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Critiques de Laurence Kleinberger (20)
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Lulu dans le taxi

Que se cache-t-il derrière ce titre original ? Le résumé, présentant brièvement un panel de personnages cocasses, éveillait ma curiosité, tout en annonçant déjà la couleur : cette lecture serait explosive ! Hélas, si le début du roman avait réussi à éveiller ma curiosité, j’ai malheureusement peu à peu déchanté. J’ai eu l’impression de lire un conte intergénérationnel loufoque, avec des situations abracadabrantes, des héros atypiques et des rebondissements improbables. Certes, je me doutais que j’aurais des surprises toutefois, je ne pensais pas que le scénario prendrait une telle direction. J’ai eu l’impression d’assister à du théâtre absurde… Ce qui n’est, hélas, pas forcément ma tasse de thé.



L’ouvrage met en scène Luce, alias « Lulu », une femme sensible, humaine, protectrice, riche et un peu dans la lune, qui va venir en aide à Alma/Poupette Marceau, une nonagénaire en fuite, dont la petite fille s’appelle Sophie (mais non, ce n’est pas la vraie Sophie Marceau, sauf si vous souhaitez un autographe ?!). Le tandem est rapidement touchant, complice et taquin. Connaissant la solitude, les deux femmes se comprennent instantanément, puis décident de prendre les voiles. Au fil de leur escapade, elles vont faire la connaissance de plusieurs individus originaux : le petit Félix/Félisque (un enfant de 4 ans abandonné par sa mère), le chauffeur de taxi Albert/Bébert (un amoureux transi rêveur, atteint du syndrome d’Asperger) ainsi que Sidonie (une aide-soignante de l’EHPAD d’Alma). Bien qu’il soit hétéroclite, le petit groupe n’a malheureusement pas su m’émouvoir : de coutume, pour m’attacher à un personnage, j’ai besoin qu’on développe davantage sa personnalité et son caractère. Peut-être que si les protagonistes avaient été un peu plus creusés, mon ressenti aurait été différent et mon impression générale n’en aurait pas pâti.



Outre la petite équipe voyageant vers d’autres horizons (ou plutôt vers l’EXCELSIOR), une autre intrigue avançait en parallèle : celle du Docteur Lotte Zygband, une médecin-légiste. Suite à un problème technique, Lotte a eu la curieuse idée de jeter la quarantaine de corps de la morgue dans l’eau de la Seine. Inconscience ? Acte non-professionnel et peu orthodoxe pouvant engendrer un risque sanitaire ? Elle et ses collègues n’en ont eu que faire et ont décidé d’agir… J’avoue que j’ai eu du mal avec ce concept saugrenu. Comment des médecins pouvaient-ils accepter cet acte et s’en réjouir autour d’une bonne buvette ? Ajoutons le fait que tous ces personnages ont des noms originaux qui se prêtent volontiers à des jeux de mots (ex : Dugland, Paul Pote, …). Si certaines réflexions m’ont fait sourire, le soufflet est hélas vite retombé. Pourtant, le style de Laurence Kleinberger est assez sympathique, léger, plein d’humour et parfois familier et cette auteure propose de jolies leçons de vie. J’aurais pu embarquer dans ce road trip insolite cependant, c’est le souci des OVNI littéraires : l’originalité passe ou casse. Néanmoins, il est à noter que les avis sur Amazon sont favorables. C’est pourquoi la meilleure solution est probablement de vérifier par vous mêmes si vous êtes sensibles aux « bienfaits du curcuma ».
Lien : https://lespagesquitournent...
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Un papillon sur la branche

