Kanehito Yamada

J'ai préféré de tome au premier, qui est plus dynamique et qui nous propose plus d'action. On a toujours cette alternance entre passé et présent que j'aime beaucoup, les deux sont nécessaires au bon développement de Frieren. Avec son apprentie elles voyagent, et elles vont rapidement intégré à leur groupe un nouveau personnage intéressant, fort mais trouillard. J'ai hâte de pouvoir lire la suite !

C’est avec beaucoup de plaisir que je me suis plongée dans le deuxième tome de Frieren où l’on retrouve le duo Frieren et Fern qui se lancent donc sur la route en direction du nord vers le château du roi des démons pour récupérer Aureole.

C’est un long trajet au long duquel elles continuent à multiplier les rencontres et la plus importante d’entre elles est sans aucun doute Stark, jeune guerrier apprenti d’Eisen, qui a peur de l’adversité mais qui a un joli cœur.

Si une bonne partie du récit est tourné vers le passé avec des apparitions et beaucoup de rappel à Himmel, j’ai trouvé agréable l’ajout de ce nouveau personnage qui apporte un peu de modernité et qui, malgré ses attaches à Eisen, porte un regard un peu neuf sur les dynamiques en place et sa présence fait du bien au duo principal.

Son arrivée coïncide en plus avec une opposition que Frieren a déjà croisée dans le passé mais qui est bien plus redoutable que tous les petits démons croisés jusque là.



Petit à petit, j’ai eu l’impression que Frieren reconstruit autour d’elle son ancienne équipe et le but qu’elle s’est fixé donne un certain sens à son aventure qui serait sinon un peu trop anecdotique.

Pour autant, j’aime aussi beaucoup les petits moments hors action pure dans lesquels le trio s’installe parfois et je trouve qu’ils participent à un certain équilibre dans lequel l’elfe trouve doucement sa place.



Tout cela fait de Frieren un manga qui réussit jusque là à être plutôt efficace, qui me parle bien et dont j’ai hâte de découvrir la suite.
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Mes sagas de manga approchant un peu toutes de leur fin, j’ai eu envie de me lancer dans de nouvelles et Frieren m’a tapé dans l’œil avec sa jolie couverture et son histoire d’elfe. C’est très rare que mes lectures portent sur des évènements post-bataille mais c’est exactement ce dont traite ce titre, qui s’attache à suivre Frieren, une jeune elfe, une fois qu’elle et son groupe d’aventuriers ont sauvé le monde.

Elle, qui vieillit bien moins vite que ses anciens partenaires, elle continue à parcourir le monde pour collectionner les sorts tandis que Himmel puis Heiter vieillissent et meurent, laissant derrière eux leurs souvenirs de cette quête commune.

Frieren va essayer de ne pas les oublier et continuer à faire vivre leur mémoire, passant du temps avec eux et refaisant leur ancien parcours en compagnie de Fern.



On est dans un joli titre, au beau dessin, mais également porté par une certaine mélancolie qui m’a parfois envahie, avec un discours qui tourne beaucoup autour de la mort.

Pour autant, le titre n’est pas misérabiliste, Frieren ayant la vie devant elle et se laissant agréablement porter par les rencontres qu’elle fait.

De même, on n’est pas dans quelque chose d’ennuyeux, les personnages croisés offrant des petites quêtes et l’ancienne aventure refaisant parfois surface, l’elfe cherchant toujours à rendre hommage à ses anciens compagnons.

J’ai aimé aussi ce lien qui se créé entre Frieren et Fern, qui démarre par une association un peu obligatoire pour évoluer vers une jolie amitié que j’espère voir continuer à grandir dans les prochains tomes.
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Extrait :

L’examen pour être magicien de premier rang va commencer pour Frieren et pour Fern, qui ne sont d’ailleurs pas dans le même groupe. Pour Sein, c’est le moment d’une pause bien mérité, il en profite donc pour faire un peu ce qu’il souhaite. La première épreuve semble déjà bien vache et compliquée, les instructeurs n’ayant aucun remords à voir des candidats périr (alors même que ça les affaiblis niveau armée du coup). Du peu que j’ai vu, ils semblent bien arrogants pour des pseudos forts (dans le sens, où à l’époque d’Himel, ils n’auraient sans doute rien valu niveau puissance).



