Jinsei Kataoka

Retrouver l'auteur de Deadman Wonderland est toujours une expérience aussi intéressante que traumatisante. La folie pure entre dans ses oeuvres, et nous entraîne dans des histoires des plus insolites qui font également réfléchir sur la société et son absurdité par moment.

Yôkô Kakujô est l'élément fort et surprenant, il a des règles de vie auxquelles il se tient, et parfois ses réactions, tout comme ses actions, sont assez surprenantes. Des choses sont très étranges sur lui, comme ce moment où on a cru qu'il allait se suicider.

Il vit avec sa jeune soeur handicapée. Mais une société a l'air d'avoir fait des avancées fulgurantes et intéressantes dans le domaine, elle peut à nouveau marcher. Miracle ! Elle nous fait sourire avec sa cuisine qui fait peur, sa joie et son bonne volonté font plaisir à voir. Elle a invité ses copines, c'est l'anniversaire de son frère adoré. On voit des moments qu'ils ont partagé, comme l'histoire du trèfle qui est très touchante.

Et là, tout sombre dans l'horreur la plus totale et on se raccroche à ce qu'on a vu au départ. D'ailleurs les premières pages sont tout en couleurs pour notre plus grand plaisir.

L'absurdité et l'horreur de ce qu'on voit nous met par terre, et nous donne envie de vomir toutes nos tripes. On a du mal à réaliser, on ne veut pas croire que cela puisse être réel. Puis on fait la connaissance des Jackalope.

Yoko a survécu dans des conditions limites, puis rafistolé par un étrange docteur.

Par ailleurs, l'enquête de la journaliste qui commence à y voir clair est très intéressante. La vérité nous apparaît alors inéluctablement et elle est atroce.

Affaire à suivre.

Smokin’ Parade et la troisième œuvre commune de la scénariste Jinsei Kataoka et du dessinateur Kazuma Kodo créateurs du manga Deadman Wonderland datant de 2007 et parut aux Éditions Kana. Mais cette collaboration entre ces deux noms du manga a commencé en 2005 avec Eureka Seven.



Smokin’ Parade a été lancé dans le magazine Shounen Ace et est toujours en cours de publication au Japon qui va entamer son quatrième tome en fin de mois. L’histoire de cet univers ultra-violent débute le jour du quinzième anniversaire de Yôkô Kakujô, un jeune adolescent dont sa seule famille est sa sœur. Depuis tous petits, ces deux êtres ne peuvent compter que sur l’un et l’autre, puisque pour une raison que l’on ignore encore ils n’ont pas de parents. Sa sœur, Mirai, a récemment bénéficié d’une greffe des deux jambes par une organisation nommée Amenotori, anciennement connue pour être une société pharmaceutique. Mais depuis une dizaine d’années, celle-ci s’est démarquée par la mise au point d’un traitement révolutionnaire qui agit sur la régénération des cellules mortes dans le corps humain, ce qui permet – selon eux – de voir un membre perdu repousser. Heureuse de pouvoir enfin marcher et de ne plus être un fardeau pour son frère, Mirai décide de lui organiser une fête surprise. Même si elle n’est pas un fin cordon-bleu elle y met du sien. Seulement, une tragédie inexpliquée va venir troubler le jour de fête et changer la vie de Yôkô à jamais. Arrivé chez lui, le jeune homme découvre une macabre mise en scène où l’instigateur n’est autre que sa sœur. Mais comment cela a-t-il pu arriver ?



Dans ce premier tome, on découvre les prémices de ce qui s’annonce être une violente guerre entre deux factions différentes, les Jackalope et ceux de l’organisation Amenotori. Les Jackalope sont des sortes de démons mercenaires en charge de l’élimination des créatures monstrueuses – appelées spider – qui interviennent de plus en plus souvent au sein de ce Japon en proie au désarroi. Dès les premières pages on découvre un univers sale, sombre, glauque et violent (j’insiste, oui). Dans ce milieu, le personnage de Yôkô semble être le seul avec une vraie justice morale, certes qu’il s’est lui-même créé étant petit, mais qu’il respectera toujours quitte à mettre sa vie en danger.



