Lee Goldberg

Après "Le Casse", Janet Evanovich ( la femme aux 75 millions de livres vendus à travers le monde...) , continue sa collaboration avec Lee Golberg , auteur de la série Monk, (également scénariste et producteur ).

Souvenez-vous : les supérieurs de Kate, ( notre fliquette ultra performante) , avait eu une riche idée , celle de l'associer à Nick, gentleman cambrioleur, afin de combattre d'autres voleurs…

1° grief : ce second tome démarre sur les chapeaux de roues, sans petit rappel des faits , alors que moi j'ai presque tout oublié…

2° truc qui m'a fait tiquer : action, action, action…

Tout est orienté sur les faits, les cambriolages, les voyages . On rentre tout de suite dans le vif du sujet, les personnages ne sont qu'à peine esquissés, leur psychologie , je n'en parle même pas …

De Kate , on saura ce qu'elle aime manger (des hamburgers ), qu'elle s'entend bien avec son papa et comment elle est habillée (simple) . de Nick, à part qu'il est beau gosse et arrive à se sortir de toute les situations, il est inconsistant.

Impression de traits grossièrement esquissés et stéréotypés…

Mais où est passée Janet Evanovich, son humour, son punch , sa singularité, son côté " barré" et farfelu ?

Nous avions fait, dans le premier tome, connaissance avec la famille de Kate qui aurait pu être davantage exploitée, comme dans la cultissime série Stéphanie Plum . L'histoire aurait eu du corps, de l'originalité.

Les auteurs auraient pu jouer aussi , sur l'attirance interdite entre la flic et l'escroc dont on avait les prémices dans le premier tome. Même ça , c'est baclè .

Fatiguée par tous les décalages horaires, toute cette agitation stérile, j'ai abandonné 50 pages avant la fin… de toute façon , je sais qu'ils s'en sortiront alors à quoi bon, m'en faire !

Pfff , même pas peur !





Challenge Mauvais Genres

Avec "Le Casse", Janet Evanovich ( la femme aux 75 millions de livres vendus à travers le monde...) , inaugure sa troisième série . Pour cela , elle s'est associée avec Lee Golberg , auteur de la série Monk, (également scénariste et producteur ).



Nous faisons connaissance dans ce premier tome avec l'agent spécial du FBI , Kate O'Hare qui après 5 ans de traque vient de mettre la main sur le voleur n°1 , Nicolas Fox . Mais ce dernier n'ira pas à la case" prison", en empochant les 20 000€, au passage . Les supérieurs de notre fliquette ultra performante ont eu une meilleure idée, celle de les associer ,avec comme mission , traquer des escrocs de haut vol, à travers le monde.

Si ce duo a beaucoup de charme , les auteurs s'amusant à souffler le chaud puis le froid , il ressemble beaucoup à des duos déjà célèbres , je pense à "L'affaire Thomas Crown", ou (en roman), à "Olivia Joules, où l'imagination hyper active" d'Helen Fielding...

L'originalité de cette série pourrait venir ( selon moi...), de la famille de Kate, sa soeur épouse et jeune maman , et son père , ancien "Gros bras", mercenaire etc... J'espère que les auteurs développeront cette partie ... C'est ce que je préférais dans la série " Séphanie Plum", sa famille farfelue et déjantée .

Vous l'aurez compris, je n'ai pas eu le coup de foudre que j'attendais pour cette série...Quelques jolies répliques amusantes mais pas de fous-rires comme avec ma chasseuse de primes préférée...

Une série tout de même assez sympa et dépaysante , dont le deuxième tome est déjà sorti (La pro et l'escroc).

Un livre parfait dans le genre qu'il souhaite illustrer : il s'agit d'une aventure mettant en scène un Arsène Lupin des temps modernes et une super flic du FBI obligés de coopérer l'un avec l'autre.

C'est du pur cinéma littéraire à la James Bond et ça plaira à tous les adeptes du genre (je suis même étonnée que ça n'ait pas encore été mis en film ou en série). J'ai eu un peu de mal durant les 80 premières pages parce que je trouvais que ça n'avait ni queue ni tête, sans compter l'humour incertain du début. Une fois l'action mise en place après ce bon premier tiers de bouquin, ça roule, c'est efficace et on ne lève plus le nez avant la fin. Je suppose que les volumes suivants seront faits selon la même recette qui fait mouche !
Lien : https://www.babelio.com/list..

