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Citations de Léon Trotsky (103)


On dit de l'enfance que c'est le temps le plus heureux d'une existence. En est-il toujours ainsi ? Non. Peu nombreux ceux dont l'enfance est heureuse. L'idéalisation de l'enfance a ses lettres d'origine dans la vieille littérature des privilégiés. Une enfance assurée de tout et, avec surcroît, une enfance sans nuage dans les familles héréditairement riches et instruites, toutes de caresses et de jeux, restait dans la mémoire comme une carrière inondée de soleil à l'orée du chemin de la vie. Les grands seigneurs en littérature ou les plébéiens qui chantèrent les grands seigneurs ont magnifié cette idée de l'enfance toute pénétrée d'esprit aristocratique. L'immense majorité des gens, si seulement ils jettent un coup d'oeil en arrière, aperçoivent au contraire une enfance sombre, mal nourrie, asservie. La vie porte ses coups sur les faibles, et qui donc est plus faible que les enfants ?...
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«  la révolution permanente contre le carnage permanent ! Telle est la lutte dont l'enjeu est le sort de l'humanité »
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«  Le fond politique de la discussion est tellement couvert d'ordures que je n'envie pas l'historien qui plus tard voudra creuser jusque la racine des choses. » De la nouvelle politique économique, extrait.
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« Ce ne furent ni l’opposition de la bourgeoisie libérale, ni les soulèvements spontanés des paysans, ni les actes de terro
risme des intellectuels qui forcèrent le tsarisme à s’agenouiller : ce fut la grève ouvrière. » 1905, extrait
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«  Jamais on n’a autant menti qu’à l’époque de la « grande guerre émancipatrice ». Si le mensonge était un explosif, il ne serait resté de notre planète que des poussières bien longtemps avant le traité de Versailles.
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«  La révolution n’apparaît, aux yeux d’un conservateur,comme une folie collective que parce qu’elle pousse aux dernières extrémités la démence « normale » des antagonismes sociaux.
C’est ainsi que des gens refusent de se reconnaître dans une audacieuse caricature. Cependant, toute l’évolution moderne aggrave, tend, aiguise les antagonismes, les rend intolérables et, par conséquent, prépare une situation dans laquelle l’immense majorité « perd la tête ».
Mais, en de pareils cas, c’est la folle majorité qui applique la camisole de force à la sage minorité. Et c’est ainsi que l’histoire peut avancer. Le chaos d’une révolution n’est pas du tout celui d’un tremblement de terre ou d’une inondation. Dans
le désordre révolutionnaire commence immédiatement à se former un nouvel ordre ; les gens et les idées se répartissent naturellement sur de nouveaux axes. La révolution ne paraît être une absolue folie qu’à ceux qu’elle balaie et renverse. Pour nous, la révolution a été l’élément natal, quoique fort agité.
Tout y trouvait son heure et sa place. Certains arrivaient même à vivre encore de leur vie individuelle, à devenir amoureux, à faire de nouvelles connaissances, voire encore à fréquenter les théâtres révolutionnaires. Parvus goûta tellement une nouvelle pièce satirique alors jouée, qu’il acheta d’un coup cinquante billets pour la représentation suivante, dans le dessein de les envoyer à des amis. Il convient d’expliquer qu’il avait touché, la veille, le montant deses droits d’auteur pour ses livres. Il fut arrêté et l’on trouva sur lui cinquante billets de théâtre.
Les gendarmes se creusèrent longtemps la tête pour déchiffrer cette énigme révolutionnaire. Ils ignoraient que Parvus faisait toujours les choses largement », 1905, extrait
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L’homme qui ne veut ni retourner à Moïse, au Christ ou à Mahomet, ni se contenter d’un arlequin éclectique doit reconnaître que la morale est le produit du développement social ; qu’elle n’a rien d’invariable ; qu’elle sert les intérêts de la société ; que ces intérêts sont contradictoires ; que la morale a, plus que toute autre forme d’idéologie, un caractère de classe.

N’y a-t-il pas pourtant des règles élémentaires de morale élaborées par le développement de l’humanité tout entière et nécessaires à la vie de toute collectivité ? Il y en a, certes, mais leur efficience est très instable et limités. Les normes « impératives pour tous » sont d’autant moins efficientes que la lutte des classes devient plus âpre. La guerre civile, forme culminante de la lutte des classes, abolit violemment tous les liens moraux entre les classes ennemies.