Si le scénario commence bien il part assez vite dans tous les sens et donne une impression de violence gratuite prétexte à voir les mercenaires exhiber (eux-même des monstres) leurs armes (trafiquées et incorporées à leurs corps) de prédilection. Les Jackalope au nombre de quatre sur le terrain, et un membre à la base. Ce dernier répond au surnom de Doc et arbore la double casquette de docteur et technicien en chef. Il se démarque par sont apparence plutôt androgyne, dont sa personnalité est mise en avant par ses allusions sexuelles. Cependant, on sent qu’il est quelqu’un doué et intelligent dans ce qu’il fait, à savoir la science. Dans son travail, il est accompagné par un petit robot, sort de R2D2, qui lui n’a pas sa langue dans… sa poche de métal ( ?) puisqu’il n’hésite pas à le remettre à sa place. Le reste de l’équipe fait penser à une sorte de Suicide Squad de chez DC Comics, avec le chef et tête brûlée Akuta, la sensuelle Midari, sa groupie Matsugo, et enfin un dernier membre dont ne sait pas encore son nom et qui est plutôt en retrait pour le moment.



Dans cet amas de violence il existe cependant des moments assez philosophiques, je dirais, notamment grâce au sens moral et les valeurs que prône Yôkô. Régi par son propre règlement interne qu’il a appelé » le règlement intérieur de la famille Kakujo ». Avec sa droiture, son esprit cartésien et sa fidélité à l’amour qu’il porte envers sa sœur, il va alors décider d’intégrer les Jackopole afin de trouver les véritables responsables de la mort de sa sœur. Si ce fil scénaristique a été vu et revu dans les mangas à maintes reprises, celui de Smokin’ Parade touche la corde très sensible des liens indéfectibles entre un frère et une sœur, et cela sonne plutôt juste. Dans ce flot de personnages, il est certainement celui qui se démarque le plus même si Doc et la chef des Amenotori ont de fortes chances de devenir des personnages centraux dans la suite. Seul petit bémol avec le personnage de Akuta qui même si les auteures semblent vouloir en faire un casse-cou, il ne dégage pas encore assez de prestance pour de démarquer. Je l’ai trouvé assez insipide, sans saveur, mais je ne perds pas espoir de le voir dévoiler d’autres facettes de sa personnalité puisque de minimes scènes de flashbacks faisant la lumière ce de très brefs moments de son passé.



On notera également les différentes personnalités qui viennent s’entrechoquer et provoquer des remous au sein de l’équipe ce qui donnera, sans aucun doute, des rebondissements dans le futur. J’ai apprécié aussi le fait qu’il y a une certaine dose de science dans le lot puisque l’on parle des progrès de la médecine entre autres, et cela apporte une dimension mature au récit qui pour le moment ne faisait que dans le violent. Maintenant reste à espérer que tous ces points soient développés de manière construite, ce qui ferait de Smokin’ Parade un manga très intéressant à suivre à long terme.



La partie graphique de Kazuma Kondou est très dynamique, violente, malsaine mais très bien exécutée. Les scènes d’action et de combat sont mises en valeur de façon à ce que le lecteur ressente la violence des actes. Les membres qui volent un peu partout, les plans sur les visages sous le coup de l’adrénaline. Le découpage des planches vient mettre en avant tous ces aspects et jouer le rôle de podium d’exposition à ces bêtes de foires. En effet, avec ces monstres grandiloquents aux membres extensibles ressemblant à des pattes d’araignées et aux têtes de grosses peluches de fête foraine, les dessins dégagent de multiples sentiments. C’est malsain, beau et dérangeant. Le charadesign est dans la lignée de ce que le mangaka nous avait offert dans Deadman Wonderland, et son trait est facilement reconnaissable. On trouvera d’ailleurs quelques similitudes dans les expressions entre les personnages des deux titres. Je regrette tout de même cette pratique du fan service avec les mises en avant des poitrines exagérément prépondérantes des personnages féminins, qui peuvent lasser.



