Kazue Kato

Il aura fallu 10 ans pour que je lise enfin ce tome 12. C'est l'une des séries que j'ai laissé traîner par manque d'envie au départ et une autre raison après.

Nous suivons donc notre groupe à le festival, certains profitent des stands, d'autres surveillent. Mais, nos héros ne se doutaient pas que les événements tourneraient ainsi.

Certes, il s'est passé des années entre ma lecture du tome 11 et 12, cependant, je me suis rapidement remis dans l'histoire. Celle-ci est toujours intéressante et on en découvre plus sur le passé d'Izumo et de sa famille et quel rôle la société Illuminati dans tout ceci.

J'ai apprécié les touches d'humour par-ci, par-là, j'ai juste une petite impression de dessin qui a vieilli, c'est juste que je n'ai plus l'habitude du style de l'autrice.

Pour conclure, j'ai bien aimé revenir dans l'univers de Blue Exorcist. Cependant, malgré une histoire intéressante, je n'ai plus l'engouement pour cette série comme pour les autres. Je ne ressens plus ce besoin de la lire et de me procurer la suite. Je m'arrête là définitivement.
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Mon premier vrai manga !!! Je ne pensais jamais pouvoir lire un manga, mais grâce à Babelio et ses Masse Critique, c'est fait !!! et j'ai bien aimé.

Avec ce premier tome l'auteur, Kazue Kato, va lancer une autre saga, je viens de voir qu'elle était l'auteur assez prolifique de « Blue Exorcist » qui compte 15 tomes, alors j'espère qu'ici il va en être de même et que notre ami Robin, robot qui à l’apparence d’un jeune garçon et qui vit sur une planète faite de gravas à l'extrémité du système solaire va avoir de beaux jours très bientôt. En effet, c'est dans ce monde très lointain que Robin vit, la Terre a été désertée par les hommes, son quotidien est assez monotone et il est perturbé par l'arrivée d'un être étrange qui se dit être un humain est qui a l'apparence d'un lapin... Mais Usa, le lapin, est poursuivit et il a peur d'être rattrapé, c'est alors qu'une amitié va se développer entre les deux êtres...



Une histoire haletante qui donne envie de lire la suite. Des dessins très très violents, mais qui regorgent d'expressions et donne une belle puissance à l'histoire.



J'ai adoré et j'en redemande malgré que je suis pas experte loin de là, mes lectures sont à l’opposée de ça, mais je me suis tout de même régalée.
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Blue Exorcist est un shonen qui est déjà disponible chez nous depuis près de 10 ans, mais je ne m'étais jamais vraiment penché dessus. Chaque été, je pars à la découverte de titres de ce genre à côté desquels je suis passé, et cette année, c'est donc son tour.



Blue Exorcist, c'est l'histoire de deux frères jumeaux qui ont été recueillis par un homme d'église, un exorciste. L'aîné des deux, Rin, va découvrir par hasard qu'il a le pouvoir de voir les démons et qu'il est même l'un d'eux, puisqu'il serait le fils de Satan. Malheureusement en faisant cette découverte, il va perdre son père adoptif. Il est très vite recueilli par un ami de ce dernier qui va l'aider à réaliser son nouveau rêve : devenir à son tour exorciste.



Les bases de l'histoire sont on ne peut plus simples. On est dans du pur esprit shonen avec un garçon qui s'en veut pour une erreur qu'il a commise et qui essaie de se rattraper en se posant un but difficilement atteignable pour lui pour le moment et qui va donc nécessiter beaucoup de travail de sa part.



L'univers est intéressant car il joue à fond sur les codes du fantastique avec ces démons, ces exorcistes et le héros qui le fils de Satan et qui a donc des pouvoirs - il lance notamment des flammes bleues. Mais dans le fond, il n'y a rien de bien original, puisqu'il découvre son pouvoir par hasard, que ça a de suite des conséquences désastreuses qui vont le pousser à changer et trouver sa voie, qu'il va ensuite travailler pour ça en entrant dans une sorte d'école pour exorciste où il va croiser des démons à combattre. Bref, un schéma assez classique mais qui se révèle efficace je l'avoue.