Je trouve ça assez étonnant, que les moyens d’évaluations des sorciers changent régulièrement, sans prendre en compte les sorciers venant d’ethnie ayant une certaine longévité. Ça engendre pleins de soucis, notamment le fait de devoir refaire des examens à chaque changement… La série démontre déjà via ce point que l’être humain est bien égoïste, puisque ce problème ne lui vient même pas à l’esprit, et ce, depuis déjà plusieurs générations visiblement. Frieren l’évoque elle-même, que ça change toutes les cinq minutes (dans sa vision du temps). C’est d’autant plus absurde, qu’une elfe, comme elle, ne peut qu’elle en s’améliorant vu qu’elle vie plusieurs siècles. Autre point que cela soulève, encore une fois, l’humain oublie, et vite, il suffit parfois de deux générations pour cela, ce qui est assez rapide en soi. Certains des plus anciens connaissent encore le nom de Frieren, mais seulement son nom et ses exploits. Ils ignorent tout de ses capacités, et on la naïveté qu’ils s’en rapprochent, alors que l’humanité, semble au contraire, s’affaiblir côté magie.



Autre élément évoqué, la paix, chose que l’on souhaite tous, pour tous, mais qui malheureusement n’est souvent qu’éphémère, une minorité souhaitant toujours jouer à la plus grosse, en entraînant avec elle des innocents. L’un des problèmes de la paix, c’est déjà l’oubli, oui, mais aussi le fait qu’on peut un peu se ramollir. La guerre c’est fini, pas besoin de se battre à nouveau, donc au final, plus vraiment besoin de se surpasser à chaque instant. C’est cela qui fait que l’humanité régresse en puissance dans la série, et redevient un peu naïve vis-à-vis des démons, qui n’attendent que ça pour recommencer. Est-ce une manière, une image, qui peut être reliée à la réalité ? Oui, sans aucun doute, les démons étant la minorité que j’ai cité plus haut, les naïfs c’est nous les petits citoyens qui souhaitent juste vivre tranquillement. Au vu des événements récents dans la série, la paix semble d’ailleurs bien fragile, les démons tentant à nouveau de conquérir certains royaumes humains… Visiblement, ils doivent surtout tester la puissance de l’humanité, ils ne sont pas idiots, eux. S’ils voient qu’ils sont bien faibles, alors même Frieren ne pourra pas faire grand-chose, elle est seule après tout, même si Fern et Sein l’accompagne, ils restent encore jeunes.



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Frieren est une de mes séries chouchoutes en ce moment. Que ce soit pour l'animé ou le format papier, je suis aux aguets lors des sorties 🥰



Pour ce 11eme tome, nous la retrouvons avec Denken pour l'ultime combat face à Solitar et Macht... Certes, il va prendre une bonne partie du tome, mais il vaut vraiment le détour ! J'ai trouvé les réflexions intéressantes, les combats soutenus et la fin du combat est touchante des deux côtés.



Comme ce n'est pas le dernier tome, c'est le moment d'un spoil : Frieren va s'en sortir et continuer ses aventures aux côtés de ses compagnons, Fern et Stark 😁 On reprend donc la visite des villages aux alentour et un nouvel arrêt va les faire rester un peu plus longtemps : Les stèles d'une déesse qui n'ont pas été étudiées depuis longtemps 😇



Après avoir savourer ce tome, on repart dans une loooooooongue attente (exagération au max) pour le prochain. Heureusement, le bonheur se prolonge avec l'animé 😁 En tout cas, mon adoration pour cette série ne s'essouffle pas encore, j'ai même hâte de continuer !


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L’exploit d’une sensibilité à tant de nouveaux personnages

Stark est blessé, par chance, un village est à proximité. Notre groupe mené par l’elfe Frieren retrouve Sein, un prêtre ! Stark est sauvé grâce à la magie du prêtre, comment se fait-il qu’un talentueux comme lui crèche dans un village sans y bouger ? Le frère de Sein explique aux aventuriers qu’il aurait toujours aimé partir à l’aventure mais le courage lui manque. Le convaincre n’est pas non plus facile.



