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Critiques de José Parrondo (37)
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Histoires à emporter

Il était une fois une histoire avec trois portes,

si on prenait la première on rentrait dans l'histoire,

si on prenait la seconde on en sortait, si on prenait

la troisième c'était une toute autre histoire.

-José Parrondo- Histoires à emporter -( L'Association-2014)

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Parfois les ennuis mettent un chapeau

Ouvre-moi ta porte je vais t'en dire un mot

Mais soudain il pleut,

Pirouette cacahuète

Je vais faire du feu,

Je te plumerai la tête

Mes escaliers sont en papier

Tout quitter mais tout emporter

Encore une Fois, le Belge publie en France

On imagine des mots dans le silence

Des jours et des nuits où la vie recommence

Comme ça encore "une fois"

Et on démarre une autre histoire

Mais ça c'est une autre histoire

Et on prend un nouveau départ

Et on démarre une autre histoire

Et on prend un nouveau départ

En laissant faire le hasard

Ça c'est une autre, une autre histoire

Tout quitter mais tout emporter...😋
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Parfois les ennuis mettent un chapeau

♫Les petits lapins se roulent dans l'herbe

C'est pour l'amour de Marie-Madeleine

Mais toi tu te roules dans le gazon

C'est pour l'amitié de Suson ♫

Jean-Michel Caradec- 1974



J'ai appelé les pimpompiers

je les entends déjà arrivés

Mon chapeau ne me va pas

C'est pas le mien ou c'est pas moi ?



Recueil de ritournelles

cueillis dans un rayon de miel

Quand les motssionels

pipi sur une coccinelle

s'écrit sous des dessins d'enfants

Un amour pour Marie-Madeleine

Comme pour celui du Juif errant

Et ri et ran , ran pa ta plan

Laisse les bouts de gondole à venir

les sens Ciel est de le dire

.... ou de te l'écrire.
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I am the Eggman

« Quand j'utilise un mot, dit Humpty Dumpty avec un certain mépris, il signifie exactement ce que j'ai décidé qu'il signifie, ni plus, ni moins » ; à l'objection d'Alice qui demande si on peut donner autant de sens différents à un mot, Humpty Dumpty répond « la question est de savoir qui est le maître - c'est tout ».

Le dessin est simple, réduit à l’essentiel, basique, en quelques traits, en noir et blanc, une représentation quasi-schématique et pas de texte, les mots d’Humpty Dumpty sont remplacé par des images. Un personnage œuf regarde par une fenêtre qui n’en est pas toujours une. José Parrondo nous propose une suite de petites saynètes qui s’articulent comme un jeu de perceptions, c’est fait de passages, d’imbrications, de déformations… C’est une sorte d’exercice oubapien (Ouvroir de Bande Dessinée Potentielle), expérimental, un peu hasardeux, qui pourrait laisser beaucoup de lecteurs perplexes. C’est peut-être mon côté intello, mais j’aime bien me titiller l’esprit autour de quelques traits de crayon. Le postulat de départ n’est pas celui d’arrivée. Ou tu te laisses emporter, ou tu interprètes et analyses. Les dessins de José Parrondo te mènent où il l’a décidé, ou tu te construis ton propre scénario. La question est de savoir qui est le maître, c’est tout…

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Apprendre à ronronner

Un livre à partir de 7 8 ans idéal pour des premières lectures avec quelques illustrations qui nous raconte l'histoire d'un petit garcon sensible et pas comme les autres qui a la projet fou en voyant son chat de se mettre dans la peau d'un félin et cela commence par apprendre à ronronner ( comme le titre du livre l'indique)... L'idée du livre est original et elle est bien exploitée, on passera par tous les apprentissages nécessaires, en 10 chapitres sur comment on peut ronronner lorsqu'on n'est pas un chat.. un livre indispensable pour tous les fanas des chats, qui se distingue par son humour et son ton, tendre et sensible à la fois...
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Parfois les ennuis mettent un chapeau

Petit recueil amusant, parfois réaliste, mais plus souvent surréaliste

aphorismes, dictons, rêveries, les phrases paradoxales sont accompagnées de dessins au tracé enfantin

décalé, drôle et original !
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La porte

Un trait de crayon simplissime.Des couleurs douces à la gamme très limitée.Une écriture d'enfant pour compléter l'absurde et l'humour des petites pièces bouffonnes en quatre actes de José Parrondo (peintre-illustrateur dont la série Allez raconte a été adaptée en dessins animée).Un monde à part centré autour d'un unique personnage, "Moi", "l'homme le plus seul et le plus petit au monde" mais le meilleur "dans le genre petit", qui d'ombre en reflet et de reflet en "Toi" imaginaire se fond à la porte plutôt que de l'ouvrir.

