Kevin Brooks

Un roman au rythme effréné, avec une touche de gore mais dont la fin laisse un peu sur la faim justement !

C’est un livre bien étrange et d’une impitoyable dureté pour un livre ado. A ne pas mettre entre des mains trop jeunes qui pourraient ne pas comprendre. Une soirée entre anciens amis dans leur vieille cabane qui se termine dans une fête foraine… jusque là rien de bien perturbant… mais l’alcool, la drogue changent les gens et leurs perceptions. Le lendemain des disparitions étranges, des amis aux comportement soudain bizarre… Pete, le fils d’un inspecteur de police, est dans de sales draps mais veux savoir ce qu’il c’est vraiment passé. Un livre étrange mais captivant… faut-il dire la vérité ou protéger des amis qui n’en sont peut-être pas. C’est une enquête très spéciale, une ambiance très noire… pas du tout un livre pour rire. Mais un très bon livre quand même qui peut faire réfléchir.

J'ai adoré! Roman bizarre, où on se pose beaucoup de questions. J'ai aimé l'écriture, le style, les personnages, les évènements ... C'est vraiment un livre à lire

Enfermés. Par qui ? Pourquoi ? Jusqu'à quand ?



Linus, 16 ans, se réveille un matin sur le sol d'un sinistre bunker souterrain. Sans eau, sans nourriture... et sans la moindre explication. Manifestement, il a été kidnappé. Pour quel motif ? Et qu'attend-on de lui ?

Les jours passent. D'autres détenus, n'ayant apparemment rien en commun, sont amenés par un ascenseur,. Une petite fille. Un vieil homme malade. Un toxicomane. Un autre homme, une autre femme. Capturés en pleine rue, comme lui. Nourris, désormais, constamment surveillés. Et incapables de comprendre ce qu'ils font en ce lieu.

Bientôt, et tandis que le temps commence à perdre sa réalité, une horrible vérité se fait jour. Il ne s'agit plus de sortir – c'est manifestement impossible. Il s'agit de survivre. Ensemble. Le plus longtemps possible. En espérant obtenir une réponse à la seule question qui vaille : Pourquoi ?



Mon avis : je suis très mitigée sur cette lecture car c'est captivant, ça se dévore rapidement mais je déteste n'avoir aucun élément de réponse au cours de mes lectures.

Alors c'est voulu mais c'est frustrant pour moi.

En tout cas on s'attache au personnage principal Linus, qui nous raconte cet enfermement et tout ce qui en découle au fil des jours qui passent et on garde espoir malgré tout jusqu'au bout.
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Linus se fait avoir : il est capturé et séquestré dans un appartement. Rapidement, d'autres personnes, elles aussi enlevées, le rejoignent. Linus réussira-t-il à sortir de ce piège sans issue ? J'ai découvert ce roman dans l'excellent livre Écrire comme une abeille de @clementinebleue. Si vous souhaitez savoir pourquoi l'autrice le cite, je vous laisse plonger au cœur de l'ouvrage. Ce qui est certain, c'est que Captifs me marquera. Le principe du huis clos est pourtant connu, les retournements assez classiques... et pourtant... quel dénouement. A couper le souffle. A mon tour donc de vous conseiller ce titre, en ajoutant de ne pas en commencer la lecture le soir, vous risqueriez de ne pas dormir !

Being est un thriller captivant avec un brin de science fiction. L'auteur installe bien son atmosphère au cours du roman. Les personnages sont attachants mais ils mériteraient, à mon goût, d'être plus travaillés. Malheureusement, je n'ai pas apprécié la fin qui donne l'impression d'avoir été bâclée.



Ce roman s'est révélé à la hauteur de mes attentes. Bien mais sans plus.

Incroyablement nul. L'écriture est fade, l'histoire n'est pas organique (c'est une succession d'événements sans réelle cohésion), le personnage principal est raté. C'est simple, il chope des pouvoirs et tout devient hyper facile pour lui. Il ne traverse aucune réelle difficulté et reste le même du début à la fin.



Je passe bien-sûr à côté des fainéantises de l'auteur du type "indescriptible ; je ne sais pas comment le dire ; j'aurais pu le décrire, mais je vais pas le faire"... Faut croire que l'auteur s'est décidé à ne faire son travail qu'à moitié.



L'intrigue, parlons-en, la demoiselle en détresse qui se fait violer, et dont le héros fait figure de pansement, ça gêne personne ? Le personnage féminin est trop clichée... La meuf s'est faite violer par 5 gars, et elle est prête à repartir sur une relation avec son ami d'enfance tout de suite après !? C'EST QUOI CE SKETCH !! Pouvait pas faire pire, le bougre.