Los Angeles, les inspecteurs Eve Ronin et Duncan Pavone sont appelés sur les lieux d'un meurtre. L’inspectrice Ronin, nouvellement affecté après un buzz sur le net, s'aperçoit que les deux inspecteurs du LAPD on fait déplacer le pick-up.

Alors qu'ils retournent au LASD, ils reçoivent un appel, une femme à signaler que son amie ne réponds pas et qu'elle a vu par la fenêtre de la cuisine une mare de sang.

Sur place ils constatent d'énormes flaques de sang et de traînées de sang, la femme, ses deux enfants et le chien ne se trouvent pas sur la scène du carnage.



Sans corps et malgré un suspect assez rapidement appréhendé, les deux inspecteurs et leurs collègues ont fort à faire pour accumuler des preuves probantes. Et c'est finalement grâce aux déductions de l'inspectrice que le coupable pourra être condamné.



Dans le récit on peut déplorer des dialogues inutiles entre l'inspectrice et sa mère.



On se trouve dans un policier somme tout ce qu'il y a de plus classique sur le fond et sur la forme. Une inspectrice fort intéressante à suivre même si l'on peut déplorer le côté sexiste de ses nouveaux collègues et parfois les doutes de la hiérarchie sur ses capacités.



Deux éléments qui n'étaient pas indispensables à la menée de l'enquête.



Les autres personnages ne sont pas assez approfondis tout comme les motivations du tueur qui s'avèrent au dénouement peu approfondies.



Un policier simple, sans prise de tête.
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Un scénariste - romancier raté, ponte de la télévision, se retrouve en plein big one à LA. Un seul but, mais il y aura bien des labyrinthes avant d'espérer y arriver: retourner retrouver sa femme chez lui. Histoire très simple en apparence, bien plus complexe (errements mentaux, horreur, peur, frousse, on passe par bien des états mentaux) et très bien écrite pat l'auteur. On voit le film se dérouler devant nos yeux, et on ne lâche pas le roman de peur de perdre une page.

A Chicago, un certain Merrill Stubing prépare la cérémonie du mariage de Caroline et Milton, un magnat du rachat d’entreprises en difficulté. Tout doit se passer sur la terrasse du luxueux loft de l'homme d’affaires. Kate O'Hare, détective du FBI, toujours sur la piste du dangereux escroc Nick Fox, se demande si Stubing et Fox ne seraient pas une seule et même personne. Le mariage ne serait que le prétexte permettant de piller l’appartement qui regorge de précieuses œuvres d’art dont une collection de statuettes en or.

« La pro et l’escroc » est un prequel de roman policier offert par les Editions Charleston pour inciter le lecteur à acquérir la suite de la série. En effet, une fois la mise en place de l’histoire réalisée, le lecteur reste sur sa faim et ne saura jamais le dénouement de cette histoire. Nul doute que Fox demeurera insaisissable si l’on veut que la série se poursuive. Inutile de répéter une fois de plus l’ambiguïté et le manque d’intérêt de ce genre de pratique commerciale. Dans le cas de figure, l’intrigue et le style n’ayant rien d’exceptionnel, on en reste donc à de la simple littérature de distraction.
Lien : http://www.bernardviallet.fr

C'est une enquête policière menée par une femme et un thriller qui n'est ni sexy, ni sexiste, ni féministe : l'inspectrice Ève (comme la première femme) reste très professionnelle devant des collègues masculins qui la testent. C'est sa première enquête importante : trois meurtres sanglants (une mère et deux enfants plus un chien) dont la disparition des corps ne laisse planer aucun doute, sauf un, à la fin, qui permettra de donner à cette affaire rapidement élucidée un dénouement inattendu et spectaculaire.

Sans développements psychologiques et sans explications sur les motivations du meurtrier, l'histoire montre à grand renfort d'hémoglobine l'acte d'un psychopathe – un de plus. Toutefois, la quatrième de couverture du livre laissait présager des « petits secrets de famille » et la possibilité qu'Ève devienne « une victime » ? L'inspectrice a bien été agressée (de façon non préméditée) au début et des parallèles ont bien été établis ensuite entre sa famille et celle qui a été massacrée mais rien n'en ressort vraiment, si ce n'est l'engagement et l'héroïsme de la jeune femme. On note alors que le patronyme d'Ève est Ronin et on se souvient que dans le Japon médiéval un rōnin est un samouraï sans maître, un guerrier errant, un homme discriminé mais brave...

