne règne pas toujours entre Jean-Baptiste, Gilles et Pernette, qui est quelque peu capricieuse, mais bientôt ils se ligueront contre l’adversité. En effet Eloi, qui est considéré comme un oncle, possède des livres interdits et il a été dénoncé par le perruquier et son ami le rôtisseur. Mais quelqu’un se cache derrière cette délation. Heureusement, grâce à l’esprit de décision de Jean-Baptiste et aussi à sa bravoure, la situation peut s’arranger provisoirement. Et le cavalier inconnu, surnommé le Marquis Carême, va aider la veuve à se dépêtrer de ces malheurs.







Ce roman pour enfants, non interdit aux adultes, met en avant deux points cruciaux en cette fin de règne de Louis XV. L’interdiction d’ouvrages considérés comme des livres incitant à la révolte, écrits notamment par Voltaire et Jean-Jacques Rousseau, et qui sont bannis par la censure. Des ouvrages qu’on ne pouvait que se procurer sous le manteau et imprimés la plupart du temps à l’étranger.



Mais un autre point, pas assez développé à mon goût, est celui qui secoua le début des années 1750, lorsque des enfants, considérés la plupart du temps comme orphelins mais ne l’étaient pas forcément, étaient traqués et enlevés par la maréchaussée puis déportés vers la Louisiane et le Mississipi, avant que ces possessions françaises tombent sous la domination britannique en 1763.


Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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Double meurtre à l'Abbaye

Demande un peu d attention pour ne pas s emmêler les pinceaux avec les liens entre les personnages , pour une ado de 5eme
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Double meurtre à l'Abbaye

Dorian A 5e3

j'ai lu le livre "Double meurtre a l'abbaye"

Dans ce livre je m'attendais à plein de rebondissements ,

de suspicion et j'ai été servi.

Le personnage principal Raymond de Pleaux est reconnue dans la région pour être majestueux et fort .

C'est un homme noble.

Raymond de Pleaux est un bel homme,jeune,brun,il monte

un magnifique .Raymond de Pleaux se croit croit au dessus des lois "Il mit pied à terre et ,écartant le prévôt d'un geste négligent de la main"

Ce personnage ne correspond pas à l'image que j'ai d'un héros car il n'a pas sauvé de vie ni risqué la sienne !
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Double meurtre à l'Abbaye

C’est le matin de la grande fête votive de Saint-Martin que le corps sans vie d’un pèlerin est découvert devant l’abbaye de Hautefage par le frère Jérôme. S’en suit alors une petite enquête qui entraînera des personnages typiques du Moyen-Âge tels que le prévôt Taillefer, le vicomte de Pleaux ou le chevalier Guy dans une recherche ardue de la vérité. Le lecteur est immédiatement mis dans l’ambiance de cette époque, car dès la deuxième page, l’auteure évoque le roi Henri II d’Angleterre. J’avoue avoir mis quelques secondes à comprendre pourquoi on parlait du roi d’Angleterre alors que l’intrigue se déroule en « France », mais c’est bien sûr la citation du nom d’Aliénor d’Aquitaine qui a empêché toute incompréhension. J’ai aimé retrouver une histoire se déroulant dans le duché d’Aquitaine, car on comprend bien là toute la complexité de la « géopolitique » de l’époque ! De plus, Jacqueline Mirande, de par ses descriptions du marché ou de l’abbaye réussit parfaitement à nous plonger dans une atmosphère moyenâgeuse où l’on s’imagine déambuler au milieu des marchands, des gentes dames et des damoiseaux. J’ai également apprécié le fait que, malgré que le mot d’abbaye soit présent dans le titre, la religion était loin d’être omniprésente dans l’œuvre. Elle était bien sûr évoquée au travers du père abbé Arnould, mais la justice des hommes dépassait celle du divin.



Mon principal problème avec ce livre a été l’enquête en elle-même – oui, pour un livre traitant de la résolution d’un double meurtre, c’est un peu déroutant. En fait, j’ai eu l’impression que l’histoire était un peu trop simple et quand je découvrais de nouveaux personnages, je n’avais qu’à les classer dans la catégorie « gentil » ou « méchant » sans trop me poser de questions. J’ai conscience, bien sûr, que ce livre est destiné à des jeunes adolescents donc on ne peut pas leur servir un livre de mille pages avec des détails sur la psychologie de chaque personnage, mais tout de même. J’aurais souhaité un peu plu de profondeur dans la description des protagonistes afin de comprendre davantage l’intrigue. Il est vrai qu’elle est un peu confuse, ou peut-être pas assez aboutie. J’ai eu le sentiment que les « rebondissements » – si on peut les qualifier ainsi – tombaient comme des cheveux sur la soupe, ce qui était parfois dérangeant. Je n’ai pas vraiment été surprise par le dénouement, je ne m’attendais pas à grand-chose. On peut même dire que j’étais satisfaite, car j’avais peur qu’on nous apprenne l’existence d’un autre personnage responsable de tout ça !



Comme je l’ai dit plus haut, l’auteure réussit à nous plonger dans une atmosphère moyenâgeuse, ce qui est agréable dans le cadre de l’intrigue, mais qui l’est moins pour le style d’écriture. Effectivement, que ce soit dans les dialogues ou dans les descriptions, on sent bien la lourdeur de l’époque avec l’usage de mots de vocabulaire parfois complexes et de tournures de phrases alambiquées. Est-ce un point négatif ? Je ne pense pas. Certes, cela a freiné ma lecture car je n’avais pas toujours la motivation de me plonger dans ce livre, mais si l’auteure avait utilisé un autre type de langage, je pense que j’aurais trouvé ça déplacé ! Ce n’est donc ni un point négatif, ni un point positif, juste un élément que j’ai trouvé important de souligner pour montrer l’attachement de Jacqueline Mirande à l’époque qu’elle nous fait découvrir au travers de ses écrits.



