Katherine Arden

Après le quasi coup de cœur qu’avait été pour moi le second tome, j’avais vraiment hâte de découvrir le final de la Trilogie d’une nuit d’hiver, de Katherine Arden. Dans L’hiver de la sorcière, on retrouve Vassia aux prises avec une foule de moscovites en colère suite à l’incendie qui a ravagé la ville, colère que le prêtre Konstantin attise de sa haine envers la jeune fille. Vassia doit fuir pour échapper au bûcher…



C’est l’occasion pour l’autrice de nous ramener hors de Moscou, par la voie des ténèbres mais pas que. Retour aux plaines couvertes de neige immaculée, aux étendues sauvages pleines de mystère mais aussi de danger. Car pour sauver Vassia, le Roi de l’Hiver a dû pactiser avec l’Ours, et la fugitive a désormais du mal à trouver des alliés. En quête de Morozko sur la route de la Minuit, où le temps et les distances sont faussés, elle fera différentes rencontres qui la mèneront sur le chemin de sa destinée.



L’un des points forts de ce troisième tome naît de l’opposition entre le paganisme et l’orthodoxie. Dès le premier tome, Katherine Arden nous laissait entrevoir le monde des esprits invisibles issus des contes et des légendes russes. Dans le second, elle faisait la part belle aux clochers et à la religion orthodoxe. Ici, c’est de la cohabitation de ces deux mondes dont il est question et les enjeux sont énormes. Car si la guerre menace en effet, elle n’oppose pas seulement la Rus’ et l’ennemi rassemblé à ses frontières, mais aussi le monde des hommes et celui des tchorti. Les deux intrigues cohabitent et convergent si bien.



Le second réside dans les personnages que l’autrice nous propose, des personnages forts et originaux, comme on en rencontre somme toute assez peu. Vassia, pour commencer. La petite fille rebelle, éprise de liberté, qu’on avait rencontré dans le tome 1, a bien changé. On la voit écartelée entre deux mondes, lutter contre sa destinée, pour finalement accepter qui elle est, ses pouvoirs, la part d’obscurité en elle. Elle fait des choix, se trompe parfois, mais toujours se relève, portée par cette humanité si touchante. Il y a aussi les démons jumeaux et antagonistes, Morozko et Medved, auxquels l’autrice a su donner tant de substance qu’on a parfois bien du mal à ne pas les considérer comme des créatures de chair et de sang, et tant d’autres…



L’hiver de la sorcière est une conclusion magistrale à une trilogie qui nous emporte dans le folklore de la Russie médiévale. C’est tout à la fois dépaysant, magique et épique. Un véritable coup de cœur que je recommande chaleureusement à tous les amateurs de folklore et d’histoire. Un roman trépidant pour conclure une fresque spectaculaire.
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Cette conclusion à la trilogie d'une nuit d'hiver est une belle réussite et j'ai particulièrement aimé la fin.

J'ai mis du temps à finir cette lecture et j'ai parfois perdu le fil de ma lecture ou je ne me rappelais plus de certains personnages. Malgré ça, je reste sur une bonne impression.



J'ai tout particulièrement apprécié la note de l'autrice en fin de roman qui détaille les parties de l'histoire inspirées de faits réels et historiques. Le folklore russe est toujours aussi présent que dans les 2 premiers tomes et permet une immersion agréable dans cet univers.



L'héroïne Vassia quant à elle a gagné en maturité et devient vraiment attachante. J'ai vraiment adoré être témoin de son évolution et la suivre dans toutes les péripéties qu'elle rencontre.

Effroi à la fête foraine est probablement le plus sinistre des 4 livres et peut réveiller des peurs d’enfants qui étaient, jusqu’alors, profondément enfouies. Après les épouvantails, je suis sûre que vous surveillerez attentivement chacune des poupées que vous croiserez (et je ne parle même pas des clowns).

Si on pense pouvoir respirer un peu avec Peur sur le Lac, on se rend bien vite compte que le piège s’est refermé assez subtilement, empêchant toute tentative de fuite. Le danger rôde et surtout, il est partout et menace même les parents des héros, pourtant censé nous assurer un point de chute rassurant dans cette histoire. Mais rien n’arrête l’entité maléfique qui a décidé de continuer la partie sans se préoccuper de l’avis des adolescents.