Dans le recueil annuel des éditions du Basson, vous ne trouverez pas ce que vous vous attendiez à lire. La couverture le laissait présager : au lieu de faire figurer un beau papillon bleu métallique (peut-être un argus bleu, comme dans la nouvelle de Fl. Houdart) sur une branche de cerisier en fleurs, nous avons droit à un crocodile sur la langue de quelqu'un qui nous la tire. On est donc prévenus qu'on va se faire mener en bateau. L'un des auteurs souligne d'ailleurs dans son texte que le thème du recueil est seulement « un pénible pensum que des demeurés d'éditeurs ont infligé à de malheureux auteurs, qui avaient intérêt à obtempérer s'ils désiraient rester dans leurs bonnes grâces » (D. Meeùs). Ainsi, contrairement à ce que vous pressentiez, vous aurez la description d'un ado dans la nouvelle de L. Kleinberger, la vie d'un supermarché chez M. Boland, un collectionneur digne du silence des agneaux sous la plume de Ch. Cornu, un paysan cradissime chez F. Delhaie, un village décimé par des tueurs imaginé par G. Liétaert, etc… Vous ne flânerez donc pas au milieu des papillons, au bord d'un lac charmant.

Bilan : des textes inattendus sur un thème qui ne l'était pas moins. On est prévenus : si l'année prochaine, le thème est « un amour d'autruche », les textes sélectionnés traiteront de la guerre au Liban ou de l'intérêt économique de la construction de maisons en ossature bois.

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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

J'ai dévoré et adoré ce roman ! Un polar un brin décalé, une bonne dose d'absurde et beaucoup d'humour.

Franckie Apfelstrudel, totalement collée au plafond par les anxiolytiques et autres antidépresseurs qu'elle avale comme des bonbons, est l'héroïne de cette tempétueuse aventure.

A la fois forte et fragile, elle va tenter de comprendre pourquoi et comment elle s'est réveillée dans un appartement qui fut le sien avant que son mec ne la foute à la porte.

Justement, il est là aussi le Gérard mais… raide mort à côté d'une femme tout aussi morte dont Franckie suppose qu'elle est sa remplaçante…

Une enquête sans boussole peuplée de barges, de marginaux, de carpes fluorescentes, de bikers et de bien d'autres cinglés sortis tout droit de l'imagination débordante de l'auteure.

Laurence Kleinberger nous embarque dans son histoire à 300 Kmh sans freins !
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

Embarquez avec Frankie pour une enquête folle, pleine de personnages peu communs et de péripéties délirantes.

L’écriture est vive, le vocabulaire délicieux, les fous rires garantis.

Mais pas que. Ce roman dégage une belle énergie et une profondeur subtile.

On en sort heureux, impatient d’avoir des nouvelles de cette bande d’anti-héros si attachants.
Lien : https://laurence.isner@hotma..
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...



Dans un monde absurde pas si éloigné du nôtre, Franckie se démène pour trouver le coupable d'un double assassinat. C'est pas elle, quand même ? elle doute, la fille, pas sûre d'elle... elle retourne ciel et terre pour découvrir la vérité.

Ses méthodes d'investigations sont particulières, ses potes tout autant...

Cela donne un polar décalé, burlesque: humour corrosif à toutes les pages.

Une seule certitude, l'univers de Franckie est beaucoup plus drôle que celui dans lequel nous nous débattons au quotidien. Lecture bonne humeur, à savourer sans modération...



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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

J.ai adoré suivre Applestrudel, loufoque et paumée.Sa quête délirante de « la » vérité nous donne Un bouquin drôlissime. De l.humour à chaque page. Les personnages ,de vrais « pieds nickelés « sont irrésistibles . Chaque phrase est ciselée pour faire mouche. On ne quitte jamais vraiment ce livre, il nous fait rire longtemps après l.avoir fermé.
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

Elle croit, et nous on rit. Elle a une vie trépidante et les nuit aussi. Laurence Kleinberger ne nous en laisse rien ignorer et nous , on rit; même pas peur... (Attention je ne parle pas des nuits de Laurence Kleinberger ) Éviter de lire ce livre dans les transports en commun si vous avez peur du ridicule d'éclater de rire inopinément. Pour terminer, le commencer c'est le finir, sans le lacher.
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

J'ai adoré :-)

Il y a un peu du "Michel Audiard" derrière Laurence Kleinberger. Mais du Audiard dépoussiéré, mâtiné d'une bafouille et histoire complètement barge, qui fait de ce roman un bouquin particulièrement drôle.

