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Critiques de Lin Carter (42)
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Thongor, tome 1

Ce tome 1 de Thongor compile 3 histoires du héros éponyme. Ce genre de fantasy n'est pas dans mes habitudes, mais on m'a offert ce roman alors je me suis dit "Pourquoi pas, il y a un début à tout...".



Et bien ce début aura été un poil décevant. Rien de plus ici qu'une fantasy plate, pleine de clichés du genre... J'avais l'impression de revoir les vieux épisodes de Xéna et Conan le Barbare que je regardais étant jeune. Des gentils extra beaux - plein de muscles, de sueur ultra sexy (!), d'une beauté époustouflante... et des méchants extra laids, histoire qu'on comprenne bien qu'ils sont méchants...



Au niveau de l'intrigue, les actions s'enchaînent sans véritable cohérence. Si un but se dessine dans les premiers chapitres, il reste seulement comme trame de fond tout du long de l'histoire, sans qu'on l'évoque vraiment à nouveau. Toutes les autres actions subsidiaires ne sont là que pour retarder l'échéance finale et faire bien comprendre aux lecteurs à quel point Thongor est fort car il s'en sort toujours, quelles que soient les circonstances.



Et quand le héros n'est pas confronté à une nouvelle abomination du mal, il a faim ! Façon de nous rappeler tous les deux chapitres que dans la philosophie des origines de Thongor, on ne se préoccupe pas de ce qui va advenir à l'avenir, et que du coup, on peut bien se permettre un petit casse-dalle avant d'aller mourir !



Enfin, quelques mots sur le style : bon, allez, je vais être sympa sur ce point-là : le style en soi n'est pas si désagréable à lire, ça se lit rapidement et aisément. Mais là encore, le récit est bourré de raccourcis "tout-fait" et certains passages ne font que répéter l'évidence. Les dialogues sont souvent assez creux, dans un style vieillot... (Bon, finalement, je n'aurai pas réussi à être complétement sympa sur ce point...)



Au final, je n'ai lu qu'une seule des trois histoires. La fin tout aussi convenue que le reste m'a définitivement dissuadé d'aller au-delà.
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Conan l'usurpateur

J'ai lu (et apprécié) mes premiers Conan il y a à peu près 25 ans ! Autant dire que j'étais un peu stressée par cette reprise de contact, mais j'avais envie de retrouver de la fantasy "pure et dure".



Je n'ai pas été déçue. C'est vraiment "énorme", dans tous les sens du terme. La première nouvelle est une pure merveille, avec des sauvages, des sorciers, des pirates, des démons. Conan est flamboyant, comme à son habitude, et j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à le retrouver !

D'ailleurs j'ai été un peu déçue qu'il ne soit pas dans la seconde nouvelle, même si elle est très bonne.



Bref, nous avons ici de la "vraie" fantasy, celle des débuts, Howard avait vraiment du génie en la matière. La traduction est excellente, et ça se lit tout seul. Les batailles et combats sont épiques, grandioses, pour ma part, c'est rien que du bonheur.

Comme ce sont des nouvelles et qu'à chaque fois le contexte est resitué au début (et que l'ordre en a été déterminé non par Howard mais par Sprague de Camp), il n'y a pas trop de soucis à lire les différents tomes dans le désordre... J'espère donc tomber sur ceux que je n'ai pas chez mon bouquiniste, un de ces jours !
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Thongor et la cité des dragons

Deuxième opus de la saga du sous-Conan ,Thongor . Le cadre se situe dans une paléontologie fantastique où les hommes se collètent avec des dinosaures (dont certains sont intelligents voyez-vous ça) .Le costaud valkhirien affronte les sempiternels adversaires invincibles (arbres cannibales, néandertaliens libidineux, prêtres répugnants,nain lépreux , vers géants ,vampire …) qu’il défait en deux coups de cuillère à pot (des grosses épées en l’occurrence).Il y gagne de bons copains et une belle princesse (qui passe son temps à être agressée , à hurler et à être sauvée miraculeusement). A noter aussi , cerise sur le gâteau, une illustration de couverture d’une rare laideur :le héros ressemble à une culturiste transgenre et les couleurs font regretter de n’être point daltonien.
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Thongor et le magicien de Lémurie (Le Masque)