En conclusion, le premier tome de Smokin’ Parade arrive à embarquer le lecteur dans un univers prometteur mais un brin répétitif dans ses actions. Pour autant, le scénario reste bon et semble se diriger vers une grande mise en abyme des pratiques douteuses des marchés pharmaceutique avec pourquoi pas une dénonciation politique dans le lot. En tout cas, cela pourrait apporter une saveur toute autre au manga. Et dans cet écho de bonne foi, je salue les révélations de fin de tome qui relance l’intérêt du lecteur qui aurait pu être quelque peu déçu par cette lecture un peu trop prévisible sur certains points. Mais de manière globale le titre reste bon, mais nul doute que les lecteur de Deadman Wonderland en attendront un peu plus pour la suite de ce nouveau titre du duo Kataoka et Kondou.
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Malgré le témoignage montrant la réalité de cette prison, les choses se compliquent pour ses détenus. Cette épisode ce centre plus sur la manipulation du public et l'état psychologique de Ganta.

Moins de combats mais plus de tracas sont au rendez vous.

Encore un très bon volume qui nous plonge dans l'horreur de ce monde et de cette prison.

Un mystérieux homme vêtu de rouge tue toute une classe, sauf un élève : Ganta Igarashi, qui se retrouve accusé du meurtre de tous les élèves de sa classe.



Il est condamné à mort et purge sa peine dans la seule prison privée du Japon : Deadman Wonderland.

Dans cette prison peut ordinaire, qui a l'allure d'un parc d'attraction, Ganta y fait ses premiers pas, et ne tarde pas à découvrir l'horreur de cette prison où les détenus sont au coeur même des attractions, où la mort est banalisée et mise en scène, afin de ravir des spectateurs venus assister au show pensant que tout cela est mis en scène.



Parallèlement, à cela, on découvre que Ganta a lui aussi un pouvoir similaire à celui de l'homme en rouge, auteur des meurtres.



Un premier tome, qui met en place les différents éléments de l'histoire : le cadre et le règlement de la prison, les deadmens, les principaux personnages du manga avec notamment l'innocente Shiro, dont on ignore tout, prête à tout pour Ganta.



Un manga au dessin très sympa, très clair, avec des personnages attachants.

Par contre, il s'agit d'un manga réservé à un public avisé, car les scènes de violences sont nombreuse et le sang jaillit très vite, mais pas de manière gratuite, cela s'inscrit vraiment dans le contexte de la prison et de l'histoire.



Un premier tome sympa, à suivre pour voir comment l'histoire va évoluer.



A découvrir également en simulcast l'anime sur Dybex

Bon alors… le 17 mars, quand on a appris qu'on allait devoir rentrer chez nous, j'ai attrapé tout ce qui pouvait tenir dans mon sac (et j'ai un grand sac quand même), sauf que comme j'avais déjà une quinzaine de DVD, des bandes-dessinées et une série de mangas, je n'ai pris que les 3 premiers tomes de Deadman Wonderland (oui, je raconte un peu ma vie). Probablement une erreur de ma part, parce que d'une part la série est terminée en 13 tomes, et d'autre part, en 3 tomes, on nage dans le flou.



En fait je me retrouve pour le moment dans l'incapacité de dire si j'ai aimé ou pas… Je dirais que les trois premiers tomes sont prometteurs, même si je ne suis pas fan du côté ecchi (=lubrique) qui me gonfle que ce soit en manga ou en animé (coucou Highschool of the dead). Je trouve qu'en 3 tomes, même si LA question que l'on se pose depuis le début obtient une réponse, on nage franchement dans le brouillard pour le reste. Il y a beaucoup de problématiques énoncées mais pas encore développées, l'univers est assez compliqué.



