Jeanne Birdsall

Changement d'atmosphère, puisque les quatre soeurs ne sont plus vraiment quatre dans ce tome.

Rosalind part dans le New Jersey avec des amies, chacun s'accorde à penser qu'un peu de repos, loin des responsabilités de famille, lui fera beaucoup de bien.

Mais, en l'absence du père, parti lui en lune de miel, Skye, la deuxième de la fratrie, se sent soudain en charge de ses soeurs, et ça la perturbe énormément. Surtout quand la jeune tante qui les chaperonne se blesse.

Les réactions de Skye m'ont paru un peu disproportionnées et de ce fait parfois agaçantes.

Ce qui fait que ce volume m'a légèrement moins plu que le premier.

Mais c'est toujours cependant une lecture bien agréable, drôle, entraînante.

On a plaisir à passer l'été avec la tribu Penderwick, et on a nous aussi du mal, à la fin des vacances, à les laisser repartir sans nous.

Vivement le prochain tome, à présent qu'on en sait plus sur Lucas. Et la tante Claire, va-t-elle donner une suite aux amitiés d'été ?

Enfin le retour des Penderwick ! Je craignais que ce tome ne soit jamais traduit ! Je me suis donc précipité pour retrouver cette petite famille adorable et ces souvenirs fabuleux.

La lecture des Penderwick donne toujours l'impression de retourner dans son propre passé, durant un été de vacances oublié, tant tout semble réel et a ce parfum unique de souvenirs éternels.

C'est toujours aussi drôle et sensible, très unique (même si Cathy Cassidy s'en inspire désormais beaucoup), mêlant légèreté et tremblements, et apportant une douceur douillette et lumineuse.

Une série à part !

Dans la famille Penderwick il y a quatre filles : Rosalind, l’aînée, est sage et posée. Du haut de ses douze ans, elle veille tendrement sur la benjamine, Linotte, quatre ans, tentant de combler l’absence de leur mère partie trop tôt. La cadette est Sky, onze ans, qui doit son nom à la couleur de ses yeux. C’est la plus caractériel du groupe et elle ne rate aucune bêtise. Jeanne, dix ans, vit dans les romans qu’elle écrit et manie les mots avec tempérance et diplomatie, ce qui lui permet de se faire plus facilement apprécié. Et cela tombe bien car cet été, la famille n’a pu se rendre sur son lieu de villégiature habituel et n’a pu trouver qu’une location située sur le domaine d’Arundel, propriété de l’horrible et colérique Madame Tifton dont la seule qualité est d’avoir un fils mystérieux et sympathique, Lucas, avec qui les filles vont se lier d’amitié. L’été s’annonce rempli de surprises et d’aventures en tout genre.

Si elles n’ont pas le charme désuet des Quatre filles du Docteur March, les sœurs Penderwick n’en sont pas moins attachantes et sympathiques. Plus contemporaines, leurs aventures nous ont touchées par leur réalisme et la sincérité des émotions qui s’en dégagent. Car le texte aborde de nombreux sujets tels que le deuil et le souvenirs quand un parent meurt prématurément ou encore l’importance du dialogue dans la relation parent-enfant pour établir un lien de confiance. L’histoire de Rosalind m’a particulièrement émue, la perte de sa mère la place dans un rôle qu’elle ne devrait pas avoir à assumer, elle porte énormément sur ses épaules et, si elle semble à l’aise dans ce rôle de « petite maman », elle oublie parfois d’être une enfant, se mettant dans des situations inconfortables voir douloureuses.

Si l’ensemble n’est pas très original, l’histoire reste agréable à lire et véhiculent de belles valeurs d’amitié, d’attachement et de liens filiaux qui font le force de ce récit. Lu à voix haute avec mes filles, ce premier volet de cette saga familial fut un moment de partage fort sympathique qui a occasionné de bonnes rigolades. La suite est entre nos mains et nous espérons toutes les trois en tirer autant de plaisir.
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Quel plaisir de retrouver les Penderwick !

