Jean-Christophe Boccou

Thriller très sombre, « La vierge jurée » vous fera voyager dans les Balkans, une région encore très peu présente dans mes lectures. Alliant quêtes de vengeance et coutumes locales, l’auteur Jean-Christophe Boccou frappe fort pour son premier roman.



L’intrigue débute sur les chapeaux de roue et accapare son lecteur dès les premières pages. Il m’a été difficile de lâcher ma lecture, tant le suspens est à son comble tout du long de l’histoire. Page-turner captivant, il m’a complètement fascinée par son côté très noir et passionnant.



Débutant dans le Nord de l’Albanie, ancien territoire communiste, le droit coutumier y est revenu en force. C’est ainsi que la loi du Kanun trouve à s’appliquer : toute personne ayant eu un membre de sa famille tué, peut reprendre le sang d’un proche de l’assassin. C’est un peu l’équivalent de ce que nous connaissons sous le terme de la « loi du Talion ».



En plus de cette « loi », on y découvre aussi l’existence de ces fameuses « vierges jurées », dont le thriller tire son titre. Il s’agit de femmes, ayant fait vœu de chasteté qui veulent devenir des hommes afin de pouvoir porter les armes.



Ne connaissant pas du tout ces différents éléments singuliers, c’est donc en territoire totalement inconnu que je plongeai en débutant ma lecture. Écrit d’une plume fluide et accrocheuse, ce thriller parfois très violent, mais pas gratuitement, m’a conquise tant par ses originalités que la maîtrise dont a fait preuve l’auteur pour son premier ouvrage.



Je vous recommande cette aventure palpitante et captivante qui saura vous surprendre et vous faire frissonner sur ces quelques 340 pages. Jean-Christophe Boccou fait fort pour son entrée dans la littérature noire !
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4 critiques , sur un livre offert pour les 4 , je me méfie toujours un peu, l'ayant acheté , ce thriller depasse largement mon attente.



Addictif et Excellent à mes yeux ( livre dévoré dans la journée).



Ma deuxième incursion virtuelle en Haïti après:"De soleil et de sang " de Jerome Loubry .



1ère république noire de l'histoire , elle le paye depuis 200 ans ( tremblement de terre ,cyclone , corruption , drogue , massacre permanent sous les yeux de différentes dictatures qui ont laissées faire ) à croire que toute la misère du monde c'est abattue sur la " Perle des Antilles .



L'auteur m'a tenu en haleine de la 1ere à la dernière page , livre assez violent mais qui reflète assez bien selon moi la vie de tous les jours en Haïti.



J'ai adoré et donc je recommande d fortement la lecture de ce thriller ...mais ceci n'est que mon ressenti

Bonjour, ce thriller est pour moi, mon plus gros coup de coeur de cette année 2021.

Je pense que comme beaucoup de lecteurs ce que nous voulons lire, c'est un livre qui nous emporte dans des endroits sombres, un livre qu'on ne peut pas lâcher et qui est à couper le souffle.

Une perle rare, c'est un livre qui change de nos lectures habituelles qui souvent se ressemblent et où l'on ressent une impression de déjà lu.

Un voyage dangereux dans les pays de l'est que je ne suis pas prête d'oublier.

Ça commence fort dès le départ quand on découvre des enfants qui grandissent dans un monde violent et sans pitié.

J'ai fait connaissance avec des personnages abimés qui ont chacun, un rôle à jouer dans cette aventure dramatique qui m'a beaucoup marqué.

Des personnages forts en caractère qui ont grandi parmi les morts, la violence, ils se forgent grâce à leurs soifs de vengeance et leurs traumatismes.

Un tueur à gage Markus, un ogre immonde Zoltan Berbec, les jumelles Eva et Irina et enfin un enfant à sauver Nils. D'autres personnages, victimes collatérales d'un monde de corruption et de trafics d'êtres humains.

Etant curieuse, j'ai fait des recherches pour mieux comprendre l'histoire de des vierges jurées et c'était très intéressant, je ne connaissais pas l'histoire de ces femmes guerrières.

Les Burneshas (vierges jurées), devenus hommes font partie de leur culture, de la loi du Kanun et des traditions de l'Albanie.