Donc bon, pour l'instant, je pense qu'il y a de quoi faire une super histoire, mais j'attends la suite. Je crois que ça peut devenir soit génial soit mauvais.
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Grosse surprise ! La couverture m'avait plus au premier coup d'oeil et le résumé aussi et cela c'est confirmé avec la lecture ! L'ambiance, l'histoire, les dessins, les personnages...bref ce fus un coup de cœur pour ce premier volume et j'ai hâte de continuer cette lecture !

Deadman Wonderland est un manga que j'avais envie de découvrir depuis très longtemps et ce deuxième tome ne me déçoit pas du tout ! Au contraire, il me tarde de lire la suite.



Par un fait étrange, tous les camarades de Ganta meurent sous ses yeux. Seul survivant, il est alors accusé de ce massacre et est envoyé à la prison Deadman Wonderland. Pour survivre, il doit affronter d'autres prisonniers dans des épreuves mortelles...



Ce premier tome pose des bases bien mystérieuses qui donnent très fortement envie de connaître la suite. En effet, on assiste au massacre de la classe de Ganta, sans comprendre plus que lui ce qu'il se passe, ainsi qu'à son arrestation et son incarcération dans la prison Deadman Wonderland. Cette prison est très intrigante. Les prisonniers ont tous un collier dont on ne sait pas grand chose si ce n'est qu'il leur donne droit à la vie... ou à la mort. Pour gagner des jours de survie, les détenus doivent s'affronter dans des jeux mortels mais pourquoi ? Quel est le but des gens qui gèrent tout ça ? On n'en sait pas plus dans ce tome mais plein de petits éléments mystérieux nous donnent envie d'en savoir davantage. Qui est vraiment Ganta ? Qui l'a piégé et pourquoi ? Beaucoup de questions restent encore en suspens à la fin de ce premier tome, ce qui ne gâche en rien le plaisir que l'on éprouve tout au long de la lecture en découvrant l'univers de Deadman Wonderland.



Les illustrations sont très plaisantes également. On ne loupe rien des détails de la violence, même si ça reste assez soft. On a aucun mal à rentrer dans l'univers.



Malgré l'horreur de cette prison et des personnages tous aussi terrifiants les uns que les autres dans leur attitude, Ganta se fait deux amis : Yô, un jeune homme à l'air très sympathique mais qui a surtout l'air de cacher quelque chose de terrible et Shiro, une jeune fille totalement déjantée qui a la main sur le cœur.

En ce qui concerne les autres, ils sont surtout emplis de violence, que ce soit les autres détenus ou les gardiens. Les dirigeants de cette prison ne sont pas en reste et on se pose beaucoup de questions sur leurs agissements.



En bref, c'est un premier tome qui donne clairement envie d'en découvrir plus au fil des tomes. Autant pour les personnages que pour la prison en elle-même. Les bases sont là, le décor est planté mais on se pose beaucoup de questions sur le pourquoi de tout cela. À découvrir sans hésitation !
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Smokin’ Parade est la troisième œuvre commune du scénariste Jinsei KATAOKA et du dessinateur Kazuma KODOU, créateurs du manga Deadman Wonderland datant de 2007 et parut aux éditions KANA. Mais cette collaboration entre ces deux noms du manga a commencé en 2005 avec Eureka Seven. Cette nouveauté a été lancée dans le magazine Shounen Ace, toujours en cours de publication au Japon avec 4 tomes à ce jour.



L’histoire de cet univers ultraviolent débute le jour du quinzième anniversaire de Yôkô Kakujô, un jeune adolescent dont sa seule famille est sa sœur. Depuis tous petits, ces deux êtres ne peuvent compter que sur l’un et l’autre, puisque pour une raison que l’on ignore encore ils n’ont pas de parents. Sa sœur, Mirai, a récemment bénéficié d’une greffe des deux jambes par une organisation nommée Amenotori, anciennement connue pour être une société pharmaceutique. Mais depuis une dizaine d’années, celle-ci s’est démarquée par la mise au point d’un traitement révolutionnaire qui agit sur la régénération des cellules mortes dans le corps humain, ce qui permet – selon eux – de voir un membre perdu repousser. Heureuse de pouvoir enfin marcher et de ne plus être un fardeau pour son frère, Mirai décide de lui organiser une fête surprise. Même si elle n’est pas un fin cordon-bleu elle y met du sien. Seulement, une tragédie inexpliquée va venir troubler le jour de fête et changer la vie de Yôkô à jamais. Depuis, il est devenu un membre des Jackalopes et une véritable arme de guerre.



