Jean Roba

41e album de Boule et Bill et je n'ai toujours pas réussi à convaincre ma petite maman que Bill est le chien ^_^



Comme toujours, des histoires drôles - enfin pas toutes - mais dans l'ensemble j'ai passé un très bon moment de lecture.



Depuis que je suis gamine j'adore cette bande dessinée. C'est un plaisir toujours renouvelé de suivre les aventures de la petite famille.





Challenge BD 2020

Un excellent album.

J'ai particulièrement aimé ce que le charme ravageur de Bill lui permet d'obtenir de ses amies les taupes. A moins qu'il ne faille remercier l'auteur pour tant d'imagination.

A lire sans hésitation, bonne humeur assurée.

Cela fait du bien de retrouver Boule et Bill !

Mon amour pour Boule et Bill date de longtemps. Quand j'étais petite, chaque semaine, ma grand mère me donnait la précieuse page de Boule et bill parue dans son magazine Bonne soirée. Je les collectionnais.



En attendant les déclarations de notre président ce soir , il me fallait une lecture légère.



Cet album de gags est organisé en quatre parties, chacune consacrée à une saison. Les gags que je préfère sont ceux qui mettent en scène la tortue Caroline. Quand je dis que j'aime Boule et Bill, c'est vrai. A la maison, nous avons une tortue de terre qui s'appelle aussi Caroline.



Petite BD très mignonne.

Je découvre, et re-découvre, des bandes dessinées grâce à mes filles de 9 et 7 ans....

Boule et Bill revient en force et je me surprends à relire ces ouvrages.

Je me souviens, enfant, je rigolais seule en lisant les aventures de ces 2 copains...

A 44 ans, je ne rigole plus, mais je relis avec émotion les aventures de ces 2 garnements, avec en prime un sourire sur les lèvres.

Bonne humeur garantie...

À l’heure où le cinéma, français comme américain, conchie la bande dessinée franco-belge (Les Schtroumpfs, Garfield, Sur la piste du Marsupilami, Boule et Bill donc, voire même Du plomb dans la tête avec ce cher Stallone…), il est toujours bon de revenir aux fondamentaux pour se souvenir d’où ces phénomènes sont partis. Je remercie d’ores et déjà le site Izneo qui m’a offert la possibilité de découvrir en ligne et gratuitement le plus récent tome des aventures de Boule et Bill, la trente-quatrième, intitulé Un amour de cocker.



C’est une bonne petite bande dessinée, honnête et simple, où chaque planche est utilisée pour une seule historiette, système hyper classique, surtout pour Boule et Bill. Cette organisation nous empêche souvent de voir le fil conducteur de l’album. Y en a-t-il un ici ? Pas vraiment. Si ce n’est le fait que Boule porte le plus souvent une caméra à la main… Et oui ! Cet album surfe allègrement sur la sortie ciné du film (qu’on a lâchement tenté d’aller me faire voir !!!) avec Franck Dubosc (ô monde cruel !) et Marina Foïs (qui fait ce qu’elle peut, j’imagine), que ce soit dans la trame de fond, mais également dans les nombreuses pages à la fin du tome. Quand j’ai découvert ça, l’intérêt que je portais à cet opus a pris un sérieux coup dans l’aile, je l’avoue. Heureusement, certaines aventures prêtent à sourire, mais c’est bien tout finalement. Je ne suis peut-être plus le public visé, tout simplement… Un e-book que je ne relirai pas de sitôt, j’en ai peur.

Après le tome 1, le tome 2.

Les deux premiers récits de ce second tome, sont ceux sortis en annexe des récits principaux repris dans le tome 1:

- La Ribambelle engage du monde, dans lequel Les Caïmans tentent d'intégrer La Ribambelle. Hum.

- La Ribambelle au bassin, où un coffret (à ne surtout pas ouvrir) est volé dans un voiture et balancé par le voleur dans le bassin du titre.... Ce seront les Caïmans qui l'ouvriront, le coffret, avec des conséquences qui ne sont pas sans rappeler une actualité...virulente.

Les trois derniers récits sont:

- La Ribambelle aux Galapagos

- La Ribambelle enquête

- La Ribambelle contre-attaque.