J'adore les romans qui font de l'effet, en lisant ces pages, impossible pour ma part de rester insensible, des sensations fortes et des moments de suffocation à certains passages.

Je tiens à remercier les nouveaux auteurs, Jean-Laurent Poitevin pour leurs confiances et un grand bravo à l'auteur Jean-Christophe Boccou pour ce premier roman très passionnant et riche en sensations fortes.
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Je suis tombée sous le charme de ce thriller qui m'a emporté dans une enquête pleine de mystères entre Paris et Haïti en compagnie du Capitaine Hugo Pétrie.



Il ne faut surtout pas douter de la puissance de la magie noire "Vaudou" qui attire des millions de gens dans le monde et qui n'apporte que la misère, la mort et le déchainement des éléments.



Nylah Dévereaux va se retrouver suspecte et témoin dans la mort tragique de son tuteur, un prêtre qui avait un lourd fardeau à porter.



Quand son frère Zéphyr et sa tante Marinette réapparaissent dans sa vie, ils vont lui raconter le drame de son enfance. Nylah et Zéphyr sont prêts à prendre la route pour une chasse à l'homme très particulière.



Les assassins seront confrontés à un sorcier très puissant dont le visage est caché par un masque effrayant et qui transforme ses proies en zombis.



Le capitaine de police Hugo Pétrie va échapper de peu ce sort irréversible et cette affaire va lui donner la force pour découvrir la vérité quitte à décoller vers cette île maudite depuis des décennies. "On ne doit pas jouer avec le diable".



Mathias Schaeffer un agent de sécurité de l'île va lui apporter son aide et ensemble ils vont se battre dans ce territoire inconnu et plein de dangers contre des hommes très dangereux et armées jusqu'aux dents.



C'était bien réussi, je me suis faite manipuler avec brio et c'est exactement le but recherché par l'auteur et ce que j'apprécie en lisant un bon roman policier.



Je tiens à remercier l'auteur Jean-Christophe Boccou ainsi que les éditions HarperCollins Noir de m'avoir permis de découvrir ce thriller envoutant et captivant que j'ai dévoré très rapidement.



Je vous le conseille vivement de découvrir ce livre car il m'a donné envie d'en savoir plus au sujet du Vaudou qui est pratiqué par la majorité du peuple Haïtien et j'en ai beaucoup entendu parlé quand je vivais aux Antilles par contre je n'ai rien vu et je ne pense pas avoir été victime d'un sort heureusement.




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l’auteur nous propose un thriller contemporain incisif impossible à lâcher . L’histoire commence pr un drame qui va marquer à jamais 2 sœurs jumelles Eva et Irina. Leur mère s’est donnée la mort et elle veulent la venger . Car elle n’ont aucun doute , celui qui est responsable de ce geste est Zoltan Berbec. Mais rien ne va se passer comme prévu et les sœurs vont être séparées . Irina gardera des marques psychologiques mais aussi physiques de leur échec . La plus courageuse et déterminée des 2 elle va devenir une « vierge jurée » et prendre le nom de Skander. Son objectif combattre la loi du Kamun , la reprise de sang qui pour faire justice s’en prend aux hommes d’un même clan afin de punir celui qui a tué . Chaque vie humaine se rachète par une autre choisie dans la famille de l’agresseur . Skander jeune femme Albanaise qui en prêtant serment renonce au sexe et accepte les responsabilités qui incombent à un homme . Elle devient une burnesha. Les 2 sœurs vont se retrouver , des retrouvailles à l’origine d’une traque impitoyable. Eva et Irina sont 2 jeunes femmes meurtries qui dès leur plus jeune âge ont dû faire face à la violence . Elles vont se reconstruire avec les traumatismes du passé . Les personnages sont pour la plupart touchants, réalistes . En plus des 2 sœurs nous allons suivre Zoltan Berbec un ogre immonde , Markus un tueur à gage en quête de rédemption et Nils un enfant à sauver …Outre l’intrigue parfaitement menée, le côté historique inspiré de faits réels est très intéressant. On en apprend plus sur la tradition des Burnesha en Albanie, des femmes qui ont choisi de faire vœux de chasteté et de prendre les armes , les enfants abandonnés dans des orphelinats roumains . Markus et Skander vont s’allier et fuir à travers l’Albanie pour protéger Nils , un enfant pourchassé par des mercenaires. Qui est cet enfant ? Vous l’apprendrez en lisant cet excellent thriller psychologique. Une intrigue prenante au cœur des Balkans qui ne laisse aucun répit au lecteur . La plume de l’auteur est fluide . Un thriller qui se lit d’une traite . Je remercie encore une fois l’auteur pour son SP . Hâte de lire un nouvel ouvrage de Jean-Christophe Boccou.
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Ce roman est l’œuvre d'un auteur débutant; l'action se déroule entre la France et Haïti. La jeune Nylah a assisté au massacre de sa famille par des Casques bleus dévoyés. Elle a été prise en charge et amenée en France. 20 ans plus tard, son frère Zéphyr, qu'elle croyait mort, la retrouve. C'est le début d'une histoire de vengeance.