Pourquoi ce titre : Les anges rouges ? « Rouge », on comprend : le sang, le feu, la violence…mais qui sont les anges ? Les enfants massacrés ? Les policiers justiciers ? Il est dommage que le titre original n'ait pas été indiqué : le lecteur aurait pu comparer !

Si ce thriller est facile à lire, il reste un peu simple en fin de compte.

Site littéraire : anne.vacquant.free.fr/av/

Un livre qui se lit en un clin d’œil. Moins drôle que la série phare de J. Evanovich mettant en scène Stéphanie Plum, certainement plus passe-partout et pensé pour la mise en scène plutôt qu’un roman en tant que tel. Rien de bien transcendant: une héroïne que (presque) tout sépare du héros, tous les deux obligés de collaborer tout en jouant au chat et à la souris… On voit bien où tout cela va finir. Calibré pour être le premier tome d’une série, comme on en fait beaucoup : sans génie et sans sortir du lot.

J'avais totalement oublié que j'avais récemment lu ce bouquin ! Le titre ne me disant rien, c'est en le reprenant que je me suis rendu compte de cet état de fait.

Que dire ? Contrairement à d'éminentes et éminents critiques de notre site, je me refuse à paraphraser le résumé de l'éditeur, donc à part ça... ça se lit, et ça s'oublie ! ça s'en va, et ça revient difficilement....

Je remercie Babelio et les éditons Charleston

de m'avoir permis de découvrir ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique





C'est un vrai plaisir que de retrouver la plume pétillante de Janet Evanovitch.



La recette de son livre tient en trois ingrédients :

romance

policier

humour

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mais le tout donne quelque chose de très savoureux.





Kate O'Hare a la justice chevillée au corps. Membre du FBI, elle est l'intégrité personnifiée. Elle pourchasse sans répit celui qui représente le diable en personne de Nicholas Fox, un voleur qui lui file a chaque fois entre les doigts. Ce jeu du chat et de la souris a créé un forme de relation entre ces deux là. Ils s'observent depuis longtemps avec curiosité comme on pourrait observer un animal rare, exotique.

Malheureusement pour Nicholas Fox sa vie de voleur va prendre un virage surprenant mais qui ne sera pas forcément pour lui déplaire puisqu'il sera amené à collaborer avec son dragon de la justice préférée.



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Voici le postulat de départ des aventures improbables de ce flic et de ce voleur. L'intrigue m'a énormément fait pensé à la série TV, FBI : duo très spécial et le personnage masculin à Matthew Bomer. Oui j'ai oublié de vous dire que Nick est un voyou sexy en diable. Après, la comparaison télévisuelle s'arrête là puisque l'agent du FBI est ici campé par une femme sexy ce qui n'est pas le cas de la série policière. Voyez par vois-même...







D'ailleurs cette collaboration est la touche glamour de ce romantic suspense. Quand je parlais du jeu du chat et de la souris et bien il s'agit bien aussi de séduction même si ce premier opus ne joue pas trop cette carte, malheureusement. La romantique que je suis aurait bien aimé que cet aspect soit plus exploité. Il y a cependant des scènes entre ces deux-là drolissimes au possible. Car il faut dire que la tactique de Nick pour interpeller l'agent O'Hare est de la provoquer ce qui donne de très bons moments au livre.



Quant à l'intrigue policière, elle nous permet de passer un bon moment avec un méchant pas vraiment méchant mais plutôt benêt. Elle permet à Kate et Nick de monter un « combine » pour faire tomber cet escroc. Les deux compères sont aidés par des associés qu'on retrouvera certainement dans les autres opus de la série si on suit le cheminement des autres séries de Janet Evanovitch et la mise en place des personnages secondaires.



On ne peut pas parler d'un livre de cette auteure sans parler de sa touche « d'humour » si singulière qui est un incontournable chez elle. On a des scènes qui nous donnent le sourire aux lèvres de façon irrépressible presqu'à chaque chapitre. Je me rappelle de livres comme ceux avec Stephanie Plum complètement loufoques ce qui n'est pas le cas ici mais ça reste un élément tout de même incontournable dans son cahier des charges.





Le livre comporte cependant des longueurs. Il faut dire que c'est le premier tome d'une série. Il prend donc le temps de poser certains choses au détriment peut être du rythme du récit.



