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3.99/5 (sur 270 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Fredonia,New York , le 24/07/1876
Mort(e) à : New York , le 11/06/1916
Biographie :

Jean Webster (de son vrai nom Alice Jane Chandler Webster) a grandi à New York, dans un milieu favorable à la littérature, puisque son père était éditeur et que son oncle maternel n'était autre que Mark Twain.

Les deux premiers romans qu'elle publie, Pathy and Priscilla et Just Patty sont des peintures vivantes de la vie des lycées et des universités. Suivront quatre romans.

Mais c'est en 1912, avec Papa-Longues-Jambes qu'elle connaît véritablement le succès, succès dû aussi bien au livre, qu'au film et à la pièce de théâtre qui en furent tirés.

La suite, Dear Ennemy fut publié en 1915, année de son mariage. Elle devait mourir peu après la naissance de sa fille.

Kidari ajeossi, film sud-coréen (2005) est la sixième adaptation du roman Daddy-Long-Legs de Jean Webster. Il y eut tout d'abord Papa longues jambes, réalisé par Marshall Neilan en 1919 (USA), suivi de Daddy Long Legs, réalisé par Alfred Santell en 1931 (USA), Vadertje Langbeen, réalisé par Frederic Zelnik en 1938 (Pays-Bas), Papa longues jambes, réalisé par Jean Negulesco en 1955, avec Fred Astaire (USA). Il s'agit également de la première adaptation couleur. Vint ensuite Hizir Dede, film turc réalisé en 1964 par Osman F. Seden, de nouveau en noir et blanc. Une série d'animation japonaise de quarante épisodes vit également le jour en 1990, sous le titre Watashi no ashinaga ojisan.
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Source : Wikipédia
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"Papa longues jambes", réalisé par Jean Negulesco en 1955, avec Fred Astaire (USA)


Citations et extraits (63) Voir plus Ajouter une citation
J’attends maintenant le soir avec impatience. Je place un panneau sur ma porte “ne pas déranger”, j’enfile mon joli peignoir rouge et mes pantoufles fourrées, je me cale confortablement contre les coussins empilés dans mon dos et, à la lumière de la lampe de cuivre placée à mon chevet, je lis, je lis, je lis. Un livre ne me suffit pas. J’en lis quatre à la fois. Ainsi en ce moment, il y a près de moi les poèmes de Tennyson, La Foire aux vanités, les Simples Contes des Collines de Kipling, et – ne souriez pas – Les Quatre Filles du docteur March. Je me suis rendu compte à l’université que j’étais la seule à ne pas avoir grandi avec ce livre. Mais je n’en ai dit mot à personne (on dirait sans doute que je suis “bizarre”). Je suis tout simplement allée l’acheter en prenant 1 dollar 12 sur ma pension du mois dernier : la prochaine fois que quelqu’un fera allusion aux citrons macérés dans du vinaigre, je saurai de quoi il s’agit !
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Un livre ne me suffit pas. J'en lis quatre à la fois.
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Autrefois, quand j'apprenais à lire, je m'étais inventé un jeu merveilleux que j'ai gardé jusqu'à maintenant. Chaque nuit, je m'endors en me racontant que je suis le personnage (principal, bien sûr) du livre que je suis en train de lire.
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Il y a des tas de livres que les filles qui ont une famille, des amis et une bibliothèque connaissent et dont je n’ai jamais entendu parler. Ainsi, je n’avais encore jamais lu Ma mère l’Oye, David Copperfield, Ivanhoe, Cendrillon, Barbe-Bleue, Robinson Crusoé, Jane Eyre, Alice au pays des merveilles, ni une ligne de Rudyard Kipling. J’ignorais qu’Henri VIII s’était marié plusieurs fois et que Shelley était un poète. J’ignorais que les hommes descendent du singe et que le Jardin d’Eden n’est qu’un mythe merveilleux. J’ignorais que les initiales RLS désignent Robert Louis Stevenson ou encore que George Eliot était une femme. Je n’avais jamais vu de reproduction de La Joconde et (vous aurez peine à le croire) je n’avais jamais entendu parler de Sherlock Holmes.
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C'est drôle comme certains lieux restent associés dans notre mémoire à certaines gens et vous ne pouvez y retourner sans penser à eux.
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Je suis seule, vraiment seule, le dos au mur pour affronter le monde et je suffoque rien que d’y penser.
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Sa mère est une Rutherford. Sa famille remonte au déluge et était apparentée, d'une façon ou d'une autre, à Henri VIII. Du côté de son père, ses ancêtres remontent plus loin qu'Adam et Eve. Sur une des branches supérieures de leur arbre génealogique, on peut remarquer une race tout à fait privilégiée de singes à poil soyeux, dotés d'une queue particulièrement longue.
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Monsieur,
J'ai l'honneur de vous informer que vous avons procédé à des nouvelles explorations dans le champ de la géométrie. Vendredi dernier, nous avons abandonné nos premiers travaux sur les parallélépipèdes pour poursuivre avec les prismes tronqués. Le chemin est long et escarpé.
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Vous savez, papa, je crois que la qualité qui nous est la plus nécessaire, c'est l'imagination. Elle seule permet de se mettre à la place des autres. Elle seule rend les gens aimables, ouverts et compréhensifs. C'est la qualité qu'il faut développer chez les enfants. Mais le foyer John Grier étouffait instantanément dès son apparition la moindre lueur d'imagination. La seule qualité que l'on encourageait était le sens du devoir. Or je ne crois pas que c'est un mot dont on devrait enseigner le sens aux enfants. C'est un terme odieux, haïssable. On ne devrait rien faire que par amour.
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Cher P.-L.-J.,
Je bûche mon thème latin. Je l'ai bûché. Je le bûcherai. Je
serai sur le point de l'avoir bûché. La nouvelle épreuve est fixée à
mardi prochain, à la septième heure. Ou bien je suis reçue ou bien
je suis FICHUE. Aussi, la prochaine fois que vous aurez de mes
nouvelles, vous apprendrez que je suis toujours en vie, heureuse et
libérée de toute obligation ou bien que je gis en morceaux, brisée à
tout jamais.
Vous aurez droit alors à une lettre digne de ce nom. Cette nuit,
j'ai un rendez-vous urgent avec l'Ablatif Absolu.
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