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Critiques de Julien Martin (54)
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Arthéon la quête de surpuissance

Arthéon la quête de la surpuissance est une aventure fantastique, dés le premier chapitre nous somme immergé dans une histoire passionnante avec un personnage principale très attachant ainsi qu'un univers originale avec de très belles rencontres avec le protagoniste et les autres personnage. Voir arthéon réfléchir et se surpasser est juste formidable. Je conseil à tous ce livre :D
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Arthéon la quête de surpuissance

Sachant que je n’ai pas vu noob, j’ai trouvé que le roman se laissait très bien lire quand même. Les personnages sont bien présentés, l’histoire est assez claire et direct. L’ouvrage se lit très bien et est intéressant jusqu’au bout. Bien rythmé et efficace.
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Correspondances criminelles

Quand Julien Martin m'a proposé de découvrir Correspondances criminelles, j'ai tout de suite accepté même si j'étais un petit peu inquiète à l'idée de découvrir ce livre : en effet, j'avais beaucoup apprécié Karak le haut-roi nain et les deux genres sont diamétralement opposés.



Je trouve l'histoire de Correspondances criminelles très intéressante, surtout dans l'évolution de ses personnages. J'ai beaucoup aimé percevoir les différences et les évolutions de chacun des personnages dans les lettres qu'ils s'adressent.

Le rythme à deux voix m'a également beaucoup plu : on a d'un côté les "méchants" et de l'autre les "gentils", les hommes de loi qui tente d'arrêter les premiers. Et puis, il y a ceux qui passent d'un camp à l'autre, comme Anna. C'est vraiment elle qui tient le rôle principal dans ce roman épistolaire et je dois dire que j'ai été assez fascinée de la voir s'enfoncer à ce point-là dans le mal.



Personnellement, je n'ai pas trouvé les différents personnages particulièrement sympathiques. D'un autre côté je ne m'attendais pas du tout à ce que le contraire soit vrai et, si ça avait été le cas, je crois que ça aurait été vraiment bizarre.

Cependant, Sophie m'a étonnamment touchée : je n'ai pas particulièrement de respect pour elle et ses actes, ni même pour sa façon de penser, mais son histoire et sa fragilité m'ont étrangement émue. Je pense que dans une autre vie, si elle avait été mieux entourée, elle aurait pu faire les bons choix pour elle et tout aurait été différent.



Finalement, je me suis inquiétée pour rien : Julien Martin maîtrise aussi bien le fantastique que le policier ! J'ai trouvé son roman assez addictif : une fois commencé, j'ai eu du mal à le lâcher. Et j'apprécie son ton calme et posé.

Par contre, l'échange épistolaire entre Anna et Rosalie quand les deux femmes vivent ensemble m'a beaucoup dérangée. Je pense qu'il aurait été plus clair et judicieux de faire des échanges plus courts, dans le genre message-post-it...

Correspondances criminelles est un roman agréable.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Correspondances criminelles

Je tiens tout d'abord à remercier l'auteur de Correspondances Criminelles, Julien Martin, pour sa confiance pour ce partenariat et cette très sympathique découverte. Malgré ses 144 pages, ce petit roman à su se montrer très addictif...



Nous suivons ici Anna, une jeune femme qui se retrouve sans rien – plus de maison, plus d'argent – à cause de son ex-mari, Philippe, qui est partis avec ses biens, après l'avoir arnaquée. Le livre s'ouvre sur une lettre du malfrat, lui disant oh combien il l'a toujours détestée, qu'il ne l'a jamais aimée, et que surtout, la plupart des personnes de son entourage ont contribué à son arnaque. Seule, en colère, la touchante et naïve Anna se retourne vers une de ses amies, Rosalie, pour qu'elle l'aide à retrouver Philippe et qu'elle la loge quelque temps. En échange, Rosalie peux lui demander ce qu'elle veux, se sera oui. Son amie accepte, et en échange, Anna devra aller récupérer des paris illégaux chez des parieurs... Elle grandira tout les échelons chez un bookmaker, se construisant un véritable réseau mafieux qui s'étend au niveau national, ce qui la rendra quasi-intouchable.



