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Citations de Karen Marie Moning (887)


Dire qu'il était beau serait inexacte.Il rayonnait d'une virilité hors du commun.Tout en lui vibrait de sensualité:ses yeux ou brillait la promesse d'étreinte audacieuses,sa bouche pleine faite pour les baisers les plus brulants,son attitude fière et provocante ....
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Il devait avoir une trentaine d'années et mesurait environ un mètre quatre-vingt-dix.Sa chevelure était sombre et lustrée,sa peau dorée,ses yeux d'un noir éclatant,et son visage aux trait purs et au modelé parfait aurait inspiré bien des peintres.
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Le dénommé Jéricho Barrons n'occupait pas l’espace,il le saturait littéralement.Avant son arrivé,la pièce était emplis de livres.A présent,elle etait emplie ... de lui.
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Je la vis alors lever les yeux et regarder derrière moi.
Une expression de soulagement se peignit sur ses traits tandis qu'elle s'exclamait :
-Jéricho !
-Jéricho ? répétai-je sans comprendre.La ville de la Bible ?
-Jéricho Barrons,répondit une voix masculine derrière moi.A qui ai-je l'honneur ?
Celui qui venait de parler s'exprimait avec un accent que je n'aurais su définir,et son intonation dénotait un homme cultivé.Je pivotais sur moi-même pour ma présenter,mais les mots restèrent coincés dans ma gorge. Pas étonnant que Fiona ait paru si troublée a sa vue !
De l'homme qui me faisait face semblait émaner un charme magnétique.Il me fallut quelques instants pou me ressaisir et lui tendre la main
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- Adrienne... répondit-il. Je me fiche de savoir qui vous êtes, ou avez été, ou voulez me faire croire que vous êtes. C'est vous que je veux. Dans ma vie. Dans mes bras. Dans mon lit. Si cela vous fait du bien de... croire que vous venez d'un lointain avenir, je n'y vois aucun inconvénient. Mais désormais, vous êtes d'abord et surtout ma femme, et je vous garderai à l'abri de tout danger. Vous n'aurez plus jamais à avoir peur.

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Ma philosophie tient en quelques mots : si personne n'essaie de me tuer, c'est une bonne journée.
Autant vous le dire, ça ne va pas très fort, depuis quelque temps. Depuis, plus précisément, la chute des murs qui séparaient les hommes des faës.
Au demeurant, je ne connais pas un sidhe-seer vivant qui puisse se vanter d'avoir passé une bonne journée depuis ce moment-là.
Avant que ne soit scellé le Pacte entre les humains et les faës - soit vers l'an 4000 avant Jésus-Christ, pour ceux qui ne sont pas trop calés sur le sujet -, la situation était simple : les Traqueurs nous chassaient et nous abattaient sans sommation.
Puis le Pacte interdit aux faës de répandre le sang humain. Au cours des six millénaires qui suivirent, à quelques siècles près, ceux qui étaient dotés de la Vision Vraie - des gens comme moi, qui ne pouvaient être trompés par le charme des faës - furent pris et jetés en captivité dans les geôles de Faery, où ils croupirent jusqu'à leur fin. La seule différence avec la période précédant le Pacte, c'est qu'au lieu d'être tués sur le coup, ils mouraient de mort lente dans les prisons unseelie...
Contrairement à certaines personnes de ma connaissance, je ne nourris aucune fascination pour les faës. Ceux-ci agissent sur vous, à leur façon, comme une drogue. Si vous leur cédez, ils font de vous leur esclave. Si vous leur résistez, ils n'y parviennent jamais.
À présent que les murs sont tombés, les Traqueurs sont revenus pour nous exterminer jusqu'au dernier. Comme si c'était nous, le fléau qui menace cette planète...
Aoibheal, la souveraine seelie de la Lumière, n'est plus sur son trône.