Plongé dans mes archives,j'exhume un livre lu en 1977 premier d'une série du prolifique Lin Carter grand épigone et imitateur devant l'éternel ( de Robert E. Howard et de Edgar Rice Burroughs entre autres). Voici donc Thongor barbare musculeux de son état et « sous-Conan » à tous points de vue .Un de ces ouvrages qui donnèrent et donnent encore (qui sait) à la fantasy sa réputation de littérature infantile. Thongor donc passe son temps à trucider des méchants ,à aller dans des prisons inexpugnables dont il sort sans problèmes , à affronter des monstres invincibles qu'il tronçonne allègrement, Il reçoit l'aide d'artefacts technologiques (vaisseau volant pratique pour raccourcir les déplacements) , d'un magicien chenu (et gentil) et d'une chance ahurissante (les dieux n'est-ce pas ..) . Pour tout dire c'est mauvais.
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Conan l'usurpateur

Idée de départ / Accroche du début de livre : 7/10

Développement des personnages : 6/10

Style de l'écriture : 7/10

Rendu de l'histoire : 6/10

Total 26/40 Babelio 4/5



Pour moi sans doute le moins bon de la collection et cela surtout dû au fait de la nouvelle sans la présence de Conan. Je vois pas du tout l'intérêt de cette aventure où on mentionne simplement que Conan est devenu roi.



Pourtant le premier récit de ce recueil, donnait le change et nous offrait une très bonne qualité. Conan nous révélait toute son intelligence et surtout nous montrait comment le barbare aiment montés ses ennemis les uns après les autres.



Hélas la suite des récits sont plus que moyen après cette très bonne mise en jambes. Dommage c'est le premier tome que je trouve plus bas de niveau que les autre mis à part Conan le flibustier. Il ne me reste plus qu'a lire le dernier tome pour juger l’œuvre dans sont intégralité.
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Conan le barbare

un remake du célèbre conan

de Robert e hovard qui servira de scénario pour le film avec Arnold Schwarzenegger.super 👍.
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Thongor contre les pirates de Tarakus

J’achève la relecture à 30 ans de distance de aventures de Thongor (achever est le mot car ces livres vont faire partie du dégraissage de ma bibliothèque ) et j’en conclus que ce n’est pas très bon(et je suis gentil). Dans ce dernier volume Carter ,grand recycleur , revisite le folklore des pirates (œil de verre ,jambe de bois , crochet..) avec tous les épisodes obligés (beuverie, bagarre ) . Le tout pendant que Thongor et ses copains sauvent une énième fois le monde tout en exterminant une nouvelle couleur de moine (gris cette fois) inventeur d’une machine qui rend fou (prémonition de la télé ou de l’ordi ?) . Il est temps que ça cesse car l’imagination commence à s’essouffler sérieusement .



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Thongor et la cité des magiciens

Revoila Thongor le très costaud Valkhartien lancé dans une nouvelle entreprise d’éradication religieuse :après les mages ,bonzes , lamas, prêtres , rouge et jaunes qu’il a éliminés il s’en prend maintenant au fléau ultime :les très nocifs magiciens noirs (le noir c’est mal !) possesseurs d’armes de destruction massive magico-technologiques (on se demande pourquoi ils ne s’en servent pas) . La description des 7 membres de ce club diabolique est un florilège de clichés sur les mauvais démiurges plus ou moins piqués dans les mythologies , contes et aventures de Conan.Le scénario est convenu :Thongor est capturé , et au moment où on va lui infliger le supplice ultime de la mort qui tue , il est délivré par son copain le géant bleu et l’intervention opportune du Deus ex machina , en l’occurrence Gorm . Puis massacre de magiciens et destruction de leur nid. Un scénario étique gonflé par d’incessantes récapitulations des exploits précédents.
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Conan le Vagabond

Je continue le cycle complet de Conan.....

Toujours aussi divertissant.... Pas de réflexion mais bon .... C'est pas tous les jours que l'on peut se trouver dans la peau d'un barbare sanguinaire et sans peur dans des aventures fantastiques.
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Conan le barbare

Au tour du roi des Cimmériens de se voir adapté directement du film au bouquin, et même pas par son auteur originel ( mes respects, Mr Howard)



Encore une fois, dans ce genre de projet mercantile, rien de nouveau sous le soleil. On vous tripote la fifibre émotionnelle pour que vous lâchiez quelques euros durement (ou pas) gagnés (ou pas).