Langue de bois.Motus et bouche cousue "Je vis avec peu de mots ces derniers temps"

"Je fais toc-toc et ça ne répond pas" énonce "Moi", le timide, à défaut de communication, avant de s'endurcir.

Une porte symbolique, entre non-dits et solitude, où le Moi en vient à parler à son ombre pour tenter d'exister.

A méditer pour petits et grands pas si grands que ça!
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Parfois les ennuis mettent un chapeau

Petit recueil d'aphorismes, de dictons, de sentences qui se veulent gentiment ironiques, doux amers, légèrement absurdes accompagnés d'un dessin au crayon de style enfantin, malheureusement cela reste très superficiel et factice sans vraiment beaucoup de profondeur. Je n'ai pas accroché et je me suis ennuyé.
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Waf & Waf

"Waf & Waf" de José Parrondo est un adorable album sans paroles à partir de 3 ans, édité au Rouergue. Construit à la façon d'une bande dessinée sur le principe d'un gag par page composé de vignettes, on suit les aventures quotidiennes poétiques et humoristiques d'un drôle de personnage jaune aux formes rondes et de son petit chien. On apprécie le graphisme doux et la simplicité du trait.
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Mirolioubov

Mirolioubov est un bonhomme patate au nom difficilement prononçable. Sa vie est remplie de discussions philosophiques avec lui-même.



Afin de lutter contre la solitude, il s’invente en quelque sorte un double inversé à qui parler et avec qui partager ses interrogations.



Car Mirolioubov a une existence à la fois simple et étonnante. Il cherche parmi les petits actes du quotidien à retrouver des repères et aussi du sens.



Où est l’extérieur et l’intérieur ? Peut-on tout à la fois partir et arriver ? Il nous montre en définitive qu’il est tout à fait possible d’avoir sa journée remplie de rien.



Sans aller jusqu’à l’absurde, le personnage nous entraîne dans des aventures souvent loufoques et réflexives.



Mirolioubov n’est en réalité plus seul car il est avec le lecteur qui s’amuse à essayer de répondre aux mystérieuses questions de ce petit être.



L’illustration joue avec les couleurs, les pleins et les vides, les courbes et les traits pour nous permettre un aperçu de ce qui se pense dans la tête de Mirolioubov, à moins que cela ne soit dans la nôtre ?



Qui n’a pas était triste de voir disparaître les sucres dans sa tasse chaude ? Alors, partons découvrir le monde merveilleux de Mirolioubov !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Le rendez-vous

Une petite fille myope - c'est important pour l'histoire- - vêtue d'une robe verte a rendez-vous avec un yéti un jeudi.

Elle l'attend. Longtemps.

Elle décide alors de faire quelques pas en attendant.et se retrouve à gravir une montagne. Cette ascension en forme de découverte est prétexte à de nombreux jeux de mots. Chaque page réserve une surprise.

Mais au fait il est où ce yéti?

Album désopilant aux illustrations en gros plan avec une chute inattendue.

Dommage l'héroine s'appellle fifille. Un peu nunul non?
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Plouf Plouf

Si le contenu de cet album est réussi à tout point de vue - une histoire drôle teintée d'absurde - on émet un bémol à propos du format proposé qui empêche l'effet flip-book de vraiment fonctionner.


Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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I am the Eggman

Du pareil au même, et inversement. Ou quand le monde se réinvente pour revenir indéfectiblement au point de départ, à cet espace de vacillement où tout est possible, où tout reste à penser, à imaginer.
Lien : https://actualitte.com/artic..
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Apprendre à ronronner

Et un jour je me dis qu'il serait bon de ronronner. Au fond les chats ont l'air si bien, si apaiser, si heureux de pouvoir émettre ce doux son mélodieux.



Armons-nous de courage car apprendre à ronronner n'est pas une chose aisée. Surtout que le temps presse Léane est de plus en plus triste chaque jour. Pas de doute que si elle savait ronronner elle serait bien plus heureuse.

