Apotropaïsme: Cette pratique repose sur la superstition et consiste à formuler une hypothèse dont on espère - en son for intérieur- qu'elle ne se réalisera pas.
Avis
A la personne qui jette ses "Marlboro light" par la fenêtre, de son balcon sur notre parasol......
Je suppose qu'elle ne connaît pas la chanson de Gainsbourg : "Des p'tits trous, des p'tits trous", mais je veux bien llui apprendre celle qui lui ira si bien : "Requiem pour un con".
S'il vous plaît : si vous n'avez pas de cendrier, pour Noël, commandez-en un.
RdC
F.W.
Tout cela le ramenait à cet obsédant dilemme qui le préoccupait depuis sa rencontre avec Clémence et, plus encore, depuis la naissance de Romain. Dès qu'ils se retrouvaient tous les trois, à la mer, à la montagne, dans un train, en voiture, sur un pont...il se demandait - ça tient en deux mots : qui sauver ? Qui choisirait-il de sauver entre Clémence et Romain, si les circonstances l'amenaient à devoir privilégier l'un plutôt que l'autre. Cette question, il se la posait à chaque instant du jour, puisqu'il avait une tendance maladive à imaginer le pire
L'écrivain est comme un nageur de 1000 mètres dans sa ligne : il se croit seul dans la piscine alors qu'autour de lui d'autres nageurs enchaînent brasse coulée et papillon crawlé. Le bassin est encombré. A la surface flottent les livres oubliés, écrasés, sacrifiés.
Du respect car nous sommes nombreux dans cette résidence et le moindre bruit s'entend...
PS: bon pour tous les résidents (musique, portes claquées, engueulades, discussions couloirs, etc.
Outre le plaisir immédiat que vous tirez de la lecture, chaque livre vous apprend que d'autres vies sont possibles. Lire, c'est vivre par procuration. Qu'on ne vous dérange pas, silence dans la maison : vous vivez !
Outre le plaisir immédiat que vous tirez de la lecture, chaque livre vous apprend que d'autres vies sont possibles. Lire, c'est vivre par procuration. Qu'on ne vous dérange pas, silence dans la maison : vous vivez!
On croit toujours que le pire est derrière, alors que parfois le pire, c'est maintenant , dans la salle d'attente d'un hôpital, dans un avion en flammes, sur le bord d'une route, ou dans une ruelle d'Alexandrie.
Chaque éditeur a son visage. Généralement, il aime les livres, les auteurs, le papier et les chats. Mais entre nous, qui n'aime pas les chats ?
La principale activité d'un éditeur n'est pas de publier, mais de refuser de publier.