Critiques de Lucy-France Dutremble (26)
Dès les premiers chapitres du roman, l’on sent que les personnages sont à une époque où l’Église est roi et maître au sein des villages. Les fréquentations durent plusieurs mois, les sorties avec chaperon, le vicaire qui va faire sa tournée dans les maisons pour s’assurer que les gens suivent les directives du curé, mais également la messe du dimanche obligatoire. Tout cela est bien intégré au récit et démontre à quel point les temps ont changé.
Je dois avouer que j’ai eu quelques difficultés d’adaptation au début de ma lecture. L’auteure a une plume analytique donc très détaillée et elle prend son temps pour faire la mise en place non seulement de ses personnages, mais également de l’environnement qui les entoure. Personnellement, j’ai senti certaines longueurs au début. N’empêche que l’auteure nous décrit à merveille les us et coutumes de l’époque!
Ce n’est que vers la moitié du roman que j’ai complètement adhéré à l’intrigue. Je me suis habituée à la plume de l’auteure et j’ai réussi à m’attacher à certains personnages dont celui de Marguerite. Il n’y a pas beaucoup d’actions et de rebondissements lors de la première moitié du roman, mais cela change au cours de la seconde moitié. J’ai pris plaisir à lire et à faire défiler les pages du roman car j’avais hâte de savoir ce qu’il allait arriver.
Finalement, je suis arrivée à la fin du roman et je dois dire que je suis quelque peu empressée de découvrir la suite des aventures de la famille Allaire. Plusieurs éléments sont restés en suspens et j’ai hâte de voir comment cela va se terminer! Je suis, moi-même, étonnée par cet empressement. Donc à suivre prochainement!
Lien : http://alapagedesuzie.blogsp..
Je dois avouer que j’ai eu quelques difficultés d’adaptation au début de ma lecture. L’auteure a une plume analytique donc très détaillée et elle prend son temps pour faire la mise en place non seulement de ses personnages, mais également de l’environnement qui les entoure. Personnellement, j’ai senti certaines longueurs au début. N’empêche que l’auteure nous décrit à merveille les us et coutumes de l’époque!
Ce n’est que vers la moitié du roman que j’ai complètement adhéré à l’intrigue. Je me suis habituée à la plume de l’auteure et j’ai réussi à m’attacher à certains personnages dont celui de Marguerite. Il n’y a pas beaucoup d’actions et de rebondissements lors de la première moitié du roman, mais cela change au cours de la seconde moitié. J’ai pris plaisir à lire et à faire défiler les pages du roman car j’avais hâte de savoir ce qu’il allait arriver.
Finalement, je suis arrivée à la fin du roman et je dois dire que je suis quelque peu empressée de découvrir la suite des aventures de la famille Allaire. Plusieurs éléments sont restés en suspens et j’ai hâte de voir comment cela va se terminer! Je suis, moi-même, étonnée par cet empressement. Donc à suivre prochainement!
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Tout comme lors du premier roman que j’ai lu de cette auteure, je ressors avec un avis quelque peu mitigée.
En premier lieu, j’ai vraiment apprécié les personnages qu’il y a au sein de ce roman. L’auteure a su créer des personnages attachants et imparfaits. J’aime bien lorsque les auteurs n’ont pas peur de rendre leurs protagonistes tels qu’ils devraient être dans la réalité.
Par contre, j’ai eu quelques difficultés à adhérer au récit en raison de la plume de l’auteure qui, selon moi, manquait de fluidité. Il y a certains éléments historiques que l’auteure insère, ici et là, et qui surcharge un peu le texte. Ce n’est pas que je n’apprécie pas la mise en contexte de l’époque, loin de là! Mais c’est plutôt la façon d’intégrer le tout qui m’a quelque peu perturbé.
Toujours est-il que j’ai bien apprécié l’intrigue. L’auteure a su créer une petite aura de mystère autour de ses personnages. Tous ces secrets qui entourent Joseph-Ovide et Jean-Claude rendent le roman plus captivant. Il est également intéressant de constater l’impact de l’industrialisation sur les métiers.
Au cours de ce roman, j’ai pu également constater à quel point la religion était omniprésente au sein de la société. Tout comme lors de ma précédente lecture, j’ai senti que cela prenait trop de place au sein du roman.
Au final, je ne peux pas dire que je n’ai vraiment pas apprécié lire ce roman puisque l’intrigue est intéressante, mais je n’ai pas non plus eu de coup de cœur.
Lien : http://alapagedesuzie.blogsp..
