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Citations de Léonie Bischoff (145)


- Écrire ! Mais il faut VIVRE !
- Je vis, Henry. Je vis même doublement, triplement car, quand j'écris et réécris, je vis plus intensément encore.
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Que de beauté dans cet album ! Sa philosophie tout d'abord: 'chacun a son talent il suffit de le trouver". Mais aussi un plaidoyer très humain pour l'égalité et le respect de tous les êtres vivants. Une merveilleuse aventure humaine avec des rencontres qui font grandir l'esprit et le cœur! Avec subtilité , chaleur et même humour des sujets aussi profonds que le racisme et l'esclavage, l'exploitation,l'égalité homme/femme, le génocide fait aux indiens, sont traités de façon à être accessibles à tout âge.
Simon,qui pensait n'être que le simplet que sa famille désigne comme tel,va trouver son envol grâce à son institutrice qui croit en lui. Il part pour un très long voyage avec un troupeau de milles dindes afin de les vendre à Denver.
Le graphisme m'a immédiatement séduite, tout comme le petit Simon qui est irrésistible !
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Oh, j'aimais bien l'école, et Miss Rogers, l'institutrice.
Elle devait bien m'aimer aussi, vu qu'elle m'a fait refaire certaines classes deux fois !
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Chaque homme fait émerger en moi de nouvelles émotions, de nouvelles idées. Chaque relation fait naître une nouvelle Anaïs et un nouvel univers. Et chaque Anaïs existe uniquement pour celui qui l’a révélée, tout en inspirant toutes les autres.
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"Non."
Sans excuse, sans mensonge, sans justification.
Jamais, jusqu'à présent, je n'avais réussi à le dire à un homme.
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Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire. Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
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Une fois de plus, je suis paralysée par l’écriture de mon roman. Ce qui, hier encore, vibrait et palpitait semble mort aujourd’hui. Artificiel. Un collage maladroit. Suis-je réellement incapable d’écrire autre chose que mon journal ? Incapable d’opérer l’alchimie qui transformerait cette matière brute en un récit révélateur ? J’ai rendez-vous avec un éditeur qui semble intéressé par mon essai sur Lawrence. Mais je me sens faible et fragile et aujourd’hui. Mes nerfs ne me laissent pas en paix. Je voudrais disparaître. Quand je le repousse en lui disant que, pour moi, ça ne peut être sans amour, il ne me croit pas. Il dit qu’avec mon visage sophistiqué et ma défense de Lawrence, je ne peux être si innocente. Aucun homme ne croit jamais à mon innocence. Il est vrai que j’avais accepté son baiser. Om me fait asseoir sur le canapé et présente son sexe à ma bouche. Je me relève comme si on m’avait giflée et il rit de moi. Il maîtrise la technique du baiser mieux qu’aucun homme que j’aie connu. J’ai pitié du désir que j’ai provoqué et je le laisse se soulager en se frottant à mes cuisses. Je lui devais bien ça. Je ne dis pas tout à Hugo. J’ai séparé mon journal en deux… L’un d’eux devra rester secret ! Et pourtant, je me sens innocente… Je continuerai donc à tenir deux journaux. Le faux dans lequel j’écris ce que je présente à Hugo comme des fantaisies, un exutoire à mon imagination trop féconde. Je ne le laisse pas pour autant le lire. Et le vrai dont je lui lis des passages comme je l’ai toujours fait, et qui maintient mon idéal de pureté, même si j’y laisse paraître mes questionnements.
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Ma mère est danoise et cubaine, mon père espagnol et cubain, et j’ai grandi entre la France et New York. J’ai dû inventer mon propre langage.
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Les gens souffrent de leur folie parce qu’ils ne savent qu’en faire.
Les artistes y plongent, s’en parent comme d’un costume, y découvrent d’autres vies.
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Les gens souffrent de leur folie parce qu’ils ne savent qu’en faire.
Les artistes y plongent, s’en parent comme d’un costume, y découvrent d’autres vies.
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— J'avais onze ans quand j'ai commencé à écrire, sur le paquebot qui nous emmenait en Amérique, ma mère, mes frères et moi. Au départ, j'écrivais des lettres à mon père resté en Europe. Je n'avais pas compris... Je voulais le convaincre de nous rejoindre. Ma mère ne m'a pas laissé envoyer les lettres. Je n'ai jamais cessé d'écrire. Ainsi est né le journal !
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J'ai jeté un coup d’œil sur le cours d'eau avec une certaine appréhension. La Gasconnade n'était pas un fleuve immense comme le Missouri, mais c'était sûr et certain trop rapide et trop profond pour que l'on passe à gué. Entre-temps, mes dindes s'étaient attroupées, tout excitées, s'entassant au bord de l'eau, gloussant, se rengorgeant et rejetant en arrière leurs petites têtes stupides.
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"Il n 'est jamais inutile de fouiller le passé. Parfois, il faut creuser très profond pour faire émerger la vérité."
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Je crois que chacun ici-bas a un talent, Simon Green...
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C'était un magnifique jour de juin. Les champs de maïs verdissant ondulaient de part et d'autre de la route de l'Ouest. Mes dindes qui se dandinaient au milieu devaient être superbes à voir, avec leur plumage étincelant au soleil. Parole, elles ont filé comme des bolides dès qu'elles ont senti sous leurs pattes un petit avant-goût de liberté.
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d’explorer le monde, de déployer tes ailes.
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Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire.
Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
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- Qui est là ?
- Personne.
- Si personne n'est là, alors personne n'a pu parler.
Ça tombe sous l'sens, j'veux dire.
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Je n'écrirai jamais comme un homme.
Je veux écrire comme une femme.
Ecrire les choses indicibles, les intuitions, les frissons.
Je veux faire de ma vie une oeuvre d'art et inventer le langage pour la raconter.
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Pour avoir pénétré dans le monde des esprits, tu devrais être morte.....
Pour sauver ta peau, j'ai accepté un marché avec eux.
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