Jonathan Stroud

Encore un livre prêter par ma soeur j'ai mis du temps à accrocher, j'ai même perdu le livre finit par le retrouver et repris et c'est là tout à coup que le livre m'a pris. Cet après-midi il a fallut que je le termine et vite, tout de suite.Par contre je dirais que le résumé est mal fichu, c'est peut-être aussi pour ça que j'ai mis du temps à accrocher. Et oui Notre héros Halli a réussit à m'emporter dans son aventure avec sa compagne Aud. Deux personnages dont le destin est déjà décidé mais qui n'en veulent pas et par leur choix vont chacun changer leur vie. J'ai beaucoup aimé Aud et Halli, après les autres personnages ont à un moment ou un autre bien énervé. SI j'ai apprécié Snorri personnage secondaire qui n'a pas la langue dans sa poche et la nourrice de Halli. Et finalement être un héros ce n'est pas forcément ce que l'on croit ...

Après la trilogie de Bartiméus, Jonathan Stroud nous revient avec un nouvel opus toujours aussi passionnant. Les héros de la vallée nous montre un monde quasiment normal mais avec quand même des particularités qui fait qu'il est unique.



Le talent de Jonathan Stroud est de nous faire rire dans chacun de ses ouvrages. La bonne humeur se dégage de se livre très bien écrit. Si vous avez aimé suivre les aventures de Bartiméus alors vous ne serez pas déçu. Et pour ceux qui ne connaissaient pas alors je ne peux que vous inviter à vous laissez prendre par la magie des lignes.



On suit les pérégrinations du personnage principal, Halli, et on se laisse attendrir par ce petit bonhomme qui veut découvrir son monde et qui quitte sa famille. Mais le danger est partout dans ce monde qu'il ne connaît pas. Les trâles, les méchants dans l'histoire, nous font aussi poser beaucoup d'interrogations surtout en ce qui concerne la fin de ce roman. Et c'est là qu'est le talent de J. Stroud. En lisant le début de ce livre je me suis dit que ça allait être un remake du film "Le Village" mais en avançant dans l'histoire on peut se rendre compte qu'on a été trompé par l'auteur. La fin est difficile à deviner et riche en suspence.



Ce qui me manquera quand même beaucoup avec ce livre est l'utilisation que peut faire Jonathan Stroud des notes de bas de page. Une technique qu'il a utilisé à bon escient dans "La trilogie de Bartiméus" et qui est quand même la grande absente de ce livre. Sa marque de fabrique où il nous faisait rire me manque.



C'est un nouveau petit bijou que nous met entre les mains J. Stroud. Je vous le conseille vivement.
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Me revoici donc, avec Syl, pour la suite de notre lecture commune de "La trilogie de Bartiméus".



Deux années ont passé depuis les aventures de "L’Amulette de Samarcande", Nathaniel occupe une place en vue au sein du gouvernement et a fort à faire pour mettre à mal la Résistance qui sévit toujours à Londres. Pourtant lorsque de violents attentats secouent Londres, Nathaniel n’y voit pas l’implication de la Résistance et n’hésite pas à invoquer Bartiméus afin d’éclaircir cette énigme.



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Londres est en ébullition ; l’Empire britannique, régi d’une main de fer par les magiciens, est assiégé de toutes parts : guerre en Amérique, attentats orchestrés par d’autres puissances européennes, mécontentement des plébéiens, … Dans les rangs mêmes des magiciens, de sombres complots se préparent.



C’est dans cet environnement mouvementé que nous retrouvons nos héros : Nathaniel, connu sous le nom de magicien de John Mandrake, est encore monté en grade. A dix-sept ans, il est ministre, chargé de la propagande. Face au mécontentement général et à l'ambition démesurée de son entourage, il a fort à faire et est maintenant secondé par une poignée de djinns et de créatures magiques en tout genre. A ses côtés, Bartiméus est toujours présent : même si ses forces déclinent, son humour est toujours caustique et son impertinence ne faiblit pas. Le tandem Nathaniel-Bartiméus fait encore des étincelles : le djinn aimerait être libéré de ses obligations pour se ressourcer, il se remémore un passé heureux, en compagnie de Ptolémée. Nathaniel est également hanté par le souvenir de jours meilleurs : Kitty Jones, Mlle Lutyens, son professeur de dessin, … des visages qui mêlent dans l’esprit du jeune homme mauvaise conscience et nostalgie. Sous la carapace de l’homme important, débordé, le cœur de l’enfant bat toujours et reprend parfois le dessus.