Leur été sera riche en émotions diverses, en fous rire et en moment de tendresse.

Les soeurs Penderwick et Lucas vont grandir et mûrir.

J'espère lire la suite prochainement, cette famille est vraiment attachante et donne le sourire !

Les vacances à Arundel sont terminées, voilà les Penderwick de retour dans leur charmante maison de Gardam Street. Au programme : de nouvelles réunions des sœurs Penderwick, de désastreux rendez-vous amoureux arrangés pour leur père, et une nouvelle voisine et son fils, tous deux adorables, qui semblent attirer les Penderwick comme des mouches !



Dans ce second tome, place à une intrigue où la romance entre par la grande porte, mais toujours avec douceur. Tandis que les sœurs Penderwick nous montre une nouvelle fois combien elles peuvent être déterminées et malignes, nous découvrons que leur père l'est tout autant qu'elles. On peut dire que dans ce tome, il leur joue un petit tour digne d'un Penderwick ! Nous en apprenons également plus sur les circonstances du décès de leur mère, ce qui rend ce tome très émouvant. Les personnages de Iantha et Ben, nouveaux venus dans le paysage des Penderwick, apporte une petite touche de nouveauté bienvenue, mais surtout une bonne dose de fraîcheur et de douceur supplémentaires. Je suis immédiatement tombée sous le charme de Iantha, femme intelligente, douce, aimante et d'une patience infinie.



En résumé, je me suis encore bien amusée avec les Penderwick ! Difficile de résister à cette famille si unique, unie, drôle, parfois un peu folle, mais surtout terriblement attachante.

Rosalind prend enfin des vacances sans ses petites soeurs qu'elle doit materner, laissant ce rôle à Skye (car les cadettes vont dans le Maine avec seulement Tante Claire, nulle en soignage d'enfants) .



ENFIN, on montre vraiment le côté sombre de cette organisation familiale, avec Skye qui pète les plombs et veut surprotéger tout le monde. Elle n'est pas la seule à avoir des problèmes : Jeanne commence à s'intéresser aux garçons et désire que son héroïne, Sabrina Star, vive une histoire d'amour. Mais la réalité va dépasser la fiction et le coeur de Jeanne va connaître ses premiers battements désordonnés...



Quant à Linotte, elle se découvre une passion pour la piano et un soutien en la personne de Lucas, évidemment de la partie. Les enfants font également la connaissance de leur voisin de vacances, un homme qui a autrefois contracté un mariage si désastreux qu'il préfère ne pas en parler...



On renoue avec l'ambiance vacancière du premier tome, mais dans un cadre différent, on parle d'amour sans niaiserie et sans trop de clichés, et une incroyable révélation bouleverse la petite tribu...



Un livre divertissant, comme ses précédents. Quel dommage que les tomes 4 et 5 n'aient pas été traduits en français ! Enfin, je pourrais essayer la version originale ou la version allemande...

Quel bonheur de retrouver les Penderwick dans ce troisième volume, joyeux et lumineux ! Tandis que le premier tome était centré sur Rosalind et Jeanne, le second sur le père des fillettes, ce tome est plutôt centré sur Skye et Jeffrey. Skye se retrouve en effet à la tête de la famille Penderwick le temps de vacances chez leur tante Claire, tandis que Jeffrey vient lui prêter main forte.



Si j'ai beaucoup aimé ce tome, c'est notamment pour le changement de décor qui s'opère. La proximité de la mer amène un vent de fraîcheur chargé d'embruns. Quant au charmant cottage de Tante Claire, cosy à souhait, je me le suis imaginé dans les moindres détails ! Mais surtout, j'ai énormément apprécié l'intrigue autour de Jeffrey et du voisin de Tante Claire. Elle apporte beaucoup d'émotion à ce tome et resserre encore plus les liens entre les différents protagonistes.