Les personnages sont tout autant classique pour un shonen. On a le héros tout feu tout flamme mais plein d'insécurité qui cherche la reconnaissance mais fait plein de bourdes. On a son compagnon de fortune, ici son frère, qui sur le papier a l'air parfait et irréprochable mais cache pas mal d'aspérité. On a la figure paternelle, vite perdue, qui va devenir un modèle à suivre. Et on a même, à la fin du tome, la fille qui va probablement devenir l'intérêt amoureux du héros, voire la source d'un potentiel triangle amoureux avec les deux frères. Rien de bien novateur ici, même si j'ai trouvé, Yukio, le frère du héros, assez classe. Il faut dire que je suis faible face à ce type de personnage un peu froid et taiseux, mais se cachant derrière un masque.



Là où ça pèche le plus pour le moment, c'est clairement du côté des dessins. J'ai trouvé ceux-ci assez brouillons, rendant l'action peu lisible parfois, ce qui n'est pas aidé par l'amoncellement de textes qu'on reçoit sur certaines pages. Pourtant, l'autrice n'est pas une débutante, elle exerce déjà depuis 9 ans dans le milieu quand elle commence ce titre, alors c'est d'autant plus surprenant et décevant. J'espère qu'elle va affiner son trait et alléger ses planches par la suite, parce que ça me gêne vraiment.



En conclusion : Blue Exorcist est un titre qui reprend bien tous les codes du shonen pour donner une histoire prometteuse mais pour le moment terriblement classique dans son écriture. J'aime l'univers fantastique avec ses démons et ses exorcistes mais il va falloir le développer lui et les personnages qui le peuplent pour que ça m'intéresse. Sinon ça risque de n'être qu'un shonen parmi tant d'autres.
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Voilà un shônen comme je les aime ! Avant de dire pourquoi, je tiens à préciser que j'ai des critères très élevés sur les shônens, plus que pour les shôjos ! Les shôjos peuvent parfois être banals et simples, ce n'est pas pour autant que je ne vais pas aimer. À l'inverse d'un shônen qui, selon moi, doit vraiment avoir une bonne base au niveau de la trame, des personnages bien profonds, et une histoire qui tienne la route tout au long de la série, sans qu'il n'y ait pas assez ou trop de tomes. Les séries en 5 tomes, je suis vraiment très sceptique, je pense qu'un shônen digne de ce nom doit avoir une vingtaine de tomes minimum (faire tenir une bonne histoire en quelques tomes, ça relève plus du shôjo). Voilà pour ce petit aparté.



Pourquoi Ao no Exorcist est un bon shônen :



- les graphismes (ben oui, faut bien commencer par ce qui crève les yeux ^^) : des graphismes dans le style des shônens, ni trop ni pas assez détaillé. J'aime beaucoup le trait de crayon de l'auteur ! Sans être trop chargé, son dessin est quand même assez détaillé et soigné. Bon, c'est un shônen, donc forcément, on a des filles à grosses poitrines, mais elles ne sont pas toutes exhibitionnistes pour une fois.

- le scénario : bien qu'un début assez prévisible, on a un scénario qui tient vraiment la route et nous pousse à lire la suite (vivement que j'aille m'acheter les tomes 9 e 10 *^*). On a une part fantastique dans Ao no Exorcist, en ce qui concerne le monde des Démons, les Familiers, et aussi les exorcistes, qui ont un rôle assez bien défini et qui le remplisse bien ! (ce ne sont pas des charlatans quoi).

