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Citations de Jean-Marc Rivière (44)


- Les bons peintres manquent à Florence de nos jours.
- Les bons gouvernants aussi. Il doit y avoir un lien.
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- Ta meilleure arme est ton intelligence, Niccolo. Amène tes ennemis là où tu le souhaites, et tu n’auras même pas besoin de sortir ton épée pour les vaincre.
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L’argent n’a jamais transformé un gueux en prince.
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- Fais confiance à Florence, Niccolo. Cette ville est un organisme vivant. On a beau la blesser, elle finit toujours par cicatriser.
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Dans ce palais, les murs n’ont pas que des oreilles. Ils cachent aussi des lames acérées.
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Parfois, il faut savoir plier pour amener ton adversaire là où tu veux qu’il aille.
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La fortune est une fille facile. Elle peut venir vers toi une fois par faiblesse, mais elle finit toujours par succomber à une bourse bien remplie.
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En politique, tu tues ou tu es tué. Que ça te plaise ou non, il n'y a pas d'autre règle.
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- Tu as été pris dans une rixe ?
- Le capitaine Guidi a une pédagogie très personnelle.
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- En quoi m'user les yeux sur ses vieilleries va m'aider ?
- Tu dois apprendre du passé si tu veux être capable de déchiffrer le présent.
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Quand on ne peut pas gagner, il faut surtout éviter de perdre.
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Super Nanny dans un super World !
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Un bon soldat sait se contenter d'une demi-victoire. A trop manger, on risque de s'étouffer.
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Les rêves sont faits pour être déçus. Ceux des enfants plus encore que les autres.
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Un jour, les post-humains prendront conscience de leurs potentialités. Et quand ils comprendront ce qu'ils sont, ils verront à quel point nous sommes inutiles.

[p28]
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Jamais je n’aurais cru qu’il pouvait être si difficile de faire avouer quelque chose à un gamin d’à peine six ans. J’avais pourtant vu toutes les saisons de 24 Heures chrono. Je connaissais au moins trente techniques différentes pour faire parler un terroriste et encore douze autres pour lui faire passer l’envie de venir déstabiliser notre merveilleux modèle socio-économique occidental.
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... j'avais trompé Maud par facilité. Redonner une impulsion à notre couple demandait d'avantage d'efforts que de m'abandonner à une satisfaction érotique sans lendemain.
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- Si j'étais vous, j'y réfléchirais à deux fois avant de tout faire péter. Ce mec entre dans la pièce la plus protégée du monde, prend le Président en otage sous notre nez et il se laisserait tirer comme un lapin ? Rien ne vous choque, là ?
- Une bonne fois pour toutes, Ellis : fermez votre grande gueule de branleur ou je vous défonce. Laissez-moi faire mon job, vu que vous n'avez pas été foutu de faire le vôtre...

[p26]
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Laisse l'héroïsme à ceux dont c'est le métier.

[p72]
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- Ils sont une nouvelle branche de l'humanité. Une sorte de dérivation, à un niveau que nous ne sommes pas capables d'investiguer.
- Je ne vous suis pas.
- Ils sont nous, mais en mieux. En infiniment mieux.

[p35]
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