Je suis une fan des aventures des sœurs Penderwick et j'attendais ce 3ème volume avec impatience. On y retrouve avec plaisir nos quatre héroïnes pour des vacances mouvementées. Dans cet épisode, le clan s'installe pour 15 jours à Pointe-Mouette dans le Maine. En l'absence de Rosalind, partie dans le New Jersey avec une copine, et de leur père en voyage de noces, c'est à Skye d'endosser le rôle de SPPA (Sœur Penderwick la Plus Âgée) ce qui est loin de l'enchanter. En effet, surveiller ses sœurs cadettes 24h sur 24 ne se révèle pas de tout repos. De son côté, Jeanne va connaître son premier chagrin d'amour, et Linotte découvrir avec Lucas une inclination inattendue pour la musique. Encore une fois, Jeanne Birdsall réussit à nous conquérir avec ses jeunes héroïnes pleines de vie. C'est drôle, il y a plein de scènes cocasses, sans pour autant écarter les sujets plus profonds, comme l'amour ou la relation père/fils. Un livre très agréable à lire et qui donne une fois encore la joie de vivre.

Un pur moment de bonheur qui nous envoie dans la magie des aventures d'enfance.

Je l'ai lu avec une boule d'émotions dans la gorge, pleurant et riant en même temps.

Ça m'a rappelé le sublime Miss Charity, avec une petite fille tout droit sortie de Totoro.

C'est la catastrophe! La maison en bord de mer à Cape Cod, louée chaque année par M. Penderwick vient d'être vendue à la dernière minute! C'est la déprime! Les petites filles Penderwick s'imaginent déjà s'ennuyant et tournant en rond pendant deux mois! Heureusement M. Penderwick a eu vent d'une belle propriété de campagne dans les monts du Berkshire, libre tout le mois d'août! Hop! Sitôt dit, sitôt embarquées les quatre filles Penderwick : Linotte la plus jeune, Skye l'impulsive, Jeanne la douce et Rosalind l'aînée. Tout ce petit beau monde est parti pour passer des vacances inoubliables, accompagné de Crapule le chien. Sur les lieux tout n'est que splendeur! Les jardins sont magnifiques, la maison est bordée d'une véranda et les filles font la rencontre du beau Thomas, le jardinier de Mme Tifton dont la réputation est déjà bien entamée : glaciale. C'est un personnage infecte, râleur, snob...et lorsque Skye tombe nez à nez avec Lucas et lui balance les ragots entendus qui ne tarissent pas d'éloge à propos de cette "casse-pieds", elle ne s'imagine pas qu'elle parle de sa mère dont il est le fils unique...



Quiproquos, course poursuite, gâteau cramé, jardin piétiné et cris d'une propriétaire excédée...c'est un peu le cocktail pétillant et bon enfant que nous réserve Les Penderwick. Un été mouvementé fait de belles rencontres, de nouvelles amitiés, de disputes sororales, de bêtises inavouées et d'un premier amour pour l'aînée. C'est frais, rempli de bonne humeur et l'on pense inévitablement à la version française de La Comtesse de Ségur Les Vacances avec une touche des Quatre filles du Docteur March. Les quatre filles Penderwick ont chacune leur caractère, leur personnalité. Elles sont soudées, se chamaillent mais elles sont toutes attachantes, rigolotes. Rajoutez à cela les excès de joie d'un chien qui arrive toujours au bon moment et d'un papa qui a du mérite grâce à une patience à toute épreuve et ça vous donne un été où l'esprit de famille rime avec gaieté et optimisme. L'ambiance est à la campagne, au jardin anglais, à une dame à l'esprit bien étriqué mais qui est malmenée par une Skye qui n'hésite pas à défendre sa famille et qui a du répondant. Le tout reste empreint de bons sentiments, avec cet air d'insouciance qui parfume tendrement le récit d'une pointe d'humour. Un été qui a du charme! Suffisamment sympathique pour que j'ai envie de lire le deuxième tome!
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La grande force de ce livre, c'est de rendre intéressants des évènements au fond assez banals et classiques. Un garçon sympathique, une mère et un beau-père affreux, quatre sœurs qui ne se laissent pas marcher sur les pieds, un chien...l'histoire s'annonce courue d'avance. Mais est-ce vraiment le cas ?



