Jorge Bernstein

Petit album collector des abonnés à Fluide Glacial.



C'est l'occasion de découvrir différents auteurs et différents styles de narration ou de graphisme.



Certains gags sont assez hilarants.



Petite lecture agréable pour un moment de détente.

C'est de l'humour ressassé, sans saveur. On peut espérer sourire en empruntant ce genre de bande dessinée sans imagination mais en fait, en ces temps difficiles, même pas...

Si la moquerie de ces salariés d'une grande boîte qui passent leur temps à en perdre car ils ne servent au fond à rien est légitime, alors cela prouve que notre société n'est pas seulement malade, elle est mourante.

Ma pensée va en refermant ce truc aux éboueurs, aux soignants, aux professeurs, à tous les métiers de la construction, aux routiers et cheminots, aux métiers de bouche et j'en passe ...

On peut éventuellement se rassurer en se disant que c'est chouette de permettre ainsi à des opportunistes de prospérer en produisant non pas des rapports de stage mais des bandes dessinées qui, elles non plus, ne servent à rien.

Une jeune stagiaire découvre, effarée, le monde de l'entreprise, avec ses directions et sous-directions, ses acronymes absurdes, ses employés brassant de l'air, son langage managérial et son conformisme.

Mais c'est un sujet qui a déjà été maintes fois traité avec humour dans différents ouvrages, et ici, cet humour est plat, répétitif, limite ambiance cour de récré.

J'ai parfois souri mais pas plus.

Des gags extraits de Fluide Glacial : j'ai une grosse tendresse pour les mémés de Frecon, le dessin, les réflexions drolatiques sont un petit plaisir de lecture!

Ce petit opus a le mérite de présenter certains des travaux les plus sympas de la revue Fluide Glacial...

C'est léger, drôle et réconfortant.

Le genre de lecture qu'on va lire le soir avant d'aller au lit pour dormir le sourire aux lèvres. Quelques conversations le soir, d'autres le matin avec le thé ou le café et la journée commence et se termine bien.

C'est pas hilarant à chaque fois, mais en même temps, Berstein se débrouille avec les ingrédients qu'il a sous la main et il ne peut pas jouer dessus.

Les petits intermèdes avec Fabcaro sont complètement absurdes mais fonctionnent comme à chaque fois sur moi.

Avec la complicité de Fabcaro à l'illustration, Jorge Bernstein offre une compilation amusante de ses échanges (réels mais improbables) avec des escrocs d'internet. A défaut d'être géniale, celle-ci s'avère souvent drôle. Et a priori, on ne lui en demande pas plus. Les vannes potaches affluent, entrecoupées de scènes (cette fois-ci fictives) tout aussi rigolotes entre un patron d'entreprise de broutage et un employé chargé de brouter. "Conversations", ce n'est donc que du fun et c'est déjà pas mal.
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Affreux, sales et grossiers sont les deux personnages du fastefoode.

Pour les amateurs férus de sensations fortes pourquoi pas, pour tous les autres passez votre chemin, je parle du fast-food et pas de la BD, encore qu’âmes sensibles s’abstenir.

Des "viandes" d’importation, une hygiène aussi douteuse que les propos et comportements du cuistot,

des promos à vous ruiner et une éthique affichée à faire pâlir les plus écolos.

humour potache et déplacé même de la part du super héros des menus enfant connu sous le nom de fasteman.

Rapport de stage est une bd sympathique à lire, avec des personnages et une histoire marrante, qui nous entraine dans l’univers de la SOTIPEC, aux côtés de Claire et de tous les employés !
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Ce petit livre, dont je vais m’abstenir de commenter la couverture, rassemble les échanges cocasses entre Jorge Bernstein et différents escrocs sur le web qui pensaient ferrer une nouvelle proie, mais qui vont vite découvrir le concept de « tel est pris qui croyait prendre« .



