Latie Gétigney

J’ai passé un super moment de lecture avec cette romance historique remplie d’amour, d’aventures et de rebondissements. J’ai été transportée en 1797 en Angleterre et j’ai beaucoup aimé faire la rencontre de Miss Roseburry et de Mr Clenneth, deux personnages fort intéressants, remarquables et brillants, pour lesquels j’ai éprouvé beaucoup de sympathie. L’histoire est cohérente et très bien écrite, et même si l’on devine très vite le dénouement, les rebondissements n’en finissent pas de nous surprendre tout au long de notre lecture, et on prend plaisir à suivre les personnages. Je me suis régalée avec ce roman qui s’avère être une belle découverte.

Tout dans ce livre était là pour que je passe un bon moment de lecture.

Je suis friande des romances, encore plus lorsqu’il y a des gentlemans inatteignables pour les héroïnes. La personnage principale est attendrissante avec sa correspondance secrète à sens unique. Elle fera rappeler à chaque femme ses amours de jeunesse avec ce côté un peu enfantin qu’on a toutes vécues un jour.



« Les lettres que je ne vous ai jamais envoyées » n’est pas qu’une romance, il y a une véritable intrigue. En 1797, l’Europe connaît de grands changements et la tension en Angleterre est à son comble. Il y a des complots qui vont venir perturber les personnages, donnant une atmosphère plus sombre à ce décors qui peut d’abord sembler trop bucolique.

Jusqu’aux derniers instants, ces intrigues vont mettre les protagonistes en danger, les faire réfléchir et les rapprocher.

Cette touche d’action et de suspens est la bienvenue car j’avoue ne pas avoir été très emportée au final par la romance que j’ai trouvée trop gentille et trop prévisible.



Alors que les premiers chapitres m’ont complètement charmées, je me suis un peu plus ennuyée au fur et à mesure de ma lecture. J’ai trouvé que le récit était trop linéaire, sans grande surprise au final. Tous les rebondissements n’en sont pas. Certes, on ne peut pas tout deviner, mais on sait où l’auteur veut nous emmener à chaque fois et lorsqu’il y a des révélations, on n’est pas surpris.



Quant à la fin, j’ai beaucoup apprécié le dernier chapitre et comment il clôt l’histoire. Il y a un beau clin d’oeil au titre qui met immédiatement le sourire aux lèvres.

Je retombe dans mon dilemme de tous les temps. J'adore les romances historiques... mais je trouve rarement celles qui me captivent. Je suis ouverte à toutes vos recommandations, d'ailleurs. Invariablement, je me retrouve piégée dans deux catégories délicates : la dark romance problématique, option viol et/ou rapt, ou bien (et c'est le cas aujourd'hui), la romance avec tous les clichés de l’auteur fan de Jane Austen... mais qui n'est pas Austen. Si j'ai terminé ce roman, c'est un peu comme quand on regarde un téléfilm romantique le dimanche après-midi : sans passion ni enthousiasme. L'autrice n'écrit pas mal, mais tout est extrêmement prévisible. Les gentils sont gentils (et beaux comme la rosée), les méchants sont vains ou borgnes. Si je peux vous éviter cette lecture : l'orpheline ne reste pas orpheline très longtemps, l'aristocratie accueille la pauvreté entre deux tasses de thé, et le héros masculin a le charme irrésistible de pousser l'héroïne à lire toujours davantage, tandis que la sœur frivole se repent.

Une fois n’est pas coutume, mais un petit feel good après un « Cujo » de Stephen King, ça peut se comprendre.



L’histoire se déroule à la fin du XVIIIe siècle. Amy, la fille d’un gentleman peu fortuné, a un coup de foudre pour le riche Henri Clenneth entraperçu un jour chez un libraire de Londres. Persuadée de ne jamais le revoir, elle décide de lui déclarer ses sentiments et de lui raconter des épisodes de sa vie dans un journal intime de style épistolaire, qu’elle garde précieusement dans un coffret. Mais ne dit-on pas que le monde est petit ?



C’est une romance à l’anglaise assez conventionnelle. Le contexte historique est bien posé et les convenances de l’époque respectées. La narration est élégante et délicate, à l’image de l’expression de l’époque.