Sur les routes des contrées du Nord, nos aventuriers rencontrent ici un compagnon de passage. Une petite halte au village nous permet ainsi de comprendre la bravoure qu’il faut pour combattre les dangers d’une aventure. Un tome encore poétique et touchant, Sein incarne un personnage empathique qui se laisse convaincre qu’il faut prendre son courage à deux mains, même si on est un peu entêté.



Un tome de transition certes, mais toujours aussi bien écrit et dessiné dans cette aventure qui s’annonce géniale. Frieren est un manga qui sait donner une personnalité forte à chacun des personnages, même lorsqu’ils ne sont que secondaires.
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Avec un grand combat qui se prépare sur plusieurs chapitres, et des flash back qui fournissent de nombreuses explications, ce dixième tome est vraiment très prenant.

Les héros sont dans l'attente d'une solution mais celle-ci prend du temps. Il y a donc une tension palpable qui s'intensifie au fur et à mesure de l'histoire et qui nous laisse finalement sur notre faim à la fin du tome.

Il y a moins d'humour dans ce tome mais on en retrouve quand même quelques touches ici et là.

Une série de qualité avec un dessin qui porte attention à la fois aux paysages et aux personnages.

Comme c’est pas la grande forme en ce moment, j’avais besoin d’une valeur sûre, une lecture doudou et ce sixième tome m’a apporté ce réconfort nécessaire.



Frieren et Fern passent la seconde épreuve pour devenir mage de première catégorie. Les mages ayant réussi la première épreuve participent également : ils pénètrent dans le tombeau du roi déchu, et doivent atteindre le cœur du lieu.

L’endroit est gardé par le démon Spiegel… et bon sang, ce que ses pouvoirs sont vils.

Quelques mages forment des équipes et s’en sortent mieux. On suit certains des groupes, notamment celui avec Übel. Je crois que je ne suis toujours pas fan du personnage, mais il faut bien avouer qu’elle est quand même sacrément forte et heureusement qu’elle est là.

On retrouve également le groupe de Denken, j’aime bien son équipe donc ça passe bien. Quant à Wirbel, il est peu présent. Dommage.



Nos héros explorent le tombeau qui est en réalité un donjon. C’est l’occasion pour Frieren de se remémorer de bons souvenirs avec Himmel et les autres. J’ai l’impression que ça faisait un moment qu’on n’en avait pas eu et ce retour du côté nostalgie m’a énormément plu.



Il n’y a pas grand-chose à dire de plus, surtout que je souhaiterais éviter les spoilers. J’ai passé un excellent moment dans ce tombeau, les chapitres se sont lus rapidement, les pages défilaient sans que je m’en rende compte. Je me suis attardée sur les illustrations que j’adore, et j’ai pris plaisir à détailler chaque vignette.

C’est un coup de cœur pour ce sixième tome de Frieren et j’ai hâte de commencer le prochain.
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ce premier tome est une belle surprise. un joli cocktail d'humour, d'aventure, d'action, de magie. Le thème du temps qui passe apporte une pointe de nostalgie, sans tristesse excessive, nous amenant juste à méditer sur la fuite du temps et sa préciosité.

Les personnages sont expressifs et attachants.

les dessins sont superbes et la composition variée des cases rend la lecture dynamique j'ai hâte de lire le tome 2 !

Extrait :

On continue avec des lectures fantasy (l’un de mes genres préféré), avec ce troisième tome de Frieren. J’essaie d’avancer sur la série papier, afin de pouvoir commencer l’anime. J’ai tendance à avoir moins envie de lire une fois que j’ai vu l’anime (même si ce n’est pas toujours le cas, heureusement). En plus de ça, je pourrais aussi comparer les deux dans ma chronique sur l’anime ! Donc let’s go, retrouvons l’adorable et assez peu expressive, Frieren et les autres membres de son groupe d’aventurier. Les démons n’ont qu’à bien se tenir !



