Citations de Liv Fox (69)
L'amour n'est pas une question de raison, mais la raison peut comprendre l'amour.
Il était temps qu'elle cesse de lutter contre les murmures de son propre cœur.
Finalement, un quiproquo n'était qu'une pierre sur un chemin, un obstacle parmi tant d'autres, et rien que le destin n'était en mesure d'éloigner pour deux âmes sœurs se trouvent et se mêlent.
L’amour est une chose complexe et alors que certaines personnes vont se haïr toute la vie, d’autres s’aimeront avec une passion similaire.
Je l’ai connue il y a fort longtemps comme vous l’avez souligné, et je suis ainsi le mieux placé pour affirmer que Lady Selina Heathfield est une âme perfide, vile et mesquine qui ne rechigne pas à utiliser mensonges et trahisons pour arriver à ses fins ou pour son simple divertissement. En ces conditions, vous comprendrez que je ne peux, ni ne veux, lier ma vie à une telle personne… »
Parfois, les choses sont si compliquées que ce qui nous paraît le mieux à faire est en parfait désaccord avec ce qui nous murmure notre cœur.
Parfois, les plus belles choses sont le résultat d'une situation qu'on croyait désagréable.
« James Covington est insupportable, il est hors de question que je l’épouse ! »
« La proposition de Lord Williams donnait peut-être l’impression de ne présenter que des avantages, mais Alexander, lui, y voyait la fin de son monde tel qu’il l’avait toujours connu. »
Qu'importe s'ils me trouvent à leur goût, les perles ne sont jamais un achat déraisonnable.
« Séduire le Roi n’est pourtant pas ce que j’ai en tête. Bien sûr, comme toutes les petites filles de ce Royaume, j’ai rêvé un jour de rencontrer un Prince qui m’emmènerait vivre un conte de fées. Il me prendrait dans ses bras, m’aiderait à m’installer sur son cheval blanc et nous partirions tous deux vers une contrée nouvelle, le soleil réchauffant nos dos d’une douce chaleur. Toutefois, la rumeur annonçant que le Roi Arnald désirait choisir une épouse a réveillé de brûlants désirs dans le cœur de nombreuses femmes. Parce qu’il n’est pas seulement beau à tomber, il est aussi profondément bon et juste. »
C’était l’un des dons de Bella, quoi qu’elle fasse et où qu’elle soit, elle parvenait toujours à dire quelque chose qui agaçait James au plus haut point. A ce niveau d’efficacité, il s’agissait d’un cadeau divin.
« La perspective d’assister à un repas avec son ancien prétendant ne la réjouissait pas particulièrement. Quant à ce nouvel Écossais fraîchement arrivé à Londres… Amanda comptait bien être polie, mais garder ses distances. »
« On peut dire que vous maîtrisez l’art de vous mettre dans des situations compliquées, vous, les Maclean. »
« Quand on avait déjà connu le grand amour et qu’on l’avait perdu, la vie en offrait-elle un second ? Elle n’en était pas si sûre. »
« Tout ce qu’elle souhaitait, c’était oublier que son destin ne lui appartenait plus. »
Je ne peux pas revenir sur une promesse une fois que cette dernière a été donnée. Si je m’y abaissais, il ne faudrait pas longtemps avant que des rumeurs se répandent à mon propos, et ma réputation serait si entachée que tous mes investissements à venir seraient compromis.
Certains aimaient soutenir qu’une affection sincère pouvait naître entre deux êtres lorsque ces derniers se retrouvaient unis par les liens sacrés du mariage. Cependant, Andrew avait des doutes. De tout ce qu’il savait de sa promise, il ne conservait qu’une seule certitude : jamais elle ne cesserait de le détester.
Plus qu’une compagne de vie, une épouse était également l’une des personnes les plus proches d’un homme. Elle serait toujours dans les parages, jamais plus il ne pourrait vivre sa vie sans croiser son regard dédaigneux et il devrait à jamais faire une croix sur ses rêves d’union romantique.
Certes, c’était l’apanage des innocents d’aspirer à l’amour quand il était question du mariage, mais Andrew n’était pas de ceux qui voulaient convoler avec n’importe qui sous prétexte que la promise avait un quelconque avantage à offrir. La plupart des gentlemen cherchaient des fiancées aux dots conséquentes, mais Andrew avait suffisamment d’argent pour ne pas avoir besoin d’épouser une femme riche.
Épouser la fille d’un Comte n’était pas la plus indécente des offres qu’il avait reçues dans sa vie, mais… Il ne s’agissait pas de n’importe quelle femme. Lucy Devinan était un cauchemar, une terreur qu’Andrew n’avait pas envie de côtoyer, de voir ou d’entendre. L’épouser requerrait le plus horrible des sacrifices.