L'expérience pour Albin commence dès aujourd'hui. Drôle, tendre et intelligente je craque pour ce petit roman.
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Apprendre à ronronner

Ahhh les enfants! C'est vraiment bien une idée d'enfant qu'un jour se lever et de décider d'apprendre à ronronner. Ronronner à quelque chose de si réconfortant, si paisible, apaisant. Pas de doute pour Albin, comme les chats, nous sommes des mammifères, nous sommes donc capable de ronronner. L'expérience peut commencer.



L'histoire est totalement adorable, très bien écrite aussi. Je craque pour la fantaisie de Albin (pourtant j'admire la conviction et le sérieux qu'il met à apprendre à ronronner) mais aussi sur sa volonté de pouvoir communiquer et aider une amie souvent bien triste avec un autre langage.

Pour Albin, c'est vraiment merveilleux de grandir mais il se rend bien vite compte que face à des situations particulières, il est parfois difficile de trouver les gestes et les mots pour apaiser le coeur et l'esprit.



Un très beau coup de coeur jeunesse.
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Apprendre à ronronner

Je suis un peu dubitative quant à cette lecture...

J'aime bien l'idée un peu folle d'apprendre à ronronner et de tenter des expériences...

Mais l'histoire est un peu bizarre, j'ai détesté les illustrations qui font petit et quine sont pas adéquates.

Des mots compliqués pour le public ciblé et peut-être trop de thématiques...

Bof...
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Apprendre à ronronner

Après avoir lu ce roman de l’excellente collection « Mouche », et avant d’écrire ces lignes, je suis allé sur internet pour voir ce qu’en pensaient les lecteurs. Ce que je ne fais très rarement. Je voulais voir si d’autres partageaient mon avis, tant il est tranché. Et comme je le présageais, je suis aux antipodes de plusieurs avis. J’ai détesté !!

Commençons par le plus léger.

Je n’ai pas aimé le style d’écriture, trop artificiel à mon goût, avec un vocabulaire parfois inadapté, à des enfants de 6-7 ans.

Ensuite les illustrations. Je les trouve vraiment enfantines. Cela peut être charmant quand cela correspond au contenu, mais les dessins font ici « bébé » pour un tel roman, du style de « Monsieur Madame ».

Enfin, et surtout, l’histoire elle-même.

Albin (8 ans) est arrivé récemment dans une nouvelle école. Il a du mal à s’intégrer. Seule Léane se montre accueillante. Mais celle-ci est souvent triste, pensant à sa mère décédée. Pour parvenir à la réconforter, fautes de mots, il décide d’apprendre à ronronner, ce mécanisme ayant un effet apaisant. Il lui faut donc apprendre à se comporter comme un chat, essayant étape par étape de parvenir à son objectif. Dormir rouler en boule, sans résultat. S’exprimer en miaulant, pas plus de succès… Il rencontre alors un étho-psycho-comportementaliste et on rentre alors dans la quatrième dimension, puisque celui-ci lui conseille d’apprendre à se gratter derrière l’oreille avec son pied pour pouvoir ronronner… On est dans « docteur Who au pays des fumeurs de moquette ». Ses parents le laissent mener ses expériences jusqu’au bout et vont même l’aider, ce qui peut être une bonne chose en soi, mais de là à le laisser s’alimenter comme un chat (croquettes pour chat, bol d’eau) et même lui installer une litière pour chats… Ca va très loin !

Albin finit par abandonner ses difficiles expériences, prenant conscience que c’est en lui-même qu’il doit trouver les ressources pour aider son amie quand elle est triste, et non en se comportant comme un chat. Quand même !

Cette histoire a pour fond de bonnes et touchantes intentions, mais je n’y ai pas adhéré. Sans doute mon échelle de compréhension s’arrête-t-elle au second degré, peut-être faut-il être fou de chats ? J’irai ronronner avec un autre roman.