L'un des points très intéressants de l'intrigue, c'est la localisation et la description sans fard de la situation épouvantable qui persiste en Haïti, entre crime, corruption, misère et violence extrême, christianisme et vaudou. L'intrigue est prenante et le personnage qui retrace les faits du passé (en italique dans le texte) nous donne les clefs pour comprendre les raisons sous-jacentes des crimes commis.

Quelques points m'ont manqué pour atteindre un coup de cœur. J'aurais aimé que le personnage de Nylah soit plus développé et l'intrigue repose sur un ressort qui est très très souvent utilisé actuellement, dans les thrillers psychologiques, et qui donne donc un sentiment de "pffft, déjà vu". Malgré tout, un bon moment de lecture, et un auteur qui démarre joliment dans le roman noir.

Le récit débute par un court passage en italique et à la première personne, dans lequel un mystérieux narrateur évoque la naissance en Haïti d'un garçon prénommé Zéphir. L'auteur réutilise régulièrement ce procédé tout au long du roman pour relater des évènements antérieurs qui se sont déroulés dans ce pays.



Le dénommé Zéphir, le lecteur le retrouve en France dès le premier chapitre. Par l'entremise de sa tante Marinette, il retrouve sa sœur Nylah qui croyait qu'il avait été tué en même temps que leurs parents des années auparavant.

Nylah et surtout Zéphir, sont résolus à faire payer très cher leurs actes aux responsables de ce qui s'est passé alors qu'ils n'étaient que des enfants. S'ensuit une traque punitive qui commence par la zombification d'un prêtre selon la méthode vaudou, entraînant une violence qui restera très présente dans ce récit d'une grande noirceur.



Hugo Pétrie, flic quelque peu désabusé et également confronté à un désir de vengeance, se lance sur les traces de tueurs d'un genre bien éloigné de ses standards habituels, mettant à mal son pragmatisme de policier en le projetant dans un univers fortement teinté de vaudouisme et de magie noire. Il lui faudra même se rendre dans la perle des Caraïbes, « pays écrasé de colère et noyé dans les ténèbres d'un siècle de sang versé », et affronter des situations périlleuses pour mener à bien la mission qu'il s'est fixée.



Il y a dans ce roman tout pour en faire un véritable coup de cœur pour moi. Une histoire d'une grande originalité, une couleur – en plus du noir – et une saveur apportées par le cadre d'une partie du récit, et de superbes personnages.



J'ai dévoré ce roman addictif, dont le dénouement bluffant m'a littéralement scotché.



Je remercie Babelio et Harper Collins pour l'envoi de ce roman dans le cadre d'une opération masse critique qui m'a permis cette belle découverte.

On a frôlé le coup de ❤️ !



Saviez-vous qu’à la chute du communisme, certaines régions du nord de l’Albanie ont repris comme règles de droit leur droit coutumier, le Kanun ? Il s’agit d’un corpus de règles datant du XVe siècle composé de douze « Livres » régissant tous les aspects de la vie quotidienne : organisation de l’économie, hospitalité, la famille, la place de l’homme et de la femme dans la société, le mariage, la gestion des bien communs… et surtout l’honneur personnel, pierre angulaire de ce système. Cet honneur est ntmt défendu par la règle de la « reprise du sang », sorte de Loi du talion.