Côté personnages, on les cerne rapidement par des portraits bien brossés. Amy est décrite comme une jeune femme intelligente, vive, et ouverte d’esprit avec le côté romantique des jeunes filles de l’époque.



Et comme pressenti, Henri Clenneth refait son apparition dans la vie d’Amy… Emois, regards, attitudes, questionnement, tout est consigné dans les lettres qu’Amy continue d’écrire. Lorsque soudain, un soir, suite à un événement, le rythme s’emballe et je bascule dans un genre de roman d’aventures auquel je ne je ne m’attendais pas. Secret, mystère, malentendus, quiproquos, course poursuite et dangers…. Les lettres deviennent rares…



Mon avis : malgré quelques atouts indéniables (le contexte historique et social et une plume affûtée), ce roman n’a rien du feel good dans lequel j’aime plonger. Mon tensiomètre est resté bas, les émotions ont brillé par leur absence (non je n’ai pas un cœur de pierre), et rien ne m’a véritablement charmée ou surprise.



Ce roman en résumé n’était pas pour moi puisqu’il a reçu le prix 2018 de la meilleure romance. Dommage !

Si vous aimez Jane Austen, vous aimerez sûrement ce livre ! De la romance, de l'aventure, un peu d'Histoire et un soupçon d'épistolaire qui n'en ai pas vraiment... Je me suis laissée tenter par ce livre qui avait l'air de pouvoir me détendre et effectivement il est plutôt agréable. Peut-être quelques longueurs dans les tourments et déchirements des protagonistes mais ça ne m'a pas empêché de continuer ma lecture. Une bonne surprise. Lu au bord de la mer, ce qui ne gâche rien. Idéal pour un parc botanique !

L’écriture de Latie Gétigney m’a beaucoup fait penser à celle de Jane Austen. On y retrouve exactement le même vocabulaire, un style et une ambiance similaires. « Les lettres que je ne vous ai jamais envoyées » est une histoire d’amour romanesque typique de l’époque, avec tout ce qu’il faut de courtoisie, de costumes et de destinées. Les lettres d’Amy sont romantiques, tendres et pleines d’espoir, bien que trop peu nombreuses au final à mon goût.
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Belle trouvaille que ce joli roman de Latie Gétigney. Beaucoup d'aventures et de rebondissements dans cette romance historique au charme désuet du 18e siècle. On retrouve un soupçon de Jane Austen dans ces pages mais avec davantage d'aventures. Impossible de ne pas s'attacher à Amy,ni de tomber amoureuse de Henry Clenneth, portrait de l'homme parfait! J'ai suivi avec joie leurs rapprochements, leurs éloignements, les difficultés, les quiproquos... La plume de l'auteure passent facilement d'un point de vue à l'autre et joue habilement avec nos nerfs, mais la fin n'en est que plus délectable.

Quel livre merveilleux que je viens de finir, il m'a comblé.

L'histoire se passe à la fin du 18e siècle en Angleterre.

Miss Amy Rosebury écrit des lettres à un gentleman nommé Henry Clenneth. Elle l'a rencontré dans une librairie de Covent Garden. Ces lettres sont pour elle, une occasion d'être libre et d'ouvrir son cœur car elle sait que ces missives ne seront pas lues par l'intéressé puisqu'elle ne les enverra jamais. Une fois écrite, elle les laisse dans un petit coffret en bois qu'elle garde jalousement. De plus, elle pense ne jamais le revoir, mais la gentry anglaise, est un petit monde, et elle aura de nombreuses occasions de le croiser.

Un beau roman épistolaire, mais pas que, une histoire ou les malentendus, les convenances, les faux-semblants y sont présents. Ce roman me fait penser à certains romans de Jane Austen.

C'est un beau roman d'amour et d'aventure où la place de la femme de cette époque y est croquée.

Un beau melting-pot de genre, qui m'a beaucoup plu : un livre historique, un roman d'amour, une fiction épistolaire et bien d'autres choses encore.

Envie d'une immersion dans la bourgeoisie anglaise à la fin du 18e siècle ? Alors ce roman devrait vous plaire !



