A peine reçu le coffret , que je l ai terminé !!
Avec une première de couverture aussi alléchante j avais deja été seduite !
Un excellent moment dans le nord ( d ou je suis native) et avec des expressions en patois on est vite dans le bain !
Les personnages sont tellement attachants que l'on vivrait bien a leur coté . les octogénaires sont "fameuses" comme nous disons si bien dans le NORD
Les secrets de famille de Rosie , élevée par sa mémé Leontine nous amènent a tourner les pages sans s'arrêter !
Spéciale mention pour les citations en début de chaque chapitre
Une lecture tres fraiche , très gourmande, très fluide .
Bravo pour ce premier roman que je recommande et c est même une super idée lecture pour vos ADO
Et j 'espère retrouver ces adorables personnages ...
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Mon avis
Je remercie Line SE de m'avoir envoyé, en service de presse, son premier roman «Quand le rire sucre nos souvenirs » ainsi que pour la gentille dédicace qui m'a beaucoup touchée.
Lindsay LIETIN nous présente Rosie, son héroïne qui, à l'âge de 4 ans, a été abandonnée par ses parents et recueillie par Léontine et son époux Emile.
Les souvenirs troubles de son enfance et de son adolescence reviennent à la mémoire de Rosie qui, depuis le départ de Léontine 20 ans auparavant, a pris sa vie en mains et a créé un salon de thé dans le Nord de la France.
Après une chute accidentelle, Rosie est dans l'obligation de se ménager un peu et grâce à ses deux amies âgées de plus de quatre-vingts ans, Mauricette et Fernande, elle parvient à poursuivre son activité professionnelle malgré son handicap.
Elle prend alors conscience que sa « mémé » lui manque....Pourquoi Léontine est-elle partie du jour en lendemain sans jamais donner de nouvelles ? Où peut-elle se trouver ?
Lindsay LIETIN met en scène avec humour des personnages attachants et hauts en couleur qui ont plus d'un tour dans leur sac. Nous assistons aux efforts de ces deux acolytes pour aider Rosie, avec leurs méthodes d'un autre temps certes, mais avec leur coeur et leur joie de vivre. Tout ce petit monde évolue dans la bonne humeur et les dialogues en patois donnent tout de suite le ton. Fort heureusement, l'auteure a eu la bonne idée de traduire certaines phrases en bas de pages.
Nous suivons donc Rosie dans la quête de ses origines et à la recherche de sa « Mémé ».
Beaucoup d'émotions sont palpables à la lecture de cet ouvrage : on sourit, on rit et l'on ne peut qu'être touché face aux incertitudes, aux espoirs de Rosie. A j'oubliais : on salive beaucoup devant les bons gâteaux réalisés par ces pâtissières fort originales !
J'ai bien aimé ce « feel-good », empli d'espoir, frais et léger que j'ai lu d'une traite et avec lequel j'ai passé un bon moment de détente et de lecture.
Voici un premier roman prometteur qui fait du bien au coeur en cette période si anxiogène et qui séduira les amateurs du genre.
Page FB : https://www.facebook.com/joellemarchal74/
Blog : leslecturesdecerise74.over-blog.com
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J'ai adoré me plonger dans la tranche de vie de Rosie, héroïne pétillante et tellement attachante du Nord de la France.
C'était tout à fait le genre de lecture légère offrant détente et fraîcheur, que je recherchais. Sans être superficielle pour autant, elle permet un moment d'évasion délicieux, rempli d'émotions et sans prise de tête. En somme, c'est un roman émouvant qui nous fait du bien !
Outre quelques coquilles et répétitions restantes, la plume se montre très agréable. J'ai adoré cette fluidité naturelle, l'écriture accessible et plaisante que Lindsay nous sert ici est totalement adaptée au genre du feel-good. Mon seul petit reproche irait au temps du récit qui n'est pas vraiment fixé et à l'utilisation du passé simple qui m'a un peu dérangée surtout lorsqu'il est mêlé au passé composé et au présent. Mais tout cela n'entache en rien notre plaisir livresque et notre envie de dévorer les pages les unes après les autres, surtout qu'elles sont judicieusement parsemées de gourmandises en tout genre, miam !
Le cadre m'a forcément beaucoup plu, sans entrer dans les clichés "ch'ti" outranciers, elle nous fait voyager dans le Nord, surtout grâce aux mamies et à leur langage bien particulier. On découvre alors le sourire aux lèvres les coutumes et les expressions nordistes. J'ai adoré car je me suis rappelé ma propre mémé et son patois. Ça m'a vraiment plongée dans mon enfance avec une nostalgie toute particulière.
Lindsay a une belle manière d'amener humour et traits d'esprit, je me suis régalée des péripéties et des situations parfois cocasses. J'ai souri, j'ai ri, j'ai été saisie de plein d'émotions différentes en découvrant cette belle histoire.
J'ai particulièrement aimé le mystère autour du passé de Rosie, sa quête et sa façon d'aborder son existence. Ça apporte un véritable intérêt à l'intrigue. Ce n'est jamais creux, encore moins gnangnan. Au contraire, c'est très prenant et ça déclenche des réflexions sur le bonheur et nos façons de vivre, pour ne jamais rien regretter et voir l'avenir comme une nouvelle chance.
Avec ce roman authentique on ne peut plus vrai, Lindsay sucre notre vie d'émotions, pour en effacer toute son amertume. C'est un livre à découvrir de toute urgence, il réchauffe l'esprit et nourrit le cœur (ou l'inverse ?) comme un bon gros bout de tarte au chuc trempé dans du café à la chicorée !
Bonne dégustation dans le merveilleux salon de thé aux mille saveurs de bonheur de Rosie.
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Toujours en mode tri dans mes vieilleries (livres et journaux), et n'ayant aucun a priori, j'attaque une petite collection de "Modes et travaux"... et voilà ti pas que je trouve ça dans la rubrique : « Que lire » Modes & Travaux n° 971 d'octobre 1981 de Dominique Fabre :
« L’empire du milieu » par Hervé Hamon et Patrick Rotman Editions Ramsay
« Un pavé dans la mare des lettres » tel pourrait être le sous-titre de cet ouvrage explosif dont on parlait déjà avant sa parution et que plusieurs éditeurs se sont refusés à publier de peur de se mettre mal avec « la terre entière »… C’est-à-dire moins de deux cents personnes : tout ce qui compte dans la critique et les jurys littéraires, à la radio et à la télévision qui sont aux mains de ces privilégiés auxquels revient l’honneur de faire l’opinion. Ce qui ne serait rien si chacun (ou presque) ne cumulait les activités et ne portait plusieurs casquettes.
Ainsi, 99 % des critiques sont également romanciers. D’où les inévitables échanges de bons procédés qui aboutiraient à la plus formidable imposture que l’on puisse imaginer s’il ne se trouvait (parfois rarement) que l’on puisse être critique littéraire, membre influent d’un jury et romancier de talent. Tiercé qui, à défaut de le blanchir tout à fait suffit à sauver l’honneur du petit milieu qu’Hamon et Rotman ont passé au peigne fin.
Intéressée et curieuse, je fouine, je fouine, en vain, rien, chez Hamon, rien chez Rotman, rien chez l'éditeur.... mystère et boule de gomme... ce bouquin s'est volatilisé...
Farhenheit 451 a dû passer par là ou je ne m'y connais pas ... avouez que c'est bête quand même ... dommage je crois que ça m'aurait bien plu ...
bof de toute façon on n'est pas dupe pas vrai ?
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