Ce roman se place tout d'abord dans un cadre très contemporain et non vieillot, comme on pourrait s'y attendre, sans pourtant porter les stigmates d'une certaine décennie. Sa force est aussi sa cohérence, son réalisme : les relations et les personnages sont crédibles, même s'il sont parfois caricaturaux. Les péripéties nous font rire, pleurer ou rager précisément parce qu'elles auraient pu arriver à n'importe qui, peut-être à nous.



C'est cela le charme de ce récit de vacances : on se sent très proches des cinq héros, on sent sur sa peau le soleil d'août et l'ombre des arbres du parc d'Arundel, on partage les emportements si légitimes de Skye, on rougit avec Rosalind pour le beau Thomas, on désespère avec Jeanne de son avenir d'écrivaine, on compatit aux petits malheurs de Lucas et on retombe en enfance en compagnie de Linotte.



Le style (je parle de la traduction française) est convenable et le niveau moyen, je dirais que c'est à la portée de tous les enfants dès dix ans.



En somme, un très bon livre, une lecture pour les enfants et les plus grands nostalgiques de ces années d'insouciance.

En débutant la lecture de ce quatrième tome dédié à la famille Penderwick, j'ai eu le sentiment que l'histoire commençait à s'essouffler. Les premiers chapitres sont plats, presque ennuyeux, comme s'il leur manquait un fil conducteur. Les dialogues entre les Penderwick s'enchaînent mais ne font pas avancer l'intrigue.



Ce n'est que vers la moitié du roman que l'intrigue trouve un nouveau souffle grâce au personnage de Batty (Linotte, dans la version française), terriblement touchante. La fillette est en proie à bien des émotions. Elle se découvre tout d'abord un talent pour le chant et la musique, puis perd brusquement sa joie de vivre après avoir entendu une conversation par hasard... Cet évènement va bouleverser la fillette au point de se renfermer totalement sur elle-même et souffrir en silence. Ceci nous permet de découvrir une autre facette de sa personnalité, mais surtout, nous rappelle le drame vécu par les sœurs Penderwick à la mort de leur mère.

Un excellent livre jeunesse, vraiment prenant, mais clairement destiné aux enfants (même grands ^^).

A ranger à côté des Malheurs de Sophie et à savourer avec une glace pendant la chaleur des grandes vacances !

Absolument délicieux! Un roman jeunesse où une écriture modeste mais enjoué fait ressortir notre enfance passé avec un tel réalisme.

Cette fois-ci, pour Rosalind, Skye, Jeanne et Linotte, il ne s'agit plus de courir insouciamment dans les jardins d'Arundel, mais bien d'éviter la catastrophe nucléaire. À cause d'une lettre laissée par leur défunte mère, leur père va être obligé de rencontrer en tête-à-tête quatre célibataires différentes, afin de vérifier s'il n'a vraiment pas envie de se remarier. Une belle-mère ! Qu'est-ce qui est passé par la tête de Mme Penderwick ? Ne sait-elle pas que ces femmes sont toujours détestables ?



Un très bon deuxième tome, qui nous sort de l'ambiance vacancière pour nous plonger dans le quotidien des quatre soeurs. On y découvre notamment leur tante et leurs voisins, parmi lesquels il y a de nouveaux arrivants.



En plus du plan "sauver Papa" qui sert de fil rouge, chaque soeur a ses petites affaires. Rosalind a des démêlés avec Tommy, Skye et Jeanne ont la mauvaise idée d'échanger leurs devoirs et Linotte surveille un rôdeur. Mystérieux inconnu qui revêt plus tard une importance tout à fait capitale...



Étonnamment, les platanes de la rue Gardam, les rochers du parc Quigley et les tirades aztèques n'ont rien à envier aux rosiers d'Arundel, aux lapins de Thomas et aux aventures de Sabrina Star !