L'ultime double aventure de la joyeuse bande a été scénarisée par Maurice Tillieux, dont on retrouve l'art du suspense et du ton dans les dialogues.

Dans le premier chapitre, Archibald Mac Dingueling est enlevé par le louche brocanteur Alcide Levase et pour une raison inconnue. Cette partie s'achève avec la libération d'Archibald et la raclée mise par le fidèle James à l'affreux Levase. Raclée assortie de l'exil de Levase.

Dans la seconde partie, on retrouve Grofilou, associé aux Caïmans, pour une chasse au trésor finale pleine de bonds. Entretemps, il sera question des talents culinaires d'Archiblad qu'il n'est jamais bon de mettre en doute!



Voilà. En tout et pour toute Ribambelle de Roba, que ces huit récits intercalés entre les planches hebdomadaires de Boulle et Bill.

Huits diamants de la bande dessinée franco-belge, à déguster et on en reprend!

"Le 24 décembre 1959, les lecteurs du Journal de Spirou découvrent en couverture de leur revue favorite la bouille ronde d'un nouveau personnage, accompagné d'un chien à très longues oreilles."



Cet album spécial a été publié à l'occasion du 60e anniversaire de ce duo intemporel. Il débute par un article de Ch. & B. Pissavy-Yvernault qui retrace l'historique dans les grandes lignes.



Au début des années 80, Roba a fait équipe avec Laurent Verron qui le remplacera complètement en 2001 quand il prendra sa retraite. 12 ans plus tard, Verron passera le relais à Jean Bastide et Christophe Cazenove.



L'album reprend des planches piochées dans la série.



C'est toujours un plaisir de (re)lire les aventures de Boule et Bill. Quand j'étais gamine, j'adorais cette BD. J'avais d'ailleurs reçu un cocker en peluche (avec une salopette écossaise) que j'avais appelé Bill, bien évidemment.









Challenge bande dessinée 2020

Les histoires de Boule et Bill ont pour moi une saveur particulière, je connais presque toutes leurs espiègleries par cœur, les anciennes. On les trouvait à la dernière page de la revue "Bonne Soirée", un magazine féminin édité par Dupuis qu'on donnait à ma grand-mère pour les pages de crochet, son passe-temps favoris. Quand je dormais chez elle, je prenais une pile, et dans mon lit, avant de dormir, je lisais la dernière page de chaque numéro, la page Boule et Bill. Alors, j'adore Boule et Bill, ce n'est pas une critique, c'est juste sentimental, et c'est parfois aussi ça, la lecture.

J'aime bien de temps en temps revenir aux classiques et à mes BD d'enfance.



J'ai toujours plaisir a retrouver ces deux gais lurons que sont Boule et Bill, parce que je sais d'avance que je vais passer un bon moment.

C'est une BD gentilette qui prète a sourire et que je conseille toujours à mes enfants (qui sont eux même friands de bétises).



De plus la météo s'y prétant bien ( puisque novembre est aujourd'hui en juin) pour une lecture sans prise de tête

Dargaud a réédité, en intégrale de deux volumes, les huit aventures de la mythique Ribambelle apparue dans l'hebdomadaire Spirou en 1962.

De ces récits, il y en a trop peu et ce sont de véritables perles de la bande dessinée. Roba y démontre sa science graphique dans les décors, les personnages et les mouvements.

Si Roba scénarisa lui-même les premiers récits de la Ribambelle, il n'en fut pas de même pour les autres, écrits par Vicq puis Tilleux.

Ce premier tome regroupe les trois aventures principales qui donnèrent leurs titre aux albums sortis chez Dupuis:

- La Ribambelle gagne du terrain

- La Ribambelle en Écosse

- La Ribambelle s'envole

... Des titres évocateurs, propres à réveiller l'émerveillement des lecteurs qui découvrirent ces aventures dans les fertiles années 60/70.

La Ribambelle au complet s'en va au Galopingos.

Dans La Ribambelle s'envole, rappelons-nous, nos jeunes héros avaient gagné un voyage au Galopingos offert au gagnant d'un concours de vol...musculaire.

La Ribambelle a offert généreusement le billet à leur confiseur favori, qui n'a jamais pu voyager qu'en imagination.