Le point fort du film ( comment ça le seul? j'ai entendu vous savez !) était la musique de Basil Poledouris ( mes respects), alors la transformation en prend un sacré coup dans l'aile. Même avec le casque audio réglé sur lecture en boucle, le livre peine à convaincre là où le grand frère peinait aussi. Il s'agit ni plus ni moins qu'une nouvelle de Conan, sans le génie d'Howard. C'est explication étant suffisante, je pense ne pas continuer cette chronique !
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Conan le barbare

Il fut une époque à laquelle nous parlions entre nous de connard le barbant. Soyons honnête, ça se lit mais c'est loin d'être une révolution littéraire. C'est très musculeux, très mâle. On a fait beaucoup plus testostéroné depuis ce qui n'est pas forcément mieux. Si vous n'êtes pas du tout amateur du genre, laissez tomber. Pour les autres, ce n'est pas ennuyeux. ça vaut 10/20 pour moi.
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Conan le Vagabond

Idée de départ / Accroche du début de livre : 10/10

Développement des personnages : 9/10

Style de l'écriture : 8/10

Rendu de l'histoire : 10/10

Total 37/40 Babelio 5/5



Le tome précédant que j'ai lu (Conan le flibustier) m'avait quelque peu déçu par sa qualité. On y retrouvait un Conan moins charismatique, moins héros que d'habitude. Dans Conan le vagabond on retrouve l'essence même du personnage.



Sand doute que cette partie de l'histoire faite par Howard était plus complète (par rapport au flibustier) et que les auteurs qui ont complété l'histoire on moins fait de dégât.



Ici on y retrouve un Conan engagé dans ses quêtes. Son intelligence refait enfin surface. Et surtout il est en première ligne pour sauver les belles princesses réduite en esclavage.



Au fil des livres le personnage de Conan s'étoffe. Loin d'être un barbare sans cervelle, il pense au tenu et aboutissant de chacune de ses aventures. Sa vision des femmes aussi change, il apprends à les respecter même s'il reste toujours un barbare.
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Thongor Et Le Magicien

Un autre héros de fantasy, plus spécifiquement de heroic fantasy, à la Conan de Robert Howard. Lin carter s'en est inspiré fortement. Un colosse, son épée, de la magie et une demoiselle en détresse. Malgré tout, c'est agréable à lire avec tous les ingrédients d'un bon heroic fantasy.



C'est moins bon que l'original, car l'écriture d'Howard est difficile à atteindre, mais on passe un bon moment.



Don un bon divertissement qui se lit bien.
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Conan l'usurpateur

Quatre nouvelles :Le trésor de Tranicos/Des loups sur la frontière (sans Conan) le phénix sur l’épée (ma préférée : un complot contre le roi Conan avec comme souvent Toth Amon le Stygien en deux ex machina ) La citadelle écarlate ( avec beaucoup d'inventivité

sur des prisons digne de l'enfer de Dante .Notamment une fleur vampire ...)

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La geste de Kadji

Je souhaitais lire du Lin Carter depuis un moment. Difficile d'en trouver, et encore plus difficile de trouver ce que l'on cherche. D'autant que les romans en français de cet auteur sont rares. C'est donc avec le premier volume de ce cycle que je découvre l'univers de Carter. Un univers qui me rappelle bien entendu des auteurs tels que Robert E Howard ou Edgar Rice Burroughs. L'écriture est plutôt agréable, le style est rapide, l'auteur va à l'essentiel sans sans tomber dans de longues descriptions de détails superflus. Son héros est défini au ciseau voire au cutter ainsi que son objectif cristallisé en quelques lignes. D'ailleurs tout le roman, présenté comme un ensemble de poèmes écrits en prose, est à l'image du héros et de ses aventures. Le récit n'éveille aucune originalité dans le sens où il reste classique; mêmes les personnages sont classiques. J'entends "classique" pour des lecteurs d'aujourd'hui, le roman datant de 1976. Toujours est il que je me suis laissé guider par cette histoire, plutôt légère, facile à lire et courte ( le roman se lit en deux heures), les rebondissements, sans être originaux, apportent de l'intérêt au récit, et même si l'histoire, le déroulement, le dénouement sont attendus et entendus, j'ai pris plaisir à découvrir cet univers. Univers qui n'est pas aussi richement décrit et détaillé qu'on le souhaiterait, cela en est frustrant mais là n'est pas l'essentiel, là n'est pas le propos car à l'image de son héros qui ne s'embarrasse pas de sentiments, l'histoire ne s'embarrasse pas de fioritures.
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Thongor à la fin des Temps

Lin Carter continue à recycler les personnages de ses prédécesseurs (Conan et John Carter) et ceux des mythes dans son héros barbare Thongor.Or , il est patent qu’il n’est de héros sans une visite au pays des morts ( Ulysse, Gilgamesh, Orphée …) c’est donc cette tache qui est proposée au barbare valkarthien . A la base le dernier des magiciens noirs ( comme le chiendent ,on a beau arracher ça repousse, les méchants sorciers en pluselui là se nomme Mardanax nom qui fait plus penser à des illusionistes de Las Végas qu’à un adepte des dieux noirs) qui l’expédie dans l’au-delà . Donc , il va affronter des périls (un peu faiblards à mon goût , avec un jeu des énigmes type sphinx ) pendant que sur Terre son empire est soumis à une attaque en règle . Evidemment il ressuscite en temps voulu faire du steak haché avec ses ennemis.
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Thongor contre les dieux