Sinon, y a plein d'autres trucs nases, mais c'est déjà bien assez long. Le méchant l'est comme ça, pas de développement. Le héros peut tout faire (comme je sais pas rendre riche tous ses proches et quitter le taudis dans lequel il est pour la belle vie !), mais le fait pas...



Bref. Ça a été hyper dur à finir. Je conseille pas.

« Captifs », c’est un roman à huis-clos que j’avais depuis belle lurette dans ma wish-list et que j’ai enfin découvert cet été ! Amis claustrophobes, abstenez-vous de cette lecture ! Nous voici embarqués dans un monde souterrain où six prisonniers sont réunis par une entité inconnue mais qui les surveille de près, de très près. Impossible de savoir pourquoi ce sont eux qui ont été choisis et qu’est-ce qu’attend leur bourreau. Plus les jours passent, plus la survie devient compliquée, mais plus le roman devient aussi addictif.
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C’est l’histoire d’un garçon qui, après avoir reçu un téléphone sur la tête, a des superpouvoirs. En effet, par l’intermédiaire de son cerveau, il peut accéder à internet, aux données confidentiels des uns et des autres… Mais surtout, il peut électrocuter des gens. Ce livre, c’est une amie qui me l’a conseillé. J’avoue qu’au début, je n’étais pas fan de la couverture. Moi qui lit d’habitude des livres dans le genre de Yaël Hassan, ça m’a fait tout drôle. J’ai quand même décidé de le lire malgrès cela et figurez-vous que j’ai adoré !

En effet, dans ce roman, Tom essaye de trouver celui qui a frappé Lucie, sa meilleure amie de toujours. Parfois, je me disais que ses actions étaient très violentes mais d’autres fois, je le comprenais. Il ne voulait pas rester impuissant face à ce qui venait de se passer. J’admire son courage et sa détermination pour sauver Lucie. C’est un roman qui m’a entraîné, en effet, j’avais toujours envie de poursuivre la lecture. La seule chose que je n’ai pas aimé, c’est quand l’auteur décrivait les scènes violentes. C’est un livre qui raconte très bien ce que les gens vivent dans les cités. Là-bas, personne ne veut dénoncer les coupables par peur d’être dénoncé, ce qui est vraiment triste et cause la perte de d’autres personnes. Tom, qui se fait appeler «Iboy» devient au fil du livre un criminel, qui plusieurs a failli mettre la vie des gens en danger. A cause de ce téléphone dans sa tête, il n’est plus lui-même, il se rend compte que les actions qu’il fait ne lui ressemble pas et pourtant, il n’arrive pas à s’arrêter. Il s’est transformé et il n’arrive plus à redevenir le Tom Harvey d’avant, celui qui voulait la paix dans le monde et qui ne faisait pas de mal à une mouche. Sinon, je vous conseille vivement de lire ce livre car c’est un roman plein de surprise et qui est très bien écrit. C’est un livre très fort qui mérite d’être lu !

Un livre plutôt destiné pour les adolescents, mais j'ai bien aimé l'idée (qui fait une pub formidable à la société à la Pomme).

Tom vient dans une citée pourrie londonienne entre les gangs, les dealers ... Il est élevé par sa formidable grand-mère, car sa mère a été tuée par une voiture dont le conducteur n'a jamais été retrouvé. Tom HARVEY est un jeune homme discret, sensible, taiseux, qui arrive à naviguer dans un univers toujours dangereux. Lui et sa grand-mère survivent grâce aux romans à l'eau de rose qu'écrit cette dernière.

En rentrant un soir de mars à l'appartement, le jeune homme reçoit sur la tête, un téléphone portable et plonge dans le coma. Il en sort quelques temps plus tard et réalise que les résidus du téléphone restés dans son cerveau car non retirables par les chirurgiens, lui confèrent d'étranges capacités : hyper connecté, possédant la connaissance universelle accessible en un éclair, la conscience de Tom va être mise à rude épreuve surtout lorsque sa meilleure amie, Lucy, se fait agresser et violer par de nombreux individus d'un gang "the Crows" à cause de son frère.

Lucy, Tom et son double IBoy, vont apprendre à mieux se connaître et se révéler sur fonds de violence, de manque d'argent et de paternité ... Petite précision : les capacités d'Iboy disparaissent dans les zones dites blanches.

J'ai plutôt bien aimé ce livre. J'avais beaucoup d'appréhensions au vu du titre, je m'attendais à un style simple, une intrigue très légère, des personnages bâclés. Et je dois dire que j'ai été surpris. Le style d'écriture n'est pas particulièrement étoffé mais il m'a emporté dès les premières pages, sans parler du coup de théâtre, je n'avais rien vu venir et je trouve le déroulement de ce roman d'autant plus surprenant. C'est un bon livre pour sortir un peu de ses habitudes et se laisser transporter dans une nouvelle aventure. Seul bémol: la longueur des chapitres, en moyenne 50 pages chacun.