En parallèle nous suivons Philippe, qui à fuit aux États-Unis, plus précisément à Las Vegas, avec Sophie, une amie d'Anna qui à aidé son ex-mari à lui voler ses biens. Il continuera son escalade du crime en se servant de Sophie, qui cherchera par tout les moyens de se débarrasser de lui, mais il lui fait des propositions tellement alléchantes, qu'elle ne peut plus rien lui refusé, et qu'elle continuera à le servir, malgré qu'il ne soit pas honnête avec elle.



Nous suivrons aussi Jérémy, procureur, et Guillaume, un commissaire, qui chercheront à démanteler le réseau d'Anna, mais aussi se mettront sur la piste de Philippe et Sophie, car cette dernière est partie sans laissé de trace avec un homme dont tout le monde se méfie.



On suit nos protagonistes à travers des échanges de lettre, un chapitre pour une correspondance entre deux personnes, passant à trois ou plus à la fin du livre. Seul petit bémol, c'est l'échange de lettres entre Anna et Rosalie alors qu'elles habitent ensemble.



En bref, un petit roman qui se laisse lire vite, addictif, à lire sans modération !
Lien : http://onceuponatime.ek.la/c..
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Correspondances criminelles

Tout d'abord je veux remercier Julien Martin de la confiance qu'il m'a accordée, en me soumettant son livre pour publier une critique dans ce site. C'est courageux, ne sachant pas à l'avance de quel accueil son livre pourra bénéficier.



C'est donc un roman épistolaire, policier, ce qui n'est pas courant dans ce registre. C'est aussi un exercice délicat dans lequel il faut savoir être concis, précis et ne pas tomber dans la platitude. Ces écueils-là, l'auteur a su les éviter en prenant le parti du deuxième degré, car on sent bien à travers ses lettres qu'il ne prend pas vraiment au sérieux ses personnages en faisant d'eux des acteurs tragi-comiques. Du très méchant Philippe M. à la naïve Sophie A., du très sérieux procureur au non moins sérieux commissaire et des deux pestes Anna V. à Rosalie M. , deux personnages en passe d'être de parfaites criminelles.



Tout se résume à une portée de coups : coups bas, coups foireux, coups d'essais, coups d'éclats, coups tordus, coups de théâtre et coups mortels. Le ton est incisif, voire très méchant et la conclusion, ne fait ni dans la dentelle ni dans la morale….

À regretter cependant, les personnages s'expriment tous de la même façon et manquent un peu de personnalité, et avant d'imprimer on aurait apprécié le travail d'un correcteur, tant pour l'orthographe que pour les accords de verbes, ne laissant pas ainsi la place à tant de coquilles, qui perturbent malgré tout la lecture.
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Correspondances criminelles

Trompée, trahie, ruinée par son mari Philippe Morel et son amie Sophie Alucard, Anna Vendetta rêve de vengeance. Pour la remettre à flots, Rosalie Milady lui propose de travailler pour elle dans son business de paris clandestins. Sans scrupules et efficaces, les deux amies sont recrutées par Gérard Larme, le caïd des bookmakers marseillais. C'est le début d'une nouvelle vie pour Anna qui grimpe les échelons jusqu'à prendre la tête d'un empire criminel qu'elle envisage d'étendre dans tout le pays, voire le monde. Pendant ce temps là, Morel sévit toujours. Exilé aux Etats-Unis avec Sophie, il monte d'audacieuses combines grâce aux multiples talents de sa complice, qu'il manipule et menace à l'envi. Corrompues, les forces de l'ordre et la justice ne se mêlent ni des affaires d'Anna en France, ni de retrouver l'escroc expatrié. Seuls deux hommes rêvent de les voir derrière les barreaux : le procureur Jérémy Marceur et le commissaire Guillaume Moute. Mais les deux alliées auront-ils la carrure pour s'opposer à la désormais riche et puissante Anna Vendetta ?