En premier lieu, j’ai vraiment apprécié les personnages qu’il y a au sein de ce roman. L’auteure a su créer des personnages attachants et imparfaits. J’aime bien lorsque les auteurs n’ont pas peur de rendre leurs protagonistes tels qu’ils devraient être dans la réalité.
Par contre, j’ai eu quelques difficultés à adhérer au récit en raison de la plume de l’auteure qui, selon moi, manquait de fluidité. Il y a certains éléments historiques que l’auteure insère, ici et là, et qui surcharge un peu le texte. Ce n’est pas que je n’apprécie pas la mise en contexte de l’époque, loin de là! Mais c’est plutôt la façon d’intégrer le tout qui m’a quelque peu perturbé.
Toujours est-il que j’ai bien apprécié l’intrigue. L’auteure a su créer une petite aura de mystère autour de ses personnages. Tous ces secrets qui entourent Joseph-Ovide et Jean-Claude rendent le roman plus captivant. Il est également intéressant de constater l’impact de l’industrialisation sur les métiers.
Au cours de ce roman, j’ai pu également constater à quel point la religion était omniprésente au sein de la société. Tout comme lors de ma précédente lecture, j’ai senti que cela prenait trop de place au sein du roman.
Au final, je ne peux pas dire que je n’ai vraiment pas apprécié lire ce roman puisque l’intrigue est intéressante, mais je n’ai pas non plus eu de coup de cœur.
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Je ressors de cette lecture avec un avis quelque peu mitigé et j'espère réussir à vous partager mes impressions avec justesse.
En premier lieu, je tiens à préciser que l'intrigue est intéressante et j'ai bien apprécié l'époque où se situe notre protagoniste. D'un côté nous pouvons suivre les personnages du village de Wickham et de l'autre, ceux de la grande ville de Drummondville. Bien intéressant de voir la différence entre ces deux endroits, à une époque où les déplacements n'étaient pas toujours aisés et où les conditions de vie étaient parfois limitées.
De plus, il est intéressant de voir l'évolution du personnage de Louis-Jean au travers des années. Il aura eu quelques épreuves à surmonter et le tout correspond bien à cette époque. Par contre, le personnage en lui-même m'a laissée plutôt froide. Je l'ai trouvé trop parfait, trop lisse. J'aurais bien aimé qu'il ait quelques faiblesses comme tout être humain.
Quant au style narratif et la plume de l'auteure, je dois avouer que j'ai eu parfois quelques difficultés à adhérer. Personnellement, j'ai trouvé que certains passages étaient trop détaillés. Surtout en ce qui concerne les éléments entourant la religion. Je comprends qu'à cette époque l'Église avait une très grande emprise sur la vie de ses paroissiens, mais cela m'a quelque peu dérangée et je ne crois pas que cela aurait brimé le récit qu'il y ait moins d'éléments à cet effet.
Dans l'ensemble, je crois que c'est un roman qui vise probablement un public tout à fait différent de la personne que je suis. N'empêche que le contexte historique et l'intrigue cadrait bien ensemble donc je suis certaine que les admiratrices de cette auteure auront beaucoup de plaisir à lire ce roman!
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En premier lieu, je tiens à préciser que l'intrigue est intéressante et j'ai bien apprécié l'époque où se situe notre protagoniste. D'un côté nous pouvons suivre les personnages du village de Wickham et de l'autre, ceux de la grande ville de Drummondville. Bien intéressant de voir la différence entre ces deux endroits, à une époque où les déplacements n'étaient pas toujours aisés et où les conditions de vie étaient parfois limitées.
De plus, il est intéressant de voir l'évolution du personnage de Louis-Jean au travers des années. Il aura eu quelques épreuves à surmonter et le tout correspond bien à cette époque. Par contre, le personnage en lui-même m'a laissée plutôt froide. Je l'ai trouvé trop parfait, trop lisse. J'aurais bien aimé qu'il ait quelques faiblesses comme tout être humain.
Quant au style narratif et la plume de l'auteure, je dois avouer que j'ai eu parfois quelques difficultés à adhérer. Personnellement, j'ai trouvé que certains passages étaient trop détaillés. Surtout en ce qui concerne les éléments entourant la religion. Je comprends qu'à cette époque l'Église avait une très grande emprise sur la vie de ses paroissiens, mais cela m'a quelque peu dérangée et je ne crois pas que cela aurait brimé le récit qu'il y ait moins d'éléments à cet effet.