Frisson au Mont Hemlock est un huis clos très sympathique (il était tranquillement à la 2ème place dans mon top de la saga avant de s’y faire éjecter à la lecture du 4ème) où l’on rentre un peu plus dans l’univers funèbre amené par l’antagoniste. Celui-ci adore jouer et surtout, il déteste perdre. Nos 3 héros vont devoir se creuser la tête pour tenter de ressortir indemnes à la fin de la partie.

Terreur à Smoke Hollow est un bon préambule à la saga Small Spaces et il est d'ailleurs mon préféré des 4 (talonné par Effroi à la fête foraine). Une atmosphère lugubre et sombre s’installe progressivement et si vous n’avez pas peur des épouvantails, vous allez certainement les regarder de travers après votre lecture. On y introduit de jeunes adolescents qui vont devoir rapidement s’allier pour faire face aux monstruosités qui leur arrivent droit dessus.

C'est le dernier tome de la série Smoke Hollow écrite par Katherine Arden et je suis triste de quitter Ollie, Brian et Coco, sans oublier Phil qui est venu les rejoindre au tome 3.



C'est mon tome préféré avec le deuxième, et pourtant, je finirais pas avoir la trouille des clowns maintenant.



La fête foraine s'installe et avec elle, les clowns.

Nous sommes en plein été, il fait très chaud et archi sec depuis plusieurs mois.

Ollie a passé un pacte avec l'homme qui sourit pour sauver son père et de ses amis et ces derniers ne savent pas ce qu'elle est devenue.

Mais une note sur une affiche de cette fête foraine va leur donenr espoir de la retrouver et de la sauver des griffes de cet homme souriant.

Il y aura des choses à trouver et une limite dans le temps; sinon, Ollie ne reviendra jamais.

Difficile de vous en dire plus sans spolier.



Mais c'est une très belle fin, je peux vous l'assurer.



Cependant, quelques petites remarques; qu'est-il advenu de Tim? On ne sait pas.

Il est écrit que le temps est très sec depuis plusieurs Mai, mois où se passe la précédente histoire. Or, il me semble qu'au début de tome 3, il pleuvait beaucoup et le soleil devait revenir à la fin de la semaine, juste à temps pour la sortie sur le lac de l'aventure!



Ensuite, il serait bien d'avoir une petite histoire sur l'homme qui sourit, savoir son histoire; car quelque chose l'empêche d'aller dans un endroit de la fête foraine et un éclaircissement sur ça serait bien.

A la toute fin, il nous apparaît sous un nouveau jour qui, perso, me donne envie d'en connaître plus sur lui.



Pour résumer, cette série de 4 tomes est pour la jeunesse, mais plus âgé on peut la lire et elle est top.

Ravie d' avoir découvert cette auteure via une chaîne youtube.

J'attendais avec grande impatience la suite de l'excellent L'ours et le rossignol en format poche, et je me suis de fait replongée dans la Rus' cruelle et fantastique d'Arden dès le jour de la sortie du dit format, avec un plaisir délicieux !



Comme j'ai été heureuse de retrouver Vassia, notre héroïne intrépide, dans la suite de son aventure, oscillant cette fois entre jeu de pouvoir, complots, massacres et amour naissant!



Dimitri Ivanovitch, grand prince de Moscou, a bien du souci à se faire: de nombreux villages incendiés et des jeunes filles enlevées ne font qu'accroître un climat de tension déjà omniprésent. Avec l'aide de Sacha, il tente de débusquer les pilleurs, jusqu'à croiser la piste d'un étrange cavalier. Seul Sacha le reconnait : il s'agit de Vassia, sa petite sœur, déguisée en homme. Vassia qu'il croyait morte, et qui semble revenue à la vie.



J'avais eu du mal à entrer dans le premier tome, j'ai eu autant de mal à entrer dans le second. Je ne sais trop pourquoi les romans de Arden me rejettent autant jusqu'à la page 50-70; car une fois ce cap passé, la lecture se révèle fantastique ! Du coup, j'ai du m'accrocher mais une fois commencée la chevauchée épique de Vassia, j'ai quasiment tout lu d'une traite.