Je suis dans une période où j'enchaîne les romans historiques, pour mon plus grand plaisir. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec cette romance, et la découverte de cette histoire fut une agréable surprise.



Après avoir croisé un beau gentilhomme dans une librairie de Londres, Amy décide de lui écrire sans lui envoyer ses lettres en pensant ne jamais le revoir. Mais le destin en décide autrement...



Alors oui, dans ce genre de roman on connaît la fin dès les premières pages, mais c'est le cheminement qui m'intéresse. Et dans celui-ci, j'ai aimé voir la relation entre Amy et Mr Clenneth évoluer, être mise à rude épreuve face à divers obstacles et voir Amy grandir.



J'ai beaucoup aimé les deux personnages principaux. Amy, petit rat de bibliothèque, est très cultivée, gentille, ouverte d'esprit. Henry, quant à lui, a un grand sens du devoir et de l'honneur. Cela le rend très attachant. J'ai également apprécié certains personnages secondaires, notamment une des sœurs d'Amy et son mari ainsi qu'un de leurs amis. Les moments qu'ils partagent entre eux sont très sympa et conviviaux.



La plume de l'auteure est élégante et très agréable. Elle nous plonge dans l'Angleterre du 18e siècle avec facilité. Je m'y suis très bien imaginée. C'est une très belle histoire qu'elle nous conte, avec délicatesse et sensibilité. Entre quiproquos et rebondissements, il n'y a pas de temps mort, avec pour toile de fond la Révolution française perçue par les anglais. Le prix de Meilleure romance 2018 est, pour moi, mérité.



Si vous avez envie d'une romance à l'anglaise, alors je vous le conseille !

Roman d’époque a l’eau de rose, pas complètement ma cam mais la comparaison avec Jane Austen m’a donné envie. On est loin de retrouver la finesse et la poésie de cette dernière.

Ce roman raconte une histoire d’amour qui est sans cesse contrarié par le timing, une promesse, un rendez vous manqué, une erreur de jugement ou l’acte perfide d’un(e) rival(e) :un peu lassant à la longue ! Certains éléments de l’histoire m’ont semblé grotesque … c’est encore le titre qui m’a le plus plu.

Plutôt dans le style d'Orgueil et Préjugés une vraie romance à l'anglaise. Cependant aucun suspens même si il y a quelques rebondissements on suppose dès les premières pages la fin de l'histoire. C'est une bonne lecture tout de même le style est plutôt fluide et les personnages tiennent la route.

📚 Londres, janvier 1797



"Cher Mr Clenneth..." C'est ainsi que commencent les lettres d'Amy Rosebury en s'adressant à Henry Clenneth, croisé par au hasard au détour d'une librairie de Covent Garden. Ces lettres, bien sûr qu'elle ne compte pas les envoyer, de toutes façons quelles seraient les chances de recroiser ce beau gentleman ?



💭 Tout commence avec une rencontre. Enfin une rencontre... presque, puisque Amy et Henry ne se sont jamais adressé la parole. C'est donc dans une correspondance unilatérale qu'entre le lecteur.



A travers ses lettres, on y découvre une Amy sensible et drôle. Une jeune femme passionnée et passionnante. Dans l'Angleterre du XVIIIème siècle, la place de la femme n'est pas des plus enviables, mais Amy défend haut et fort ses valeurs. Une héroïne fièrement engagée ! ✊



Si la première partie m'a hapée dès les premières lignes, la seconde moitié m'a moins convaincue dû un manque de rythme. Cependant le roman est très court donc il se lit tout de même très vite. Cela n'en reste pas moins une agréable lecture qui a su me divertir. Il ne restera pas à terme dans ma mémoire, mais cela fait du bien aussi parfois de lire des histoires plus légères. N'êtes-vous pas d'accord ?



⚡Un court roman entre malentendus et faux semblants et entre romance et aventure.


Lien : https://www.instagram.com/li..

📚 Londres, janvier 1797



"Cher Mr Clenneth..." C'est ainsi que commencent les lettres d'Amy Rosebury en s'adressant à Henry Clenneth, croisé par au hasard au détour d'une librairie de Covent Garden. Ces lettres, bien sûr qu'elle ne compte pas les envoyer, de toutes façons quelles seraient les chances de recroiser ce beau gentleman ?