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Ce que j'ai à dire sur le premier roman de cette saga, n'est pas particulièrement élogieux, mais je n'ai pas détesté non plus, pour commencer j'ai eu beaucoup de mal à m'immerger dans cette histoire, je n'arrive pas à en connaitre la raison ,mais je rejoins l'avis général qui dit que la première partie est assez ennuyante et seule la deuxième non pas passionnante mais intéressante, il faut savoir que je ne suis pas une accros d'action dans les livres, j'attache aussi de l'importance à la psychologie des personnages, je doit dire que là je n'ai pas été déçut et que je suis suffisamment intrigué pour avoir envie de lire la suite afin de connaitre l'évolution du jeune Natahniel, j'ai d'ailleurs beaucoup, aimer la relation de bartimeus et son maître, qui évolue néanmoins avec prudence, on a appris a Nathaniel à se méfier des démon, alors qu'ils sont la base même de leur pouvoir, les démon méprise les magiciens mais ils ont bien obligé de les servir, la plupart serait près à aider toute personne voulant tuer le magicien qui les à invoquer ou encore à les pousser à la faute, sans outrepasser les ordres qu'on leur à donner et cet assez amusant à observer, d'autant plus que Nathaniel a fait une erreur, son prénom de naissance a été découvert par son djinn, bonne chose à savoir, le nom d'une chose permet de la contrôler, dans leur cas Nathaniel à assez rapidement trouver le moyen de récupérer l'avantage et cette fois de s'assurer pour de bon, que Bartimeus ne le trahiras pas, malgré tous, ils sont désormais sur un pied d'égalités.

D'ailleurs Bartimeus et définitivement mon personnage préférait , il vient égayer cette histoire, je dois avouer que lorsque je lis les chapitre dédiait à Nathaniel il me tardait de lire ceux du djinn tous simplement parce qu'elles sont savoureuse, pleine d'humour, de sarcasme et ses notes en bas de page , c'est génial comme idée, on ne les saute pas, on ne les lis pas en ce disant que c'est probablement important de les lire, non on les lis parce qu'elles sont amusante et qu'on plus elles nous éclaire sur la mythologie de cet univers!



Tout ça pour dire, que j'ai trouvé ce roman sympa sans plus, que je ne le conseillerais pas spécialement, mais que je suis suffisamment intrigué pour lire la suite, que les deux héros sont assez attachant, que les petites notes de bas de page sont définitivement génial, que Nathaniel a beaux être mignon est assez seul, il en reste pas moins un magicien avec des tares de magicien mais, on espère néanmoins qu'il ne va pas abandonner sa conscience, qu'elle ne va pas s'en aller sous le flot de l'expérience, parce qu'on a beaux dire tous ce qu'on veut aucunes des castes ne rattrape l'autre.

Comme je l'ai dit plus haut d'autant plus intriguer, puisque j'ai l'impression que l'intrigue va prendre une direction plus politique, une bonne occasion d'en apprendre plus sur cette fameuse résistance !
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Un roman d'aventures avec des magiciens, oui, bon, on en a déjà lu plusieurs... Mais avec un Djinn malicieux comme narrateur ? Bartiméus à lui seul vaut le détour !

Résumé



Londres. XXIe siècle. La ville est envahie de sorciers qui font appel à des génies pour exaucer leurs désirs. Lorsque le célèbre djinn Bartiméus est appelé par une puissante invocation, il n'en croit pas ses yeux l'apprenti magicien, Nathaniel, est bien trop jeune pour solliciter l'aide d'un génie aussi brillant que lui De plus, cet adolescent surdoué lui ordonne d'aller voler l'Amulette de Samarcande chez le puissant Simon Lovelace. Autant dire qu'il s'agit d'une mission suicide. Mais Bartiméus n'a pas le choix : il doit obéir. Le djinn et le magicien se trouvent alors embarqués dans une dangereuse aventure... (Fnac.com)





Mon avis



Une trilogie qui commence plutôt bien!

Je trouve l’univers sympathique, à la fois très différent et très proche de notre monde, je trouve ça intéressant.



J’aime le point de vue prit par l’auteur, on aurait pu imaginer qu’un monde dirigé par les magiciens serait très différent du nôtre, plus attrayant, voir plus beau. Finalement ici, on se rend compte que, politicien ou magicien, ça revient au même ! Les dirigeants restent toujours imbus d’eux-mêmes, égoïstes, méprisant envers ceux qui ne sont pas de leur monde. Les classes sociales sont tout autant marquées que chez nous et induisent les mêmes injustices. Je trouve ça vraiment intéressant.

Mais cette partie est la toile de fond bien sûr, le plus important dans le récit sont les aventures trépidantes que vivent nos héros, et de ce côté-là, on a peu de répit, il se passe toujours quelque chose, on est vite emporté dans l’histoire et on a hâte de connaître la suite des évènements.