On sort bien évidemment des frontières du petit village campagnard de notre héroïne (décor que j'ai bien plus aimé que Moscou) pour traverser les routes jusqu'à la belle Moscou. Et avec Moscou, Vassia se retrouve au prises de nombreuses difficultés. Complots, traîtrise, superstition... Le tout est rendu extrêmement piquant par le secret qu'elle doit préserver : le fait d'être une femme. Car il n'est pas bon être une femme déguisée en homme, surtout avec une religion omniprésente et une superstition tout aussi présente... Et dévastatrice.

J'ai adoré Vassia en homme, l'évolution que lui a donné Arden, sa pugnacité, son courage... Franchement, l'un des personnages les plus chouettes ! J'attends de lire le tome 3 pour en savoir plus sur ses origines !



En revanche, j'avoue que je n'ai pas été très convaincue par la romance naissante entre Morozko et Vassia... Non pas que je l'ai trouvée mièvre ou mauvaise... Juste un peu sortie de nulle part. Et vu le contexte dans lequel se déroule l'histoire, je ne l'ai pas trouvée si bienvenue que cela.



J'ai aimé retrouver des personnages du premier tome, notamment Sacha et Olga. Si Sacha a plutôt évolué dans le bon sens selon moi (il est moins renfermé et plus courageux), j'ai moins appréciée Olga, plus égoïste. J'ai trouvé affreuse son aversion pour Vassia, même si j'entends que dix années passées à la cour de Moscou changent une jeune paysanne. Mais tout de même, je n'ai su quoi penser d'Olga.



Le seul défaut du livre est sans doute son méchant un peu trop évident. Je l'avais senti venir dès son apparition, et sa révélation est venue confirmée mes soupçon.



Je vais attendre un peu avant de me lancer dans le dernier tome de la saga, car il n'est jamais bon de rester trop longtemps aux prises du démon du gel.

Dans ce tome 3/4, nous retrouvons Ollie, Coco et Brian; il va s'ajouter un quatrième personnage, ce qui n'est pas plus mal.

Les trois premiers tomes sont chacun consacrés à un des trois jeunes: Ollie au premier; Coco au second et Brian au troisième.



Cette fois si, pour échapper un peu à leur quotidien un peu lourd, au vu de ce qui s'est produit les mois précédents, Ollie, Coco et Brian sont heureux de le passer sur un lac, avec aussi le père d'Ollie et la maman de Coco. Et Phil, un copain qui a vécu leurs aventures au tome un, mais qui a tout oublié normalement.



Oui, mais voilà, dans ce lac, il y a un monstre bien caché. Et ce monstre va les faire s'échouer sur une île non répertoriée sur la carte, après avoir fait couler le bateau qui était mené par l'oncle de Phil et d'ailleurs, cet oncle sera la victime du monstre.



Cette île semble inhabitée, pourtant, des indices laissent supposer qu'elle est ou a été habitée. De plus, cette île est dans un brouillard persistant.



Vers la fin, je me suis dit que celle ci était bâclée avec une chose qui se produit, mais en fait non, on comprend très vite ce qui s'est passé et donc aucun souci en fait.



Tout en gardant les trois héros et l'atmosphère des tomes précédents, l'auteure se renouvelle, et j'ai hâte de savoir ce qu'elle nous a concocté pour le quatrième et dernier tome de cette série.

Ce que je vais savoir rapidement, car j'enchaîne immédiatement.

Deuxième tome de la saga d'horreur jeunesse de Katherine Arden. Encore une fois c'est un roman simple à lire et pour lequel je n'ai malheureusement pas particulièrement accroché (pure affinité, je crois simplement que je ne suis pas réceptive à l'horreur pour jeune ado), malgré son potentiel jeunesse.



On retrouve notre trio composé d'Ollie, la solitaire, de Coco, la fausse poupée Barbie et de Brian le sportif au cœur tendre qui se sont rencontrés lors de la première grande aventure à Terreur à Smoke Hollow. Dans cette seconde aventure, ils se retrouvent au cœur d'un chalet/hôtel qui va les faire frissonner comme jamais. Amateur de Shining qui souhaitez un récit moins épouvante, vous pouvez tenter l'expérience. Point positif : il n'est pas nécessaire d'avoir lu le premier roman pour lire celui-ci, l'auteure prend soin d'ajouter des feedbacks pour ne pas perdre le nouveau lecteur.