Mais le confiseur ne donne plus de nouvelles, et voilà la Ribambelle et le fidèle majordome James (journaliste pour l'occasion) partis à la recherche du marchand de bonbons!

Vont s'ensuivre des aventures dans une île peuplée de quelques animaux loufoques, de drôles d'indigènes et de bandits n'aimant pas être dérangés dans leurs louches activités!

C'est l'occasion pour Roba de donner libre cours à son trait souple et d'offrir quelque portraits d'animaux parfois cauchemardesques.

La Ribambelle, de Roba, il y en a trop peu!... Et c'est dommage. Mais l'auteur devait livrer au journal Spirou la page hebdomadaire du gag de Boulle et Bill!

Jean Roba a longtemps tenu la dernière page de l'hebdomadaire Spirou, avec ces gags en une planche de Boule et Bill!

La couverture de ce même journal Spirou était occupée par une demi-planche gaffeuse du Gaston de Franquin!

C'était au début des années 60, avant qu'un dessin pleine page n'occupe la couverture et que Gaston (toujours lui) ne fasse l'entière dernière page.

Et Boule et Bill? Ils continuèrent leur page hebdo à l'intérieur de Spirou.

Ce premier album (cartonné, s'il vous plaît!) reprenait les soixante-deux pages allouées aux dessinateurs-vedette de Spirou.

Roba, as des demi-couvertures de Spirou, possède encore un graphisme moins rond que par la suite... mais les gags sont déjà frais et animés dans cette bande dessinée très familiale, dont l'animal-star est Bill le coker et ses oreilles à tout faire!

Boule et Bill, en fait, équilibrait l'hebdomadaire Spirou avec les gaffes de Gaston très énervantes pour Fantasio (puis Prunelle) et des gags plus reposants et familiaux animés par Roba.

C’est dans des vieux hebdos Spirou que j’avais découvert les aventures de la Ribambelle, ce groupe de jeunes garçons (et une fille), sorte de "Club Des Cinq" à 6 et sans le chien.



Et avec plus de variété ethnique dans le groupe de La Ribambelle, puisque nous avons deux asiatiques (des jumeaux), un Noir et un Écossais, nom d’une cornemuse.



Le verdict ? Ça a vieilli. Pour moi, cette lecture m’a fait du bien, c’était une madeleine de Proust qui m’a replongé dans mon enfance, lorsque je dévorais les vieux hebdos Spirou ayant appartenu à mon père et à son frère.



C’est frais, agréable, on sourit, on se délecte de ces petites aventures qui leur arrivent, de ce voyage qu’ils peuvent tous faire en Écosse avec leur ami Archibald Mc Dingelling (les parents sont cools dans les bédés !) afin de l’aider à récupérer l’emblème de son clan, volé par les méchants du clan rival, les Mc Klangbang.



Par contre, pour ceux (ou celles) qui ne l’auraient jamais découvert, cela risque de sembler daté, cliché (la pingrerie des Écossais) et hautement réducteur pour certains personnages (les asiatiques qui se nomment Atchi et Atcha, ça ne passerait plus maintenant).



Pourtant, ils auraient tort de bouder leur plaisir et de faire intervenir la "cancel culture", car il n’y a rien de méchant dans ces pages, juste des choses pour faire sourire. Même les méchants ne sont pas si terribles que ça et fatalement, à la fin tout est bien qui finit bien.



Les dessins de Roba sont reconnaissables entre mille, le gamin blond a des airs de ressemblance avec le papa de Boule, par exemple.



Une bédé qui date, qui sent bon la poussière, qui fleure bon l'insouciance de l’enfance et les lectures du dimanche, quand on aurait aimé que cette journée n’en finisse pas, pour ne pas devoir aller à l’école le lendemain...



Mon père a eu raison d'acheter cette bédé dans un vide-grenier et ensuite de me la prêter pour que je la relise.



Ça ne cassera pas trois pattes à un canard, mais c'est plaisant à relire, sans se prendre la tête, juste pour le plaisir (comme le chantait Herbert Léonard).

La Ribambelle a gagné un superbe voyage aux Galopingos, en remportant haut la main le concours d'aviation à propulsion humaine (La ribambelle s'envole).