Franckie Apfelstrudel, on en redemande et on a envie de la connaître...quoique... 'pas trop envie de me retrouver comme Gérard ;-)
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

Un polar loufoque qui nous fait courir dans paris à la recherche de la vérité (mais existe-t-il UNE vérité ?)

Il y a des airs de Boris Vian derrière cette écriture à 100 a l’heure.

Laurence Kleinberger, après avoir séduit les petits vient de réussir à séduire les plus grands.

Vivement la suite des aventures de ces personnages auxquels on est déjà attachés !
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Voleur de câlins

La maman de Bibi-Chéri va avoir un bébé. Mais comme beaucoup d'enfant Bibi-Chéri n'est pas content, il est jaloux, il ne veut pas partager ces affaires, il veut un câlin de sa maman. Et comme par hasard c'est son doudou qui va "kidnapper" les affaires car son doudou et en manque de câlins, lui aussi.



Voici une belle histoire avec des illustrations très colorés et un texte fluide.

Une belle histoire les petits et les grands.

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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

MAIS QUE CE LIVRE EST GÉNIAL ! Totalement décalé, ça bouge et ça court dans tous les sens, le vocabulaire est familier et à la fois soutenu. On ressort de la lecture plein d'énergie et avec des images drôles et nouvelles en tête ! Coup de coeur.
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Le jour ou mon Alhei'mère échappa aux griffes d..

Pour commencer, je tiens à remercier les éditions du Basson, d'avoir accepté ma demande de service presse. Adorant les romans décalés, je n'ai pas résisté à l'envie de lire celui-ci. Et grand bien m'en fasse, car j'ai passé un excellent moment. Je tiens cependant à préciser, que ce roman est un tome 2, du moins de par mon ressenti, bien que la lecture du premier tome ne soit pas obligatoire pour comprendre l'histoire.



Nous débutons donc le roman avec le docteur Phillippe Mouchetrouille, affectueusement surnommé Filou par les infirmières, expert dans les implants capillaires. On le découvre étendu sur le sol de sa clinique, son cerveau en train de prendre l'air devant un Croate qui s'échine à lui poser une question dans sa langue. Bien entendu le bon Filou ne parle pas le croate et se perd dans ses pensées farfelues. Ce dernier découvre, quelques secondes avant de laisser partir son dernier souffle, la raison du mécontentement du croate qui lui a défoncé le crâne. À cause de son ancienne assistante, le pauvre patient ce trouve avec une sublime implantation, représentant un pénis sur la nuque. De quoi tuer un homme en effet, mais bon, mourir à cause de quelqu'un d'autre, ce n'est pas la joie non plus.



Nous passons ensuite avec Lilith, qui se fait appeler par sa mère, totalement paniqué et énervé. Pourquoi ? Car on lui à piqué son réveil. Connaissant sa mère, elle va lui acheter un nouveau réveil, non sans la maudire, car cette dernière lui a refilé ce qu'elle appelle, le « virus maman ». Elle sait que ce n'est pas la faute de sa mère, mais elle ne peu s'empêcher d'éprouver de la pitié, de la peur. Peur de lui ressembler plus tard et du ressentiment à son égard, car à cause d'elle, elle n'a plus de vie.



Par la suite, nous nous retrouvons avec Zlatan Novak, le tueur croate, qui se fustige d'avoir tué si rapidement le docteur. Il maudit son impulsion, car sans ça, il aurait pu le faire parler un peu plus. Mais il se rassure, car il peu toujours se rattraper sur son écervelé d'assistante, chez qui il se rend pour accomplir sa vengeance. Comme bon tueur, il prend soin de ne pas sonner chez sa victime et enjambe à la place, la grille de sécurité sans réfléchir. Malheureusement, il est joyeusement accueilli par un asiatique en possession d'une Kalachnikov. Par chance pour lui, il a juste à dire un prénom et lui et ses potes deviennent ses meilleurs amis. Un bon repas plus tard, il est dirigé vers Paris ou, soit disant, se trouve sa cible. Mais des Victoire dans Paris, c'est pas ce qui manque et ça ne va pas être évident de la trouver, surtout quand on ne sait pas à quoi elle ressemble.