L’Albanie compte aussi parmi sa population des Vierges Jurées, des femmes qui ont choisi de vivre comme des hommes, de faire voeu de chasteté et de prendre les armes.



C’est dans ce contexte qui m’était inconnu, que l’auteur a décidé de placer son intrigue. Un contexte particulier, enrichissant, où l’état brut de l’Homme a toute sa place. Un thriller au cœur des Balkans qui se lit d’une traite, tant le lecteur est absorbé. Une plume fluide, même passionnée, sert le récit et le rend addictif. Les personnages sont réalistes, attachants. Certains auraient, pour ma part, mérité d’être approfondis davantage, mais ça n’a en rien troublé ma lecture.



Ce premier roman inaugure de belles intrigues pour la suite, c’est une certitude ! Je remercie d’ailleurs chaleureusement l’auteur @jcboccou pour cet envoi 🙏🏻 J’ai passé un superbe moment aux côtés de Skander, Markus et Nils, et referme le livre avec un pincement au cœur. Foncez, vraiment ! Vous ne serez pas déçus ☺️



Ça vous dit un voyage dans les Balkans ?

Un brin de suspens et rebondissements



Merci à Babelio pour la réception de ce thriller.

Ce n'est pas mon style de lecture mais l'histoire est bien ficelée, les personnages aussi. On est tout de suite plongé dans le côté sombre de l'histoire avec le lieu.



Je ne savais pas que de tels crimes avaient pu être perpétrés il y a plus de 13 ans. J'en avais entendu parler avec les casques bleus mais je ne savais pas que c'était aussi horrible. On se vraiment de l'intensité dans cette histoire.



J'avoue que je ne m'attendais pas à la fin et au dénouement de l'intrigue, j'ai été surprise !



J'ai beaucoup aimé le côté mystérieux et magique (pour ne pas dévoiler l'intrigue)



Merci à l'auteur pour cette belle découverte et lecture.

Entre thriller et culture Albanaise : Un pépite littéraire



Leur frère, leur père, leur oncle ou leur cousin a tué. Parfois pour solder une vieille dispute, un conflit d’argent ou de propriété, souvent à cause d’une simple querelle d’après-boire… Par leur geste, les meurtriers ont condamné toute leur parentèle à la claustration, à l’enfermement volontaire entre les quatre murs d’une maison, supposés les protéger de la vengeance de la famille adverse.



C’est ainsi que fonctionne la dure loi du Kanun, le code coutumier des montagnes du nord de l’Albanie. Quand un homme est abattu, ses parents doivent « reprendre un sang » dans la famille de l’assassin. En tuant ce dernier ou bien un frère, un cousin, un neveu. Normalement, la vengeance ne peut frapper que les hommes « faits », âgés d’au moins 14 ans.



Un « pacificateur » essaie de retisser des liens entre les familles rivales, mais encore faut-il que celle qui a un « sang » de plus accepte de pardonner. La négociation peut durer des années. Les familles n’accordent aucune confiance à la justice. L’éventuelle arrestation d’un meurtrier n’efface pas la soif de vengeance.

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Les personnages & L’intrigue :

Dans le nord de l’Albanie, deux fillettes, Eva et Irina marchent d’un pas hésitant dans le village qui dort encore. La maman de ces petites jumelles est morte et Irina réclame la vengeance. Mais elles sont trop jeunes et Zoltan Berbec ne sera que blessé.

Dans les montagnes de Prokletije (Albanie), Dragomir et Skander travaillent pour le Comité national de réconciliation. Ils protègent un petit garçon de 8 ans : Flavio. Il est le dernier « mâle » de sa famille. La loi du Kanun oblige ces enfants à rester dans le couvent des emmurés. S’ils en sortent, il seront tués…

En Roumanie, en 1988, une cinquantaine d’enfants est entassée. Ils n’ont pas de nom, juste un numéro. Le numéro 70 vient de gagner un combat à mort et il sait qu’un jour, il sortira de cette prison infecte.

A Lille, nous faisons connaissance avec Markus Orban qui se réchauffe dans le foyer des SDF. Un étudiant lui propose 100€ pour une séance photo avec un autre sans abris. Mais ils arrivent dans un piège pour snuff movies. Markus n’est pas un clochard, il est en mission pour le Këshill et reçoit ses ordres de Zoltan Berbec.