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Forêt-wood

Lu un peu au hasard au détour d'une étagère en librairie, ce livre m'a interpellée avec sa couverture que j'ai trouvé très moderne et ultra design. Ces « bâtons » de couleur m'ont donné envie de voir un peu plus loin que cette première impression et de découvrir ce qui se cachait entre les pages de cet ouvrage. Une jolie découverte qui a, malgré tout, ses bémols …



Parlons du concept. J'adore ! Ce bouquin est une sorte d'herbier qui répertorie tous les arbres les plus fantasmagoriques et les plus farfelus jamais inventés, ayant existé ou existant, à vous de juger ! Déjà là, on tape directement dans l'originalité et le jamais vu (pour ma part). J'ai eu le sentiment d'être une exploratrice en culotte courte et chaussures de randonnée, partie avec mon carnet et mon stylo sur les traces des arbres peuplant le monde des rêves d'un auteur déjanté et bourré d'humour. Car oui, c'est avant tout un livre drôle, délirant, joyeux, plein de couleurs et très vivant que nous offrent ici l'auteur et l'illustrateur, un livre qui vous donne envie de vous rapprocher de ces arbres que l'on côtoie tous les jours sans vraiment les regarder, de cette nature qui, peu à peu, perd du terrain face au béton. Y a-t-il un message écolo là-dessous ? Peut-être, mais franchement, ça m'importait peu à la lecture. Cette forêt de bois que l'on apprend à découvrir, on l'apprécie parce qu'elle vous permet de vous évader le temps d'une lecture d'un monde rigide aux formes rondes et carrées, ici, les arbres sont faits de coton-tige, de barbapapa, où sont carrément livrés en kit à monter soi-même. Ce que j'aime dans ce livre, c'est la liberté qu'il apporte, on peut tout imaginer, c'est sans limites. Vous rêvez d'un arbre à colorier ? Pas de problème, allez à la page suivante et vous l'y trouverez ! J'aime les livres qui ne se prennent pas au sérieux tout en vous donnant une petite leçon de « morale » au passage. Et c'est vraiment ce sentiment de liberté absolue qui prime ici, l'imagination reprend ses droits et s'en donne à cœur joie. On ne s'ennuie pas à la lecture, on dévore ce livre et on a hâte de passer à la page d'après, pour voir quelle « bêtise » l'auteur nous aura concoctée. Un petit bonheur que de se laisser porter dans un univers décalé qui a vraiment du charme. On ne peut s'empêcher de penser qu'il y a quelque chose à retenir de cette œuvre, au-delà de son côté « biscornu », ce qu'elle nous apporte c'est une vision non figée de la nature, elle la met en mouvement.



C'est vrai que quand on regarde un arbre, il ne bouge pas, il reste planté là, il ne vous parle pas, ici, ce même arbre prend vie, vous parle, bouge, décide d'aller dire bonjour à ses racines parce qu'il se sent seul à la surface, c'est un véritable spectacle, et ça donne envie d'aller dire bonjour à ses petits copains qui bordent nos routes, qui emplissent nos forêts et qu'on délaisse trop souvent. Oui, c'est clairement une invitation à partir sur les terrains boueux de la forêt la plus proche de chez nous pour aller nous-mêmes créer notre herbier, histoire d'en apprendre un peu plus sur les arbres et les autres éléments qui constituent notre environnement. Car, avant tout, ce livre, c'est un dictionnaire. J'adore apprendre de nouvelles choses et ici, je n'ai pas été déçue ! Saviez-vous que le Simpsonia était un arbre marginal (cela étant dû à sa coupe à la Marge Simpson) ? Eh bien moi non ! Une chose est sûre, je me suis couchée moins bête une fois refermé ce livre ! A chaque page, on vous présente un dessin d'arbre, avec en-dessous sa légende, autrement dit son nom scientifique (en latin s'il vous plaît!) et sa définition. Alors là, j'avoue, j'ai trouvé les noms donnés aux arbres parfois difficiles à lire et/ou à prononcer, pour certains, j'ai carrément sauté le nom pour juste lire la définition, et c'est mon gros point noir pour ce livre, parce que, ayant fait du latin (même si celui employé ici est clairement modifié ^^) et ayant un certain âge déjà (que je ne révélerai pas même sous la torture!), j'ai galéré, alors, des enfants ? Je ne sais pas, j'ai trouvé qu'au lieu de faire long et pompeux, il y a certains noms qu'on aurait pu raccourcir et rendre plus abordables … Bon, il est évident aussi que c'est ce qui apporte la petite touche de fantaisie à l'ensemble, je veux dire, le « Ikeanordicus », on comprend tout de suite la blague, cet « arbre à monter tout seul », on le connaît tous, ou encore le « Sepa Sepa », le grand philosophe qui « se demande s'il est vraiment un arbre ». Clairement, l'humour réside dans ces courtes phrases, les jeux de mots sont évidents, mais le sont-ils réellement pour les plus jeunes ?