On retrouve le musculeux Thongor nanti d’un empire et d’une famille C’est à celle-ci que s’attaquent ses ennemis toujours virulents en enlevant la Princesse . La construction est toujours la même Thongor poursuit son ennemi mais Carter complexifie (un peu) son récit en déployant plusieurs arcs narratifs qui finissent par se rejoindre pour le quasi miraculeux happy end. Sinon la psychologie des personnages tient toujours sur un timbre poste et les emprunts sont nombreux : ainsi à la couleur près (de vert à bleu) les Nomades sont des clones des Martiens verts de Rice Burrough dans le cycle de Mars et l’onomastique est aussi emprunté au même auteur.
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Poséidonis : Contes

Un recueil de nouvelles "dark fantasy" époustouflant de par sa qualité littéraire, l'imagination débordante de Clark Ashton Smith, son style à la sombre beauté. Il n'y a pas de mot pour décrire le plaisir que l'on ressent dans cette plongée vertigineuse. Ici, on se retrouve en Atlantide, en Lémurie, on se perd dans des iles inconnues, on croise la Gorgone en plein 20e siècle ou on affronte de séduisantes sorcières. Légendes, magie, monstres... Smith met en scène avec brio le folklore de l'imaginaire des profondeurs. Ses phrases sont ciselées avec l'art du maître orfèvre, ses intrigue, denses, savent surprendre même avec des éléments que l'on connaît déjà.

Bref, pour qui aime les auteurs, les vrais, ceux qui savent écrire... ceux qui se délectent des ténèbres et de l'abîme... et ceux qui désirent renouer avec les textes fondateurs de l'Imaginaire contemporain, ce recueil est pour vous.

Moi, je le lis et relis régulièrement avec un plaisir sans cesse recommencé.
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Conan le barbare

Après le décès de Robert E. Howard le créateur de Conan, Lyon Sprague de Camp est devenu le plus connu de tous les successeurs qui se sont emparés avec plus ou moins de réussite du personnage emblématique de l’heroic fantasy. L’héritier autoproclamé a même réécrit en profondeur certains textes originaux. On peut rester perplexe sur l’honnêteté du procédé. Cependant, « Conan le barbare » écrit avec Lin Carter et publié en 1981, ne comprend pas de textes de Robert E. Howard. Ce roman a inspiré le célèbre film de John Milius avec Arnold Schwarzenegger. On y suit Conan le Cimmérien dans sa quête initiatique pour retrouver l’épée jadis forgée par son père. Accompagné d’un guerrier rusé et d’une belle voleuse, il lui faut vaincre des Trolls et les serviteurs fanatiques de l’infâme culte de Seth, le dieu-serpent. Je me suis laissé porter par l’aventure sans effort d’autant qu'elle est plutôt bien écrite. De quoi donner envie de se plonger dans les nouvelles de Robert E. Howard écrites dans les années 30.







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Conan l'aquilonien

Un roman en plusieurs histoires écrit par Sprague de Camp depuis un récit de Robert Howard.

Alors il est amusant de remarque que de Camp a largement milité pour populariser Conan en réécrivant ses aventures suivant un axe "d'époque" qui a bien mal vieilli. D'un côté il n'est pas sur que ces aventures nous seraient parvenues sans lui mais de l'autre il a largement modifié l'idée même de Conan que se faisait Howard, j'ai un point de vue plutôt partagé sur cet auteur.



Toujours est il que ce roman présente une série d'histoire mettant en scène Conan contre Thot Amon, son ennemi le plus dur et il s'agit d'un magicien en plus. On se trouve à la fin de la vie de Conan ici alors qu'il est un roi vieillissant accompagné de son fils Conn et va résoudre une intrigue initiée vers le début de ses aventures.

Globalement c'est moyen. Ca se lit bien mais l'impression qui se dégage de ces aventures est que ça passe trop vite pour être réussit. Les combats sont bâclés, la narration va au plus pressé sans prendre le temps de placer le cadre de l'action et souvent c'est assez pauvre. On sent la patte de l'auteur là où Howard aurait écrit un récit probablement plus pondéré ( et sans les gros muscles luisants de Conan ).



Un livre sympa donc ( et assez court, 180 pages écrit gros en édition de poche ) mais assez dispensable. En dehors des fans de Conan qui accepteraient l'écriture de Sprague de Camp ça ne devrait pas intéresser grand monde.
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