Dès la première page, l'ignoble lettre de Philippe Morel à son épouse, abandonnée et ruinée par ses soins, donne le ton ! On a bel et bien affaire à un roman épistolaire mais il ne faudra pas y chercher sérieux, rigueur ou vraisemblance. Rien que le nom de la pauvre victime, Anna Vendetta, laisse des indices pour la suite. Si on est bien dans un polar avec escroqueries, crimes crapuleux, mafia, malfrats, désirs de vengeance et enquêteurs, on est plus dans le burlesque que dans le thriller noir. Patronymes ridicules (Rosalie Milady! Sophie Alucard -à remettre à l'endroit!), tons des lettres grandiloquents (oh! le méchant, très méchant Philippe Morel qui menace sa complice des pires sévices si elle cesse de lui obéir), comportements loufoques et outrés font un monde où tout se règle par le meurtre, où ce ne sont pas forcément les gentils qui gagnent à la fin.

Portée par une héroïne qui passe de victime naïve et éperdue d'amour à chef suprême d'une organisation mafieuse en moins de temps qu'il ne faut pour essuyer ses larmes, cette fantaisie "comico-polaresque" réserve de bonnes surprises aux lecteurs avides d'originalité et d'humour.

Un grand merci à Julien MARTIN pour sa confiance.

Un petit bémol : Les éditions Edilivre devrait veiller à s'attacher les services d'un relecteur, d'un correcteur ou de toute autre personne susceptible de vérifier grammaire,orthographe et conjugaison avant impression!
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Douceur le sorcier maléfique

Superbe histoire que voilà, le personnage principal, un sorcier prêt à tout pour faire valoir sa puissance et des subordonnés quelque peu maladroits et assez idiots vous feront mourir de rire. Cet ouvrage est plus qu'une lecture, c'est plonger dans un monde fantastique drôle et captivant, avec des références que vos enfants ou même vous-mêmes qui lisez cette critique reconnaîtrez.



C'est vraiment pour tous les âges et je le conseille vivement, je me suis vraiment bien amusée en le lisant.
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Douceur le sorcier maléfique

Agréable surprise que de découvrir ce bouquin d'héroic fantasy comique! On suit ici les aventures d'un sorcier mégalo, anti-héro, et de son sbire stupide et attachant...l'histoire est truffée de références culturelles, historiques, détournées avec humour, avec un petit quelque chose qui rappelle la veine de la série BD "Donjon", ou l'humour de la série "Kaamelott". Je recommande ce bouquin qui plaira aussi bien aux enfants qu'aux adultes...
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Douceur le sorcier maléfique

Il semblerait que mes critiques n'apparaissent pas...

La première a disparut, la deuxième aussi... Mais je ne lâche pas l'affaire!

Alors voilà,

Au début quand j'ai reçu le livre (gentiment envoyé par l'auteur), je me suis dit en lisant le résumé... qu'est ce que c'est que çà?

puis n'ayant qu'une parole, je l'ai lu... Et là j'ai été agréablement surpris par l'écriture bcp plus légère et entrainante que certains livres bien "lourds", Un univers étonnant qui m'a rappelé un peu Terry Pratchet par sa douce folie, son univers décalé, oscillant continuellement entre la folie, l'aventure, l'humour potache (que j'adore...) à certains moments j'imaginait apparaître un Gandalf à d'autres karadoc... parfois même un hurluberlu... et pourtant je trouvais çà normal. lol!

Une chose est sûre, même si mon explication est un peu compliquée, j'ai passé un excellent moment avec ce livre!

J'ai donc au final été très agréablement surpris...

J'ai hâte de lire d'autres œuvres du même auteur!
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Douceur le sorcier maléfique

Merci beaucoup à Julien Martin de m'avoir proposé de découvrir son nouveau roman :)



J'ai découvert ce qu'était l'héroic fantasy comique, aimant les romans comiques et l'héroïc fantasy, je pensais apprécier et je ne me suis pas trompée.



Même si, je l'avoue, ce n'est pas forcément mon humour car c'est un peu lourd. Dès le début, j'ai compris que c'était plus pour mon mari ou mon ado que pour moi, mais je l'ai lu avec plaisir.