Au cœur du récit, on retrouve toujours cette notion d'amitié qui comprend son lot de doutes et d'empathie ainsi qu'une introspection des relations familiales. Ollie s'ouvre davantage au sujet de la perte de sa mère et Coco prend une place plus importante (contrairement à Brian qui reste en retrait).



C'est un tome d'aventure qui plaira aux plus jeunes et qui trouve le juste niveau au niveau de l'épouvante en armant ces personnages d'un courage et d'une volonté sans (presque) faille.

Ce deuxième livre de la série est encore mieux que le premier à mon avis.



On retrouve Ollie, Brian et Coco.µ

Cette fois ci, ils vont être dans un hôtel avec le papa d'Ollie et la maman de Coco; ils sont les seuls clients car une tempête de neige sévit. Et avec les bruits qui se font entendre, il se pourrait que l'hôtel soit hanté; ce que réfutent les propriétaires des lieux.



Pourtant, des portes tremblent, des sons se font bien entendre, des ombres aussi sont aperçues.

Je ne vous cache pas que si je suis froussarde, c'est là un sujet qui me plaît beaucoup, les fantômes et peut-être est-ce pour cela que ce livre m'a autant plu; je ne vais pas vous raconter ma vie, mais j'ai déjà vu des gens là où il n'y avait personne et des personnes qui sont sur un trottoir et qui disparaissent sans aucun porte pour rentrer.

Donc, un sujet qui me parle et j'ai vécu l'aventure de notre trio comme si j'étais à leurs côtés.



C'est un récit qui se lit vite et facilement et le rebondissement vers la fin, je ne l'ai pas vu venir.



Du coup, comme j'apprécie cette série, je continue avec le tome 3 de suite.

J'avais peut-être trop d'attentes pour ce livre. Depuis sa sortie en VO, j'ai envie de découvrir cette histoire et en même temps, j'hésitais à la lire. Les thèmes me parlaient beaucoup ! Maintenant, j'ai vraiment été déçue par cette lecture au point de l'abandonner. On me vendait des contes de fées, une Russie hivernale et une enfant libre et mystérieuse. Mais toute la première partie est consacrée à sa famille, aux autres personnages et à quelque chose de plus réaliste. Vassia est bien trop en retrait et mis à part un conte au tout début du roman, on retrouve davantage la vie à cette époque, les mariages, les naissances, la dureté d'un monde... Je n'ai pas trouvé ce que je cherchais dans cette histoire et je pense que le résumé est trompeur pour cela. Mais même en sachant où je mettais les pieds après la lecture de la première partie, je n'ai pas réussi à aller bien plus loin, n'ayant aucun attachement pour les personnages. Il faut croire simplement que ce livre n'était pas fait pour moi, je pensais trouver quelque chose de bien différent et je préfère m'arrêter là.

« La fête foraine s’installait ici tous les ans en août. C’était la tradition. En quoi celle-ci serait-elle différente ? » : Bonne question !



(Il s'agit d'un tome 4 donc ça spoile légèrement la fin du troisième.)



C'est en plein été que nous retrouvons Coco, Phil et Brian. Les 3 amis vont tout faire pour retrouver Ollie. Vont-ils y parvenir ?



Lu en une petite journée, que dis-je : dévoré, c'est avec joie que j'ai retrouvé cette ambiance légèrement flippante, ici avec des clowns et une fête foraine en toile de fond. Ce n'est pas mon tome préféré... Sans compter le même ''problème'' de rythme que les précédents selon moi (ils mettent du temps à savoir quoi faire puis d'un coup, tout s'accélère), je n'ai néanmoins pas boudé mon plaisir de découvrir la fin de cette série. Cette dernière, en 4 volumes, m'a globalement bien plu, malgré le thème du deuil d'un parent assez fort et présent (particulièrement les deux premiers tomes).



C'est avec facilité que l'on s'attache à ces jeunes ados, je n'étais pas contre l'idée de les suivre encore un peu dans de sombres et glaçantes aventures mais, pour leur bien-être mental, je pense que c'est bien mieux que cela se termine ici. ^^' Par contre, ça serait génial d'avoir un spin-off concernant « l'homme qui sourit ».



En bref, une conclusion sympathique pour cette courte série jeunesse - un joli message concernant l'amitié. Le deuxième tome restera mon préféré, celui qui m'a le plus fait flipper, mais attention : restez sur vos gardes si vous n'aimez pas les clowns et les poupées...