Au début de la série, on avait surtout un slice of life autours de Frieren, une elfe qui a déjà bien vécu et dont la notion du temps semble bien différente de celle que nous avons en tant qu’humains. Quoi du plus normal ? Elle vit bien plus longtemps que nous, et comme elle l’a indiqué, c’est à la fois un avantage et un inconvénient. L’avantage, c’est qu’elle peut apprendre autant qu’elle veut, prendre le temps de faire les choses. À l’inverse, elle ne peut que perdre ses proches d’autres espèces les uns après les autres. Quant à son espèce, cette longévité fait qu’elle ne ressent pas la nécessité de se reproduire, ce qui la conduit inévitablement à son extinction depuis que plusieurs villages elfes ont été détruits. Malgré cet aspect tranche de vie très présente au début, l’intrigue semble partir dans une nouvelle direction, plus courante dans les mangas. Frieren est désormais accompagnée de nouveaux compagnons, et elle en gagnera sans doute plus à l’avenir. Son but : éliminer tous les démons restant, tout en récupérant des sorts.



J’aime bien le fait que Frieren est une passion, et que celle-ci soi la collection de sorts diverses et atypiques. D’une certaine manière, cela montre qu’elle peut être aussi matérialiste que nous. Dans le sens, où elle collectionne des objets physiques, sans en avoir toujours l’utilité (comme moi et mes mangas). D’ailleurs, à un certain niveau, cela peut également devenir une maladie ou un toc, où l’on accumule parfois de tout et n’importe quoi (souvent pour combler un vide). Cette facette de Frieren l’a rend plus abordable, dans le sens où elle a aussi les mêmes travers que certains êtres humains. Même si l’intrigue se concentre sur le présent, le passé n’est pas oublié pour autant. Au contraire, les événements du présents sont utilisés afin de raconter le passé, la rencontre de Frieren avec l’équipe de héros, sa rencontre avec son maître… Au final, il y aura sans doute plusieurs flashback au cours de la série, afin de saisir pleinement d’où elle vient, et les événements importants de sa vie (j’espère que ça ne finira pas tristement).



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Frieren l'elfe mage, continue à remonter la piste des dix années les plus marquantes de sa vie, celles où elle était accompagnée d'un héros, d'un nain guerrier et d'un mage alcoolique.



Himmel, le héros, est mort au début du premier tome et dorénavant, pour Frieren et pour nous, l'année son décès servira d'an 0.



En retournant sur les lieux marquants de dix années de périples, Frieren a aussi retrouvé le prêtre qui avant de mourir lui a confié la formation de Fern, une humaine aux puissants pouvoirs magiques.



Dans ce deuxième tome, Fern et Frieren écopent d'un but : se rendre à Auréole, lieu supposé du paradis. Eisen, le nain guerrier, 4ème membre de la compagnie initiale, confie un autre jeune à Frieren. Il s'appelle Stark, a peur de beaucoup de choses mais a un grand potentiel de guerrier.



Petit à petit, une nouvelle compagnie se forme auprès de Frieren. Laquelle peut mesurer ses progrès dans la compréhension des humains (à la vie ridiculement courte par rapport à la sienne).



La série est marquante par ce passage et cette mesure du temps tous particuliers. Plusieurs mois peuvent s'écouler en une seule page. De nombreux flashback parsèment le récit alimentant de façon régulière le background des personnages.



Mais il ne s'agit pas que de se remémorer le passé. Le présent est bien là et Frieren et ses nouveaux compagnons font face aux premières vraies difficultés car monstres et démons peuplent encore largement ces contrées.

C'est vraiment un très joli manga à l'ambiance mélancolique. Les dessins sont beaux et mettent en avant un univers "médiéval" et fantastique (sauf les dessins du nain). J'adore la façon dont le temps s'écoule à travers les yeux de Frieren. C'est d'ailleurs un personnage atypique, qui peut paraître froide mais avec un côté très attachant. Sa relation avec Fern est très originale. J'apprécie aussi ce concept autour des aventures des héros de guerre après avoir vaincu l'ennemi.