Les six chapitres que compose se tome se ressent plus comme une succession de missions faites pour exhiber es biceps et autres membres armés. Du coup, le lecteur peine parfois à comprendre la ligne directrice que les auteurs veulent installer sur la durée. L’ambiance se veut électrique et forte en action, mais manque parfois de moments plus profonds. Toutefois, on peut desceller ici et là quelques petits développements personnels comme le montre les réflexions presque blasée de Midari, n’ayant plus fois en l’humanité. On comprends vite fait, par un très bref flashback, qu’un événement de son passé l’a profondément marqué sans pour autant que les auteurs ne prennent le temps d’en dire plus. Cela est à la fois intriguant et frustrant, puisque Midari est certainement l’un des personnages les plus marquants à mes yeux. Encore plus que Yôkô ou le leader des Jackalopes, Akuta. Ce dernier est d’ailleurs pas mal mis en retrait dans ce tome à la suite d’un incident, laissant plus de champ à Yôkô qui devient donc le personnage central. La vraie surprise de ce nouveau tome vient du personnage de “Maître Shiba”, cuisinier des Jackalopes. Son charisme insuffle énormément au récit, qu’on aurait presque envie qu’il prenne les commandes du groupe.



Dans le camp des ennemis, aucun personnage ne semble se démarquer puisque l’on a surtout une série de vilains sans grandes motivations autres que de tuer et détruire. C’est un peu dommage quand on voit le potentiel que dégagent le titre et le design des Spiders. Parmi eux on s’intéressera plus spécialement aux Sickaggra (liés à Clama et l’organisation pharmaceutique Amenotori), dont les membres possèdent plus de puissances que les Spiders basiques. Pour le moment, nous n’en savons pas beaucoup sur eux, autre le fait que l’un des membres à un lien passé avec Akuta. Malgré cet aspect brouillon de départ, la dernière partie du tome vient rattraper le tout en évoquant enfin un peu plus le trafic d’organes mentionné dans le premier tome. En revenant sur cette base, le récit de Jinsei KATAOKA et Kazuma KONDOU laisse pré-sentir un seinen moins basique.



Toutefois, malgré ces quelques points encore un peu bancals, les pages se tournent avec plaisir et on se plait de voir autant de dynamisme. Cet effet est accentué par le dessin de KONDOU, qui continuera de plaire aux lecteurs de Eureka Seven et surtout de Deadman Wonderland. Les scènes de combat sont fluides et on sent bien l’intensité qui s’en dégage. Le design des Spiders est extrêmement bien développé et très imaginatif sans être ridicule. Les doubles pages laissent souvent l’action parler d’elle-même et montrer bien la palette graphique de son artiste.



L’édition de KANA est classique pour du Dark Kana, les trois pages couleurs sont fort appréciés. Aucune coquille, le papier est de bonne qualité et la traduction de Cyril Coppini (Detective Conan, School Judgment) est moderne et fraîche.



En conclusion, ce tome 2 de Smokin’ Parade possède une narration plus fluide et naturelle que lors du tome précédent. Le rythme est plus soutenu et ne laisse pas de pause, sauf pour y inclure son humour bien dosé. Toutefois, des zones imprécises persistent dans la narration, et on espère à un développement plus conséquent de certains personnages comme Midari. Un bon moment de lecture que nous offre tout de même KATAOKA et KONDOU.
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Je le dis de suite : Smokin' parade est un bon manga mais il n'est pas pour moi ! Voilà, c'est fait. Il s'agit d'une série au début dynamique, dont la lecture est fluide et le carnet des charges pour un bon cocktail est rempli. Simplement, je n'ai pas accroché, ça arrive, et je suis la première déçue.