Croatie, France, Albanie, Belgique, Kosovo, Roumanie… Quel est le lien entre ces personnages ? Qui sont-ils réellement ? A vous de le découvrir.

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Le lecteur découvre la vie abominable des enfants piégés dans les orphelinats, les sous-sols, les emmurés. Skander est une arme pour les protéger mais rien ne l’a préparé à revenir sur les traces de son passé. Ses fantômes l’entraînent dans une course infernale pour sauver un petit garçon.



Toutes les histoires s’emboîtent au fil des pages. La plume est addictive. Entrez dans ce roman, vous ne pourrez plus le lâcher. Le lecteur vit au rythme de la violence, de la vengeance, mais y a-t-il un espoir ?

Des personnages troublants



Qui sont-ils ? Tous ont pris les armes, la violence est omniprésente et pourtant… ils nous réservent bien des surprises. Dans un conflit mené par la loi du Kanun, quand rien ne semble apaiser les familles rivales, pris dans les tirs et les poursuites, j’ai découvert une petite étincelle : celle d’une possible rédemption. Mais même les amis peuvent retourner leur veste dans l’espoir d’une vie plus confortable… Ne faites confiance à personne.



Des personnages attachants, d’autres détestables, la frontière entre le bien et le mal est poreuse bien étrange. Après quelques recherches, c’est aussi un thriller particulièrement réaliste.

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Une belle découverte



Vous l’aurez compris, j’ai été embarquée dans cette aventure lue en quelques jours. Un pépite littéraire où l’action vous invite au voyage et à la découverte d’autres cultures. Le suspense est maintenu jusqu’à la dernière ligne. Je me demandais comment tout ça allait se terminer et je dois avouer que cette fin laisse une ouverture, celle d’une possible suite… Ou peut être que je suis simplement curieuse de savoir ce qu’ils deviennent… Tous ces enfants, ces personnages ambivalents, ces paysages époustouflants…


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Les thrillers ou polars ne sont pas mes lectures habituelles. Je suis plus dans la recherche d'informations que le roman. Même si je lis ceux que l'on m'offre ou des petits coups de coeur. Mais j'ai été très surprise d'avoir été captivée par ce livre. Pour pusieurs raisons.

Déjà une belle plume, efficace et accrocheuse. Pas de blabla inutile, c'est fluide, clair, net.

Les thèmes sont très sombres, pourtant il n'y a pas de voyeurisme malsain, de malaise ou de sordide. On sent que le souhait n'est pas de choquer.

L'histoire est captivante, comme ses personnages.

Une bien belle découverte et un exploit de m'avoir tenue en haleine jusqu'au bout d'un livre que d'un premier abord je n'aurais jamais lu ou pas apprécié à sa juste valeur.

N'hésitez pas à le lire !

J'ai adoré ce livre.



Pour un premier roman, l'auteur propose un thriller plutôt rythmé, très dense, avec en fond le thème de la vengeance.



Oui mais pas que. Car déjà il nous plonge dans la culture albanaise, on voyage un peu pendant cette lecture et on s'instruit pas mal.

Le travail de recherches sur les Balkans, sur les coutumes est franchement important et impressionnant.

Et en plus, les personnages sont intéressants, bien dessinés.



On n'est pas juste dans un page-turner avec du sang à gogo.

Ici l'auteur dépeint certains fléaux qui pullulent sur toute l'Europe de l'est et parfois même plus loin.

C'est franchement très glaçant, certains passages sont durs mais on n'est pas dans de la surenchère.

On sait hélas que c'est une dire réalité de pays pauvres, de coutumes assez anciennes.

La condition de la femme en Albanie est bien abordée et j'avoue que je ne connaissais pas tout cela.

Ce qui m'a vraiment donné envie d'en apprendre plus et me documenter.



Le livre est riche, il y a pas mal d' informations, de protagonistes, mais on s'y retrouve assez rapidement.

Mon seul bémol est plus sur la temporalité de certains passages dans lesquels les personnages se replongent dans leurs souvenirs.

Si parfois c'était évident, d'autres fois, notamment pour Skander, j'ai pu mettre un peu de temps à comprendre le retour en arrière.

