Jean Roba

qui me connait pas bill

ce cocker adorable, hilarant,menteur et réfractaire au bain🛀 mais avec un Coeur gros comme ça 💖🐢 et caroline

maline,généreuse et quand ça lui prend boudeuse.et boule petit garçon espiègle,pas très travailleur mais extrêmement malin.retrouver les dans leurs aventures divertissant.pour toute la famille

"Cascadeur, fidèle compagnon et gaffeur". Mais qui est donc cette star?

Boule bien-sûr le célèbre cocker (grand amateur d'os et de chapelets de saucisses devant l'éternel) de Bill un pré-ado roux de chez roux que nous découvrons (la plupart du temps) caméra à la main dans moult scénettes rigolotes pour nous préparer à la future adaptation de la BD Boule et Bill en film.Gags, gaffes, blagues, bêtises: "WOUF!" Bill adore!

Surtout lorsque le gentil copain se prête au jeu d'un remake de Les dents de la mer (jungle) en piscine gonflable pleine de piranhas fictifs, que la fiancée de Bill rêve du Titanic, que Bill vole la vedette à Boule-Dracula, que Boule fait durer les baisers de cinéma,que le gentil papa déguisé en cannibale se trouve traité de raciste par son patron ou qu'en Tarzan sautant de branche en branche il se retrouve case prison! Entre séquences films, paintball ("SLACH"), golf ("CHTOC") et vacances à la mer, le rire est au rendez-vous.

Et toujours les dessins expressifs de Verron (d'après Roba) pour ce 34° album: Un amour de cocker, le scénario signé Cric Pierre Veys et Diego Aragena et les couleurs pimpantes de Anne Marie et Julien Ducasse.

Petit plus:photos et explications des coulisses du film en fin d'album.

Pas moins de trois cockers anglais ont tourné le rôle de Bill.Boule est joué par Charles Crombley, le papa est Franck Dubosc (très crédible avec son air sérieux et ses lunettes!!!), la maman est Marina Foïs. Et leur deux chevaux est rouge.

Voilà vous saurez tout,tout,tout sur le futur film (et la rencontre de Boule et Bill) si vous courez acheter ce 34° album pour cinéphiles en culottes courtes!

Dans la même collection: Les V'là, Bwoufallo Bill?, Graine de cocker....

Ce n'est pas mon auteur de BD préféré, c'est vrai, mais il m'arrive encore quand l'occasion se présente d'en lire une ou deux avec plaisir. Au-delà du côté enfantin qui fait du bien à mon arthrose et des gags tarte à la crème, il y a aussi un portrait que j'ose qualifier de sociale. Une description assez juste de la famille type des trente glorieuses avec pavillon sam suffit, jardin, automobile, l'homme au boulot et la femme aux fourneaux raconte un quotidien plutôt heureux. Et une amitié entre un enfant et son chien qui n'a rien d'imaginaire. J'ai assisté depuis la fenêtre de mon appartement d'étudiant à ce genre de relation entre un bambin d'une dizaine d'années et son ami, un chien sans Marque au pédigrée incertain mais qui devait être le plus cher du monde pour ce gamin. quelques belles images quotidiennes que je n'ai jamais oubliées. En lisant un Boule et Bill avec vos enfants, vous êtes sur de recevoir le plus beau cadeau du monde, leur sourire.

Une aventure complète sur l'ensemble de l'album qui emmène la "gentille" famille de Boule et de Bill loin loin, très très loin de chez eux, grâce au gain gagné au concours du meilleur ami.

C'est délirant et joyeux comme toujours.

Où Boule, Bill et Caroline pratiquent en page 4 une pêche respectueuse des poissons, et l'on l'assiste en page 36 à un gonflement d'ego pour Bill qui s'improvise en présentateur télé pour ses potes.

Où l'on voit Caroline danser et chanter Fred Astaire, et Bill jouer parfaitement le rôle de Brutus face à César. Sauf que c'est papa qui joue César. ...

