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Citations de Jo Davis (43)


Elle ne s'était pas offusquée de ses agaceries et avait même paru y prendre plaisir mais n'avait pas manqué de lui faire comprendre que ce petit jeu ne déboucherait jamais sur quoi que ce soit de sérieux. Et que s'il s'avisait d'aller trop loin, elle n'hésiterait pas à lui trancher les roubignoles pour les lui servir à
déjeuner
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—Tu m'as entendue. Mets ta libido en veilleuse et laisse-moi respirer, tu m'épui-ses !
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Tony est tellement imbu de lui même qu'il s'aimerait tout seul s'il était assez souple pour y arriver.
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Salvatore était aussi agréable à côtoyer qu’un lièvre en rut atteint de trouble de l’attention, mais il n’en demeurait pas moins un pompier et un infirmier de premier ordre.
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Shea cala la pointe de son menton au centre de son torse, leva vers lui un regard implorant et fit une petite moue adorable.
— S'il te plaît ?
Tommy éclata de rire et planta un baiser sur le bout de son nez.
— Tu triches !
— Pas du tout. Cette méthode est inscrite dans l'ADN féminin. Grâce à elle, les femmes prennent possession de l'esprit masculin, l'excitent sexuellement et lui brouillent les idées de façon à obtenir tout ce qu'elles désirent.
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(Cori et Zack)
— Oh, mais c'est génial ! Tu veux que je passe te chercher ?
Zack rouvrit les yeux et battit des cils. Il ne s'était même pas demandé comment il allait rentrer chez lui. Il faut dire qu'il n'était pas pressé de retrouver son logement misérable. Ni de voir la tête que ferait Cori quand elle découvrirait ce trou à rats. Il réfléchit à toute allure. Il n'avait pas de quoi payer un taxi. Ève lui avait dit qu'elle allait déjeuner chez sa mère dimanche midi. Musclor et Kat cherchaient encore une maison. Skyler aurait sûrement
une gueule de bois carabinée. Restaient Tanner et Salvatore. Hors de question.
— Zack ?
— Euh, oui, ça serait sympa. Mais il ne faut surtout pas que ça te dérange.
— Absolument pas. Tu auras de quoi t'habiller ?
— Quoi ?
— Est-ce que tu as des vêtements ? reformula- t-elle en riant. À moins que tu aies l'intention de sortir de l'hôpital tout nu sur ton fauteuil roulant?
— Euh... je crois que je préfère éviter une contravention pour exhibitionnisme, cette semaine.
Cette fois, ils rirent de concert et cela lui fit un bien fou.
— Qu'est-ce qu'il te faut ? Un jean et un T-shirt ? Une veste ?
— Oui et, euh...
Il sentit son visage devenir brûlant.
— Des sous-vêtements, des chaussettes et des baskets ?
Zack poussa un long soupir de soulagement. Il aurait préféré porter son jean à cru plutôt que de prononcer le mot « slip ».
— Ce serait parfait, je te remercie. Il ne me reste que mon pantalon d'uniforme, mon portefeuille et mes clefs. Mes chaussures sont au fond de l'eau.
— J'irai t'acheter tout ça au centre commercial demain matin, ce sera vite fait.
— Merci, je te rembourserai.
Une fois que j'aurai vendu un de mes reins.
— Ou bien tu m'inviteras à dîner, proposa-t-elle.
La bouche de Zack devint sèche, et la hampe au bout de laquelle flottait un drapeau imaginaire au niveau de son entrejambe salua ce projet avec un enthousiasme délirant. Oui ! Il inviterait Cori au restaurant, quitte à dévaliser une banque.
— Aux chandelles, alors. Entendu, ma belle. Et merci pour tout.
—À ta place, j'attendrais avant de me remercier, le suis une vilaine sirène tentatrice, animée par des motifs cachés.
—Ah bon ? Lesquels ?
—T'entraîner sur le chemin de la dépravation et du péché, évidemment!

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(Howard et Kat)
— Je peux entrer?
Mmm. Et cette voix... Grave et sensuelle, elle évoquait irrésistiblement un verre de whisky et un lit défait par une chaude soirée d'été. L'imagination de Kat n'avait donc pas plus déformé son apparence que le son de sa voix. Elle leva les yeux en battant des cils sur son invité qui la gratifia d'un sourire hésitant. Gênée d'avoir été surprise en flagrant délit de concupiscence, elle s'écarta et s'efforça de l'accueillir avec plus de légèreté.
— Bien sûr, entre, répondit-elle en joignant le geste à la parole. Tu veux boire quelque chose ? J'ai de l'eau ou du soda. De la bière aussi, je...
— Non, je te remercie. J'ai bu un café juste avant de venir.
— En plein après-midi ? Je croyais que l'ingestion massive de caféine était l'apanage exclusif de la police, le taquina-t-elle en refermant la porte derrière lui.