- l'action : comme dans tout shônen qui se respecte, on a un bon quota d'actions et de rebondissements. En effet, on peut s'attendre à tout avec le fils de Satan ^^

- des personnages attachants : chaque personnage possède sa part de mystère et son caractère. Notre personnage principal n'est pas adulé de tous à cause de son statut de fils de Satan, mais il fait des efforts pour être accepté et reconnu. J'adore ce côté là chez les personnages principaux ^^ Et puis, les relations entre eux sont plutôt complexes, ce qui provoque des situations intéressantes. Personnellement, j'aime beaucoup Yukio, le grand frère de Rin ; ainsi que leur relation fraternel (on ne sait jamais comment l'interprêter, c'est déroutant ^^).

- les sentiments : l'amitié, l'humilité, la solidarité, la fraternité, ... J'ai retrouvé dans ce shônen tout ce que j'apprécie dans un bon manga.

le mystère : ben oui, sans côté mystérieux, où serait l'intérêt ? ^^ On connait peut-être les intentions de Satan et des exorcistes, mais ce n'est pas le cas pour le directeur de l'école. Il semble vouloir exploiter le pouvoir de Rin, mais à quelle fin ?

- l'univers : l'auteur a vraiment su créer un bon univers. L'école des exorcistes est un lieu qui recèle sa part de mystère. Mais surtout, ce que j'aime beaucoup, c'est l'idée des clés. Certains personnages possèdent certaines clés qui leur permettent d'aller à un endroit précis du moment que la clé trouve une serrure, n'importe laquelle (de porte, évidemment)



Voilà un shônen coup de coeur pour moi. À l'origine, j'étais déjà attirée par l'anime il y a longtemps. Je ne l'ai pas vu, mais il m'intriguait beaucoup, et j'ai tenté ma chance avec le manga :-)
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Enfin ! Enfin le moment tant attendu de la confrontation entre les deux frères qui ont du mal avec la communication ! Tous les non-dits explosent à la figure de l'un et l'autre, ça en aura pris du temps, un temps conclu par un effet de soufflet qui retombe... malgré la plus grosse menace qui pèse sur les épaules des exorcistes !

Dans ce tome, on fait un peu plus connaissance avec les autres personnages, surtout les camarades de classes de Rin. Les relations deviennent plus complexes et approfondies. Il y a un peu plus d'actions, la trame se met vraiment en place : on arrive à mieux identifier les ennemis de Rin et leurs motivations.

Rin est très classe dans ce volume, j'aime beaucoup son personnage ! Tout le monde lui en veut parce qu'il est le fils de Satan, parce qu'ils on souffert à cause de son père... Mais au fond, c'est quand même Rin qui souffre le plus... Comme on dit, "on ne choisit pas ses parents".

Time killers est un recueil d'histoires courtes de Kazue Kato. Oeuvres de jeunesse sur une période de dix ans, ce livre nous permet de voir la progression de ce mangaka. Pourtant, les histoires sont d'une inégalité assez flagrante autant dans le dessin, que dans le scénario.

Etant une grande fan de Blue Exorciste de Kazue Kato, je ne pouvais passer à côté de ce manga. C'est une adaptation de plusieurs nouvelles fantastiques (des fantômes surtout) dans lesquelles on aperçoit un personnage récurrent : Obana. Or celui-ci n'a pas vraiment un grand rôle, il est plutôt là pour aider à la résolution des problèmes. Et c'est intéressant d'aborder ces récits ainsi, on y suit plusieurs histoires différentes avec ce petit fil conducteur.

Histoires de fantômes + Kazue Kato, voilà un mélange qui marche (du moins pour moi, j'adore quand il y a des fantômes) ! Le coup de crayon de la mangaka (que j'adore - oui, encore un "j'adore") rend hommage à l'oeuvre originale et j'ai même frissonné sur certaines pages (rien que la première nouvelle, la mangaka pose d'emblée les bases de ce recueil).

L'objet livre est beau, il est assez épais (bien plus qu'un manga classique) et on a un format relié avec une couverture rigide (+ la jaquette), ce qui est rare pour un manga.



Un manga qui devrait plaire à ceux qui aiment les beaux graphismes et les intrigues fantastiques !