Personne ne sait où elle est, et certains commencent même à se demander si elle vit encore. Depuis sa disparition, Seelie et Unseelie souillent notre monde de leur guerre sanglante, et au risque de passer pour une rabat-joie, j'ai la conviction que les seconds sont en passe de l'emporter sur leurs frères plus pacifiques.
Ce qui est une très, très mauvaise chose.
N'allez pas en déduire que je préfère les Seelie. Loin s'en faut ! En ce qui me concerne, un bon faë est un faë mort. Seulement, les Seelie sont moins dangereux que les Unseelie. Ils ne nous abattent pas à vue. Ils préfèrent nous garder pour un autre usage.
Le sexe.
Car ils ont beau nous prendre pour des simples d'esprit, ils apprécient nos performances amoureuses.
Lorsqu'ils ont obtenu d'une femme ce qu'ils voulaient, la malheureuse n'est plus que l'ombre d'elle-même. Possédée par une fièvre sensuelle, elle est la proie d'appétits charnels qu'elle n'aurait jamais dû découvrir et ne pourra jamais assouvir. C'est une maladie dont la guérison est longue et semée de rechutes...
Mais au moins, on y survit. Ce qui laisse une chance à celle qui en est la victime de se battre pour retrouver sa vraie personnalité et envoyer ces saletés de faës au diable.
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Ma philosophie tient en quelques mots : si personne n'essaie de me tuer, c'est une bonne journée.
Autant vous le dire, ça ne va pas très fort, depuis quelque temps. Depuis, plus précisément, la chute des murs qui séparaient les hommes des faës.
Au demeurant, je ne connais pas un sidhe-seer vivant qui puisse se vanter d'avoir passé une bonne journée depuis ce moment-là.
Avant que ne soit scellé le Pacte entre les humains et les faës - soit vers l'an 4000 avant Jésus-Christ, pour ceux qui ne sont pas trop calés sur le sujet -, la situation était simple : les Traqueurs nous chassaient et nous abattaient sans sommation.
Puis le Pacte interdit aux faës de répandre le sang humain. Au cours des six millénaires qui suivirent, à quelques siècles près, ceux qui étaient dotés de la Vision Vraie - des gens comme moi, qui ne pouvaient être trompés par le charme des faës - furent pris et jetés en captivité dans les geôles de Faery, où ils croupirent jusqu'à leur fin. La seule différence avec la période précédant le Pacte, c'est qu'au lieu d'être tués sur le coup, ils mouraient de mort lente dans les prisons unseelie...
Contrairement à certaines personnes de ma connaissance, je ne nourris aucune fascination pour les faës. Ceux-ci agissent sur vous, à leur façon, comme une drogue. Si vous leur cédez, ils font de vous leur esclave. Si vous leur résistez, ils n'y parviennent jamais.
À présent que les murs sont tombés, les Traqueurs sont revenus pour nous exterminer jusqu'au dernier. Comme si c'était nous, le fléau qui menace cette planète...
Aoibheal, la souveraine seelie de la Lumière, n'est plus sur son trône.
Personne ne sait où elle est, et certains commencent même à se demander si elle vit encore. Depuis sa disparition, Seelie et Unseelie souillent notre monde de leur guerre sanglante, et au risque de passer pour une rabat-joie, j'ai la conviction que les seconds sont en passe de l'emporter sur leurs frères plus pacifiques.
Ce qui est une très, très mauvaise chose.
N'allez pas en déduire que je préfère les Seelie. Loin s'en faut ! En ce qui me concerne, un bon faë est un faë mort. Seulement, les Seelie sont moins dangereux que les Unseelie. Ils ne nous abattent pas à vue. Ils préfèrent nous garder pour un autre usage.
Le sexe.
Car ils ont beau nous prendre pour des simples d'esprit, ils apprécient nos performances amoureuses.
Lorsqu'ils ont obtenu d'une femme ce qu'ils voulaient, la malheureuse n'est plus que l'ombre d'elle-même. Possédée par une fièvre sensuelle, elle est la proie d'appétits charnels qu'elle n'aurait jamais dû découvrir et ne pourra jamais assouvir. C'est une maladie dont la guérison est longue et semée de rechutes...