Ritam et le Gobelin Gron m'ont amusés. J'ai sourit régulièrement, rit plusieurs fois, et même si ce n'est pas forcément le genre de romans que je lis, j'ai apprécié de changer de style le temps de découvrir Douceur, le sorcier maléfique.



Je trouve que ça se lit rapidement, on ne s'ennuie pas un moment, c'est rythmé.



Mon mari est en train de le lire et ça l'amuse beaucoup, il trouve ce roman original, et le mélange des genres réussit.



Je le recommande, c'est un livre surprenant mais ça fait du bien aussi les romans qui changent :)
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Douceur le sorcier maléfique

e ne suis pas du tout habitué à lire ce genre de roman, de la fantasy comique. A part le donjon de Naheulbeuk, que j’ai suivi en audio et en BD, je ne lis pas vraiment ce genre de roman. Il m’a donc fallu plusieurs pages pour rentrer dans l’histoire, pour m’habituer à la narration et à l’humour.

L’écriture des dialogues m’a beaucoup dérangé au début également, ils ne rentrent pas dans la narration et sont écrits comme un script. J’ai mieux compris quand j’ai su que c’était une série audio, cela m’a paru plus logique. Le côté narration par contre ne m’a pas dérangé, il fait avancer très vite l’histoire, une fois les 30 premières pages passées, le roman se lit très vite.

J’ai bien aimé les personnages. Gron, le gobelin acolyte de Ritam le génie du mal, m’a plu dés le début avec ses réflexions qui tombent souvent à l’eau et ses nombreuses bêtises. Et c’est assez drôle de voir les échecs successifs de Ritam.

On y retrouve beaucoup de référence à la culture populaire, au monde de YouTube et des jeux vidéos (j’ai du en louper pas mal par manque de connaissances)
Lien : http://frontwing.co.uk/blog/..
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Douceur le sorcier maléfique

Je remercie chaleureusement Julien Martin qui a eu, une nouvelle fois, la gentillesse de me faire parvenir son dernier roman. Celui-ci me tentait beaucoup par son univers fantasy, limite fantastique-SF : j'aime les histoires de magie, de monde extraordinaire et de quête bizarroïdes... surtout quand les héros sont des méchants ! Du coup, autant dire que Douceur, le sorcier maléfique avait tout pour me plaire !



Le roman, ou plutôt son histoire, m'a, en effet, beaucoup plu, par contre, j'ai beaucoup moins accroché à la narration. Et ce, pour une raison toute simple : ce n'est pas mon humour. Après, les lecteurs qui me suivent depuis un bon moment savent très bien que niveau humour, je suis des plus difficiles : j'aime quand c'est léger, fin, pas forcément spirituel, mais assez recherché... Là, ce n'est pas lourd, mais c'est un humour personnel que je pourrais qualifier de "private joke" : c'est un humour à la Naheulbeuk, donc autant dire que je ne me fais pas de soucis pour les autres lecteurs. C'est un humour qui plait et qui n'a donc plus à faire ses preuves ;p

L'histoire, par contre, m'a beaucoup amusée : ça a tout également d'une histoire à la Naheulbeuk, et j'ai donc suivi avec attention les aventures de Rintam et de ses acolytes.



Les différents personnages sont sympathiques et apportent beaucoup de fraîcheur à l'histoire. J'ai particulièrement apprécié Gron qui m'a beaucoup amusée par ses bêtises et ses coups de chance assez mémorables ! D'autant plus qu'il se révèle très attachant (je ne pensais vraiment pas dire un jour que je trouve un gobelin "mignon").

Rintam et l'elfe sont des personnages au fort caractère qui se révèlent assez drôle finalement. J'ai beaucoup apprécié la façon dont tous les évènements se retournaient systématiquement contre eux ! J'ai trouvé amusant l'effet miroir qu'on pouvait donc avoir entre eux et Gron...



L'écriture de Julien Martin est très agréable et truffé d'humour (comme je le disais plus haut, soit on adhère, soit on n'aime pas), le rythme est rapide et il se passe beaucoup de choses. Le côté private joke est assez déroutant puisqu'il se passe beaucoup de chose en même temps, sans forcément grand rapport qui rend la lecture un peu difficile. J'ai tout de même passé un très bon moment avec ce roman !