Sur une chaîne Youtube, je suis une lectrice qui parle souvent de l'auteure Katherine Arden et du coup, j'ai eu envie de la découvrir.

Je ne savais pas trop où je mettais les pieds et je dois dire que ce fut une très agréable découverte.



Là, il s'agit d'une série jeunesse en quatre tomes: Ollie 11 ans, a perdu sa mère et elle a trouvé refuge dans la lecture.

Un jour, elle croise le chemin d'une femme qui veut jeter un livre dans la rivière; Ollie arrive à sauver le livre qui est maudit, aux dires de la femme qui voulait le jeter. Et se met à sa lecture.



Le lendemain, le car scolaire visite une ferme, qui est en lien étroit avec le livre, car les personnages cités dans ledit livre ont vécu dans cette ferme.



A partir de là, découle toute l'histoire que nous lisons.

Bon, c'est pour les jeunes de 8 à 12 ans, donc pas trop effrayant; mais tout de même; il y a des fantômes, des épouvantails, des moments un peu angoissants.

Ollie fait plus mûre que ses onze ans, mais elle a lu le livre et elle a quelque chose qui l'aide, mais afin de ne pas spolier, je ne vous dis rien.



Une bonne écriture; un récit passionnant et un livre assez court et addictif.

Une très belle découverte et je vais assurément lire les tomes suivants.

J'avais hâte de découvrir la suite de cette saga jeunesse et je me réjouissais de lire ce tome en lecture commune.



L'histoire est palpitante et contient de nombreux rebondissements.



La narration multiple entre nos différents protagonistes ainsi qu'avec des personnages secondaires apporte du dynamisme tout en gardant une ambiance mystérieuse.



Evidemment, le récit est spooky et j'ai frissonné à plusieurs reprises. Tout cela avec une plume fluide, simple et prenante.



C'était un plaisir de retrouver nos différents personnages et de les suivre à travers cette aventure, j'ai particulièrement apprécié le thème de la fête foraine qui est proposé dans ce tome.



Le dénouement final est prenant et les clowns ainsi que les autres créatures fantastiques feront tout pour garder les enfants prisonniers dans la fête foraine.



Cependant, j'ai trouvé l'intrigue assez précipitée surtout à la fin, je suis consciente qu'il s'agit d'un récit jeunesse, mais je m'attendais à un peu plus de rebondissements avant de clôturer l'aventure.



Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus afin de ne pas vous spoiler.



Si vous appréciez les récits jeunesse spooky et les créatures fantastiques, je ne peux que vous recommander cette saga.



J'ai dévoré les 217 pages de ce livre. Les chapitres sont assez courts (moins d'une dizaine de pages en général) et le style d'écriture est grand et aéré.



Pour le prix, vous pouvez vous procurer ce tome pour 15,46 euros ou pour 24,80 francs.



J'ai passé un bon moment de lecture et j'ai eu quelques frissons avec ce tome. Mais j'aurais souhaité avoir une fin plus développée. C'est pourquoi, j'attribue la note de 8 sur 10 à ce tome.



Voilà les amis, j'espère que ce retour vous aura permis de découvrir une nouvelle saga.



Belle journée et à bientôt !
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Ce troisième et dernier tome est de loin le meilleur de la trilogie et je dirais même un coup de cœur. C'est un univers riche et cruel !



C'est un récit enrichissant, j'ai pu y découvrir les contes et le folklore russe.

La plume est poétique et le récit est plus rythmé, plus intense, plus prenant que les deux premiers tomes.

Les personnages évoluent au fil de la trilogie.

Ce sont des personnages nuancés ce qui apporte au récit une certaine réalité.

Les personnages sont vraiment percutants. Ils sont gris et finissent par remettrent en question leurs convictions par amour pour une fille, par amour pour une sœur, par amour pour une jeune fille dans les bois, par amour pour une sorcière.

J'ai ressenti tellement d'émotions que ce soit de la colère, de la tristesse, de la solitude, de la joie, de la fierté, de la compassion et de la haine (oui c'est fort mais c'est la réalité de ce récit au sein duquel la cruauté des Hommes est présente).

On assiste a une quête de soi et l'héroïne se trouve enfin dans ce dernier tome, elle assume son héritage et ce qu'elle est.