Ah, la vie en lotissement c'est pas toujours du gâteau !

La deuxième grande aventure de la Ribambelle est un véritable régal!

L' humour y est distillé comme un excellent whisky d' Ecosse!

La ribambelle, avec l'appui du précieux James (of course!) aura du fil à retordre pour retrouver le Chardon d'or et faire cesser la guerre ancestrale qui oppose les clans Mac Klangbang et Mac Dingeling.

Lu pour l'essentiel à l'époque où j'étais abonné à Spirou, la planche de la quatrième de couverture était, après Gaston Lagaffe en page 3, les plus attendues. beaucoup de tendresse, d'humour autour des facétie du cocker, qu'on entendrait presque aboyer, tellement il est vivant !

Le père dépassé a initié ce rôle, comme pour beaucoup des successeurs de Boule et Bille, comme Cédric ou Kid Paddle, et est responsable de beaucoup de gags !

Livres que je propose à tous les enfants en age de savoir lire !

Lire Boule et Bill c'est se mettre du baume au coeur.C'est aussi un hommage à mon premier chien: une super cocker.Les mésaventures de nos petits citadins à la campagne; c'est finement observé, on s'y croit.

C'est toujours un plaisir de retrouver Boule et Bill, même si dans cet album il manque la tortue Caroline.

Notre cocker préféré est toujours aussi malin et gourmand, et surtout plus cabotin que jamais !

J'ai obtenu cette BD dans le cadre de l'opération "été BD 2015, 30 BD à 3€", excellent initiative soit-dit en passant.

Cela faisait des années que je n'avais pas ouvert une bande-dessinée, qui plus est une Boule et Bill, et je dois dire que j'ai passé un agréable moment, à sourire aux blagues du fameux duo et de son entourage.

Boule et Bill a toutefois maintenant un côté très désuet, moi j'ai adoré mais je me demande comment les enfants d'aujourd'hui accueillent cela.

Un Boule et Bill tout à fait mignon, charmant et attachant.

C'est rigolo, sans prétention et ces deux là sont toujours au rendez-vous pour les bêtises, les blagues et faire râler les parents.

Les dessins sont rafraichissants.

J'avoue que je l'ai lu pour terminer mon challenge Multi-défi (pas facile de trouver un titre avec lequel nous pouvons écrire Babélio) mais j'ai passé un bon moment de détente.

Une bande de gamins se retrouve dans un vieil autobus sur un terrain vague et vivent de désopilantes aventures.

Créée par Marcel Denis et le génial Jo-El Azara. "La Ribambelle gagne du terrain" est lui conçu et dessiné par Roba.

C’est ici l’album « fondateur », celui ou cette bande de gamins va tenter d’acquérir ce terrain et l’autobus qui leur sert de repaire. Cela ressemble un peu à un film de Capra avec le méchant capitaliste face aux pauvres gamins qui vont essayer de le contrer !

C'est premier âge mais distrayant.

En 1972, la première chaîne à la télé diffuse les premiers épisodes d’une série marrante comme tout : "L’autobus à impériale". C'est le parfait plagiat de la Ribambelle ! Principaux protagonistes compris. Ah ces anglais !!

Gag rigolo, ne prend pas la tête !

Je poursuis ma redécouverte de Boule et Bill aux côtés de mon fils.

Dans cet album, les histoires sont organisées autour du thème des 4 saisons, cela fournit évidemment l'occasion de situations cocasses, surtout en hiver, mais les gags sont un ton en dessous de certains autres albums me semble-t-il.

Ce n'est pas du tout le tome le plus drôle ni le plus divertissant de la série Boule et Bill.

J’ai choisi ce tome un peu au hasard – je les ai tous lus, du moins, tous ceux signés Roba. Si les gags sont là, ils sont aussi bien implantés dans la vie quotidienne – ah ! la deux chevaux rouge des parent de Boule ! Le jardin clos et bien entretenu ! L’antenne télé sur le toit, juste à côté de la cheminée ! Bill y trouve d’ailleurs un refuge certain, et ne me demandez surtout pas comment il a fait pour monter jusque là !

