Citations de Katee Robert (110)
He grins, a fierce expression that’s part challenge and part amusement. “I see what she is, Eli. She’s not the princess.” He leans forward, dark eyes intent. “She’s just like us. Not the hero. Not the knight or the princess or whatever the fuck other box you can think up to shove her into. She’s the fucking dragon you think to protect her against. Really, someone needs to protect you from her."
— Pourquoi aider le monstre personnel d’Aphrodite ?
— Même les monstres ont besoin d’aide parfois, Éros, réponds-je, et je devrais en rester là, mais sa question me paraît si vulnérable que je ne peux m’empêcher d’avoir envie de l’apaiser, juste un peu : Et puis, tu n’es pas vraiment un monstre. Je ne distingue ni écailles ni crocs.
— Les monstres sont de toutes les formes et de toutes les tailles, Psyché. Tu devrais le savoir, depuis le temps que tu vis à Olympe.
Si j’étais un homme meilleur, je ne toucherais jamais cette femme avec des mains qui ont commis autant de violences, mais je suis égoïste jusqu’à la moelle. Je l’embrasse, remplissant cet instant de tant de promesses qu’elle fond contre moi.
Et si Gideon était le seul homme en qui elle ait suffisamment confiance pour l’aider à trouver un mari, il était également le seul capable de créer un environnement apaisant pour lui apprendre ce que toute épouse doit savoir. De plus, si les rumeurs qu’elle avait entendues au sujet de ses prouesses étaient vraies, son apprentissage de la séduction n’en serait que plus agréable…
Les traits de Lucy étaient trop singuliers pour qu’on puisse la qualifier de beauté traditionnelle. Par contre, elle aurait fait un malheur dans un défilé de mode. Quant à ses lèvres pulpeuses, elles semblaient faites pour sourire.
S’approcher davantage aurait été inapproprié. Que diable ! Rester là à reluquer une inconnue comme un pervers était déjà le comble de l’incorrection. Peu importait qu’elle ait un corps à se damner ou qu’elle se soit relevée sur les coudes pour le regarder.
- Tu sais, la rumeur court qu'il a tué ses trois épouses.
- C'est certainement moins compliqué qu'un divorce.
Hadès me fixe comme si j’étais un puzzle qu’il mourrait d’envie de reconstituer. Il se penche en avant.
- Ils ne savent vraiment pas quel atout tu représentes dans la ville haute, n’est-ce pas ?
J’habille mes traits de mon habituel sourire éclatant.
- Je n’ai strictement aucune idée de ce dont tu parles.
- Alors je te le demande à nouveau : que veux tu ? La perfection, évidement, ça fait mal. Veux-tu que je te force à obéir ? Que je te laisse ta liberté et que je te punisse quand tu dépasses les bornes ? Qu’est ce qui te fera jouir le plus fort, Perséphone ?
Ses yeux sombres ne sont plus qu’un enfer prêt à m’embraser. Tout l’air quitte mes poumons.
-Je ne veux pas être sage.
« 𝑳𝒂 𝒇𝒆𝒎𝒎𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋’𝒂𝒊 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒐𝒏 é𝒑𝒂𝒖𝒍𝒆 𝒔𝒆𝒓𝒂 𝒔𝒐𝒊𝒕 𝒍’𝒐𝒖𝒕𝒊𝒍 𝒒𝒖𝒆 𝒋’𝒖𝒕𝒊𝒍𝒊𝒔𝒆𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒄𝒂𝒖𝒔𝒆𝒓 𝒍𝒂 𝒓𝒖𝒊𝒏𝒆 𝒅𝒆 𝒁𝒆𝒖𝒔, 𝒔𝒐𝒊𝒕 𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒔𝒆𝒓𝒂 𝒎𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 »
La bague qu’il avait choisie était… parfaite. Un simple anneau d’or blanc enserrant un diamant assez gros pour que Lucy tourne vers lui un regard surpris.— Waouh…
Les choses arrivent toujours quand il faut. Notre moment, c’est maintenant, murmura-t-elle entre deux baisers. Je t’aime, Gideon. Je t’aime plus que tout.
La peur nous a coupé les jambes, et ce qui se passe entre nous, c’est volcanique…
C’était Gideon qu’elle voulait voir, pas Roman ! D’un autre côté, si elle essayait de réparer les pots cassés, ça ne lui ferait pas de mal d’avoir Roman pour la soutenir. Peut-être pourrait-elle profiter de ce déjeuner pour lui soutirer quelques informations, auquel cas ce ne serait pas du temps perdu.
De l’honnêteté. Il lui avait demandé d’être honnête avec lui et lui avait rendu la pareille sans hésiter. Lentement, elle se repassa le film de tout ce qu’il lui avait dit. À aucun moment il n’avait fait semblant de vouloir uniquement coucher avec elle. Non, s’il l’avait quittée, c’était parce qu’il ne se croyait pas assez bien pour elle.
Elle savait qu’il avait des sentiments pour elle — qu’il l’aimait. Ils avaient partagé trop de choses pour que ce ne soit que du désir. Il ne lui aurait jamais demandé de le choisir s’il n’avait pas été sûr de lui. Il avait toujours misé sur la sécurité et ne s’engageait pas tant qu’il ne pensait pas avoir toutes les cartes en main.
Elle avait aimé Jeff aussi, bien sûr, mais cette fois c’était… différent. Même alors qu’elle était en train d’organiser son mariage, elle n’avait pas été aussi dévastée d’apprendre que Jeff la trompait. Ses sentiments n’étaient pas aussi profonds que ceux qu’elle éprouvait pour Gideon — et la douleur de la séparation ne l’avait jamais fait échouer aussi lamentablement pendant une audience. En fait, quand elle n’avait plus eu à se poser de questions au sujet de son amour pour Jeff, elle avait réussi à se concentrer facilement sur ce qui comptait le plus à ses yeux : son travail.
Il fallait qu’elle bouge, qu’elle marche, si elle voulait se calmer. Hélas, trois pâtés de maisons plus loin, elle n’avait toujours pas trouvé la solution miracle qu’elle cherchait désespérément.Ne sois pas lâche. Ne fais pas comme lui.
Il s’était comporté comme le pire des crétins. Il avait touché du doigt tout ce dont il avait toujours rêvé et c’était lui qui avait détruit ce qu’il avait.Il tambourina plus vite sur sa table.Avait-il encore une chance de se faire pardonner ?Il devrait…Non. Plus de devrait. Il était fou de Lucy, depuis le premier jour. Si jamais elle acceptait de passer l’éponge une fois de plus sur ses erreurs, il ferait tout son possible pour ne plus jamais lui faire de mal. Et surtout pas comme il venait de le faire.
Elle apportait une certaine légèreté au sexe et était capable de le rendre fou de désir.Hélas, maintenant, il ne la toucherait plus. Il ne pourrait plus jamais lui faire découvrir de nouveaux petits restaurants. Il ne pourrait plus l’appeler pour discuter, juste parce qu’il avait pensé à elle. Il ne savourerait jamais la douceur de ces longs dimanches en amoureux dont ils aimaient tant parler.