Ce premier tome des aventures de la famille Penderwick est un peu comme un concentré de toutes les joies de l'enfance. L'auteure y cristallise tout ce qui fait la beauté de cette période de notre vie : l'insouciance et l'innocence. Lire les aventures de Rosalind, Skye, Jane et Linotte m'a rappelé le bonheur de ma propre enfance, rythmés par les mêmes parties de cache-cache et autres jeux tantôt bruyants, tantôt silencieux, mais toujours joyeux.



Outre son thème des plus rafraîchissant et léger, j'ai beaucoup apprécié le décor de ce tome : Arundel et son magnifique jardin. A la description du domaine et de sa végétation luxuriante, je me suis sentie transportée dans cet endroit baigné de soleil et de rires. En plus de ce décor estival particulièrement enchanteur, je suis tombée amoureuse de la famille Penderwick. Comment résister à cette famille si débordante d'humour et d'amour ? Leur bonheur et leur vitalité sont contagieux !



Hymne à l'enfance et à ses jeux, ce roman est un petit bijou d'humour et de tendresse. Pétillant comme un verre de limonade et réconfortant comme un rayon de soleil.

Voilà un autre roman parfait pour les vacances, puisqu'il raconte les trois semaines de vacances de quatre sœurs et de leur père dans une maison louée. C'est un roman que je conseillerai plutôt aux jeunes lectrices à partir de 10ans. On y retrouve des sensations de lectures proches de celles que l'on peut éprouver à la lecture des Quatre Filles du Docteur March de Louisa May Alcott. Mais cette fois-ci il ne s'agit pas d'un classique, mais d'un roman contemporain, bien qu'intemporel. De toute façon en vacances on oubli tout, n'est-ce pas? Surtout le temps!

Une lecture agréable et facile qui donne envie de passer à son tour des vacances inoubliables.

Les vacances d’été sont souvent des souvenirs inoubliables : de nouvelles amitiés, de jeunes amours, les pires bêtises…

Le jeune Lucas, dont les vacances s’annonçaient ternes et ennuyeuses, n’avait pas prévu l’installation de quatre petites « tornades » dans la maison voisine.

Les sœurs PENDERWICK !!!

Rosalind, l’aînée de 12 ans qui va connaître son premier chagrin d’amour, Skye la blonde et rebelle qui n’a pas sa langue dans sa poche, Jeanne la romancière en herbe et Linotte la petite dernière qui ne se sépare jamais de ses ailes de papillon !

Avis au voisinage tranquille, ces petites ont prévus une partie de foot explosive, des cabanes dans les salons et des chasses aux lapins égarés !

C’est la maman très stricte du pauvre Lucas qui va s’en mordre les doigts !

Une famille qui n’est pas s’en rappeler les « filles du docteur March », dont l’auteure fait brièvement référence au début afin de nous livrer sa version de sœurs fraîches et modernes.

Une histoire simple et pétillante qui nous change des productions actuelles parfois trop dures. Comme quoi les filles ne sont pas en reste pour ce qui est des bêtises!

Une bien belle découverte que ce roman écrit avec un charme suranné. Les aventures de ces 4 soeurs magnifiquement vivantes, pleines de rires et de ces petits complots qui appartiennent à l'enfance, vous rappellera sans doute "les 4 filles du docteur March" . Mais j'ai trouvé une tendresse supérieure dans le livre de Jeanne Birdsall, une douceur inédite.

Les Penderwick, c'est une madeleine proustienne !

Jeanne Birdsall assume la filiation de ce roman avec Les Quatre Filles du Dr March puisqu'elle le mentionne. Et en effet, les quatre soeurs, bien différentes, permettent à toutes les jeunes filles de s'identifier à l'une ou l'autre des Penderwick. C'est frais, ça ne finit pas complètement avec une fin guimauve. Bref, j'ai aimé cette histoire de filles même si c'est beaucoup moins riche que son modèle. C'est davantage l'ambiance que l'intrigue qui charme. Un roman qui a reçu le National Award Book en 2005 et qui a deux suites dont seulement une a été traduite en français.
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