C’est cela aussi, Boule et Bill, des situations hautement improbables qui surgissent au milieu de la vie ordinaire d’une famille de quatre personnes dont un chien auquel il faut, de temps en temps, donner un bain – à vos risques et périls. Et ce n’est pas le digne représentant d’une société protectrice au nom invraisemblable qui nous dira le contraire ! C’est aussi une rencontre clin d’oeil avec Morris, le dessinateur de Lucky Luke et de Rantanplan, un autre chien de bande dessinée dont je parlerai bientôt.

Bill, fashion victime ? Oui, car madame a un mal de chien à trouver LE collier qui lui ira. D’ailleurs, sans lui, il se trouve tout nu – ce qui nous donne des gags assez mémorables. Bill, accro au chewing-gum ? Il est intemporel. Bien sûr, le graphisme a déjà évolué depuis le premier album, mais chaque personnage était déjà facilement identifiable.

Les albums devraient être bientôt sous le feu de l’actualité, puisqu’un film sortira au printemps, pour retracer avec de « vrais » acteurs, les aventures de Boule et Bill. J’ai une certitude : je n’irai pas le voir, je préfère la BD.
Lien : http://deslivresetsharon.wor..

Même si les gags de Boule & Bill ont un peu vieilli, c'est toujours un plaisir de lire cette BD de mon enfance.

On devrait plutôt appelé cette série « Papa de Boule & Bill » tant la présence du papa de Boule est importante dans les gags. Il est d'ailleurs assez souvent un souffre-douleur ou un personnage qui se fait avoir par Bill ; c'est une image assez étonnante du papa pour l'époque. On voit même un père de famille qui esquive le travail, qui fait des choix stupides et qui se fait réprimander par sa femme (à raison bien sûr)… par contre, la maman de Boule n’a pas voix au chapitre. La BD fait preuve encore beaucoup de machisme avec la mère au foyer et invisible.

Pour en revenir à l'album, il y a des gags plutôt drôles, d'autres qui prêtent plus à sourire mais dans l'ensemble cela reste un bon divertissement (mais j'avoue que le côté nostalgie doit jouer à fond).

Boule et Bill, je connais essentiellement de nom.

Si je ne me trompe pas, il existe aussi un dessin animé et peut-être même un film. Mais comme je préfère les livres à la TV, nous voici penchés, mon petit fan de BD et moi sur ce numéro 3 de leurs aventures.



Découverte donc, mais un énorme flop de mon côté. C’est d’un ennui ! Je n’ai pas trouvé, aucunes des histoires drôles. Pour ceux qui ne connaissent pas, il y a plusieurs planches et non une histoire unique.

Les illustrations toutes en rondeurs sont bien faites mais ça s’arrête là.

Côté enfant, le mien me dit avoir aimé mais ne souhaite pas en relire pour l’instant.

Ouf, me voilà rassurée.



On va tenter de trouver d’autres BD qui nous correspondent plus et on laisse celles-ci aux admirateurs de cette série.

Spirou et Fantasio, au milieu des pigmés avec des éléphants rouges... Rien de bien folichon me dire vous... Mais il faut ajouté qu'il y a le Marsupilami confronter à la faune et la flore de l'Afrique... Et là cela devient drôle... Comme d'habitude c'est surtout les dessins qu'il faut regarder....Et la petite histoire qui est rajouté à la fin d' l'Album, où l'on voit le grand chasseur de fauve Bring M Backalive chasser le Marsupilami.... Seul animal qu'il n'a pas pu encore mettre en cage.... Et quelques courtes histoires du Marsupilami de Spirou apprenant ce qu'il sait faire à une vache... Un album asse amusant, surtout à la fin.