Au début, j'étais très dubitative, très surprise par le découpage temporel. Ça m'a vraiment sorti de ma zone de confort et avec le recul, je me rends compte que j'ai adoré.

C'est donc un coup de cœur pour ce manga poétique, mélancolique avec quelques touches d'humour.

Coup de cœur ! Un manga vraiment bien écrit et dessiné à mon avis. Les personnages sont très attachant•es et le concept est original, on suit la vie de Frieren, un elfe, après la conclusion d'une quête avec des compagnons pour vaincre le roi des démons. Pour elle le temps coule de manière différente de la nôtre, 10 ou même 30 ans c'est pas grand chose. J'en dis pas plus mais lisez le il est vraiment bien !

Un manga fantasy qui se différence des autres par son questionnement sur le temps qui passe au travers d'une elfe. On suit ce personnage hors du temps, immortel, qui voit la vie des autres défiler sous ses yeux, et se questionne alors sur le sens de l'existence humaine. Découverte intéressante, mais qui manque un peu d'action.

« Frieren » est toujours aussi excellent et fort, une pépite. Le voilà également arrivé à son tome 10, celui-ci est d’une force implacable et très intéressant, nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Nous pouvons aussi remarquer une gestion très habile du temps et du moment où nous apprenons certains éléments.

Ce tome se situe en grande partie dans le passé, celui de Macht et de Glück, une relation des plus étranges. Nous rencontrerons aussi Solitär, un autre démon puissant et plein de ressources.

Macht et Solitär pourraient nous paraître à la fois attachant et cruels, mais c’est plus compliqué que cela quelque part, vu qu’ils peuvent imiter des humains, mais absolument pas comprendre leurs sentiments. Ils en sont dépourvus, ainsi la malice, les regrets, la culpabilité … Ils ne les connaissent point, cela les libère de toutes entraves mais les rend aussi bien plus terrifiants.

Affronter un démon est limite suicidaire, enfin encore plus si vous tentez de faire appel à ses sentiments inexistants.

Pourtant certains démons s’intéressent aux humains, à les comprendre, et ils ont du temps à revendre devant eux. Macht et Solitär font partis de ceux qui étudient les humains à leur façon.



La rencontre entre Macht et Glück est intéressante, Glück a une façon de tout temps de réagir assez étonnante, mais qui aura su intéresser Macht. Ainsi ils se nouent une relation assez exceptionnelle entre eux, ils accompliront beaucoup. Macht accepte d’être à son service d’une certaine façon. Mais ce que les démons sont, cette absence de sentiments que les êtres humains ont, ce temps qu’ils ont devant eux, et cette force changent tout. Surtout que Macht, et même Solitär, ne sont pas n’importe quel démon.

Glück et Macht sont meilleurs ennemis.

Nous retrouverons également un autre personnage bien plus jeune, méfiant, qui recevra les enseignements de Macht. Que le monde est petit ! Denken Ce personnage nous réserve quelques autres surprises.

En tout cas, lui et Glück sont très conscients de ce qu’est un démon, tous les humains ne le sont pas.



Une fois revenu dans le présent, c’est intense, nous avons peur pour nos personnages, et nous aussi nous savons à quoi nous attendre, nous avons oublié de potentielles illusions.

La série arrive à continuer à nous emporter, nous surprendre, et se renouveler. Elle sait être habile et intelligente.

Le lecteur est toujours aussi conquis et a bien hâte de découvrir la suite.
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J'aime le postulat de départ : la bataille est terminée, et maintenant, qu'advient-il des héros qui ont sauvé le royaume ? Ainsi, on est bien dans un univers fantasy, plutôt classique ( elfes, nains, chevaliers, royaume, magie ...) mais c'est ce point de départ que je trouve original. On bascule alors sur un manga "tranche de vie" où on découvre le nouveau quotidien de l'elfe Frieren, de sa relation au temps qui passe, si différente de celle des humains. J'ai envie de continuer avec le tome 2, j'espère simplement que les intrigues sauront garder mon attention, moi qui aime quand il y a de l'action !