Howard salua sa plaisanterie d'un rire chaleureux, et Kat sentit son coeur rebondir comme une balle de ping-pong entre ses côtes. Il souriait de toutes ses dents et sa denture impeccable illuminait les traits rudes de son beau visage. Une pâle et fine cicatrice courait depuis sa tempe jusqu'à sa joue, et son nez qui avait visiblement été cassé plus d'une fois l'empêchait d'être trop parfait, ce qui n'était pas plus mal. Il avait les plus grands et les plus beaux yeux couleur chocolat que Kat ait jamais vus, bordés de longs cils à faire blêmir d'envie toutes les femmes. Ses cheveux châtains dont les pointes décolorées viraient au blond platine, étaient coupés court et formaient sur sa tête un ravissant désordre.
Si elle n'avait pas déjà su qu'il était pompier, Kat l'aurait cru tout droit sorti d'un film d'action exsudant la testostérone du genre Fast & Furious. Howard était, et de loin, le plus bel homme qu'elle ait eu l'occasion de contempler.
— Certainement pas, répliqua-t-il. Les gens ne réalisent pas toujours que les pompiers interviennent dans le même genre d'incidents que la police. Accidents de la route, bagarres, sauvetages... La liste est infinie. Après l'incendie doublé d'un homicide de cette nuit, notre équipe a reçu trois autres appels. Quand j'ai terminé mon service à sept heures du matin, j'avais les fesses qui traînaient par terre.
Du calme, mesdames, on ne pousse pas ! songea-t-elle. Je jugerai personnellement du cas sur pièce et vous transmettrai mes commentaires...

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(Grâce et Julian)
Le claquement métallique d’un verrou se fit alors entendre et la porte s’ouvrit, révélant un Julian ahuri, le visage couvert d’ecchymoses et d’ égratignures. Et à moitié nu.
La peau cuivrée de son torse faisait ressortir une musculature irréprochable. Le regard de Grâce glissa le long de son cou puissant jusqu’au crucifix en or qui reposait au creux de son torse lisse, se laissa brièvement dissiper par ses tétons sombres, caressa le relief impressionnant de son abdomen et descendit inévitablement jusqu’à la ceinture du bas de pyjama que retenaient ses hanches étroites, mon Dieu, il ne portait rien en dessous des hanches qui avaient, Grâce aurait pu parier toutes ses économies là-dessus, le pouvoir de faire hurler une femme si elles s’avisaient d’onduler souplement.
—Si tu veux me parler, mon visage est en haut, querida, dit-il d’un ton amusé, avec cette pointe d’ accent hispanique qui avait le don de la faire fondre. Mais tu avais peut-être autre chose en tête ?

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—Je ne comprends pas que tu t’étonnes de ma présence. Il n’y a aucun mystère à cela, après la façon dont tu m’as collé aux basques pendant des mois.
—Je ne t’ai pas appelée depuis des semaines, répliqua-t-il fièrement, sans parvenir toutefois à masquer sa gêne. Tu débarques comme une fleur quand je me décide enfin à te laisser tranquille. Pourquoi cela ? Je suis en droit de me poser des questions.
Génial. Il s’amusait à renverser les rôles
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Le problème, c’était que l’objet de son intérêt était un peu trop dangereux. Un peu trop bad boy.
Et qu’une partie d’elle-même mourait d’envie de révéler le côté bad girl de sa personnalité, qu’elle s’appliquait à dissimuler derrière sa façade d’avocate irréprochable
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—Tu dis ça parce que tu voudrais qu’on soit potes, c’est ça ?
—Absolument pas. J’ai une image de marque à protéger, tu vois. Moi, je suis le mec rigolo, avec qui on s’éclate tout le temps, et si on devenait potes, les gens risqueraient de penser que j’attache de l’importance à des trucs débiles comme l’amitié, tu comprends ?
Il sourit et attendit. Est-ce que pour une fois, quelqu’un serait réceptif à son sens de l’humour un peu tordu ?
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—Qu’est-ce qu’il y a? Tu n’aimes pas ce genre de petite poupée ?
—Rectification: c’est moi qui ne lui plais pas, dit- il avec un petit rire forcé. Elle me trouve trop jeune pour elle. Je me crève le cul à longueur de temps à extirper des gens de voitures en accordéon, j’entre dans des immeubles en flammes et je répare les conneries de gens qui ont le double ou le triple de mon âge, mais aux yeux de madame, je ne suis qu’un bébé. Mais bon, comme je te disais, c’est sans importance. Moi, les nanas qui se la racontent, je m’en passe. Tu vois ce que je veux dire?
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D’où lui venait donc ce violent besoin de s’isoler pour pleurer un bon coup ?