Dans ce tome on en découvre beaucoup plus sur le monde invisible, les enjeux de ce monde et les créatures qui y vivent ainsi que sur la magie et les pouvoirs dont ce peuple dispose.

Cette trilogie se conclut par un très beau message d'union, de vivre ensemble car c'est ce que souhaite notre héroïne : unir les peuples invisible et humain dans la Rus'.

Une parfaite conclusion à la série !

J'ai repris avec plaisir les aventures d'Ollie, Brian, Coco et Phil.

J'avais un peu oublié la fin du précédent tome mais ça ne m'a pas empêché de plonger dans ce dernier.

Il est délicieusement effrayant, donne une autre dimension à l'homme qui sourit et conclut en beauté l'histoire.

L'atmosphère du livre était très étouffante, parfait à lire en été. Et bien sûr, si vous avez peur des clowns et des fêtes foraines, vous risquez de frissonner d'effroi plus souvent qu'à votre tour.

Une très chouette série pour initier les jeunes au fantastique, tout en jouant avec les codes du genre et en valorisant l'amitié et la famille de coeur.

Un polar jeunesse qui place les petits plats dans.... Les petits. Bon, j'essaie de me remettre dans le contexte, c'est un thriller jeunesse donc les codes ne sont forcément pas les mêmes que ceux d'un roman adulte.



On retrouve une héroïne d'une dizaine d'années, Olivia, en perte de repères depuis qu'un drame est survenu dans sa famille. Son refuge ? La lecture. Un jour qu'elle fuit une punition, elle rencontre une femme à qui elle va dérober un bouquin pas comme les autres. S'ensuit une suite d'aventures surnaturelles qu'elle va vivre avec ses camarades de classe, la menant à faire preuve de courage, d'amitié mais aussi de résilience.



L'intrigue est adaptée au public visé, effrayante sans que ce soit digne de l'exorciste. Le suspens monte progressivement installant une tension savamment dosée. Apparitions surnaturelles, figure du diable (l'homme qui sourit), allégorie du purgatoire, autant d'éléments qui prouvent que l'auteure a puisé son imagination au cœur de l'enfer mais en enrobant le tout d'une grosse couche de vernis.



C'est agréable à lire, facile, avec de nombreux dialogues, indispensables pour maintenir le jeune lecteur éveillé tout en faisant en sorte qu'il puisse, par moment, s'identifier aux protagonistes.



Néanmoins, il manque quelques éléments logiques, quelques notions un peu trop tirées par les cheveux. Mais le propre du roman jeunesse n'est il pas aussi de voir au delà des limites imaginaire d'un adulte ? De redonner l'espoir à ses héros et de garder une note positive, peu importe le degré de "chair de poule" engagé ?



En somme, un roman court et efficace, qui peut faire frissonner les plus jeunes sans les traumatiser, tout en leur évoquant des valeurs telles que l'amitié, l'entraide ou encore le respect d'autrui.

Après les évènements vécus à Smoke Hollow, Ollie, Brian et Coco sont devenus une vraie bande d'amis. Ils ont décidé de passer des vacances d'hiver ensemble, accompagnés du père d'Ollie et de la mère de Coco, ils vont faire du ski au Mont Hemlock. Sur le trajet, une tempête commence et ils sont les seuls à arriver au chalet. Totalement isolés, ils doivent passer la soirée avec les propriétaires de l'hôtel. Mais dans la nuit, Ollie croit entendre des bruits étranges...

A destination du public jeunesse, ce roman est un parfait huis-clos pour frisonner. La plume de l'autrice est terriblement efficace et les pages se tournent rapidement.

Dans le Nord de la Russie, on découvre la vie rurale d'une famille et surtout Vassilissa, la petite dernière qui adore écouter les légendes racontées par la vieille Dounia. Les esprits protecteurs veillent sur eux et Vassia a la capacité de les voir, ce qui déplait fortement à Anna, sa nouvelle belle-mère. Cette dernière est totalement dévote et demande de l'aide au prêtre Konstantin.

J'avoue avoir eu beaucoup de mal à terminer ce livre car l'histoire met beaucoup de temps à se mettre en place et je ne pensais pas qu'on aborderait autant le thème de la religion par des aspects négatifs. En revanche, j'ai apprécié la fin et tout l'univers autour du folklore russe.