J’ai aussi beaucoup apprécié les personnages, à commencer par Bartiméus bien sûr, ce djinn un peu timbré et au débit de parole très drôle est forcément attachant.

Nathaniel est plus complexe, on serait vite tenté de le détester parce qu’il est ce gamin prétentieux et souvent très énervant, mais je trouve que son histoire explique son comportement et inspire malgré tout la compassion et le rend tout de même attachant. Les autres personnages sont jusqu’ici essentiellement des magiciens ou des entités utilisées par ces derniers, ils ont donc tous des personnalités hautes en couleurs que j’ai aimés découvrir également.



J’aime bien que l’on suive le récit de deux points de vu différents : à la fois celui de Bartiméus, mais aussi en parallèle, celui de Nathaniel, ça permet de profiter pleinement de la personnalité de Bartiméus et de ses commentaires (souvent assez drôles), et en même temps de comprendre un peu mieux Nathaniel.



Seul petit défaut : quelques petites lenteurs par moment, sans que je sache trop d’où cela venait, j’ai parfois eu du mal à être suffisamment captivée pour ne pas avoir envie de poser le livre.

Mais bon, ça reste peu de chose, dans l’ensemble, cette histoire me plait bien, des personnages sympathiques, des aventures palpitantes, le tout saupoudré d’une bonne dose d’humour. J’ai très envie de continuer bientôt avec les tomes suivants (deux pavés encore plus conséquents !!).
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Un excellent livre pour enfants - et pour leurs parents, s'ils veulent (re)découvrir l'univers de la magie -.

Attention à toutes et à tous, voici venue la fin de la Saga de Bartiméus de Jonathan Stroud qui a frappé très fort avec ce dernier tome. Tout s'enchaîne, se précipite et s'entremêle…les plébéiens sont de plus en plus immunisés face à la magie et ses diverses manifestations, les magiciens quand à eux sont en mauvaise posture, Nathaniel y compris, car nombreux sont ceux à vouloir a chute.



C'est dans cette ambiance très joyeuse qu'est à nouveau invoqué ... lire la suite sur le blog !
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Voici le second tome de la Trilogie de Bartiméus, une très bonne saga bourrée de magie et d’humour. Nous nous retrouvons avec Nathaniel (ou plutôt John Mandrake maintenant), le personnage principal du premier tome, mais quelques années plus tard. Le jeune homme, suite à ses actes héroïques du premier tome, est monté en grade au sein du Ministère et a maintenant beaucoup d’ennemi au sien de celui-ci… d’autant plus que la Résistance des plébéiens prend de l’ampleur mettant en fâcheuse posture les Magiciens d’Angleterre.... lire la suite, sur le blog !
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"Les héros de la Vallée" est un bon roman initiatique pour grands ados (et adultes). Pas le meilleur de Jonathan Stroud, mais bon tout de même.

Les points forts de l'auteur restent ses personnages paradoxaux : héros de l'histoire, ils gagnent en pouvoir à coup de bourdes très cocasses.

Un auteur à suivre!
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Lecture jeune, n°118 - Jonathan Stroud n’est pas homme à se reposer sur ses lauriers et une inspiration toujours renouvelée reste sa marque de fabrique. Sa trilogie de Bartimeus se clôt donc dans le feu, le sang et la terreur. Trois voix alternent dans ce gros volume de six cents pages : celle de Nathaniel devenu Mandrake le ministre, de Bartimeus le djinn désormais constamment au service du premier, et de Kitty la plébéienne résistante qu’on croyait morte ! La tonalité du récit s’assombrit d’emblée : Mandrake fait un piètre ministre auquel on ne fait plus confiance, Bartimeus, qui n’a pu se régénérer, perd certains de ses pouvoirs et Kitty se cache, tout en s’initiant à la magie. Outre la guerre au loin, émeutes et révoltes se multiplient et la lutte au sommet entre magiciens atteint son paroxysme. Affaiblis, les trois héros vont devoir unir leurs forces pour tenter d’éviter à tout prix l’apocalypse qui menace Londres et, à terme, le monde terrestre. L’auteur ne manque pas d’audace : pas de happy end, chacun des trois personnages devra, à sa façon, se sacrifier ! Excepté une ou deux figures totalement démoniaques, les protagonistes, ambivalents, sont déchirés en leur for intérieur ; le récit y gagne en tension dramatique et en effets de surprise, les relations interpersonnelles en complexité. La satire politique vise les rapports de classes et la course au pouvoir. Mais elle laisse place au monde spirituel, symbolisé par la porte de Ptolémée, ouverture sur l’au-delà. A nouveau, Jonathan Stroud séduit par une fantasy créative que colorent alternativement l’humour et l’horreur. _ Marie-Françoise Brihaye