Dans un mauvais geste, bam, le corps tombe. Votre père est mort. Pas jojo n’est-ce pas ? Alors que faire ? Car peut-on vraiment croire à un accident ? Et puis si on attend trop, c’est foutu non ?

Voilà les nouveaux problèmes auxquels est soudainement confronté Martyn. Et avec ce pitch plutôt sympathique et attrayant, le lecteur ne peut qu’adhérer immédiatement. On se projette, on veut savoir, on envisage les scénarii. Et on rit, on savoure l’improbable, tout en étant interloqué des véritables problèmes de fond dont il est question dans le roman. Voilà une histoire bien menée du début à la fin, qui déclenche une lecture addictive. A conseiller vivement donc !
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Un été à tuer, raconté au travers les yeux de Pete Boland, l'un des personnages principaux, est tout aussi surprenant et captivant que les précédents romans de Kevin Brook (Comment j'ai tué mon père, Being). Rédigé avec brio dans un style nostalgique et sombre, nous avons ici un superbe roman noir. L'atmosphère lourde de ce récit, long mais passionnant, emplit chacune des pages et l'on avance pas à pas dans une enquête qui s'annonce bien sinistre.

Livre sur la violence, l'alcool et la drogue, vécus au quotidien, Un été à tuer confronte le lecteur à un texte qui est tout sauf banal.

Sans faire dans l'incompréhensible, Kévin Brooks n'a pas hésité à rendre ses personnages très réalistes avec une psychologie très bien définie, complexe et riche. L'ensemble est bien nourrie et sans cliché, proposant une histoire très réussie.

Descriptions, actions et mystères se mêlent très bien du début à la fin de ce livre sans que jamais le lecteur ne s'ennuie.

Loin des courantes présentations d'ados américains, ce livre est "à la française", c'est-à-dire que l'on s'y cherche, qu'on y fait face à ses défauts, à ses questions. C'est plus d'une fois déstabilisant. Kevin Brooks écrit parfois de façon cru mais il dépeint bien le réel. Un livre de qualité, qui séduira les grands ados et qui vaut vraiment le coup d'oeil !

Dés le début, Kévin Brook plonge le lecteur dans l'ambiance et c'est ainsi que dans les dix premières pages déjà, l'intrigue se met en place : "Je ne comprends pas. Qu'est-ce que c'est que ce truc marron ? Ecartez-moi ça. Regardez. Bon Dieu ! On dirait une espèce de…" Vraiment flippant.



Being de Kévin Brook est un roman qui m'évoque la trilogie des Jason Bourne, même si les différences sont nombreuses. Le récit original et haletant, plonge le lecteur dans une ambiance noire et violente.



Robert Smith est un héros attachant par lequel Kévin Brook s'interroge sur la définition de l'humain : à partir de quand doit on considérer quelque chose comme humain ou non ?

Une véritable question philosophique à laquelle répondra Robert avec simplicité mais justesse : "Quoi que je sois, quoi qu'il y ait à l'intérieur de mon corps, je n'y pouvais rien (...) Je fonctionnais comme un humain. J'avais l'air d'un humain. Je pensais et sentais comme un humain. Quelle importance que je ne sois pas humain (...) Tant que ça ne m'empêchait pas d'être moi-même, qu'est-ce que ça pouvait

faire ?"



Being c'est un thriller captivant, riche en rebondissements, où l'on ne s’ennuie pas. C'est le récit d'un adolescent fugitif, poignant et fort. C'est une aventure hors du commun racontée dans un style clair et efficace.



Kévin Brook propose avec Being un texte surprenant, entre réalité et science-fiction et un personnage auquel le lecteur tient dés les premières lignes. L'intrigue est palpitante et le héros doué d'une véritable psychologie. Kévin Brook retranscrit avec brio les sentiments et réflexions de Robert tout en relatant les actions avec vivacité : une alternance savamment dosée.

La fin en elle même réserve des surprises et est une conclusion ouverte au récit. Elle continue de plonger le lecteur dans le questionnement.

Une bande de cinq amis (Pete, le narrateur, Raymond, qui communique avec son lapin noir, Éric et Nicole, les jumeaux, Pauly, l'ado paumé) qui se retrouvent un soir de fête foraine. A cette occasion, Stella, une amie d'enfance devenue célèbre, vient se pavaner et fait voler les apparences et amitiés en éclats. Malheureusement, ce soir-là, Nicole repousse Pete, Wes Campbell terrorise Raymond, Pete semble être dans un état second et Stella et Raymond finissent par disparaître. Pete décide de partir à la recherche de Raymond et va finir par découvrir ce qu'il s'est réellement passé lors de cette soirée.