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Double meurtre à l'Abbaye

A la fin du 12eme siècle,dans une abbaye de Hautefage, Thomas le Rouge ,le personnage principal découvrit un pèlerin mort dans un buisson. Une enquête commença aussitôt que sa. Un deuxiême meurte eut lieu, cette fois si dans une rivière par une femme faisant son linge. L'enquête se poursuivit jusqu'à trouver le meurtrier. La justice trouva la personne est fit une réunion dans la grande salle du château de Pleaux, le roi en personne du château de Pleaux fit un discours et ceci fut la fin de l'histoire avec une surprise innatendu



J'ai trouvé se livre très bien car il permet de garder notre attention toute au long de l'histoire, il y' aussi beaucoup de suspense. L'attention est garder grace a Thomas le Rouge qui va rester calme dans toute situation est qui va garder le sang froid.
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Gauthier, bâtisseur de châteaux-forts

Une série d'aventure ayant pour cadre un même château : un choix de narration original, un cadre bien reconstitué. Les personnages sont parfois un peu faibles dans leur construction, mais un bon livre dans l'ensemble.
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Sans nom ni blason

Je déconseil ce livre pour ceux qui aime plus des types de livres comme les bandes desinées,mais je conseil,ce livre pour ceux qui aime l'aventure.Il parle d'un garçon adopté par un monsieur,il grandit jusqu'a ces 18 ans ou il décide de trouver ses vrais origine il va parcourir le monde pour trouver de ou il vien. Diego ©
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Double meurtre à l'Abbaye

Au Moyen-Age, un pèlerin a été retrouvé mort près de l'abbaye de Hautefage. L'enquête est alors ouverte. Un garçon appelé Jean l'Oiselet dit le reconnaître sans en dire plus car une fille qui l'accompagne l'a empêché de parler. le lendemain, Jean est retrouvé lui aussi mort, noyé dans la rivière. Un chevalier appelé Guy, qui est en train de mener sa propre enquête, est accusé par de nombreuses personnes car on dit l'avoir vu traîner le corps du pèlerin. Mais lors de son procès, les choses vont prendre une tournure inattendue...

J'ai bien aimé ce livre car l'histoire est intéressante et il y a du suspens jusqu'au bout. Ce qui est dommage, c'est que le langage est parfois dur à comprendre, et j'ai dû, quelque fois, relire des passages 2-3 fois pour les comprendre. Je conseille ce livre aux personnes de plus de 10 ans (à cause de la violence), qui aiment les enquêtes et les intrigues.

Timéo.S



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Double meurtre à l'Abbaye

J'aime bien ce livre mais il est un peu long et compliqué à comprendre. J'ai eu l'impression qu'il était un peu répétitif. c'est un livre d'action. Malgré tout, il est pas si mauvais car il y a du suspens. Donc il peut convenir à ceux qui aiment les histoires de meurtres,.......



Je vous conseillerai bien ce livre.



A la fin du XIIe siècle un pèlerin de Saint-Jaques est retrouvé assassiné dans l'enceinte de l'abbaye de Hautefage.

Le personnage principal est Thomas le rouge. Il enquête sur deux assassinats. Il va découvrir pleins d'indices sur ces affaires. Sont-elles reliées entre elles ?



Maud V.
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Double meurtre à l'Abbaye

Je mets une demi étoile pour être sympa mais le livre était ennuyeux : j'ai été obligée de le lire pour le cours de Français, je n'ai rien compris, et moi qui m'attendais à un livre palpitant (meurtres), j'ai été très déçue. Je vous le déconseille fortement.
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Double meurtre à l'Abbaye

C'est un roman policier au Moyen-Age aux alentours de l'abbaye de Hautefage.



Un soir d'hiver un certain Thomas le rouge tombe sur deux chevaliers trainant un cadavre hors d'un buisson.

Le lendemain, jour de la fête annuelle de saint Martin, un frère découvre le cadavre devant l'église. Les frères interrogent tous le monde et un jongleur venu d’Espagne affirme voyager avec lui depuis quelques temps. Le jour suivant un autre cadavre est découvert, c'est celui du jongleur retrouvé noyé. Tout le monde est soupçonné en particulier, un homme, reste à savoir si c'est lui le meurtrier!



Je n'ai pas trop aimé ce livre car les nombreux personnages rendent compliqué l'histoire qui l'est déjà.

Il reste quand même intéressant sur le fait qu'il garde son suspens jusqu’à la fin.



Jérémy BLANCHARD
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Crime à Hautefage

Ce livre ce nomme Crime à Hautefage de Jaqueline Mirande qui se passe au Moyen-Age.



Tout commence dans une abbaye à Hautefage, où un soir une jeune fille qui se nomme Bertille se promène dans l'abbaye. Mais sauf qu'elle fait une découverte inattendue, un jeune homme est trouvé assassiné. Puis une enquête va se poursuivre tout au long de l'histoire, pour savoir qui a tué ce jeune homme.



Le personnage principal pour moi est Bertille, c'est une orpheline qui vit dans une maison au milieu du Bois de Sousclay. J'ai bien aimé ce personnage, car c'est elle qui a trouvé le jeune homme assassiné et l'arme du crime.



J'ai bien aimé ce livre, car il y a beaucoup d'action et de suspens.



Baptiste CO
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