Un grand merci à Babelio et les éditions Crunchyroll pour cette belle masse critique.

La séquence émotion du précédent tome laisse place à du pur combat. C'est bien différent et on est relancé dans une succession de baston. Rin fait face à Yukio et tente à tout prix de le libérer de Satan. Tant d'incompréhension entre 2 frères qui s'aiment si forts... et évidemment, l'auteur nous abandonne avec un sacré cliffhanger dont je ne connaîtrais la suite que dans quelques mois je pense.

Shura s'est rendue en secret dans la préfecture d'Aomori, au nord du pays, et n'a pas recontacté l'Ordre depuis son départ. Inquiet, Mephisto demande à Yukio et Rin de se rendre sur place pour la retrouver. Cette enquête va faire resurgir la vérité sur le mystérieux passé de Shura, qu'elle a tout fait pour cacher jusqu'à ce jour…



J'ai beaucoup aimé ce tome centré sur Shura et riche en révélations ! Cette histoire de pacte passé par son ancêtre, Tatsuko Kirigakure, avec Hachirô, le serpent blanc, est captivante. En échange de la puissance accordée par l'un des crocs du dieu dragon, modelé en sabre maudit, Tatsuko s'est condamnée à mourir à 30 ans, après avoir enfanté une fille étant sa copie conforme, et destinée à Hachirô afin que le cycle se répète pour l'éternité. Grâce à l'irruption de Fujimoto dans son environnement, Shura a pu échapper au jiron de Hachirô pendant de longues années, mais ce dernier profite des agissements d'Illuminati dans la région pour la ramener à lui, afin que le pacte soit honoré. J'ai été très surpris par certaines scènes très dérangeantes, comme celle où Shura, sous le contrôle de Hachirô, essaie de violer Yukio pour enfanter ! Durant une bonne partie du tome, la mangaka joue avec l'ambiguïté de l'orientation morale de Yukio : une bonne idée, qui crée pas mal de tension…



Et pour la partie combat, on est bien servis : Hachirô est un adversaire surpuissant, qui forcera nos héros à se dépasser en termes de puissance et de ruse. Mais pour voir la conclusion de cet affrontement épique, il faudra attendre le tome 18 !

Début d'un nouvel arc ! Les phénomènes paranormaux se multiplient aux quatre coins du globe, et les exorcistes du monde entier sont à l'affût. En effet, ils seraient liés aux agissements d'une mystérieuse organisation de "mangeurs de démons", dont pourrait faire partie Tôdô : la résurrection du Fujô-ô faisait donc bien partie d'un plan plus vaste ! Et lors d'une mission, Arthur Auguste Angel, le saint Paladin en titre, découvre une porte artificielle vers la Géhenne le monde des démons… Mais quel est donc l'objectif de cette organisation ? 



Alors qu'en sous main une intrigue intéressante se prépare, avec de nouveaux personnages énigmatiques comme Lightning, du côté des aspirants c'est la routine scolaire : des démons à exorciser dans l'enceinte du campus, pour renforcer la cohésion du groupe… À part une scène importante où Mephisto dévoile sa véritable identité à un Rin décidément bien naïf, le reste des événements à l'académie n'est pas très passionnant, c'est un peu dommage… 

Je me suis à nouveau vraiment régalée avec ce tome où après la rupture entre les deux frères et le craquage de Rin, on plonge grâce à Mephisto dans le passé de leurs "parents". Il était enfin temps. Oui, ça n'a rien de révolutionnaire diront certains, mais c'est bien raconté et c'est prenant. L'autrice développe sa mythologie, en revenant sur l'enfance de Yuri et Shiro, puis sur les expériences de la section 13, sur la vie à Asylum puis sur des moments vécus par Yuri et Shiro en grandissant, tout pour nous amener à la fameuse Nuit Bleue. On sent bien comment tout se concentre petit à petit vers ce moment. J'ai aimé découvrir la personnalité haute en couleur de Yuri. Je me suis amusée à voir un Shiro complètement différent de celui qu'on a connu au début de l'histoire. Et bien sûr, revenir sur les plans de Mephisto et ses frères a titillé encore plus ma curiosité. J'ai vraiment l'impression que quoi qu'on en dise, rien n'est manichéen dans cette histoire, ceux qu'on croit méchants ont d'autres ambitions qu'on pourrait le croire et vice versa. C'est très emberlificoté mais ça donne une histoire vraiment addictive.