Accompagnée de l'indispensable James, muni d'une machine à écrire portative de reportage (dame! nous sommes au cœur des sixties...) et de Monsieur Berlingaud; voilà la joyeuse bande partie pour une aventure exotique où ne manqueront ni canailles ni rebondissements.

Roba trouvera même moyen de glisser deux hallucinations quelque-peu effrayantes dans un registre assez peu habituel.

On rencontre aussi, dans cet album malicieusement scénarisé par Vicq, des indigènes particulièrement "pops".

Une de ces belles histoires de la Ribambelle, donc, qui se relit avec plaisir et un soupçon de nostalgie.

Cette première aventure de Boule et Bill, publiée dans les célèbres mini-récits entre les deux pages centrales de l'hebdomadaire Spirou, se rapproche davantage de ce que seront les exploits de la Ribambelle.

Roba déploie déjà son talent consommé de dessinateur qui ne fera que s'arrondir et se perfectionner.

L'ambiance de ces années 60 qui vont commencer, s'épanouit dans cette histoire qui fleure bon les loisirs de l'enfance.

Roba fut vraiment un artiste de la bande dessinée, tout à fait hors de pair et de ceux qui firent la renommée et les belles heure du journal Spirou.

Dans ce tome 5 des aventures de Boule et Bill, on est encore au début de la série et cela se sent dans le dessin (qui est moins assuré et moderne que celui de la couverture), mais les gags classiques qui font le succès de la série sont déjà là et nous font sourire page après page : les bains de Bill, ses os enterrés, etc.

En outre, dans cet album, on ressent (peut-être plus que dans d’autres de la série) une belle complicité entre le petit garçon et son cocker et on a plaisir à suivre leur évolution au sein de cette sympathique famille.

Dès la couverture, on comprend que cet album va être exceptionnel, et en effet il est très différent des autres car c’est une histoire complète au lieu d’une succession de gags d’une page ou deux.

Boule et Bill ont gagné un voyage autour du monde en participant au concours du meilleur ami, et ils peuvent avoir chacun un accompagnateur, donc les parents de Boule seront du voyage également.

Tout au long de leur tour du monde, le guide de la société Tour-Lourou John-Cadre d’Hinnamich fera tout pour organiser leur voyage et leur simplifier la vie, mais le petit garçon et son cocker vont lui donner du fil à retordre et l’entraîner dans toutes sortes d’aventures, dont les parents de Boule n’auront heureusement pas conscience!

J’ai beaucoup aimé cet album car il y a un fil rouge avec une histoire suivie et un contexte qui donne lieu à un renouvellement total des gags ( ce qui n’est pas toujours le cas dans les albums de Boule et Bill).

Un excellent cru!

Ce 29ème tome de la série est celui où Jean Roba a passé la main à Laurent Verron, transition indéniablement réussie car cet album est fidèle à l'esprit et au dessin de la série.

Les gags sont classiques, autour du bain, de la gourmandise ou de la flemme de Bill par exemple. Je trouve cependant qu'il aurait pu y en avoir plus sur les vacances en Bretagne pour changer un peu.

Billets de Bill est l’un des meilleurs albums de Boule et Bill que j’ai lu depuis longtemps.

En plus des gags habituels qui jouent parfois sur des ressorts un peu redondants, il y a quelques trouvailles savoureuses et en relation avec l’actualité de l’époque.

Ainsi, le papa de Boule se retrouve à faire la course en vélo avec le père d’un copain d’école de son fils, mais il n’arrive pas à le rattraper, forcément, le papa d’Axel s’appelle Eddy Merckx!

Quant au contrôle fiscal new look, je vous laisse découvrir les nouvelles méthodes de l’administration fiscale, c’est hilarant !

Mon exemplaire date de l'année de sortie : 1984. Il y a encore le ticket du prix : 32 francs. Je peux vous dire qu'enfant je l'ai lu et relu de nombreux soirs, si bien qu'il m'est très familier (les enfants d'aujourd'hui font-ils toujours ça ?).

A noter que dans cet opus il y a la fameuse histoire longue de 8 pages sur la petite famille en vacances, Bill qui s'échappe et le père qui le traque en faisant mille et une activités.