Sans être mauvais ou quoi, ce tome marque un tournant un peu plus "classique" de l'histoire. C'était amorcé avec le volume précédent, mais ça prend ici toute sa consistance (et ça continue avec les tomes suivants). Si vous avez aimé le début de Frieren pour son amorce atypique et ses personnages étonnants, vous aurez toujours les personnages assez loufoques, mais une intrigue qui repart dans les codes plus consensuels du shônen nekketsu. Epreuves, opposants toujours plus forts, stratégies de bataille à mettre en place… Je comprendrais parfaitement que cela puisse décevoir les lecteurs qui avaient accroché pour le début plus marginal. A voir à quoi tend Frieren sur le long-terme.

"Frieren" est toujours autant une merveille qui joue subtilement avec nous. De plus, nous ne nous lassons pas d'admirer ce graphisme, il a assurément quelque chose en plus, et je semble y être particulièrement sensible tout du long.

Nous commençons avec une affaire qui semble très simple, et un drôle de final, enfin il faut voir si ça l'est vraiment pour tous. Et tout ça pour une boisson, mais c'est bien vu et réfléchit comme pas mal de choses que nous croisons dans la série.

D'ailleurs par moment, elle s'amuse à nous tromper, quand nous n'avons pas encore tous les éléments.

Mais les quêtes se suivent et ne se ressemblent pas. Cette fois-ci, notre groupe traverse le Haut Plateau, mais pourquoi ne pas avoir pris la mer ? Ce serait pourtant plus simple, la réponse fait écho à ce moment du passé, où c'est Himmel qui la donne, et ça nous fait sourire. Ce sera le cas plusieurs fois. C'est aussi avec une certaine subtilité que le temps passe inlassablement, car au début c'est "29 ans après la mort du brave Himmel" et d'un coup ce sera "30 ans après la mort du brave Himmel". Cette série regorge de détails et de subtilités de ce genre, qui la font passer clairement au niveau haut-dessus.

Il y aura une bataille d'envergure contre des démons. Frieren reste égale à elle-même, elle laisse aussi travailler et faire leurs preuves ses disciples : Stark et Fern, ainsi par moment elle n'interviendra qu'en dernier recours.

Frieren demande toujours une contrepartie, même si ce n'est qu'un sort ridicule voire inutile, ce qui semble quand même lui faire un certain effet. Himmel le faisait aussi (de demander toujours une contrepartie). Réfléchissez donc par vous même à la raison.

Nous recroiserons également quelques vieilles connaissances, et une question se posera être (trop) gentil nous condamne-t-il ?

Prêt à repartir à l'aventure avec notre joyeuse troupe ?

"Frieren" frappe très fort et sans doute plus qu'on pourrait le croire sur le coup, de plus nos yeux sont ravis.

Tome 2 toujours aussi captivant et passionnant, Frieren part avec sa protégée à la recherche d'un grimoire que cette dernière connaît car c'est son maître qui l'a écrit et depuis elle n'avait de cesse de trouver de pâles copies.



Son ancien compagnon Eisen le nain, lui a demandé de prendre au détour de son chemin son apprenti Stark qu'il n'a pas vu depuis un moment et qui serait un compagnon utile et courageux aussi vigoureux que lui et stupéfiant.



Malheureusement ce dernier n'est pas sur d'être aussi courageux que ce que prétend son maître va-t-il se décider à partir avec Freiren et Fern ?



En cours de route, nos personnages vont se retrouver face à une ville mise sous cloche car les démons sont près à prendre la ville d'assaut ... Frieren a démasqué neanmoins ces démons et compte bien faire le nécessaire pour exterminer ces démons et repartir au royaume du roi des démons.

Une série que je continue d'adorer. Le voyage de notre groupe de protagonistes continuent doucement, toujours rythmé par des rencontres ou par des villages. J'apprécie particulièrement l'ambiance de cette série qui est très apaisante. On n'est pas dans un shonen où ça se combat tout le temps (j'apprécie quand même ce genre de manga). Ici, les combats sont secondaires, l'important est le voyage entrepris par nos héros. J'adore !