En bref, j'ai eu beaucoup de plaisir à lire ce nouveau tome grâce à cette plongée dans le passé !
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Comme je l'espérais, cet arc qui me semblait secondaire commence à se rapprocher de la trame principale. L'autrice en effet l'utilise pour créer un groupe d'amis solides, unis et puissants aussi autour du héros. Tout d'abord, il y a l'étape du pardon nécessaire à ce que Rin avance et que le groupe se reforme. Puis, il y a l'étape de la vérité où chacun apprend ce qui se cache derrière la menace présente et surtout le rôle qu'y tient le père de Ryuji. On assiste à un joli passage de témoin, joli clin d'oeil à la relation que Rin aurait aimé avoir avec son père à la fin.



Cependant le gros défaut de ce tome, c'est que ça parle beaucoup mais que l'action tarde à venir. On a bien eu un beau combat entre le père de Ryuji et le nouveau méchant, qui au passage est bien plus efficace que les précédents car plus crédible et charismatique. Il faut dire qu'il fait moins le guignol aussi, ça aide. Mais on va devoir attendre encore le prochain tome pour avoir le gros combat final tant attendu et là je trouve que ça traine un peu.
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L'histoire se poursuit à Kyoto avec la famille de Ryuji. J'avoue que ça ne m'avait pas franchement plu la dernière fois et c'est encore le cas même s'il y a une amélioration. Par contre, quand je vois que ce n'est pas encore fini, donc plus de 2 tomes là-dessus, je me dis qu'il y a intérêt à ce que ça ait sacrément avoir avec la mythologie de la saga.



Mais bon, l'affaire devient plus sombre. On découvre qui est derrière le vol des yeux de ce démon capables de diffuser d'horrible miasmes faisant mourir les gens. Ce n'est pas original mais c'est efficace. Et cela nous amène vers de nouveaux secrets, ingrédients qui fonctionne toujours dans ce genre d'histoire. On a forcément envie de voir ce que cache le père de Ryuji, le grand prêtre, lui qui connaissait le père de Rin et a hérité de sombres secrets apparemment.



Du coup, même si cet arc m'embête parce qu'au début il a été mal intégré à l'histoire principale, il me plait tout de même de plus en plus.
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Fan de Blue Exorcist de Kazue Kato, j'ai voulu tester l'œuvre qui l'a précédé : Space Travelers. Ici, on est dans le domaine de la Science-Fiction, et ce dès les premières pages. L'auteure nous immerge dans le quotidien de Robin, un robot humanoïde qui vit seul sur sa planète et ne désire qu'une chose : un ami. C'est dans la personne de Usa qu'il le trouvera. Usa est un lap-humain sélénoïd criminel échappé qui s'est réfugié sur la planète de Robin le temps de trouver un vaisseau. L'aventure ne fait alors que commencer pour Robin...



Je ne vais pas dire que je n'ai pas aimé, mais je n'ai pas été très convaincue par ce premier tome (faut dire que Blue Exorcist place la barre très haute...). Tout s'enchaîne très rapidement, et les mystères et informations tombent au compte-gouttes. Pas de tome introductif, j'aurai préféré pour un tel univers. Bon après, l'avantage est que cela nous donne envie de connaître la suite (ou pas). La série est terminée en 5 tomes, ce qui paraît assez court, et je suppose que mon ressenti sur l'enchaînement rapide des événements est dû à cela.