Grâce ne s’était jamais senti un instinct maternel très développé, et n’avait jamais éprouvé d’impatience ni d’envie quand d’autres femmes parlaient de leurs enfants devant elle. Les bébés, ça pleure, ça fait pipi et caca, et c’est tout le temps malade. Une fois qu’ils sont là, ils absorbent toute l’attention de leurs parents pendant vingt à trente ans
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Ce type était toujours parfaitement maître de lui, tellement pourri jusqu’à la moelle que rien ne le faisait jamais ciller.
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—Grâce ? dit-il d’une voix de velours qui l’incita à s’arrêter.
—Oui?
—Accepteriez-vous de dîner avec moi, un soir? Une fois que cette affaire sera réglée, évidemment. Je préférerais qu’on agrafe ma lèvre inférieure à mon front, je vous remercie.
—Hum… Je vois quelqu’un en ce moment.
Oups. Deux mensonges d’affilée. Elle plaqua sur
ses lèvres un sourire aussi faux que l’œillade dont il avait précédemment gratifié sa poitrine.
Pourquoi faisait-il semblant de la draguer?
—Je suis désolée, ajouta-t-elle.
Il sourit et secoua la tête.
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Les liens familiaux font parfois naître des scrupules
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—Oh, la ferme, répliqua-t-elle avant de lui décocher un sourire malicieux. Regarde-nous ! On est vraiment pathétiques. Je me demande pourquoi on ne s’est pas mariés, toi et moi, depuis le temps?
Julian lui rendit son sourire. Il s’agissait entre eux d’un vieux sujet de conversation qui ne portait pas à conséquence. Carmelita n’attendait pas de réponse à sa question parce qu’ils la connaissaient tous les deux, mais Julian lui en soumit une malgré tout.
—Parce que j’appuie au milieu du tube de dentifrice, que je ronfle, que je n’échangerais jamais ma Porsche contre un monospace et que j’ai toujours raison.
—Et parce que moi, je t’étoufferais dans ton sommeil en pleine crise de rage prémenstruelle.
—Tu sais qu’en prison, on coupe les cheveux et les ongles des femmes.
—Oui, c’est bien pour ça qu’il vaut mieux qu’on reste amis ! conclut-elle joyeusement.
—D’autant que ça n’empêche pas les relations sexuelles
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Quelqu’un retenait son bras. Il se retourna et découvrit Cindy qui le considérait avec étonnement. Son visage qui lui avait semblé superbe quatre tequilas auparavant, lui parut soudain épouvantablement peinturluré. Un peu vulgaire, même.
—J’avais cru reconnaître quelqu’un, répondit-il en cherchant ses clefs de voiture dans sa poche, mais je m’étais trompé.
—Oh. Alors on s’en va ?
Elle s’agrippa contre son flanc comme une bande Velcro et fit courir son index manucuré dans l’encolure largement déboutonnée de sa chemise.
— Je m’en vais. Tout seul, répliqua-t-il en la forçant délicatement à se détacher de lui. J’ai passé une bonne soirée, ajouta-t-il en se penchant pour planter un chaste baiser sur sa joue.
—Mais… on devait aller chez toi !
—Changement de plan, ma puce. Je crains que tu ne te sois décidée trop tard.
Son expression abasourdie était impayable.
—Tu… Tu me jettes, c’est ça?
—Je préfère dire que j’ai reconsidéré mon choix, rectifia-t-il. Je te raccompagne jusqu’à ta voiture.
Outrée, elle dégagea sa main.
—Te fatigue pas, connard ! cracha-t-elle.
Elle s’éloigna, martelant furieusement le trottoir de ses talons aiguilles. Julian l’observa, sa robe rouge tellement moulante qu’elle semblait peinte sur son petit corps éminemment comestible, et soupira.
Oui, il devait avoir perdu la tête.
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Dans son sillage, Cindy se contorsionnait sur les accords sensuels et les paroles à double sens d ‘Animais de Nickel back.
Était-ce bien raisonnable ?
Comme le disait la chanson, Julian avait l’intention de s’attirer des ennuis ce soir. Il adorait les rousses. Les brunes aussi. Et les blondes. Il adorait les femmes. Toutes. Surtout quand elles étaient un rien éméchées et qu’elles portaient une robe moulante rouge pompier avec un décolleté plongeant
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Le fait de la reconnaître déclencha en lui une véritable décharge électrique qui galvanisa instantanément sa libido.
Grâce McKenna.
Un délicieux mètre quatre-vingts de tentation pure. La beauté aux yeux violets de ses fantasmes les plus fous, la princesse de glace qui avait ignoré ses avances. Excepté le jour où elle lui avait accordé ce baiser bouleversant… plusieurs mois auparavant.
L’inaccessible belle-sœur de Musclor.
Julian savait qu’il ne pourrait jamais avoir Grâce.
Ce qui la rendait d’autant plus désirabl
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