Placé dans des conditions « normales », l’homme « normal » observe le commandement : « Tu ne tueras point ! » Mais s’il tue dans les circonstances exceptionnelles de la légitime défense, le jury l’acquitte. Si, au contraire, il tombe victime d’une agression, l’agresseur sera tué par décision de justice. La nécessité d’une justice et de la légitime défense découle de l’antagonisme des intérêts. Pour ce qui est de l’État, il se contente en temps de paix de légaliser les exécutions d’individus pour, en temps de guerre, transformer le « Tu ne tueras point » en un commandement diamétralement opposé. Les gouvernements les plus humains qui « détestent » la guerre en temps de paix font, en temps de guerre, de l’extermination d’une partie aussi grande que possible de l’humanité, le devoir de leurs armées.

Les règles « généralement reconnues » de la morale gardent le caractère algébrique, c’est-à-dire indéfini, qui leur est propre. Elles expriment seulement le fait que l’homme, dans son comportement individuel, est lié par certaines normes générales, puisqu’il appartient à la société. L’« impératif catégorique » de KANT est la plus haute généralisation de ces normes. Mais en dépit de la situation éminente que cet impératif occupe dans l’Olympe philosophique, il n’a rien, absolument rien de catégorique, n’ayant rien de concret. C’est une forme sans contenu.
(...)
La société sans antagonismes sociaux sera, cela va de soi, sans mensonge et sans violence. Mais on ne peut jeter vers elle un pont que par les méthodes de violence. La révolution est elle-même le produit de la société divisée en classes dont elle porte nécessairement les marques. Du point de vue des « vérités éternelles » la révolution est naturellement « immorale ». Ce qui nous apprend seulement que la morale idéaliste est contre-révolutionnaire, c’est-à-dire au service des exploiteurs.
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« Le désir naissant de voir, de savoir, de conquérir, trouvait son issue dans cette infatigable absorption de textes imprimés ; mes mains et mes lèvres d’enfant étaient toujours tendues vers la coupe de l’invention littéraire. Tout ce que la vie devait me donner par la suite d’intéressant, de saisissant, de joyeux ou d’affligeant, était déjà contenu dans les émotions de mes lectures, en allusion, en promesse, comme une timide et légère esquisse au crayon ou à l’aquarelle. » les livres et les premiers conflits, extrait
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Le marxisme se considère comme l'expression consciente d'un processus historique inconscient.
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«  Frédéric Engels mourut en 1895.Dans plusieurs villes de Russie,des cercles d’étudiants et d’élèves consacrèrent au disparu des causeries clandestines. J’allais avoir seize ans. Mais je ne connaissais même pas le nom d’Engels et je n’aurais guère pu dire quelque chose de précis de Marx ; à tout prendre, je ne savais encore rien de lui. « , La brisure, extrait.

«  Que cherchais je ? Avant tout, je me cherchais moi même » ma première organisatio révolutionnaire, extrait.