- Bref -

Un premier tome qui propose une belle comédie romantique policière.
Lien : http://lachroniquedespassion..

Le casse est un roman de Janet Evanovich et de Lee Goldberg, deux écrivains qui ne sont pas à leur premier coup d’essai. Janet Evanovich est l’auteure de la célèbre série des aventures de Stéphanie Plum dont le premier tome a été adapté au cinéma sous le nom de Recherche bad boys désespérément et c’est la talentueuse Katherine Heigl qui incarne Stéphanie. Lee Goldberg quant à lui, est le créateur du personnage Monk qui a droit à plusieurs tomes, adaptés en série télévisée du même nom.



La collaboration des deux plumes donne naissance à la saga Fox et O’Hare, son premier tome est Le casse qui relate les aventures de l’agent du FBI Kate O’Hare se retrouvant obligée de collaborer avec l’escroc Nick Fox, qu’elle a passé 5 ans à traquer.



L’histoire du casse est une véritable bouffée d’air frais, le style d’écriture est simple mais efficace. Le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer avec un rythme assez soutenu du début jusqu’à la fin du roman. On y trouve de nombreux rebondissements et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a de l’action.



Kate est une femme indépendante qui adore son travail et sa grande passion c’est courir après Nick Fox, grand escroc sexy et qui fait partie de la liste des criminels les plus recherchés du FBI. Dans le casse on rencontre aussi le père de Kate, ex militaire et très complice avec sa fille… et bien d’autres encore.



Les deux personnages principaux Kate et puis Nick sont très attachants et l’alchimie qu’il y a entre eux est palpable et on arrive à la ressentir. On se surprend à vouloir ardemment qu’ils se rencontrent car chaque confrontation est explosive, pleine d’humour et de joutes verbales mémorables. On devient tellement accro à ces rencontres que le reste peut nous paraître parfois fade.



J’ai beaucoup aimé Le casse, une comédie grâce à laquelle on passe un excellent moment, drôle, pétillante et sexy, elle devient vite addictive. Après avoir lu ce tome, on voudra suivre Kate et Nick au bout du monde.
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J'aimais bien la série de Stéphanie Plum.

Ici il manque ce qui en faisait le sel. J'ai l'impression que cela a été écrit dans un seul but : être adapté en série télé et pas une où on mobilise son cerveau. Ce sera aussi vite oublié que lu.

J’étais toute prête à retrouver Janet Evanovich dans un nouveau concept. Mais j’avoue avoir été déçue et je vais retourner bien vite vers ma chasseuse de prime préférée.



J’ai lu ce deuxième tome sans avoir lu le premier. Du coup, il m’a manqué la mise en condition mais le début de la relation entre Nick et Kate est expliqué assez rapidement pour permettre aux lectrices dans le même cas que moi de raccrocher les wagons.



Ça se lit comme on regarderait un épisode d’une série télévisée légère, en faisant autre chose et sans être très concentrée. D’autant plus que les scènes décrites sont pleines d’action et très visuelles. Ca se prêterait donc parfaitement à une adaptation en série. Est-ce la patte Lee Goldsberg ? L’idée est intéressante et il y a matière à faire quelque chose de prenant : un duo qui se regarde en chiens de faïence, une enquête à mener à bien dont les conséquences peuvent être terribles. Mais en toute honnêteté, je n’ai pas un instant cru à la menace qui est sensée planée sur nos deux héros. Ils sont très sûr d’eux et manquent de failles. On ne sent pas vraiment la brèche que les sentiments pourraient faire apparaître.

Ceci dit, ça aurait pu être une bonne chose de ne pas renouveler la même recette qui a fait le succès de Stephanie Plum. Sauf qu’ici, j’ai eu l’impression que les auteurs hésitaient à choisir un genre spécifique de peur de se fermer des portes futures : humour, espionnage, romance… des ingrédients de chaque genre sont présents, sans que le tout soit lié. Si Nicolas Fox a le chic pour imaginer des plans impossibles, cela fait sourire deux secondes. Les répliques manquent du mordant que Janet Evanovich sait pourtant mettre dans la bouche des personnages de son autre série. Les rebondissements sont prévisibles. Bref, il manque la touche de peps et l’étincelle d’humour qui feraient de cette histoire quelque chose de plus farfelue et qui m'aurait vraiment permis d'adhérer.
Lien : http://nourrituresentoutgenr..