Au niveau des personnages, je ne me suis pas attachée à Robin, je trouve qu'il est un peu trop stéréotypé dans le genre pleurnichard... J'espère qu'on le verra grandir et évoluer par la suite, parce que sur le bandeau promotionnel du livre, il a l'air vachement plus classe. Par contre j'ai bien aimé Usa, et heureusement qu'un personnage tel que lui est présent dans l'histoire, parce que je crois que je me serais ennuyée.



À voir ce que les tomes suivants nous réservent.

Ce manga doit être bien pour les passionnés mais malgré mes nombreux essais aux manga (le plus souvent bons) Blue exorcist m'a paru comme une montagne totalement lisse qu'on essaye malgré tout de grimper: Au début on croit y arriver mais on tombe,la page d'après à là on commence à comprendre,encore après on retombe,etc…

Bref. Je réessaierais peut-être plus tard je l'ai peut-être mal compris?

Apres tout ce n'est pas la première impression qui compte pas vrai?!

"Blue Exorcist, tome 28" de Kazue Kato.

Cela fait longtemps qu'on attendait la suite de Blue Exorcist et quel tome !

Après avoir exploré le passé de Satan et la mère de Rin ainsi que la préparation de la guerre face à Satan et ses monstres, on entre enfin dans le vif du sujet avec la guerre en elle-même.

Satan donne vraiment une impression de puissance et une peur de tuer tous les héros mais également le conflit entre lui et Rin (son fils) est incroyable !

Hâte de la suite même si cela va prendre un peu de temps !

Illuminati se dévoile au beau milieu du Cross Festival ! Avec l'aide de l'espion, qui cachait admirablement bien son jeu, Izumo est enlevée sous les yeux de Rin et ses amis, totalement impuissants ! Le leader de l'organisation, qui n'est autre que le redoutable Roi de la Lumière Lucifer, a fait en personne le déplacement pour déclarer ouvertement la guerre aux exorcistes, au moment où des explosions se déclenchent dans tous les QG de l'ordre de la Croix-Vraie ! Avec l'aide de leur étrange camarade Takara, mandaté en secret par Mephisto pour enquêter sur Illuminati, les aspirants s'élancent à la poursuite des ravisseurs d'Izumo jusqu'au sanctuaire Inari, berceau de la famille Kamiki. Mais ce qu'ils vont y découvrir dépasse leurs pires attentes...



Enfin de l'action ! Les événements s'enchaînent sans temps mort, et il était plus que temps ! La révélation de l'espion d'Illuminati est bien mise en scène, j'ai été très surpris par son identité ! Le but de la société secrète est enfin révélé, et le "grand méchant" fait son entrée de manière fracassante. Du grand art ! On rencontre également le monstrueux professeur Gedoîn, un savant fou véritablement repoussant, physiquement et moralement !



L'arrivée des aspirants au sanctuaire Inari permet à la mangaka de créer un décor magnifique et très traditionnel, mais bien trop beau pour être vrai comme on le découvrira... C'est aussi l'occasion d'en savoir plus sur le passé, mystérieux jusqu'ici, d'Izumo Kamiki. Ces révélations apportent un éclairage nouveau sur son caractère méfiant et asocial, et redonnent de l'intérêt à ce personnage que j'apprécie bien davantage désormais.



J'ai trouvé ce tome 12 vraiment très bon. Il marque un tournant très important dans l'histoire, et lui redonne enfin le rythme qu'il lui manquait depuis la fin de l'arc de Kyoto !

Avec l'aide de la divinité du feu Ucchusma, Rin réussit à trancher le cœur du Fujô-ô avec son sabre ! L'entité démoniaque est ainsi vaincue, les miasmes toxiques disparaissent… Et Tôdô se volatilise sous les yeux de Yukio, encore ébranlé par leur confrontation ! Après un peu de repos bien mérité au ryôkan Suguro, où tous s'interrogent encore sur le véritable but derrière toute cette histoire, c'est l'heure pour les aspirants et leurs professeurs de rentrer à Tokyo. Ou du moins c'est ce qu'ils croyaient, car Shura les réquisitionne pour une nouvelle mission : une station balnéaire voisine est menacée par un gigantesque kraken ! 