C'est pour moi un roman qui malgré un certain rythme demande un peu d'attention.



Cela n'est finalement qu'un détail qui n'enlève rien à ce premier roman de qualité.

J'ai vraiment passé un excellent moment de lecture, malgré un thème vu et revu j'ai adoré cette approche bien menée par une plume très immersive.

J'ai adoré certains personnages, bien évidemment Markus m'a marquée.



Je suivrai l'auteur avec attention.

Malgré leur jeune âge, Irina et Eva sœurs jumelles vengent leur mère de " l'ogre" car, à cause de lui, elle s'est suicidée. Malheureusement, il s'en sort avec des sequelles à vie sur son visage. Pour lui c'est une façon de faire peur, il fait partie d'un réseau de pédophilie et doit recruter des mercenaires. Ces derniers n'osent jamais affronter le visage de leur patron. Un jour, l'un d'eux se voit confier une mission qui ne lui convient pas. Il décide alors de se détourner du réseau et de s'en prendre à son patron par la même occasion. Avant qu'il ne commence sa vengeance, il se retrouve dans le collimateur de " l'ogre". Commence alors une guerre sans merci, où tout ceux qui vont se mettre sur son chemin seront ses prochaines victimes. Pendant cette guerre, il doit aussi, protéger les deux personnes qui font partie de la mission que son patron lui avait donné.

Va-t-il réussir à sauver sa peau et la leur ? Va-t-il réussir à démenteler le réseau complet ? À tuer son patron ?





Une histoire haletante, captivante, angoissante, stressante ou la proie devient le chasseur et vice versa. Chaque personnage à son histoire. Nous découvrons le passé de chacun, ce qui nous permet de savoir quels sont leurs liens. J'ai aimé ce livre , l'auteur réussit à nous faire vivre l'histoire, et nous plonge dans le plus sombre côté de l'humain. Un thriller à lire, une très belle découverte.

A la mort de leur mère, Irina et Eva veulent se venger en s'en prenant au responsable, Zoltan Berbec, en vertu de la loi du Kanun, courante dans le nord de l'Albanie. Mais tout ne se passe pas comme prévu et Berbec capture Eva et ordonne l'exécution d'Irina. Mais Irina est épargnée par l'homme de main de Berbec et devient Skander, une Vierge Jurée, à sa majorité. Elle prend ainsi l'identité d'un homme et est autorisée à porter une arme.

En devenant une Vierge Jurée, Skander vient en aide à Sœur Aneska pour tenter de faire renoncer les familles endeuillées à la loi du Kanun.

Un jour, sa sœur Eva vient trouver refuge auprès d'elle avec son fils Nils, après avoir enfin eu le courage de fuir Berbec. Mais ce dernier va tout faire pour les retrouver, en envoyant notamment un de ses meilleurs hommes, Markus Orbàn. Mais le choix de cet homme de main cache peut-être un autre dessein...

Une intrigue extrêmement documentée et instructive sur les coutumes du nord de l'Albanie, et plus particulièrement la loi du Kanun. L'envie de vengeance est omniprésente, chaque personnage ayant sa motivation propre. La lecture devient rapidement addictive et sans temps mort.

Du suspense, du contenu culturel et historique pour un thriller très réussi !

Je n’ai pas accroché avec les personnages. On passe d’un pays à l’autre sans s’y arrêter. J’ai trouvé que les scènes étaient trop dures et qu’il y avait trop de violence à tous les chapitres, limite gore. Les gens n’ont pas de sentiment ou juste celui de tuer ou être tué. Un peu lassant toute cette violence.

Si vous ne connaissez pas encore cet ouvrage, un conseil : courez l'acheter, il est plus que génial !

Une superbe trame, de l'action sans arrêt ainsi que des rebondissements à chaque chapitres.

L'auteur a une très bonne plume, très agréable à lire. J'ai aussi découvert tout un monde qui m'était méconnu. On peut constater un très grand travail de recherche qui m'a beaucoup plu.

Une magnifique découverte !

Une histoire efficace qui tient en haleine jusqu'à la dernière page.

Nils fuit "L'antre de l'Ogre" des tueurs à ses trousses … une fuite qui le mènera en Albanie dans les montagnes maudites de Prokletije, en Roumanie dans le royaume sous-terrain des enfants-spectres, jusqu'à Bouzloudja au sommet d'une montagne perdue de Bulgarie...