Le casse est un roman sympathique mettant à l'honneur Kate O'Hare, agent spécial du FBI, et Nicolas Fox, un escroc futé et séducteur.

Ils vont devoir faire équipe, ce qui va donner lieu à des scènes amusantes.

C'est bien écrit, il n'y a pas de temps mort, on ne s'ennuie pas en compagnie de la nouvelle héroïne de Janet Evanovich.

Sa collaboration avec Lee Golberg, le créateur de la série Monk, est réussie.

J'ai trouvé certains passages un peu tirés par les cheveux mais dans l'ensemble ça m'a plu, il y a de l'humour, c'est facile à lire, et si j'ai l'occasion il est fort possible que je lise les prochains tomes quand ils sortiront.

Je mets quatre étoiles pour ce roman qui m'a fait passer un bon moment de lecture :)

Kate est agent du FBI, la jeune femme est déterminée et passionnée par son métier. A la poursuite de Nicolas Fox depuis plusieurs années, lorsque celui-ci est arrêté c'est une vraie petite victoire pour elle... jusqu'au moment où elle apprend qu'il a été libéré pour aider le FBI dans certaines affaires et surtout qu'il va collaborer avec elle. Kate va devoir prendre sur elle pour travailler avec lui et ce ne sera pas une mince affaire...



C'est une histoire légère et pétillante qui vous attend en lisant Le Casse. Une vraie petite bulle de fraîcheur dans laquelle vous plongez quelques heures mais qui néanmoins vous fera vivre une véritable enquête.



Kate, bien que très bon agent du FBI, est un personnage totalement déjanté qui nous fera rire plus d'une fois par ses remarques et ses péripéties. Elle n'hésite pas à prendre tous les risques pour son travail et lorsqu'elle apprend qu'elle va devoir collaborer avec (le beau) Nicolas Fox elle tombe littéralement des nues. Parce qu'il faut l'avouer bien que celui-ci soit son "pire ennemi", elle a aussi un faible pour lui. La collaboration entre les deux vous réserve des moments des plus cocasses !



"Ravi, Nick sourit de plus belle et servit quatre verres de vin, puis porta un toast :

- A notre prestigieuse aventure !

- Ce n’est pas une aventure, répliqua Kate. C’est un boulot.

On ne fait pas ça pour s’amuser ou toucher le jackpot.

- Parle pour toi, dit-il.

- Je parle pour nous deux, insista-t-elle.

Fox se tourna vers Jessup.

- Elle est toujours d’aussi mauvais poil, le matin ?"



Bien que l'humour soit présent du début à la fin, l'écriture de Janet Evanovich ne peut que vous faire sourire et rire, il y a aussi une véritable enquête dans ce roman. Une enquête qui nous fera voyager à travers le monde en plus et qui s'annonce toute aussi cocasse que dangereuse.



Les deux personnages se complètent parfaitement dès le début et leur relation nous fera éclater de rire plus d'une fois. Entraînez dans leur mission périlleuse avec eux, on enquêtera à leur côté pour découvrir le fin mot de l'histoire entre Palm Springs et des îles d'Indonésie.



L'écriture de Janet Evanovich associée à celle de Lee Goldberg permet d'avoir une livre plus que réussit ! L'humour de l'auteure s'allie parfaitement à l'écriture élaborée de Lee Goldberg (auteur notamment de "Monk" qui avait adapté à la télévision) et ce premier tome des aventures de Kate O'Hare et Nicolas Fox est des plus prometteurs !



Vous l'avez compris en vous plongeant dans Le Casse vous passerez du rire... aux larmes de rire en seulement quelques pages mais tout en enquêtant dans une affaire périlleuse aux côtés de nos deux héros. Après l'avoir lu vous n'aurez plus qu'une hâte c'est de lire le(s) prochain(s) tome(s) qu'on va attendre avec impatience !



Pour découvrir Le Casse de Janet Evanovich et Lee Goldberg sachez que le livre est disponible aux Editions Charleston.
Lien : http://www.ptitblog.net/litt..

J’ai toujours adoré les romans de Janet Evanovich, auteur de la célèbre série des Stephanie Plum ou de Mécano Girl. Je dois quand même avouer que pour ce qui est des Stephanie je me suis un peu fatiguée et j’ai fini par arrêter ma lecture (ce que je regrette maintenant mais il commençait y avoir beaucoup trop de tomes). C’est pourquoi, quand j’ai découvert que les éditions Charleston allaient publier le premier tome d’une nouvelle série de l’auteur, j’étais ravie ! Encore plus après avoir lu le résumé !