Tous les points positifs du premier tome sont de nouveau au RDV dans celui-ci, et pour ma part, les points négatifs aussi. le graphisme reste très beau, très plaisant à regarder et lire ; en revanche, les dialogues ne sont pas formidables. L'intrigue décolle bien avec de nouveaux méchants spiders plus forts et plus intéressants que ceux du premier tome, liés au passé des membres de la troupe des Jackalope. Malgré tout, je reste assez déçue car je m'attendais à quelque chose d'exceptionnel, vu les critiques de Deadman Wonderland. Je pense que Smokin' parade souffre de la comparaison, bien que je n'aie pas lu le premier. Il me semble qu'il existe une sorte de "hype" autour de Smokin' parade, dû à l'amour voué à Deadman Wonderland, mais je ne suis pas rentrée dedans !

Smokin' Parade est le nouveau titre de la collection Dark de Kana et il y a toute sa place. Il faut en effet avoir le coeur bien accroché pour lire ce premier tome des aventures de Yôkô. Malgré le côté très dynamique de l'histoire, l'univers complexe et intéressant, je n'ai pas accroché à ce titre que je trouve très poseur et glauque.
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C'est sanglant, violent, frustrant mais j'adore.

Je ne sais pas pourquoi mais ce manga ma fait penser à Tokyo Ghoul, pas du tout pour l'histoire mais plus le style et le héros qui voit sa vie chamboulée par un coup du sort bien désastreux.

Bon les commentaires précédents on bien résumés l'histoire, je n'ai donc rien à rajouter pour ça et je les rejoins sur la ressemblance avec Battle Royal .

En tous les cas je le recommande.

Dans ce troisième tome, Ganta doit à nouveau combattre au Carnival Corpse, contre la sœur de son ami Yô, qui plus est...

Le dessin de DW n'est pas mal mais je n'arrive pas à accrocher à l'histoire. J'ai l’impression que ça part dans tous les sens. L'auteur devrait se concentrer sur un élément, la prison de Deadman Wonderland et son système carcéral violent, au lieu de s'éparpiller avec l'homme en rouge, les Deadmen et leurs pouvoirs, et maintenant, un groupe de résistants sortant de nulle part. Je ne pense pas poursuivre la lecture de cette série.

Après la lecture de ce second tome, je suis toujours aussi déconcertée par Deadman Wonderland. Plus on avance dans l'histoire, plus les choses se compliquent. Non seulement DW est une prison qui fait office de parc d'attraction meurtrier, mais voilà que nous apprenons que c'est également une sorte de centre où sont retenus les Deadmen, des personnes possédant un pouvoir spécial lié à leur sang, infectées lors du grand tremblement de terre.

On ne sait toujours pas qui est Shiro, sa présence est pour le moins incongrue et l'auteur ne semble pas prêt à nous en dire plus. De même avec le personnage de l'homme en rouge. A qui obéit-il ? Qui se cache sous le masque rouge ? Des questions mais pas de réponses...

Ganta est un jeune garçon sans histoire, jusqu'au jour où il est accusé du massacre de tous ses camarades de classe. Ganta a beau clamer son innocence, il est condamné à mort et est envoyé dans la prison privée "Deadman Wonderland". Une prison quelque peu particulière où les détenus s’entretuent, offrant ainsi un spectacle des plus réalistes aux visiteurs de la prison... Tandis que Ganta découvre l'univers impitoyable de cette prison, il ne se doute pas un seul instant qu'il va se retrouver face à l'homme qui a tué tous ses camarades de classe : l'homme en rouge...