En quelques chapitres, quelques incursions dans le passé, l'histoire s'est mise en place, les personnages me sont devenus familiers et je n'ai plus lâché cette fuite avant la fin.

La violence est toujours présente, par les thèmes et le milieu abordés, mais elle est énoncée sans complaisance pour le voyeurisme, sans étalage inutile. Certes, il y a des scènes très dures, mais l'auteur n'utilise pas les détails macabres pour "faire de l'audience".

Une écriture percutante, efficace, totalement adaptée à l'intrigue, un ton qui capte l'attention. Des dialogues concis, cohérents avec la personnalité des personnages. Façonnés par leur enfance et leur environnement, ce ne sont pas des personnages "tièdes", qu'ils aient penchés vers le "côté obscur" ou non. Aucun ne laisse indifférent.

Un très bon thriller qui réunit criminalité organisée dans ce qu'elle a de plus horrible, tradition des “burnesha”, droit coutumier “Kanun” et vengeance.

Tout d'abord, je ne suis pas un lecteur de polar, suspens ou thriller mais plutôt sf et fantasy, donc je n'ai pas trop de recul ou de références , cependant, j'ai adoré ce livre; je l'ai lu dès sa sortie et ça m'a pris peu de temps car j'n'ai pas pu en décrocher (du coup fini Netflix et autres prog tv, très bon pour une désintox de crétinitude). Passionné de musique j'ai adoré toute les références musicales. Les personnages ont une belle profondeur et on se surprend à craindre pour leur karma. J'avoue avoir pris des leçons sur nos voisins de l'est européen car leur histoire m'est assez inconnue et je remercie grandement l'auteur pour ça. Depuis le mois d'avril, j'm'étais dit qu'une seconde lecture serait une option, mais des fois il est vrai qu'avec certain titre j'm'arrête avant la fin car moins fun que la première fois. Et bien, NON ! à ma grande surprise, je l'ai relu aussi vite et avec autant de bonheur. J'attends avec hâte son prochain livre, merci Mr Boccou, écrivain à suivre...

Une claque... Tout simplement ! Mais de ces claques qui ravissent bien sûr ! En d'autres circonstances, je n'aurais pas lu ce roman : les Balkans, la couverture morne, au premier abord l'ouvrage m'incitait à une mélancolie certaine. Pour autant, je l'ai lu et suis allée de surprise en surprise. Alors oui, le sujet n'est pas désopilant mais le plaisir est assurément ailleurs.

Dans le fond : l'intrigue est passionnante, les pages se tournent avec enthousiasme, le rythme est effréné et égal, pas de longueur, pas de ventre mou, les personnages sont graves et attachants (enfin pas tous, certains sont répugnants), un sans faute.

Et dans la forme ! Premier roman de l'auteur... On peine à le croire tant le style est travaillé, littéraire mais pas ampoulé. On ne lit pas, on voit, on imagine, on y est.

Bref, Jean-Christophe Boccou signe un roman d'une qualité rare et je ne m'avance pas trop en affirmant qu'il est un des jeunes auteurs à surveiller de près.

plongée au cœur de l´Albanie.

La reprise d'une règle coutumière; le Kanun. C'est un corpus de règles datées du XVe siècle qui erige notamment la règle de la reprise du sang.

Dans ce peuple existe des vierges jurées qui ont décidé de vivre comme des hommes, de pouvoir porter des armes mais aussi elles ont fait voeux de chasteté.

Skander en est une.



On débute ce thriller avec deux jumelles dont leur mère se donne la mort. Pour elle, il n'y a qu´ un coupable et elles feront tout pour le tuer. Mais réussiront elles ?



En plus de ces deux sœurs, on va suivre Berbec dit "l´ogre", Markus; un tueur à gages en quête de rédemption et Nils, un enfant à sauver.



Un thriller au cœur des Balkans qui m´a transportée dans des contrées inconnues. J'ai été happée du début à la fin ! Pas de chichis, dans ce thriller on va droit au but, pour notre plus grand bonheur !

Un réel coup de cœur pour ce premier roman de l´auteur.