Un roman à la Naheulbeuk plein d'humour.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Douceur le sorcier maléfique

Rintam, le sorcier, toujours à la recherche de nouvelles puissances, et ses elfes pleins d'humour, de drôlerie...vraiment de bons moments qui font sourire.

Comme nous le prouve l'auteur, c'est un livre drôle et agréable.

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Douceur le sorcier maléfique

Je tiens tout d'abord à remercier l'auteur qui m'a fait parvenir son roman afin que je le lise.

Je ne pense pas que j'aurais acheté ce livre par moi-même. Je lis de la fantasy, mais de la fantasy-comique c'est une première.

Tout d'abord j'ai eu du mal à accrocher au niveau visuel. Les pages sont trop blanche (j'ai l'habitude du papier recyclé) et du coup au soleil ça donne mal aux yeux.

Ensuite c'est la mise en page du texte : les bordures sont trop importantes. Ce qui donne un aspect assez "étroit".

Mais je m'y suis mise.

La narration est assez simple. L'écriture est basique. J'étais surprise au niveau des dialogues. J'avais plus l'impression de lire une pièce de théâtre qu'on roman. Certain passage aurait mérité d'être exploité un peu plus. Et parfois donner plus de description aurait été sympa.

Sinon dans ce roman il y a énormément de référence littéraire. Et ça donne un petit plus. Voir des noms de personnages ou de lieux détournés mais toujours de manière à bien reconnaître la référence.

Un roman donc sans grande surprise. J'ai passé un moment agréable mais pas mémorable. Je pense que l'histoire aurait eu plus d'impact sous un format audio. Car une lecture par des personnages donnerait plus de consistance.
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Fried l'humble ambitieux

Je tiens a remercier chaleureusement l'auteur, qui m'a proposé de lire cette fan-fiction qui se tiens dans l’univers Warhammer . Ne connaissant pas du tout cette univers , ce livre a été une superbe entré dans cette univers foisonnant . Fried le personnage principale de cette histoire, est une personne prêt à tous pour atteindre ses objectifs, ce qui le mènera sur de sombres chemins.

J'ai adoré parcourir les différents continents de cette univers, rencontré certains grands pontes de Warhammer , et surtout revisité un des moments les plus controversés de cette univers .

Cette fan-fiction ce lis très facilement même pour un néophyte de la lecture (ce qui est mon cas).

L'histoire est prenante , les chapitres se dévorent en un rien de temps, tellement qu'on en voudrait même un peux plus . Si il y avait un petit bémole, j'ai eu un peu du mal à me représenter le temps qu'il pouvais se passer entre les différentes aventures de notre protagoniste, ceci étant du à la longue longévité de ce dernier, mais cela ne m'a en rien rebuté .



Bref une très bonne Fan-fiction, à lire sans modération, tant pour les vétérans de Warhammer , que pour les néophyte comme moi .

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Karak, le haut-roi nain

Karak, le haut-roi nain est un roman qui m'a beaucoup plu. Appartenant à la fois au genre fantastique mais aussi à la critique et notamment à celle de nos sociétés. Je ne peux que féliciter son auteur Julien Martin pour son élégante écriture et il faut dire les subtiles messages qu'il fait passer à travers son œuvre. Sur ce, je ne peux que trop recommander son livre, vous n'en serez pas déçu. Rendez-vous sur la planète Gerboisia et d'un bond vous y serez transporté dans le temps !
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Karak, le haut-roi nain

Je n'ai pas l'habitude de lire des livres fantastiques, mais il m'a beaucoup plu. Il est bien ficelé, il a un côté passionnant, on voit que l'auteur maîtrise son sujet.
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Karak, le haut-roi nain

« Karak le haut-roi nain» de Julien Martin



« Karak le haut-roi nain » sorti aux éditions Mélibée en août 2012 n’est pas un roman fantastique à proprement parlé. Ce n’est pas le terme « fantastique » qui me gène, car on est bien là dans un univers fantaisiste. Pour moi il s’agit plus d’un recueil de nouvelles que d’un roman, un peu à la façon de Catherine L. Moore avec les aventures de Northwest Smith où toutes les nouvelles tournent autour des mêmes protagonistes. Dans « Karak le haut roi nain », les chapitres pourraient se lire indépendamment les uns des autres, hormis peut être les deux premiers qui permettent de planter le décor.



