Citations de Kim Richardson (30)
Ses cheveux m'effleurèrent le visage et je sentis une bouffée de Head ans Shoulders - pour le coup, je me demandai si les vampires pouvaient avoir des pellicules.
- La mort d'un mortel n'est jamais la fin... ce n'est que le commencement de quelque chose d'encore plus excitant.
Elle s’approcha de Tristan. "Je t'avais dit qu'elle sentait le roussi Tristan"
"Ce qui sent mauvais, c'est ton haleine, sale peste, s'exclama Simon. Mais qu'est-ce que tu as mangé à midi - du fumier?"
"Hmmm - quoi?" [...] "Pourquoi vous me regardez comme ça? Je n'ai rien fait"
"Pas encore" dit Tristan en esquissant un sourire.
Les choses ont tendance à se résoudre quand on s'y attend le moins.
-Qu’est-ce que c’est ?
Tristan se décala sur le côté. « Un Daragon, chuchota-t-il. Un dragon sauvage- il tue tout ce qui bouge. »
[…]
« D’accord, alors ne bougeons pas » murmura Simon
Parce qu'un homme qui bat une femme n'est pas un homme. C'est un lâche. Un faible.
Simon se rassit sur le lit de l'agent Franken. "Vous voulez dire le Grand Raccourcissement"
"Raccordement, le reprit Tristan. Le Grand Raccordement. Combien de fois faudra-t-il te le dire pour que tu l'imprimes, génie?'
Je ne sais pas ce qui se passe, mais on va devoir le découvrir avant que ça recommence.
Parce qu'on savait tous que, dans ma vie, la situation pouvait toujours empirer.
Je ne pensais pas que le responsable soit un fantôme. Et Eddie ne devait pas le penser non plus. Il devait posséder quelque chose dans son ordinateur qui l'avait fait tuer. Quelque chose qu'on avait pas encore vu.
Kara voulait faire quelque chose qui ait de la valeur pour son amie, même si elle savait à n'en pas douter qu'elle enfreignait quelques lois sacrées.
« On vous a déjà prévenu, David McGowan ! Vos jours en tant qu’ange gardien sont comptés ! » Il gronda en pointant un long doigt sur David. Kara était quasiment certaine que des rayons laser allaient jaillir des yeux de Ramiel pour frapper David — le réduisant en cendres sur-le-champ. Le visage de l’archange était ravagé par la fureur.
« David, on est carrément foutus », murmura Kara.
« Ne t’inquiète pas — je gère », lui chuchota-t-il.
- Tu sais, je commence à en avoir vraiment assez que les gens essaient de me tuer tout le temps. J'ai une vie, tu sais.
Tu mérite d'être avec quelqu'un qui te fera passer en premier.
Une heure s’écoula, puis une autre. Je frottai mes paumes moites sur mon pantalon. Je détestais ce sentiment d’impuissance. Je tournais en rond dans le bureau en me tirant les cheveux et en houspillant les prostituées qui ne cessaient de me demander ce qui se passait et où était Jon.
Des bruits de pas résonnèrent à l’extérieur. Mon cœur cognait à tout rompre et je me tournai vers la porte. Lorsqu’elle s’ouvrit, je me décomposai. Will et Léo entrèrent en coup de vent. Leurs visages et leurs vêtements étaient couverts de sang et d’éclats de chair sur lesquels je ne préférais pas m’attarder.
— Où est Jon ? m’écriai-je, la gorge sèche.
Will et Léo répondirent froidement :
— Ils l’ont embarqué.
— Qui l’a embarqué ?
Mais je connaissais déjà la réponse.
C’était le parfum de l’imagination - là où les grands esprits se rencontraient et créaient toute leur magie à partir d’encre et de papier - le parfum des aventures à découvrir. Dans les livres, tout était possible... et elle adorait ça.
"Tu - tu penses que c'est une bonne idée de me donner un débutant ?Je n'ai aucune expérience dans l'entraînement des gens. Je n'ai même jamais réussi à apprendre à mon hamster à ne pas me faire caca dans les mains. Je suis une vraie catastrophe. Je ne me vois absolument pas en instructrice."
Elle regarda le visage flétri de David. Sa peau était d'un blanc de craie. Il n'allait pas tenir bien longtemps. Les démons l'avaient presque tué. Elle espérait que Peter serait suffisamment courageux pour les garder en vie jusqu'à son retour. Elle priait pour qu'il le soit.
Kara se leva et s'examina. "Bon. J'y vais -"
"Attends ! Il faut que tu m'embrasses pour me porter chance." David plissa les lèvres. "Si je dois mourir en tant qu'affreux démon, au moins que je sois un démon heureux."
En faisant les gros yeux, Kara s'agenouilla près de lui. Elle caressa doucement son visage de ses mains. "Tu ne vas pas mourir. Ne sois pas stupide. Je ne te le permettrai pas. Je te le promets. Je reviens vous chercher les gars... et on rentre à la maison. Promis." Kara se pencha en avant et posa ses lèvres contre celles de David. Elle frissonna en sentant sa peau froide, mais elle était quand même ravie de la douceur de son contact.
"Je ne peux pas croire que vous vous embrassiez dans un tel moment", s'esclaffa Peter, un gémissement dans la voix. "Dépêche-toi et reviens en un seul morceau. Cet endroit me donne la chair de poule. Je sais que je vais faire des cauchemars de clowns pour le restant de les jours."
"D'accord. Promis." Kara avait l'impression que tout le poids des Enfers était tombé sur ses épaules. Elle répugnait à les laisser là de cette façon, mais elle n'avait pas d'autre choix.
"Sois prudente", fit David.
-Et POURQUOI y a-t-il une Guilde des Anges Assassins ? Je veux dire que... que je pensais que les anges étaient censés protéger, guérir et faire tous ces trucs d'anges !
C’est justement ça, fit Tyrius en roulant sur lui-même, la queue enroulée autour de ses pattes. Ce ne sont plus des enfants. Les enfants, ça va. Je peux tolérer toutes ces pattes collantes et la bave – et même à l’occasion des boules de poils. Les enfants, c’est mignon. Ils sont contents de te voir. Ils sont tout sourire et veulent des câlins. Mais ceux-là… ce sont des ados. Ils n’écoutent pas. Ils me défient. Ils répondent. Ils pensent tout savoir.
J’éclatai de rire.
J’étais exactement comme ça. Et je le suis encore, fis-je après réflexion. — Ha ha, répondit Tyrius en agitant la queue. C’est une bande de petits diables. — Une bande de diablotins. Démons. Diables. Du pareil au même. — Tu ne m’es pas vraiment d’un grand soutien pour une meilleure amie, commenta-t-il en baissant les sourcils sur ses yeux tout en rabattant les oreilles. Qu’est-ce qui est arrivé à « Je protégerai toujours tes arrières, Tyrius » ou « Je suis de ton côté, Tyrius » ? — Ça va bien aller, fis-je en poussant un long soupir. C’est simplement une phase. Tous les ados sont censés rendre leurs parents dingues. C’est dans leur ADN. Ça leur passera. — Vivement ! fit le chat en se rongeant une griffe de sa patte avant. Attends d’avoir tes propres enfants. Tu verras. Quand ils te répondent, c’est spécialement brutal. — Eh bien, c’est nettement trop tôt pour avoir cette conversation avec Gareth