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Citations de Karen Marie Moning (887)


Son absence était si douloureuse qu'elle en devenait une présence. Le chagrin me réveillait chaque matin sans ménagement, me tenait compagnie toute la journée et se glissait sous mes draps quand je me couchais.
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Il vit.
Il respire.
Je le veux. Lui. Toujours.
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Il me faut juste encore une minute. Juste encore un sourire...
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L'amour est l'amour, et qui peut dire comment le corps suit le cœur ?
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Tu as le sang chaud, et le cœur aussi. Tu dois les calmer tous les deux.
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Tu rayonnes de force et de détermination, de conviction et de volonté, mais possèdes-tu la sagesse ? Ou bien es-tu gouvernée par un cœur qui s'est naïvement attaché au mauvais homme ?
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J'avais cru qu'il tenait tellement à moi qu'il avait accepté de sacrifier sa vie. J'avais idéalisé son comportement et m'étais laissé entraîner dans une rêverie absurde.
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Je pense que je vais hurler jusqu'à ce qu'il se lève.
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Fragilité, mortalité et Barrons rassemblés dans la même pensée me semblent aussi blasphématoires que traverser le Vatican en abattant les croix à coup de marteau.
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Je suis la reine de l'auto-illusion.
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Selon elle, les faës étaient responsables de quatre-vingt-dix-neuf pour cent de ses problèmes. Elle assumait le un pour cent restant, mais c'étaient bien les faës qui transformaient sa vie en enfer depuis le début de l'été.
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- Tu la préfères à toutes les autres. Pourquoi? Est-ce qu'elle s'accouple mieux?
Cela est absurde.
Je suis une superbe bête.
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Ma philosophie tient en quelques mots : si personne n'essaie de me tuer, c'est une bonne journée.
Autant vous le dire, ça ne va pas très fort, depuis quelque temps. Depuis, plus précisément, la chute des murs qui séparaient les hommes des faës.
Au demeurant, je ne connais pas un sidhe-seer vivant qui puisse se vanter d'avoir passé une bonne journée depuis ce moment-là.
Avant que ne soit scellé le Pacte entre les humains et les faës - soit vers l'an 4000 avant Jésus-Christ, pour ceux qui ne sont pas trop calés sur le sujet -, la situation était simple : les Traqueurs nous chassaient et nous abattaient sans sommation.
Puis le Pacte interdit aux faës de répandre le sang humain. Au cours des six millénaires qui suivirent, à quelques siècles près, ceux qui étaient dotés de la Vision Vraie - des gens comme moi, qui ne pouvaient être trompés par le charme des faës - furent pris et jetés en captivité dans les geôles de Faery, où ils croupirent jusqu'à leur fin. La seule différence avec la période précédant le Pacte, c'est qu'au lieu d'être tués sur le coup, ils mouraient de mort lente dans les prisons unseelie...
Contrairement à certaines personnes de ma connaissance, je ne nourris aucune fascination pour les faës. Ceux-ci agissent sur vous, à leur façon, comme une drogue. Si vous leur cédez, ils font de vous leur esclave. Si vous leur résistez, ils n'y parviennent jamais.
À présent que les murs sont tombés, les Traqueurs sont revenus pour nous exterminer jusqu'au dernier. Comme si c'était nous, le fléau qui menace cette planète...
Aoibheal, la souveraine seelie de la Lumière, n'est plus sur son trône.
Personne ne sait où elle est, et certains commencent même à se demander si elle vit encore. Depuis sa disparition, Seelie et Unseelie souillent notre monde de leur guerre sanglante, et au risque de passer pour une rabat-joie, j'ai la conviction que les seconds sont en passe de l'emporter sur leurs frères plus pacifiques.
Ce qui est une très, très mauvaise chose.
N'allez pas en déduire que je préfère les Seelie. Loin s'en faut ! En ce qui me concerne, un bon faë est un faë mort. Seulement, les Seelie sont moins dangereux que les Unseelie. Ils ne nous abattent pas à vue. Ils préfèrent nous garder pour un autre usage.
Le sexe.
Car ils ont beau nous prendre pour des simples d'esprit, ils apprécient nos performances amoureuses.
Lorsqu'ils ont obtenu d'une femme ce qu'ils voulaient, la malheureuse n'est plus que l'ombre d'elle-même. Possédée par une fièvre sensuelle, elle est la proie d'appétits charnels qu'elle n'aurait jamais dû découvrir et ne pourra jamais assouvir. C'est une maladie dont la guérison est longue et semée de rechutes...
Mais au moins, on y survit. Ce qui laisse une chance à celle qui en est la victime de se battre pour retrouver sa vraie personnalité et envoyer ces saletés de faës au diable.
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J'ai toujours du mal avec cette série. Le personnage de Mackayla prend de l'ampleur, Barrons m'interpelle, mais qui est il? Je vais quand même lire le tome 3
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