Vous l'auriez sans doute compris, mais nous voguerons entre ces deux personnages, plus un ou deux autres, tout le long du roman. À chaque chapitre, nous voguons de l'un à l'autre, avec des moments tous plus moins décalé que le précédent. On rencontrera aussi d'autres personnages, tel que Victoire, qui mène des expériences tout sauf utile en plein désert, Franckie, la cousine un peu déglinguée de Lilith et Kevin Cohen un agent du Mossad qui se languis de reprendre du service.



Au niveau des personnages, Zlatan est celui qui m'a fait le plus rire. C'est vraiment le tueur à gage raté par excellence. Il lui manque tout ce qui faut pour faire de lui un vrai tueur, de plus, c'est un vrai émotif au cœur tendre, plein d'humour, il m'a fait plus d'une fois rire de par ses pensées. Lilith est un personnage que j'ai grandement apprécié. Elle est courageuse et hésite pas à mettre sa vie de côté pour sa mère malade, elle est tout aussi détraqué que Zlatan, ses pensées voguant parfois dans des endroits incongrus.



Pour ce qui est de l'autrice... elle a une écriture légère et assez fluide. Assez, car parfois elle nous plombe de détail totalement inutile pour, je pense, rajouter au côté comique de la chose. Seulement, ça a moyennement fonctionné moi.



En conclusion, c'est un roman parfait pour déconnecter un moment. Pas prise de tête, drôle et totalement loufoque, vous ne pouvez que sourire devant les frusques et commentaires des personnages, à défaut de rigoler. De plus, malgré le caractère très décalé du roman, il y a une vraie intrigue tout le long de l'histoire, même s'il ne faut pas s'attendre à du grand art. Ce roman est fait pour qu'on rigole et ne se prenne pas la tête. Bref, je conseille fortement ce roman, si vous désirez passer une petite heure de détente.
Lien : https://chabouquine.blogspot..
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

Excellentissime ! Humour et derision garantis ! Passez un moment inoubliable avec Frankie Apfelstrudel, vous ne le regretterez pas.
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

Des romans m'ont déjà fait sourire, mais jamais un roman ne m'a fait éclater de rire!

Imprévisible, plein d'humeur et de rebondissement, cette histoire fait vivre un très bon moment au lecteur. J'ai hâte de connaître la suite!
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Lulu dans le taxi

Petit moment d’émotion, comme c’est toujours le cas lorsque je referme un livre écrit par un ou une ami.e. Quelqu’un que je connaissais pour de vrai dans la vraie vie, avant les réseaux sociaux, avant de les savoir auteur.e., avant de les découvrir par leurs mots.

Ce n’est pas le premier livre de Laurence que je lis, puisque j’avais déjà été enthousiasmée par « j’ai pas tué Gerard, enfin je crois », mais j’ai la même sensation, terriblement positive, d’avoir des relents de Boris Vian dans l’univers farfelu et l’humour décalé qui transpire à chacune des pages.

Conclusion, difficile de résumer ce roman, disons que c’est un Road trip entre Paris et L’Italie, que le métro parisien, le taxi, l’institut médico légal, les hôtels, la mer et 42 cadavres plantent le décor d’une comédie burlesque dont on redemande. Aller Laurence, encore un !
Lien : https://instagram.com/emilie..
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Lulu dans le taxi

La dolce vita version Kleinberger. Un road-movie qui va du ciel gris de Paris où il pleut des cadavres jusqu'au bleu de l'Italie.