On se contente, en général, d’ignorer ces messages écrits dans un français approximatif, et pour le moins créatif, nous invitant à faire plus ample connaissance et/ou nous demandant de l’argent, mais notre auteur lui préfère y répondre. Enfin, y répondre à sa manière, c’est-à-dire avec humour ! Des blagues douteuses, des jeux de mots, des paroles de chanson jetées au vent, ou plutôt tapées fébrilement sur un clavier, des photos inattendues, des envolées philosophiques (version philosophie de comptoir), des réponses complètement à côté de la plaque… s’enchaînent et se succèdent pour faire rire les lecteurs et leur offrir une petite vengeance salvatrice. C’est quand même savoureux de voir un escroc pris à son propre jeu et finir par menacer de bloquer sa proie qui n’est définitivement pas sérieuse !



La mise en page, sous forme de messages privés sur Facebook est agréable et aérée, et vu la popularité de ce réseau social, devrait parler à un large public. Pour ma part, j’ai été étonnée de l’aplomb de certains escrocs qui demandent d’emblée de l’argent et, à l’inverse, j’ai été surprise de la manière dont certains tentent de noyer le poisson, ce qui ne nous empêche pas de les voir arriver avec leurs gros sabots ! Si derrière ces tentatives d’escroquerie, se jouent de vrais drames humains, certaines personnes se laissant prendre au piège, l’auteur nous prouve également qu’il y a matière à en rire ! D’ailleurs, j’ai pas mal souri, même si j’avouerai avoir fini par quelque peu me lasser d’un humour parfois un peu trop potache à mon goût. Ce petit livre reste néanmoins sympathique à lire et nous permet de vivre par procuration la satisfaction d’avoir pris à leur propre piège ces enquiquineurs du web !
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Lorsqu'un emmerdeur professionnel épuise les pires arnaqueurs de la toile avec son humour à deux balles et ses réparties alambiquées, librement inspirées des plus beaux tubes de l'été 1986... Armé de ses faux comptes Facebook l'auteur s'amuse à répondre aux messages que le bon sens nous conseille d'ignorer. Mais comme l'illustre très justement Mozinor dans sa vidéo "chasseur de brouteur", quelle satisfaction de prendre ces escrocs à leur propre jeu et de leur faire perdre leur temps et leur énergie. Chaque conversation est le reflet fidèle de l'absurdité des échanges en lignes, superficiels à souhait et qui n'ont vocation qu'à trouver de nouveaux pigeons... Chaque séquence de ces improbables dialogues est ponctuée d'un savoureux intermède signé Fabacro, toujours pertinent.

Un tableau sans concession, à la fois comique et tragique, celui des stages en entreprise, les premiers pas des jeunes futurs salariés confrontés à des réalités qui bientôt pourraient être leur quotidien.
Lien : https://www.ligneclaire.info..

Quelques (rares) sourires ici ou là, un dessin passable guère plus inspiré, Rapport de stage ne dépasse pas le niveau de l’exploitation poussive vaguement amusante.
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Réfléchissez une minute au nombre de jeux de mots que l'on peut faire sur Star Wars - le premier, l'icône absolue.

Obion et Bernstein en ont un répertoire i-né-pui-sable. Ce sont des petits gags en 6 cases ; à chaque fois on se tord de rire et on se dit : bon, ça va être un peu lourd à la fin... On tourne la page et on se re-tord de rire. Et comme ça jusqu'à la dernière image.

Un jeune scénariste fauché propose à un producteur ruiné, au bord de la faillite, un scénario qui commence par : "une princesse capturée par l'empire galactique envoie ses deux droïdes trouver l'ermite..."

Mais comme y a pas de sous, eh bien... on va faire un film X, se dit le producteur. Et l'album raconte l'histoire de ce tournage, réalisé en cachette de l'auteur pour ne pas le peiner.

Au fur et à mesure que l'histoire avance, notre inquiétude (ainsi que notre compassion pour Leia) grandit : comment ça va bien pouvoir se terminer ?

Un album hilarant, et je conclurai en deux mots : "Rhâââ ! Lovely !"

Challenge Bande dessinée 2022

Un extrait des gagmen (et women) qui dessinent à Fluide. Certaines histoires paraissent ultra réalistes (le stage et le contrôle de gestion), loufoques (les pages de Reuze) ou gentiment trash. Certains sont inédits, d'autres déjà parus en album? Un bref concentré de l'humour à la Fluide.