Parlons un peu des illustrations pour finir. Que dire ? Comme je le disais plus haut, j'ai adoré le style de la couverture que malheureusement je n'ai pas retrouvé dans le livre. Bon, il faut dire que le style « crayon de couleur », même s'il est sympathique, qu'il donne une impression de candeur et de douceur à l'ensemble, ne m'a pas franchement emballée. Bien sûr, je suis quand même tombée sous le charme de certains de ces arbres ainsi dessinés mais, je ne sais pas, je n'ai pas trouvé ça aussi « magique » que le texte, ça a dénoté un peu pour moi. Pourtant, les représentations des arbres sont réussies, elles mettent très bien en avant l'imaginaire créé par l'auteur des textes, mais, je trouve qu'elles manquent parfois de « percutant ». C'est peut-être justement trop « enfantin » et pour moi, les deux, texte et croquis, sont en dissonance, ma vision d'ensemble s'en en trouvée perturbée. Je m'attendais à quelque chose de très graphique, comme l'annonçait la couverture, je me suis retrouvée avec des dessins parfois juste esquissés, extrêmement simples, rien à voir avec l'image que je m'en étais faite au préalable dans mon esprit. Du coup, fatalement, j'ai été déçue. Je ne peux pas dire que ces illustrations ne sont pas belles ou adéquates, chacun le ressent comme il veut, mais moi, elles ne m'ont pas touchée plus que ça. Dommage car vraiment, ces arbres un peu plus complexes qu'on nous présente ici peuvent aller bien au-delà d'un simple tronc marron et d'un chapeau rose ! Extravagance, voilà, je pense que c'est ce qui m'a manqué dans ces dessins, l'extravagance que j'en attendais, quelque chose de tellement original, de tellement fantasmagorique, que je n'aurais pas pu me l'imaginer moi-même. Étant donné que la présentation du livre est simple, dessin d'arbre sur fond blanc + légende, il fallait vraiment que ces illustrations qui emplissent les trois quart de la page me parle pour me donner envie de vraiment plonger dans cet univers sans réserves, elles n'y sont pas toujours parvenues, de fait, quand le texte en latin me paraissait trop complexe et les illustrations correspondantes trop simplistes, j'ai tout simplement zappé la page, je vous rassure, ça n'est tout de même pas arriver souvent quand même !



Pour conclure, un livre à découvrir car ils vous donnera envie de partir en ballade en forêt et que ça fait du bien ! Partez à la rencontre d'arbres pas comme les autres, à la fois timides, rieurs, pleureurs, feuillus ou décoiffés, ils vous feront passer un bon moment plein de tendresse et d'humour entre les pages de cet ouvrage définitivement pas comme les autres !
Lien : http://coeurdelibraire.over-..
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From Eggman to Eggman

On rit, on est touché et on reste épaté de la facilité et l’économie de moyens avec laquelle l’auteur construit son petit monde.
Lien : http://www.bodoi.info/from-e..
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Apprendre à ronronner

Les parents de Albin réconfortent leur enfant avec l’adoption d’un chat. Il découvre le ronronnement et ses effets. Mais il découvre également dans sa classe une nouvelle amie, Léane, parfois triste. Albin décide donc d’apprendre à ronronner afin de réconforter Léane, comme son chat sait si bien le faire. Une ode à l’amitié et au ronronnement. Dans la collection 🪰 pour les 7 et 8 ans. C’est doux ce livre, aussi doux qu’un chat qui se pose sur nos genoux. Et aussi doux, drôle et intelligent que les illustrations de José Parando.
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Rien

Rien est une bande dessinée expérimentale. Elle pose sa réflexion sur l’absence et la présence des choses, du soi. Elle use des procédés de la bande dessinée pour explorer ces questions : les mots sont-ils là pour expliquer les images, leur donner différents sens ? Jeux de mots, jeux d’images, essai sur le trou, un trou c’est rien c’est du vide, comment de l’absence peut on donner à voir de la présence.

A la fin je me pose la question : est-ce que je lis ou est-ce que je regarde cette bande dessinée ? J’y prend un plaisir de plasticienne et pense tout simplement à Magritte et à Duchamp.
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