Comment ne pas penser immédiatement à une série que j’adore ? White Collar (FBI, Duo très spécial en français) avec le très, très sexy Matt Bomer dans le rôle de Neal Caffrey, spécialiste de l’arnaque, arrêté par le FBI après trois ans de jeu du chat et de la souris et qui finit par proposer ses services au FBI contre une liberté conditionnelle. Oui, impossible de ne pas faire le lien entre les deux. Mais là où Neal Caffrey est principalement un faussaire et voleur d’œuvre d’art, Nicolas Fox, lui, est un arnaqueur en tout genre, véritable touche à tout, il n’a pas vraiment de spécialité (sauf celle d’échapper à Kate O’Hare, l’agent spéciale du FBI qui lui court après depuis des années). Autre point important, là où dans White Collar, l’agent du FBI est un homme, ici, nous avons une jeune femme. (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/le-c..

À la lecture de ce roman je me demande si M.Connelly l'a réellement lu pour affirmer qu'on a en main un grand thriller ? Comment croire qu'une jeune inspectrice sans expérience arrête le coupable d'un triple meurtre en très peu de temps et résout ainsi une enquête qui s'avère compliquée uniquement sur des suppositions ? Il ne faut pas chercher une once de crédibilité dans ce récit tant les invraisemblances abondent . Ceci dit ce livre n'est pas mauvais , il se laisse lire sans trop de problème si ce n'est ces trop longs passages où les itinéraires empruntés sont détaillés rue par rue .

Un livre qui le lit vite donc et qui s'oublie aussi vite .

Nettement moins amusant que la série Stéphanie Plum, mais cela reste de bon niveau. Cela ressemble un peu à FBI duo très spécial surtout pour le voleur. Les personnages sont un peu stéréotypés. On verra si la suite est à la hauteur

The Big One

Entre 2016 et 2019, 22 000 micro-séismes ont été enregistrés en Californie. Rien d'étonnant puisque la faille de San Andrea courre sur la plus grande partie du Golden State et les villes de San Francisco et de Los Angeles sont directement menacées par le risque d'un tremblement de terre majeur dont la survenance est malheureusement plus une simple hypothèse mais bien une réalité.Tous les Californiens le savent et vivent avec cette perspective, espérant que les moyens technologiques actuels permettront de prévenir et de sauver un maximum de personnes.

Aussi; lorsque Marty Slack reprend connaissance, sous sa Mercedes, il lui faut quelques instants pour réaliser ce qui s'est produit : autour de lui, tout est détruit et fumant... Il se trouvait sur les lieux d'un tournage d'une série télévisée produite par le Studio qui l'emploie mais il ne s'agit pas de décors de cinéma mais bien de la réalité. Marty se rend compte qu'il n'a rien à attendre d'hypothétiques secours et n'étant que légèrement commotionné, il décide de rejoindre son domicile pour y retrouver sa femme. A pieds, à des dizaines de kilomètres.

Et ce ne sera pas une promenade de santé, les répliques provoquant l'effondrement de pans de route entiers, de ponts, d'immeubles et la rupture d'un barrage.

Bien décidé à "tailler la route" sans se préoccuper des autres, Marty fera cependant de nombreuses rencontres tout au long de son parcours qui finiront par le conduire à se remettre en question et à reconsidérer le sens de sa vie.

Ce livre est très cinématographique et je l'imagine très bien adapté pour le grand écran ! Marty Slack n'est pas un super héros, bien au contraire, c'est un américain ordinaire, un écrivain raté qui travaille dans l'industrie de la télévision, un homme égoïste dont le mariage bat de l'aile. Pour lui, ce sera l'occasion de se révéler, de trouver en lui des ressources insoupçonnées et de nouvelles raisons de vivre.

Un page-turner efficace, pas de la grande littérature mais un livre distrayant.

Un thriller qui vous tient en haleine du début à la fin. Chaque indice et chaque détail a son importance.

Eve se retrouve à la tête d'une cellule de crise qui doit élucider un triple meurtre en quelques jours avant que le suspect n°1 ne soit relâché... Un mobile récurent mais bien contemporain qui doit être élucidé avec pour moyen principal la déduction de l'enquêtrice qu'aucune technologie ne pourra remplacer.