Beaucoup de suspens dans ce roman que l'on n'a pas envie de lâcher.

6 personnes qui ne se connaissent pas se retrouvent ensemble enfermées dans un sous-sol après avoir été enlevés.

On y trouve Linus le personnage principal, Jenny, la plus jeune et la deuxième à être arrivée, Anja, Fred Bird et Russell, tous différents. Ils ont tous étaient kidnappés par la même personne et enfermés au même endroit. Ce qu’on attend d’eux, ils ne le savent pas. Ils doivent à eux six essayer de sortir ou au moins de survivre.



Tout de suite je me suis laissée embarquée par l’histoire de ce livre, ce côté ou ils se retrouvent tous enfermés ensemble apporte un côté angoissant à la lecture.

Dès les premières pages impossible de ne pas se poser les questions suivantes : pourquoi eux et pas d’autres personnes ? Qui les a enfermés là ? et surtout dans quel but ? mais hélas on a aucune réponse à toutes ses questions car au final le livre ce termine et on ne sait rien de plus que ce que Linus raconte dans son journal. .

On se retrouve dans un univers sombres, on ne sait pas ce qui va arriver à nos personnages. Je trouve que le personnage de Linus est intéressant, au final ce n’est qu’un ados encore mais il a une attitude plus mature que des adultes qui sont avec lui, et son côté protecteur envers Jenny est assez beau à voir, on voit bien que ce qui compte pour lui c’est presque plus la survie de Jenny. D’ailleurs le choix de faire venir une jeune enfant, de l’enfermer comme ça et de lui faire vivre ses épreuves et assez dur. Mais j’aime la façon dont Jenny fait face à la situation.



La fin est plutôt surprenante mais je la trouve très bien et elle correspond parfaitement à l’ambiance, l’univers du livre le fait que ça se termine sur une phrase de Linus inachevée nous laisse supposer que lui aussi à fini par mourir. Au final on ne sait pas ce qu’il c’est passé et ça nous donne le loisir de nous faire notre propre idée sur les fins possible et je trouve ça bien



Bref, un livre captivant, surprenant, qui laisse un petit goût d’inachevé après la lecture.

Comment dire que je suis assez déçue de ce livre.. Y'a certains passages dont j'ai rien compris et j'ai trouvé que certain personnage n'avait rien a faire dans cette histoire. On est bien entendus très loin d'un coup de coeur ...

Six personnes sont enlevées, six personnes sont enfermées dans un bunker sans issue. Captifs est un thriller dans lequel il n'est pas possible de respirer. On reste dans le noir et on est aussi oppressé que les personnes. Ce qui créé cette impression d'asphyxie c'est que la narration est faite au travers du journal d'un des prisonnier, un adolescent auquel j'ai finit par m'attacher. La pensée, structurée au départ, se délite peu à peu jusqu'à se liquéfier...

Comme dans tout huis-clos qui se respecte, les relations humaines sont au cœur de l'intrigue. Les tensions grimpent peu à peu, jusqu'à ce que la tension éclate : en bien ou en mal, la situation doit nécessairement évoluer... Un livre qui piège le lecteur autant que ses personnages.
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Dans cet angoissant huis-clos, on suit la captivité de ces 6 personnages par l’intermédiaire du journal de Linus. L’adolescent de 16 ans venait de quitter sa famille dysfonctionnelle et vivait depuis 6 mois dans la rue quand il a croisé la route de l’homme qui l’a enlevé et qui, maintenant, le séquestre dans ce sinistre bunker.



On suit avec angoisse le récit quotidien de sa vie dans le bunker, les tentatives pour communiquer avec l’extérieur, pour négocier avec leur ravisseur, les ingénieux plans d’évasions… Mais à chaque tentative avortée, la colère de l’homme se fait plus vive, les privations plus terribles, les manipulations plus perverses, si bien que le récit ne tarde pas à basculer dans l’horreur la plus totale. A partir de là, plus question de s’évader, une seule chose compte : survivre, survivre à tout prix! Mais jusqu’où les captifs sont-ils prêts à aller pour sauver leur vie?



Ne vous attendez pas à trouver dans ce sombre thriller une réponse à toutes vos questions, il n’y en aura pas et c’est là que réside toute l’horreur de ce livre! Si par définition, l’homme tend toujours à rationaliser en cherchant un « Pourquoi ? » aux malheurs qui s’abattent sur lui, dans la réalité, cette question trouve rarement une réponse satisfaisante et il en va de même ici. Et une chose est sûre, le dénouement ne vous laissera pas indemne. Dur de ne pas déprimer après une fin aussi dure ! Cette lecture n’est donc pas à mettre entre toutes les mains, mais elle vous plaira si comme moi vous êtes amateur du genre.
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