L'ambiance de ce tome redevient tout de suite bien plus légère : on a tout d'abord droit aux clichés habituels des lycéens à la plage, avec des filles en maillots de bain et des taquineries en tout genre. C'est sympa, mais après autant d'émotion dans les tomes précédents ça tombe un peu à plat… 



L'intérêt est relancé lorsque Yukio, en plein questionnement et en froid avec Rin, se retrouve forcé de coopérer avec lui, et que les deux frères ont enfin l'occasion d'avoir une vraie discussion. Cet échange sous tension va leur permettre de briser un peu la glace. Il aurait sans doute été encore plus efficace si Yukio était complètement franc avec son frère au lieu de tout garder pour lui, mais c'est bien les faiblesses et les doutes d'un personnage qui le rendent intéressant, non ? En revanche, je ne comprends pas trop pourquoi la mangaka a fait en sorte que Shiemi soit coincée avec les deux frères Okumura : la pauvre donne vraiment l'impression de tenir la chandelle ! 



Quant à la résolution du problème du kraken, elle est assez réussie et fera intervenir une divinité antique de la mer et des croyances oubliées. J'ai trouvé que c'était une bonne idée, cela donne lieu à de très belles planches !



En résumé, un tome plus calme, avec une seconde partie plus intéressante. La relation entre Yukio et Rin va-t-elle s'améliorer ? Qu'est-ce qui attend les exorcistes une fois de retour à l'académie ? À suivre ! 

Sous l’œil attentif de Mephisto, qui reste spectateur de tous ces événements, le combat contre le Fujô-ô, qui s’est matérialisé comme un amas organique informe sur la colline qui surplombe Kyôtô, commence.



Tandis que les exorcistes de Tokyo et de Kyôtô mettent en route des rituels complexes afin de préparer leur attaque et la défense de la cité, Yukio est provoqué en duel par Tôdo en personne. Après avoir absorbé le pouvoir du Garuda de Tatsuma, le démon a un corps bien plus jeune et vigoureux, et dispose à présent d’une immense puissance. Mais surtout, il va utiliser sa langue acérée pour instiller le doute dans l’esprit de Yukio, déjà fortement ébranlé par toute la situation autour de son frère Rin. Cette confrontation va faire ainsi rejaillir les vrais sentiments de l’adolescent envers son frère, et continuera probablement à le ronger pendant un long moment...



Mais les aspirants ont également un rôle important à jouer ! En effet, Ryûji a retrouvé son père, près des ruines de l’ancien temple, blessé après sa défaite contre Tôdo. Le moine lui apprend un sûtra antique qui lui permettra d’invoquer la plus puissante des barrières, qui sera capable de protéger la cité des miasmes que dégage le Fujô-ô. Mais pour cela, le jeune exorciste doit atteindre le cœur du Fujô-ô, son seul point faible.

Grâce à Kuro, Rin accompagne Ryûji au cœur du danger, prêt à intervenir pour le protéger durant son incantation. Seul problème : depuis qu’il est sorti de sa cellule, Rin n’a pas pleinement récupéré sa confiance en lui, et est incapable de dégainer le Kômaken… Dans ces conditions, parviendra-t-il à aider Ryûji ?



Les liens entre les aspirants se renforcent beaucoup dans ce tome, où l’action est menée sur plusieurs fronts, mais reste toujours lisible. Le Fujô-ô est un adversaire plus redoutable que tout ce que les personnages ont eu à affronter jusqu’à présent, et cette bataille permet à tous les aspirants de briller chacun leur tour. J’ai vraiment aimé toutes ces scènes d’action et ce tome, que j’ai dévoré d’une traite !