« En février 1897, Vétrova, étudiante des cours supérieurs, emprisonnée dans la forteresse Pierre-et-
Paul, se suicida en mettant le feu à ses vêtements. Ce drame qui n’a jamais été expliqué
secoua tout le monde. Il y eut des troubles dans les villes universitaires. Les arrestations et déportations devinrent de plus en plus nombreuses. J’accédai au travail révolutionnaire avec l’accompagnement des manifestations provoquées par l’affaire Vétrova. » ma première organisation révolutionnaire, extrait.
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« Il y avait chez nous des ouvriers travaillant constamment à l’année, mais en petit nombre. Les autres, —et on en comptait des centaines dans les années de grande culture, étaient des saisonniers, de Kiev, de Tchernigov, de Poltava, qu’on louait jusqu’à la fête du Voile, c’est-à-dire jusqu’au 1eroctobre. Dans les années d’abondance, le gouverne-ment de Kherson absorbait deux outrois cent mille hommes de cette main-d’œuvre. Pour quatre mois d’été, les faucheurs touchaient de quarante à cinquante roubles, nourris, les femmes de vingt à trente roubles. Pour logement ils avaient les champs devant eux ; par temps de pluie, les meules. Pour dîner, du borchtch et de la kacha, pour souper, une bouillie de millet. On ne leur
donnait pas de viande ; on ne leur accordait, comme matières grasses, que des huiles végétales et en
très petite quantité. Ce traitement provoquait parfois un certain mécontentement. Les ouvriers abandonnaient le travail de la moisson, se réunissaient dans la cour, se couchaient sur le ventre dans l’ombre des hangars, levant en l’air leurs pieds nus, crevassés, tout piqués de chaume, et ils attendaient. On leur donnait alors du lait aigre, ou des arbouses ou bien un demi-sac de tarani (vobla
séchée), et ils retournaient à leur travail, souvent en chantant. C’est ainsi que cela se passait dans toutes les entreprises agricoles. Il y avait des faucheurs d’un âge assez avancé, bien musclés, hâlés, qui revenaient à Ianovka dix ans de suite, sachant que le travail leur serait toujours assuré. Ils tou-
chaient quelques roubles de plus que les autres et recevaient de temps
à autre un petit verre de vodka parce qu’ils réglaient le rythme du travail. Certains d’entre eux arrivaient avec leur famille, toute une nichée. Ils venaient de leurs gouvernements d’origine à pied, marchant tout un mois, se nourrissant de quignons depain, passant les nuits dans les marchés. Il y eut un été où tous les ouvriers tombèrent malades, les uns après les autres, d’héméralopie.
Au crépuscule, ils allaient et venaient lentement, tendant les bras devant eux. Un neveu de ma mère
qui était en visite chez nous écrivit à ce sujet un petit article qui fut remarqué au zemstvo
et un inspecteur fut envoyé. Mon père et ma mère furent très vexés de ce qu’avait fait notre « correspondant » que pourtant ils aimaient beaucoup. Lui-même n’était guère réjoui de son
initiative. Pourtant l’incident n’eut pas de conséquences fâcheuses : l’inspection constata que la maladie provenait de l’insuffisance des graisses alimentaires, qu’elle était répandue dans presque tout le gouvernement, car on nourrissait partout les ouvriers de la même façon, et, dans certains endroits, plus mal. À l’atelier, dans la maison des domestiques, à la cuisine, dans les ar-rière-cours, la vie s’ouvrait devant moi plus largement et autrement que dans la famille. Le film de la vie n’a pas de fin et je n’en étais qu’au début. Je ne gênais personne par maprésence, étant petit. Les langues se déliaient sans aucune gêne, surtout en l’absence d’Ivan Vassiliévitch ou du commis qui, tout de même, faisaient à moitié partie des dirigeants. À la lumière du foyer de la forge ou de celui de la cuisine, les parents, père et mère et autres proches, les voisins, m’apparaissaient sous un tout nouveau jour. Bien des choses qui furent dites alors dans ces causeries sont restées en moi pour toujours. Bien de ces choses, peut-être, sont devenues les bases de mes rapports avec la société
contemporaine. « Ianovka, extrait.
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Chaque pays arriéré, en s'intégrant au capitalisme, passait par diverses phases de dépendance envers les autres pays capitalistes
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« Au congrès de Londres, je connus de plus près Rosa Luxemburg avec laquelle j’avais été en relations dès 1904. De petite taille, frêle, même maladive, elle avait de nobles traits, de très beaux yeux, qui rayonnaient d’esprit, et elle subjugua
it par la virilité de son caractère et de la pensée. Son style, tendu, précis, implacable, restera à jamais le reflet de son âme héroïque. C’était une créature aux aspects variés, riche en nuances. La révolution et ses passions, l’homme et son art, la
nature, les herbes et les oiseaux pouvaient également faire vibrer en elle des cordes qui étaient nombreuses.
« Il faudrait pourtant, écrivait-elle à Louise Kautsky, que quel-
qu’un me croie quand je dis que c’est seulement par suite d’un
malentendu que je suis prise dans le tourbillon de l’histoire mondiale, et qu’en réalité j’étais née pour paître des oies. »
Mes rapports avec Rosa n’atteignirent aucun degré d’intimité personnelle : nous nous sommes vus trop peu, trop rarement. Je l’admirais en observateur. Et pourtant il se peut qu’alors je ne l’aie pas suffisamment appréciée...
Sur la question dite de « la révolution permanente », Luxemburg défendait la position de principe qui était aussi la mienne. Dans les couloirs, il s’éleva entre Lénine et nous un débat émaillé de plaisanteries sur ce sujet. Les délégués no
us entourèrent en groupe pressé.« Tout ça, dit Lénine à l’adresse deRosa, c’est parce qu’elle ne parle pas assez bien le russe.
— Oui, répliquai-je, mais elle parle bien le marxiste. « 
Deuxième émigration, le socialisme allemand.
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En écrivant mon Histoire de la Révolution russe, j’ai négligé systématiquement les souvenirs personnels, me basant principalement sur des données déjà publiées, donc sujettes à vérification, et y ajoutant seulement ceux de mes propres témoignages déjà rendus publics et restés incontestés. Pour cette biographie, je me suis écarté de cette méthode trop rigoureuse ; ici aussi, cependant, la trame de mon récit est faite de documents, mémoires et autres sources objectives. Mais dans ces circonstances où rien ne peut remplacer le témoignage des propres souvenirs de l’auteur, j’ai considéré avoir le droit d’intercaler tel épisode de mes souvenirs personnels – jusqu’alors pour la plupart non publiés – indiquant chaque fois clairement que, dans le cas donné, je n’apparais pas seulement comme auteur, mais aussi comme témoin. Sauf ces exceptions, j’ai suivi ici la même méthode que dans mon Histoire de la Révolution russe.
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Il faut former le gouvernement. Nous sommes là quelques membres du comité central. Courte délibération dans un coin de la chambre.
- Comment l'appeler ? , pense tout haut Lénine. Surtout pas des ministres! Le titre est abject, il a traîné partout.
- On pourrait dire "commissaires", proposais-je; mais il y a beaucoup trop de commissaires à présent... Peut-être "haut-commissaires"... Non, "haut-commissaire" sonne mal... Et si on mettait: "commissaires du peuple" ?
-"Commissaires du peuple ?" Ma foi il me semble que ça pourrait aller... reprend Lénine. Et le gouvernement dans son ensemble ?
-Un soviet, bien entendu, un soviet... Le soviet des commissaires du peuple ? s'écrie Lénine. C'est parfait. Ça sent terriblement la révolution !...
(octobre 1917)
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Jusqu'à très récemment, on ne disposait que de bien peu de traces du combat que menèrent les trotskystes soviétiques, alors qu'il était "minuit dans le siècle". Le stalinisme les avait soigneusement effacées en même temps qu'il exterminait le Parti bolchévique et ses militants. Ce combat, qui poursuivait une période de recul profond celui des bolchéviks avant Octobre 1917 et durant les premières années de l'édification de l'État ouvrier, les trotskystes soviétiques le menèrent jusqu'au bout.
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Le fascisme, né de la banqueroute de la démocratie en présence des tâches assignées par l’impérialisme, est une « synthèse » des pires maux de cette époque. Des restes de démocratie ne se maintiennent que dans les aristocraties capitalistes les plus riches : pour chaque « démocrate » anglais, français, hollandais, belge, travaille un certain nombre d’esclaves coloniaux ; « soixante familles » gouvernent la démocratie aux États-Unis… Et les éléments du fascisme croissent rapidement dans toutes les démocraties. Le stalinisme est à son tour le produit de la pression de l’impérialisme sur un État ouvrier arriéré et isolé ; il complète ainsi, en quelque sorte symétriquement, le fascisme.