💭 Tout commence avec une rencontre. Enfin une rencontre... presque, puisque Amy et Henry ne se sont jamais adressé la parole. C'est donc dans une correspondance unilatérale qu'entre le lecteur.



A travers ses lettres, on y découvre une Amy sensible et drôle. Une jeune femme passionnée et passionnante. Dans l'Angleterre du XVIIIème siècle, la place de la femme n'est pas des plus enviables, mais Amy défend haut et fort ses valeurs. Une héroïne fièrement engagée ! ✊



Si la première partie m'a happée dès les premières lignes, la seconde moitié m'a moins convaincue dû un manque de rythme. Cependant le roman est très court donc il se lit tout de même très vite. Cela n'en reste pas moins une agréable lecture qui a su me divertir. Il ne restera pas à terme dans ma mémoire, mais cela fait du bien aussi parfois de lire des histoires plus légères.



⚡Un court roman entre malentendus et faux semblants et entre romance et aventure.
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Ce petit roman épistolaire mérite largement son "Prix de la Meilleure Romance" en 2018 ! S'il s'agit bien en premier lieu d'une romance historique qui s'adresse aux femmes très fleur bleue et qui adorent tout particulièrement les romans de Jane Austen, "Les lettres que je ne vous ai jamais envoyées" est plus que cela. Ce roman féministe prend bien entendu la défense des femmes afin de prouver qu'elles possèdent une plume travaillée (les lettres écrites par Amy sont d'une magistrale poésie), une passion sans bornes pour la littérature, mais aussi des avis sur des sujets plus sensibles. Les femmes ne sont donc pas en reste et certainement pas notre chère Amy Rosebury à laquelle nous nous attachons de suite. Jeune, belle, intelligente et pétillante, le lecteur espère tout au long de sa lecture, qu'elle finira dans les bras de l'homme qu'elle aime en secret à travers ses écrits ; Henry Clenneth. Un homme qui l'entraînera malgré lui dans de dangereuses aventures qui sauront apporter juste ce qu'il faut de suspense et de rebondissements ! Entre la révolution française, une fausse identité et un fameux trésor, cette romance est loin d'être mièvre et sirupeuse. Il s'agit plutôt d'un roman d'aventures, à la fois romantique et très littéraire, mené d'une main de maître par une auteure dont le talent est redoutable ! Un sans-faute magistral à découvrir au plus vite !

Ce petit roman épistolaire mérite largement son "Prix de la Meilleure Romance" en 2018 ! S'il s'agit bien en premier lieu d'une romance historique qui s'adresse aux femmes très fleur bleue et qui adorent tout particulièrement les romans de Jane Austen, "Les lettres que je ne vous ai jamais envoyées" est plus que cela. Ce roman féministe prend bien entendu la défense des femmes afin de prouver qu'elles possèdent une plume travaillée (les lettres écrites par Amy sont d'une magistrale poésie), une passion sans bornes pour la littérature, mais aussi des avis sur des sujets plus sensibles. Les femmes ne sont donc pas en reste et certainement pas notre chère Amy Rosebury à laquelle nous nous attachons de suite. Jeune, belle, intelligente et pétillante, le lecteur espère tout au long de sa lecture, qu'elle finira dans les bras de l'homme qu'elle aime en secret à travers ses écrits ; Henry Clenneth. Un homme qui l'entraînera malgré lui dans de dangereuses aventures qui sauront apporter juste ce qu'il faut de suspense et de rebondissements ! Entre la révolution française, une fausse identité et un fameux trésor, cette romance est loin d'être mièvre et sirupeuse. Il s'agit plutôt d'un roman d'aventures, à la fois romantique et très littéraire, mené d'une main de maître par une auteure dont le talent est redoutable ! Un sans-faute magistral à découvrir au plus vite !