Que dire de ce premier tome ? J'avoue que je suis un peu surprise et décontenancée. L'auteur ne perd pas de temps et cherche à plonger le lecteur au cœur de son intrigue dès les premières pages. C'est d'ailleurs un des reproches que je ferais à ce premier volume. J'ai eu le sentiment que tout allait trop vite. On ne nous laisse guère le temps d'appréhender l'univers dans lequel nous allons être plongés, les personnages nous sont à peine présentés etc. La fonction de la prison Deadman Wonderland nous est certes expliquée mais pas assez clairement à mon goût. En bref, on a l'impression de survoler l'histoire sans jamais pouvoir se poser. Le résumé de l'intrigue m'avait séduite par son originalité, cependant je dois dire que le premier tome n'est pas du tout à la hauteur de ce que j'attendais.

La petite organisation scar chain tente par tous les moyens de sortir de la prison DW afin de dénoncer ce qui s'y passe. Mais le danger rode dans ces murs.

Encore un épisode où règne la violence et la loi du plus fort, mais cette fois avec une petite lueur d'espoir en plus.

De nouveaux personnages entres en scène, et cette fois c'est pour tenté de s'enfuir que Ganta les rejoint. Mais entre trahisons et danger, leur chance de survie est infime.



Un bon volume qui permet à Ganta d'avancé dans l'histoire. Les combats entre détenus sont laissés de côté, mais d'autres combats sont à prévoir. L'horreur et le gore des premiers volumes subsistent toujours et plus l'histoire avance, plus les choses semblent mal tourner pour Ganta.

C'est vraiment un manga palpitant et effrayant à la fois.

Malgré toutes les atrocités que Ganta a pu subir et subit encore dans ce volume, on commence à entrevoir une lueur d'espoir pour lui, a moins que se ne soit de nouveau des ennuis qui se profile ?



Quoi qu'il en soit, ce volume ne dénote pas de ses prédécesseurs. Du sang, des horreurs, des mensonges et autres ruses et personnages malsain le parcours.

Cette épisode est encore plus lugubre que le premier. Cette fois, Ganta se retrouve enfermé dans un niveau spéciale avec les détenus qui ont des pouvoirs et doit affronter l'un d'entre eux. Le perdant doit soit mourir soit pire encore...(mais chut ! je ne dévoile pas tout)



De nouvelles facettes de ce lieu horrible nous sont donc dévoilées dans cette épisode et quand on a cru voir le pire, il se cache encore pire derrière.

Ce manga n'est pas sans rappeler Battle royal ou encore hunger games, mais cette fois, avec des prisonniers qui participent a des spectacles où la mort est omniprésente. Ces spectacles leur permettant de gagner des points pour s'acheter ce dont ils ont besoin. Parmi ces prisonnier, on retrouve un jeune garçon condamné à mort pour avoir tué toute sa classe. Cependant, il est innocent et va tout faire pour se venger et tenter de rester en vie.



Un scénario plutôt pas mal, des dessins bien réalisés, et un directeur de prison complétement fou. Le tout dans une prison ou règne la loi du plus fort et la cruauté. Me voila emballé par cet affreux manga.

Au début l'histoire m'avait beaucoup donnée envie, on suit l'histoire de Ganta qui se retrouve accusé du meurtre de ses camarades de classe et part dans une prison assez décalée. Mais au fil de l'histoire on rencontre certes beaucoup de violence gratuite ( mais pas choquante par rapport au contexte de l'histoire ) ce qui m'a le plus dérangée c'est que Ganta suite à sa rencontre avec le " méchant " obtient une sorte de pouvoir il n' a pas l'air de s'en rendre compte pourtant c'est assez visible mais le pire reste la fille qui sort de nulle part, qui n'a pas de prénom, on ne sait pas qui c'est, Ganta non plus mais il devienne quand même amis, elle à l'air réelle mais on ne sait pas si elle fait partie de la prison ( d'un hôpital ? ) pourquoi se ballade t'elle pieds nu ?... bref c'est un manga avec un beau graphisme mais l'histoire est un peu tordue et qui pause beaucoup question