Tandis que les philistins idéalistes — et les anarchistes en premier lieu, naturellement — dénoncent sans se lasser l’« amoralité » marxiste, les trusts américains dépensent, d’après John LEWIS, plus de quatre-vingts millions de dollars par an à combattre la « démoralisation » révolutionnaire, c’est-à-dire en frais d’espionnage, de corruption d’ouvriers, d’impostures judiciaires et d’assassinats ! L’impératif catégorique suit parfois, vers son triomphe, des voies bien sinueuses !
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« Je sais à présent, par expérience, comment de nouvelles exigences sociales se taillent sans cérémonie un uniforme idéologique dans une étoffe de théorie qui était destinée à de tout autres fins. » Première déportation, extrait
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Premier cahier – 7 février 1935 : Le journal intime n'est pas un genre de littérature auquel je suis porté. Je préférerais en ce moment un quotidien. Mais je n'en ai pas… Coupé de la vie politique active, je suis obligé de recourir à se succédané de journalisme qu'est le journal personnel. Au début de la guerre, retenu en Suisse, j'ai tenu un journal pendant quelques semaines. Puis pendant une courte période en Espagne, en 1916, après mon expulsion de France. Je crois que c'est tout. Et me voilà obligé d'y revenir. Pour longtemps ! Peut-être pour des mois. En tout cas pas pour des années. Les événements ne peuvent que se dénouer dans un sens ou dans l'autre - et fermer le cahier. Si même il n'est pas fermé plus tôt encore par le coup de feu tiré de quelque coin par un agent … de Staline, de Hitler, ou de leurs amis-ennemis français.

53 – [Folio, n° 952, p. 37]
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Les étapes du développement de la révolution en URSS, en fin de compte, se déterminent par des replis dans le développement de la révolution mondiale, que l'opposition léniniste à toujours considéré comme un processus unique, "la soumission des intérêts de la lutte de classe dans un seul pays aux intérêts de cette lutte à l'échelle mondiale". C'est le slogan de base de Lénine, lequel détermine les tâches stratégiques du prolétariat socialiste de l'URSS, et qui est en même temps l'une des règles principales de la théorie de la révolution permanente.
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