Des personnages loufoques et attachants, des destins croisés, une cure de jouvence, du Marcel Proust, des billets à dépenser, de la cavale.

Ce livre est une petite leçon de philosophie drôle et émouvante.

Excellent pour passer une soirée au calme avec soi-même !

Et puis, on je l'aime l'écriture de la Laurence.
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Lulu dans le taxi



Je mets un petit trois car je me suis vite perdu dans cette histoire loufoque avec des personnages farfelus . Jeux de mots et calembour à foison et situations cocasses , mais trop c'est trop.

Une petite déception quand même , car j'avais apprécié l'émission de radio sur ce roman déjanté .
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

Franckie Apfelstrudel s'est réveillé dans l'appartement de son ex-compagnon, Gérard. Dans la pièce d'à côté se trouvent les cadavres de Gérard et de sa maîtresse Marie-Edwige. Entre deux comprimés d'anxiolytiques et d'antidépresseurs, Franckie veut tout faire pour résoudre ce double meurtre. Les aurait-elle tués ? Frankie doute et va retourner ciel et terre pour connaître la vérité. Alors, qui a tué Gérard ?



J'ai aimé suivre Franckie avec ses drôles de méthodes pour découvrir l’assassin et ne parlons pas de ces amis assez particuliers. Elle enchaîne les situations cocasses et les plans sans grand succès. On ne s'ennuie jamais avec notre chère Franckie ! De plus, l'histoire de Franckie est accompagnée de clins d’œil à la culture populaire.



J'ai beaucoup aimé les chapitres courts qui donnent un certain rythme à l'histoire. La plume de l'auteure est fluide, légère et utilise un langage familier.



Un roman décalé, plein d'humour, de rebondissement et surtout sans prise de tête. À découvrir sans plus tarder !



Retrouvez ma chronique sur le tome 2: ''Le jour où mon Alzhei'mère échappa aux griffes d'un Nazi constipé grâce à un tueur croate à la coiffure étrange.'' : ICI (sur le blog)
Lien : https://leblogdejulieangela...
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Le jour ou mon Alhei'mère échappa aux griffes d..

L'histoire débute avec Victoire, elle travaillait dans un institut spécialisé dans les implants capillaires. Pour se venger de son patron, elle décide de saboter son dernier travail. Pour l'implant capillaire de son dernier patient, elle décide de les orienter de manière qu'en poussant, ils forment "un gros zob" dans sa nuque. Depuis, Victoire est menacée de mort par un tueur croate.

On fera également la rencontre de Lilith et de sa mère souffrant d'un Alzheimer avancé.



J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire avec un style un peu "puzzle". De plus, les chapitres s'enfilent assez rapidement avec une plume fluide et bien écrite. J'ai également bien aimé les chapitres courts, rythmé et alternant les différents points de vue. Pour finir, j'ai beaucoup aimé les titres des chapitres qui sont assez comique, du style :



"Kevin Cohen, toujours agent, toujours au Mossad"

"Pendant que Frankie se demande si elle n'a pas fait une connerie"

"Zlatan va-t-il enfin rencontrer Lilith oui ou merde ?"



Ce livre est à la suite de : ''Je n'ai pas tué Gérard, enfin je crois...". Je n'ai pas lu ce tome et ça ne m'a aucunement dérangé dans ma lecture.



Je remercie les Editions du Basson pour m'avoir offert ce livre.
Lien : https://leslecturesdelauryss..
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J'ai pas tué Gérard, enfin je crois...

Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, encore un pseudo rigolo polar bobo parisienne saupoudré de vulgarité gratuite. Je peine à comprendre les autres critiques sur Babelio... Peut-on aimé un polar où le mot BITE apparait au moins 10 fois dans les premières pages? Du Aurelie Valognes en plus vulgaire et qui se veut drôle. Il est où le frère de cette laurence à qui elle crie JE T AIME en dedicace? Il doit lui d' arrêter d'écrire de telles nullités...
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