On se retrouve donc à suivre les péripéties des nains de Gerboisia et autres délibérations du haut-conseil présidé par Karak le haut-roi. La lecture est fluide et rythmée par de courts chapitres mélangeant habilement sujets sérieux et humour.



Certes il arrive parfois que des personnes soient obèses à cause de leur métabolisme, mais la majorité des gros souffrent d'un fort embonpoint parce qu'ils mangent trop.



Julien Martin fait très fort en faisant traiter par des nains, des sujets modernes tels que la religion, le fanatisme, la guerre, la santé, l’écologie et des problèmes sociaux comme l’avortement, le divorce ou le droit au port de la mini-jupe. Tout ça dans un monde fantaisiste peuplé de gobelins, d’orques, d’elfes et d’humains. Je dois dire que le mélange des thèmes choisis par l’auteur à l’univers purement fantastique de Gerboisia est vraiment bien fait. On imagine très facilement Karak au milieu des chefs d’états lors d’un prochain sommet du G20 qui se déroulera pourquoi pas à Broka !!!

En outre si malgré tout les ventes n'augmentent pas assez, l'état se rattrapera en augmentant la taxe sur les très hauts revenus, elle passera de 0,5% à 0,75%.



« Karak le haut-roi nain » est aussi à sa manière, un livre qui dénonce d’une manière subtile nos dérives modernes. J’ai commencé à lire ce livre quelques semaines après la sortie du documentaire « Tous cobayes » de Jean-Paul Jaud, film à charge, entre autres contre les OGM. Retrouver dans ce livre le haut-conseil s’inquiéter du culte Monsanta vénérant le dieu de la famine m’a vaguement fait penser à un autre géant de l’industrie biotechnologique dont le nom se termine par « O ».



Il existe un culte dangereux, qui gagne constamment en importance au sein des multinationales du pesticide chimique, celui de Monsanta le dieu de la famine.



Et, à l’heure où les médias nous parle constamment des déviances religieuses quelles qu’elles soient, des attentats, ou guerres au non d’un Dieu, comment ne pas citer Glinus membre réformateur du haut-conseil :

A vous entendre on dirait que ceux qui n'ont pas la foi, doivent être considérés comme de dangereux déviants. Alors que se libérer de la croyance religieuse, s'avère un moyen d'éviter de sombrer dans la démence. La foi a généré quantité de guerres, en se débarrassant de ce fardeau, les nains connaîtront une ère de paix.



« Karak le haut-roi nain » est un livre plaisant à lire, prêtant souvent à sourire tout en traitant de sujets sérieux qui nous concernent tous de près ou de loin.

S’il fallait mettre une note, ce serait un gros 3 sur 5. Pour avoir réussi la transposition politico-sociale de notre époque à celle de Gerboisia et de ses habitants. Et surtout l’envie de découvrir de façon peut être plus romancée les aventures de Karak et de ses sujets. En attendant cette « suite » hypothétique, Julien Martin a écrit en 2011 « Le chevalier des Elfes », un roman de plus ajouté à ma liste de livres à lire.



D’Haese François / TrepanBouB

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Karak, le haut-roi nain

ce livre est genial si on n est malin on peut y arriver le heros l est encore plus .car il est respecteux de son peuple et il les aide a aller de l avant pour que le demain soit meilleur il trouve toujours des solutions pour remporter des battailles et ridiculise ses ennemis et faire avance les futur generations
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Karak, le haut-roi nain



belle satire de la société humaine

contée au travers d'un monde fantastique...

tout est passé en revue...

politique, économie, morale, éthique, religion, écologie....

tous les types de caractères des nains

peuvent se calquer sur ceux des hommes...

ce livre se lit facilement un peu comme une bd sans image...
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