Citations de Jean-Charles Gaudin (161)
Monsieur gros poisson, ma maman, elle a raison! Si vous tombez dans les pommes comme l'autre jour, vous allez tout sécher comme de la morue... Et ça, j'veux pas... Vous êtes mon poisson que je préfère!
-Dis donc, ton copain, c'est pas ce soir qu'il va les faire gémir de plaisir...
-Le spectacle lui fera oublier ses blessures.
-faites gaffe quand même! Les blessures du coeur, c'est ce qu'il y a de pire!!
On ne dira jamais assez l'importance du pain pour la population. Vous les français avez coupé des têtes pour ça ! Un peuple fier de son pain.
Une nomenclature de niveau 3 dit que l'immortalité rassure ou intrigue dans les mêmes proportions... Un choix émotionnel qui dépend donc du facteur humain.
Selon mes codifications référentielles, les humains passent par différentes phases sentimentales au cours de leur vie.
On n'est jamais si bien planqués qu'auprès des notables qui ont certaines choses à se reprocher...
La police ne viendra pas ici, tu peux me croire !
Ils sirotent, peinards, une bonne bière...
- C'est impossible... tout ça est insensé...
- Magie et sorcellerie n'ont que faire du possible
- Commissaire Belton : Commandeur ?!... Quelle surprise à une heure pareille ! Le propriétaire de l’hôtel est une de vos connaissances, j’imagine…
- Commandeur : Cessez vos sarcasmes, commissaire ! Vous êtes décidément incapable de travailler dans la discrétion… Votre côté provincial, sans doute !...
- Commissaire Belton : Toujours aussi charmant ! Votre côté yorkais, sans doute !…
Sans liberté, il n'y a pas de vie possible.
J'avais déjà rencontré nombre de jolies femmes, mais Aliénor avait quelque chose de particulier... Je ressentais en elle comme une énergie peu commune!
Cela venait de son regard! Pouvait elle deviner mes pensées? Si c'était le cas, cette femme pourrait mettre à jour les arcanes de nos missions. Je devais donc créer à la fois de la distance et de la proximité. Un beau défi pour un Maître Inquisiteur!
Je crois avoir trouvé ce que tout le monde cherche encore : la façon dont l'assassin est sorti de la chambre jaune...
Vouloir la paix n'est pas une faiblesse. Dans bien des cas, c'est une preuve de courage!
- Nous naviguons en eaux inféodées, ce qui fait qu'aucune maison ne peut se prévaloir d'une quelconque autorité. La loi, ici, c'est moi !
- Co... comment était ma mère ?
- Tu lui ressembles beaucoup, Marlysa... En te regardant, j'ai l'impression de l'avoir encore devant moi... Il fallait qu'elle soit très courageuse pour s'enfuir ainsi juste après t'avoir mise au monde...
- Qui voulait-elle fuir ?
- Les soldats du Maître ! Ils avaient l'ordre de vous rattraper et de vous tuer...
- Mais pourquoi ?
- Le maître ne pouvait accepter ta naissance... On dit qu'il est entré dans une colère noire quand il t'a vue... Il attendait un garçon et... enfin... disons que...
- Uras-Tra ?! ... Qu'est- ce que tu veux dire ?... J'ai peur de ...
- Oui, Marlysa ! C'est ton père ! Le Maître est ton père !
Jim ?! Nous y voilà ! L'hôtel à un charme fou, tu verras.
Tout comme toi, on dirait ! Voilà bien une tenue très mondaine pour quelques jours de vacances...
Les occasions de sortir de la belle toilette sont trop rares : je me suis dit que ce serait le moment idéal !
J'ai plutôt l'impression de voir une femme en quête de l'âme sœur !
Tu es fatigant, Jim ! C’est à chaque fois, pareil, quand il s’agit de prendre un congé. Toujours cette peur de « l’autre ». …
Tu sais très bien que ça serait une situation délicate à gérer …
Jim, j’ai tout à fait le droit de porter une belle robe si je le souhaite, et j’ai bien l’intention de me conduire comme toutes ces femmes modernes qui voyagent sans crainte de montrer leur féminité et leur pouvoir de séduction…
…et je te conseille de garder tes réflexions pour toi, si tu veux profiter d’un transfert !
...Je vous dis que je suis innocent ! Lâchez-moi ! Je vous ordonne de me lâcher ! ...
....Vous allez me le payer ! J'ai toujours su que vous étiez des incapables !...
Vous êtes fatigant, commandeur ! Montez là-dedans et fermez-la !
Je n'ai jamais reçu de coup de téléphone de BlackWalk ! Faites votre travail et vérifiez, bougres d'imbéciles !!! ....
BORD....Taisez-vous ou je vous fais mettre une camisole !
Vous dépassez les bornes ! Je vais porter plainte !
C'est ça ! C'est ça !
Commissaire Belton ! Par votre faute, tout l’hôtel est réveillé !
Commandeur ?!....quelle surprise à une heure pareille ! Le propriétaire de l’hôtel est une de vos connaissances, j'imagine ...
Cessez vos sarcasmes, commissaire ! Vous êtes décidément incapable de travailler dans la discrétion...votre côté provincial, sans doute !...
Toujours aussi charmant, votre côté Yorkais, sans doute !...
...au cas où le meurtre vous intéresserait, vos agents sont à l'intérieur ...
- L'honneur ! Vous n'avez que ça à la bouche : l'honneur ! Et si votre honneur, le vrai, c'était simplement de faire ce qu'il vous plait ?! ... De vivre sans vous soucier de ce que pensent les autres... C'est étonnant de voir comment, vous les soi-disant adultes, avez besoin de tout compliquer... Et comment vous vous obstinez à perpétuer des traditions qui vous rendent malheureux ! ...
- Qui ne tente rien n'a rien... C'est ce qu'on dit... N'empêche qu'on peut aussi tout perdre !