J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire. Le problème n'est pas le film de l'histoire en lui-même. C'est surtout que parfois les personnages étaient appelés par leurs noms de familles, parfois par leurs prénoms. Du coup, parfois, j'avais du mal à les relier ensemble



Cependant, l'histoire tient un bon film conducteur. Nous sommes dans le londonien de 1797 mais l'auteure a réussi à mettre de l'action comparée à l'époque. Mort, trahison, etc



Sinon, je suis heureuse de cette fin. Une happy end n'est jamais de refus !

J'aime beaucoup lire des romances historiques, en général on y trouve un vrai respect entre les personnages qui c'est perdu au fil des années. Et je n'ai pas été déçu !

Derrière cette romance on trouve un brin de mystère et d'action. Mensonges, manipulations et malentendu sont au rendez vous.

J'ai d'ailleurs adoré les personnages, Amy et Henri qui sont particulièrement attachants.

Concernant la plume de l'auteure j'adhère complètement à son style, elle m'a transporté de cet univers et on retrouve bien le langage auquel on s’attend avec ce type d'histoire!

Pour moi, ce roman a été un gros coup de cœur. J'ai été captivée jusqu'à la fin.

On ne peut pas dire que le roman est mauvais, mais je n'ai pas aimé : ni le style, ni l'histoire ne m'ont séduite.

L'intrigue et le style donnent l'impression de loucher du côté de Jane Austen, et même s'il n'y a pas le même piquant c'est plutôt bien fait, jusqu'à ce que le récit bascule de la chronique sociétale au roman d'aventure avec des poursuites, des meurtres, un trésor, de l'adultère, etc. Cela fait beaucoup de péripéties et de "heureux hasards", trop pour moi. La première partie du roman est émaillée de réflexions philosophiques éculées ("la mort fait partie de ma vie", etc) et de débats politico-philosophiques (Hobbes, Rousseau, etc) et cela alourdit le récit à mon avis.

De la même façon, les lettres évoquée dans le titre ne sont présentes que dans la première partie du livre. J'ai trouvé que si l'idée était bonne, elle n'était pas bien exploitée : les fameuses lettres font des redites avec le reste du roman et n'apportent rien de plus à l'histoire.

En outre, la plume de Latie Gétigney ne sonne pas naturelle. Il y a quelques maladresses de style, quelques expressions employée bizarrement, mais c'est surtout la volonté d'écrire comme si c'était une personne du XVIIIème qui racontait (ou presque) qui m'a gênée. Ce n'est pas mal écrit, mais cela sonne très artificiel par moment.

Tout cela pour dire que cette romance n'était pas pour moi...

Aujourd'hui, je viens vous parler du roman Les lettres que je ne vous ai jamais envoyées de Latie Getigney.



Résumé :

À la fin du XVIIIe siècle, Amy Rosebury, fille d'un gentleman anglais peu fortuné, tombe amoureuse du riche M. Henry Clenneth, aperçu un jour chez un libraire de Londres. Persuadée de ne jamais le revoir, elle lui ouvre son coeur et ses réflexions au gré de lettres qu'elle n'enverra jamais. Mais la gentry anglaise est un petit monde, et croisant de nouveau la route du gentleman, Amy découvre qu'il n'est peut-être pas l'homme qu'il semblait être...



A la base, j'avais acheté ce livre pour @livrinaa car je sais qu'elle aime ce genre de romance. Mais ma pal n'étant encore pas assez grande (seulement 130 livres 😂), j'ai décidé de lire celui-ci aussi. Pour ma défense, il fait moins de 300 pages donc je l'ai lu assez vite.



Je ne suis pas une grande adepte des romances que je trouve bien souvent un peu "niaises" 😅 mais du fait de l'époque et des quiproquos... J'ai trouvé celle-ci sympathique.



Une histoire d'amour impossible, de secrets, avec une intrigue originale qui nous permet de lire un peu plus qu'une "simple romance".

Les personnages sont touchants. Des quiproquos, non dits, incompréhensions qui vont éloigner les deux protagonistes.



Je pensais que les lettres allaient prendre une place plus importante au sein de ce récit mais elles sont surtout présentes au début et n'apportent que très peu.



Je valide le thème sex on the beach du #springchallenge d @addictiv_book.

Deux étoiles pour l'imagination débordante de l'auteur.