(LX971) Une BD qui permet d'aborder la question du réchauffement climatique en riant. de très bons gags et quelques trous d'air aussi (mais ce n'est pas toujours simple de maintenir le rythme) parsèment la BD. Un bon moyen de mettre le doigt sur nos travers, nos contradictions et nos modes de vie.

Un petit format et un petit prix pour un album qui allègera la sélection du Prix BDz'îles avec un sujet urgentissime. Oui en lycée et pourquoi pas en collège.

(SC971) Ce petit album, très très drôle, pointe du droit les contradictions et les absurdités de nos sociétés dites "développées" et permets d'aborder le réchauffement climatique, sujet ô combien d'actualité. Oui pour la sélection 2022, collège et lycée.

(MAB971) Un sujet important, un traitement décalé. J'ai aimé cet album. Oui collège et lycée.

Joli coup de cœur pour cette bande dessinée atypique. Loufoque, décalé, actuel, on y passe juste un agréable moment de lecture. On rigole certes, mais tout en prenant conscience et le recul nécessaire face à une situation tragique qu'on ne peut ignorer.

Pour faire taire une climatologue de renom qui alerte sur la fonte des glaces, le président américain l'envoie en Antarctique avec une équipe... quelque peut improvisée. Cette bande de bras cassés réussira-t-elle à cohabiter avec les manchots ?

Banquiz, humour quand tu nous tiens! Je recommande absolument cette bande dessinée.

Avec Banquiz, on rigole de nos peurs et de nos travers, tout en prenant un recul nécessaire au sujet d’une situation tragique qu’on ne peut pas ignorer. 9,95 € d’humour pour un univers aussi riche que surprenant, c’est banco ! Euh... C’est Banquiz !
Lien : https://www.actuabd.com/Banq..

Il paraît qu’il faut rire trois minutes par jour, c'est bon pour la santé. Et que la musique adoucit les mœurs. Avec cette discographie, objectif atteint. Une façon agréable de réviser ses classiques, voire de faire quelques découvertes hors de mes styles préférés. La lecture est Fluide, dans tous les sens du terme. Mon titre préféré ? Super Trump et son "Break First in America" bien sûr ;-)

Néanmoins, deux regrets : que Joe Bidet et son légendaire "Il est beau le lavabo" n'ait pas été sélectionné, et le format atypique de ce volume plus grand qu’un CD, mais plus petit qu’un 45 tours.

Merci aux auteurs, à Fluide Glacial et à Babelio de m’avoir fait parvenir ces sourires dans le cadre de Masse Critique.

Quand j'ai découvert ce livre, il m'a tout de suite attiré par sa forme, on dirait une pochette double CD et l'image du disque vinyle imprimée dessus.

C'est un livre qui parle de musique, une discographie, non une disCONgraphie, en voilà un titre intrigant ...

Le reste est à l'avenant, délicieusement irrévérencieux, jubilatoire. Les noms des chanteurs (vous connaissez sûrement Alain Brushing ?), les titres des chansons ("Mademoiselle change de blouse") et les commentaires des CD sont bourrés de jeux de mots. Il faut bien connaître les noms des artistes. Ai-je tout saisi ?

La bande dessinée de Jean-Michel le disquaire constitue le fil rouge de ce petit livre en déroulant dans cet ouvrage "des albums totalement introuvables" et en donnant des conseils musicaux à sa clientèle "Je vais d'abord te commander Joe le taxi pour rentrer ... Et sur la route évite d'écouter les albums de Dégueule de Meath Metal ... Tu te mets au lit avec un titre de ZZZZZZZ Top qui fait ronfler les guitares ! ... Et demain tu prends un petit déjeuner avec Céphalée Chère".

A offrir de toute urgence aux amoureux de musique qui apprécient l'humour décalé de Fluide Glacial !

Loufoque, rigolo, déjanté et tout ce genre de choses, Banquiz est une relecture tordante de l’époque sans doute moins gratuite qu’elle veut bien le paraître ou le laisser penser.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..