La très populaire saga des MacCoy de Alexiane Thill revient avec un quatrième tome : La biche et le limier !
Retrouvez l'ambiance unique de cette saga à la croisée de Game of Thrones et Outlander, mais à l'époque moderne !
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- Tu étais là, étendue sous mon corps, offerte. Et je ne voulais pas voir ce regard-là.
- Quel regard ?
- Celui qui me dévore, m'idéalise, me renvoie le reflet d'un être que je ne suis pas. Celui qui me hurles que tu m'aimes.
C’est en sonnant la retraite d’une bataille perdue d’avance que l’on gagne la guerre
[Clan MacCleod]
C'est lui que je voulais. Lui qui aurait dû être là.
Pas Ducan, pas athair, ni qui que ce soit d'autre.
"Mon" Caleb. Celui qui se meurt lorsqu'il me croit éteinte. Celui avec qui je lâche prise. Celui qui m'a donné assez de courage pour le braver. Assez de force pour affronter mon avenir encore flou, fondé sur les ruines d'un passé obscur.
Pour tes enfants, tu seras à ton tour un brouillon avant leur chef-d'œuvre.
On est chez soi quand on est auprès des gens que l’on chérit…
Il n'y a parfois rien de plus angoissant que le silence. Un silence pesant mais non moins éloquent, chargé d'un ressentiment qui oppresse. Un silence assourdissant, en fin de compte. Qui nous pousse à nous retrancher, à battre en retraite, les mains plaquées sur les oreilles, parce que même si rien n'est dit, tout hurle autour de nous.
- Je n'ai pas l'impression de perdre mon monde lorsqu'on m'annonce qu'elles ont frôlé la mort.
On croit souvent, à tort, que notre foyer est celui que l'on construit. Mais tu peux bâtir mille maisons dans ta vie, mille châteaux, si ton cœur ne s'y trouve pas, tu n'en feras pas un foyer.
J’avais déjà eu un aperçu de la silhouette d’Annabelle dans sa robe de bal rapidement déchirée, mais maintenant qu’elle se présente à moi vêtue comme n’importe quelle femme, les joues encore rosées par la chaleur de la douche et les tempes humides, je ne peux que déglutir. Elle paraît soudain… accessible, comme si un voile venait de tomber devant mes yeux pour me la montrer telle qu’elle est. Humaine. Femme. L’ange abandonne ses ailes, mais garde sa beauté et sa pureté.
J'ai voulu lire ce livre pendant tellement longtemps et je suis un peu déçue.
Déjà, je pensais que c'était une romance historique, comme le disait plusieurs review sur Goodreads. C'est une romance oui, mais pas historique. J'ai donc été un peu déçue mais je peux m'en prendre qu'à moi-même. J'ai eu beaucoup de mal avec le sexisme ambiant, qui lui est bien Historique. Il est dénoncé bien sûr, mais je n'ai trouvé aucun plaisir à lire ces échanges là.
Ensuite, j'ai eu beaucoup de mal avec Phèdre, le personnage principal qui dit je cite: "j'ai acquis un certain instinct de préservation", puis passe le livre à prendre toutes les mauvaises décisions possibles.
Pour finir, je ne prends aucun plaisir à lire des scènes de sexe où l'une des personnes concernées dit "non", "pas comme ça", ou "stop", même si elle consent plus loin après et dit que c'est ce qu'elle voulait.
Sur une note plus positive, l'histoire est intéressante et je pense lire la suite. L'écriture est vraiment belle, ce qui rend la lecture captivante, et certains personnages secondaires sont attachants (mais pas les deux principaux, pour ma part.)