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Note moyenne 3.73 /5 (sur 3542 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Caroline Quine (nom original : Carolyn Keene) est le nom de plume d'au moins une douzaine d'auteurs sous lequel sont publiées les séries policières américaines pour la jeunesse : Alice (nom original : Nancy Drew) et Une enquête des sœurs Parker (titre original : The Dana Girls).

En France, ces deux séries ont paru chez Hachette dans les collections Bibliothèque verte et Idéal-Bibliothèque. Depuis 2011, la série Alice est publiée dans la Bibliothèque rose ; la série Une enquête des sœurs Parker n'est, quant à elle, plus rééditée depuis 1987.

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Bibliographie de Caroline Quine   (153)Voir plus

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Citations et extraits (192) Voir plus Ajouter une citation
- je suis désolé pour l,oncle
bob, dit ned j'ai l,impression qu'il a été un peu grossier envers toi.
Alice haussa les épaules.
- apparemment, c'est pas une famille heureuse.m.
Franklin est un homme sévère, laura est anxieuse,
et sa soeur Lisa semble en
vouloir a la terre entière.
quand a Christopher toomey , je me demande encore quelle place il occupe dans le tableau.
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- allons chercher un taxi!
s, ecria Alice.
- on ne pourrait pas prendre un bus, par hasard? demanda bess.
- ce sera trop lent! ne me dit pas que tu as peur, juste a cause de ce qui s'est passé l, autre jour.
- en plein dans le mille.
- tu sais ce qu'on dit , quand on tombe de cheval , il faut remonter en selle.
- bonne idée, riposta bess.
je vais louer un cheval...et je vous retrouve.
Alice sorti a moitié du taxi
et tira fortement le bras de
bess. une fois son amie dans la voiture, elle claqua
la portière.
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- si la charité vient à manquer, a quoi sert tout le reste.
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" J'ai l'impression qu'il entre dans ton idée une bonne dose de malice, répondit-il. Mais je ne vois pas pourquoi l'affaire ne se dénouerait pas ainsi que tu le suggères... Tu auras cette satisfaction, mon petit, et bien mieux : je te promets que si les Topham doivent recevoir le coup de grâce, cela se passera en ta présence ! "
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J'ai une torche sur moi, dit Alice. Je vais faire le signal S.O.S. Trois courts, trois longs, trois courts. C'est bien cela ?
- Oui.
Tout en progressant, Alice répéta plusieurs fois le signal. Leurs pas se faisaient plus lourds, plus lents, l'espoir d'être secourus commençait à les abandonner
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Mme Bran se joignit au petit groupe. Ses yeux se mouillèrent de larmes lorsqu'elle raconta à M. Roy les exploits de sa fille et des amies de celle-ci.
- Elles ont été admirables, conclut-elle. Lorsqu'elles sont arrivées ici, tout allait mal, et voyez maintenant mon domaine : jamais il n'a été aussi beau, ni mes finances florissantes.
- Je suis fier de toi, Alice, dit M. Roy. Non seulement tu as aidé Mme Barn et Milly à sortir d'une passe difficile mais tu as permis d'arrêter des faux-monnayeurs.
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L'après-midi était déjà très avancé, des ombres commençaient à envahir coins et recoins. A l'approche de la nuit, l'atmosphère devenait de plus en plus fantastique.
Le dîner fut un peu guindé. Rosemary et Alice tentèrent d'animer la conversation, mais ce fut sans succès. Chacune percevait une tension dans l'air.
Après le dîner, les deux vieilles demoiselles et Alice s'installèrent au salon. Rosemary s'assit au piano et voulut jouer ; Alice remarqua que ses mains tremblaient. Au bout de quelques minutes, elle referma le clavier.
Floretta se dominait encore moins que sa soeur. Assise, raide sur le divan, les mains crispées, elle promenait d'un bout à l'autre de la pièce un regard inquiet, comme si elle cherchait quelqu'un.
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- tu sais se qu'on dit Alice qui vole un boeuf, vole un oeuf, alors un cheval de
course.
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J'ai même effectué quelques travaux au manoir, et je m'en suis mordu les doigts. A l'heure actuelle, il faudrait m'y trainer de force.
- Ah ! pourquoi ?
- Parce qu'au cours de ces travaux, je suis tombé malade. Grâce à ma robuste constitution je m'en suis tiré avec deux jours de lit ; mais j'ai laissé l'ouvrage en plan.
- Vous avez établi un lien entre votre présence dans le manoir et la maladie qui vous a frappé ? demanda Alice.
- Ouais ! Tous les membres de la famille sont morts d'un mal incurable. Toute personne dotée d'un grain de bon sens n'hésiterait pas à faire un détour de plusieurs kilomètres plutôt que de passer près de ce manoir maudit.
- Et pourtant, il est habité en ce moment... par un homme à la barbe rousse, dont j'ignore le nom.
- Pas possible : s'exclama le maçon, incrédule. Faut-il qu'il y ait des fous dans le monde !
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De chaque côté de la route, les champs s'étendaient maintenant à perte de vue, et Alice se réjouissait de ce spectacle. Elle aimait profondément ce pays où elle était née et où elle avait toujours vécu, à l'exception des vacances qu'elle passait depuis son enfance en Louisiane, chez ses grands-parents maternels, et d'un séjour de trois mois qu'elle avait fait en France l'année précédente.
La famille Beauchamp avait en effet conservé des attaches dans sa patrie d'origine : en Touraine, vivaient encore les descendants d'une branche cadette. Ceux-ci avaient accueilli Alice à bras ouverts, et la jeune fille ne pouvait songer sans émotions à ces parents lointains qui avaient voulu lui faire connaître le pays de sa mère sous ses plus beaux aspects. Elle avait vu Paris, Versailles, visité la Bretagne, la Provence et plus belle encore peut-être que celles-ci, cette chère Touraine, avec ses douces eaux, ses horizons nacrés et ses châteaux de contes de fées. Alice en avait gardé la nostalgie. -Je retournerai là-bas un jour...- se sisait-elle.
Mais en vrai fille du Missouri qu'elle était, elle n'en admirait pas moins sa terre natale. Elle s'enorgueillissait de son sol fertile, de ses champs de coton et de maïs, de ses grasses prairies où galopaient les plus beaux chevaux des Etats-Unis. Elle aimait contempler ces plaines immenses où le vent creusait l'herbe ondoyante de longues vagues qui semblaient courir jusqu'aux collines moutonnant à l'horizon.
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