Mais au moins, on y survit. Ce qui laisse une chance à celle qui en est la victime de se battre pour retrouver sa vraie personnalité et envoyer ces saletés de faës au diable.
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_La nuit dernière, vous m'avez reproché de ne pas vous avoir suffisamment informée sur notre destination et sur le type de tenue adaptée à la circonstance. ce soir, je vous ai prévenue que nous nous rendions dans l'antre d'un vampire? Alors, pourquoi vous êtes-vous déguisée en arc-en-ciel ?
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J'ai toujours aimé les livres, bien plus que les films. Les réalisateurs vous montrent exactement ce qu'ils veulent vous faire voir, tandis que les écrivains se contentent de vous donner des indications : à vous d'imaginer le casting et les décors à votre convenance. En général, je suis affreusement déçue par les adaptations de romans au cinéma.
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Lorsque Barrons se retourna vers moi, ses traits étaient déformés par la fureur.
- Enfer ! tonna-t-il. Ne voyez-vous pas que vous nous mettez tous en danger, pauvre sotte ? Vous êtes une véritable calamité ! Un ... un cauchemar rose bonbon !
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L'homme m'examina d'un long regard perçant qui me donna la chair de poule. À mon tour, je l'observai. Le dénommé Jéricho Barrons n'occupait pas l'espace, il le saturait littéralement. Avant son arrivée, la pièce était emplie de livres. À présent, elle était emplie... de lui.
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J'ai toujours du mal avec cette série. Le personnage de Mackayla prend de l'ampleur, Barrons m'interpelle, mais qui est il? Je vais quand même lire le tome 3
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Son visage avait encore changé. A présent, ses traits étaient fermées, ses mâchoires serrées, son regard vide. En un instant, il avait perdu toute sa séduction. Quant à moi, j'étais atterrée. Les femmes n'étaient donc que des choses à ses yeux ? J'avais l'impression de n'être qu'un objet jetable par-dessus le marché. Je frémis de dégoût. Cet homme était bien du genre à se débarrasser de ses conquêtes comme d'un mouchoir en papier ou d'un préservatif usagé. Je l'imaginais lançant une malheureuse par la fenêtre de sa voiture ou de son jet privé.
Aline avait-elle fréquenté ce monde-là ?
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Il avaient tous besoin de moi vivante. J'étais comme Tigrou dans Winnie l'Ourson. J'étais la plus forte!
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Gris ne veut rien dire d'autre que noir clair. Le gris n'est jamais blanc. Seul le blanc est blanc. Il n'y a pas de nuances dans le blanc.
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Mais dans le monde étrange où j'évoluais désormais, les règles avaient changé. Les princesses ne pouvaient compter que sur elles-mêmes.
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Le fait d'être l'une des seules personnes au monde capables de régler une question fait-il de vous le responsable de sa solution ?
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Il était vêtu avec l'élégance sans ostentation de ceux qui n'ont rien à prouver.
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Ses doigts effleurèrent mes joues en une caresse plus légère que le frolement d'une aile de papillon. Je l'entendis murmurer des paroles d'une voix très douce, mais ce n'était pas de l'anglais. Cela ressemblait à un langage très ancien, que plus personne ne parlait à la surface de la terre depuis bien longtemps... sauf peut-être dans les films fantastiques. [...]
Je croie qu'ensuite il m'embrassa. Ce baiser ne ressemblait à rien de ce que j'avais connu jusque là.
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Sans prévenir, il enroula son brad gauche autour de ma taille, posa sa main droite sur mon épaule, ses doigts frolant les rondeurs de mes seins, et m'entraina dans la brasserie, dardant des regards menaçant sur les homme assez téméraires -ou assez stupides- pour s'intéresser d'un peu trop près à mes courbes. Il n'aurait pas pu le proclamer avec plus de force: j'étais à lui, rien qu'à lui.
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