Dans l'ensemble, je crois que c'est un roman qui vise probablement un public tout à fait différent de la personne que je suis. N'empêche que le contexte historique et l'intrigue cadrait bien ensemble donc je suis certaine que les admiratrices de cette auteure auront beaucoup de plaisir à lire ce roman!
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La vieille laide, premier roman de la Soreloise Lucy-France Dutremble
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 30 septembre 2008
Culture > Littérature
La Soreloise Lucy-France Dutremble peut maintenant revendiquer le statut d’auteure.
Un statut qu’elle se promet bien de garder puisque déjà elle est à peaufiner la suite de ce premier et qu’un deuxième est déjà complété.
Il y a une quinzaine, elle lançait, à la bibliothèque Le Survenant, en présence d’une centaine de parents et amis, cette première œuvre «La Vieille Laide» publiée aux Éditions JKA et disponible dans 143 librairies québécoises cette semaine, dont celles de Sorel-Tracy.
«Tout est allé très vite» dit-elle. «J’ai envoyé mon manuscrit et quelques jours après, on m’offrait de signer un contrat d’édition.»
Ainsi a-t-elle trouvé, après avoir exploré la peinture pendant une dizaine d’années, son mode d’expression privilégié. Et se consacre-t-elle désormais à l’écriture à plein temps, depuis 2006, elle qui a longtemps travaillé dans la restauration.
Aujourd’hui tout est propice à l’écriture, note-t-elle: ses deux enfants sont des adultes et son conjoint, Gérald Tremblay - qu’elle a épousé il y a 5 ans - l’encourage à nourrir cette pulsion d’écrire qui est sienne depuis longtemps. La jeune grand-maman qu’elle est a donc le temps et l’inspiration nécessaires. Et voila qu’une maison d’édition apprécie ce qu’elle fait et la publie!
«J’ai toujours aimé écrire. À l’école, ma matière préférée était le français. À la polyvalente, j’écrivais des poèmes.
À 16 ans, j’avais écrit un conte et mon prof lui avait donné une bonne note laissant toutefois entendre qu’il pensait que je l’avais copié. C’est là qu’il m’a dévoilé que je pouvais écrire…»
Une histoire inventée de toutes pièces
Troisième d’une famille de six filles, Lucy-France Dutremble a dit avoir surpris les siens avec la publication de ce livre : «C’est certain qu’on n’écrit pas comme on parle! On est seule devant une page et on a le temps de choisir chacun des mots qu’on y met. Quant au titre, il s’agit du surnom que son père adoptif avait donné à l’héroïne du roman.»
Ces mots qui racontent, elle les a si bien intégrés que, quand elle nous résume l’histoire de sa vieille laide, on a parfois l’impression qu’elle nous les lit. Et cette histoire, qui fait presque 300 pages, elle sait donner le goût de la lire, détails à l’appui, en quelques minutes!
Tout est inventé dans cette histoire de Marie-Anne Jolicoeur née à Louisville en 1943 mais vite donnée en adoption. Mais quand, adulte, elle vient vivre à Contrecœur, on reconnait l’environnement dans lequel elle évolue. Mais on peut difficilement imaginer les péripéties qu’elle y connaîtra.
Un second roman
Ainsi Mme Dutremble aime raconter des histoires, créer des personnages et les faire évoluer dans un milieu qui existe.
«Dans mon prochain roman, l’histoire se passe rue Royale – le boulevard Fiset d’aujourd’hui, où je suis née en 1955. J’ai pris la peine de fouiller archives et bottins téléphoniques de l’époque pour reconstituer exactement ce qu’était ce secteur de la ville entre les années 1960 et 1980, au moment où se déroule mon histoire. »
Mais pour le moment, place à la vieille laide!
Copyright © 2007 Tous droits réservés
Lien : http://monteregieweb.com/mai..
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 30 septembre 2008
Culture > Littérature
La Soreloise Lucy-France Dutremble peut maintenant revendiquer le statut d’auteure.
Un statut qu’elle se promet bien de garder puisque déjà elle est à peaufiner la suite de ce premier et qu’un deuxième est déjà complété.
Il y a une quinzaine, elle lançait, à la bibliothèque Le Survenant, en présence d’une centaine de parents et amis, cette première œuvre «La Vieille Laide» publiée aux Éditions JKA et disponible dans 143 librairies québécoises cette semaine, dont celles de Sorel-Tracy.
«Tout est allé très vite» dit-elle. «J’ai envoyé mon manuscrit et quelques jours après, on m’offrait de signer un contrat d’édition.»
Ainsi a-t-elle trouvé, après avoir exploré la peinture pendant une dizaine d’années, son mode d’expression privilégié. Et se consacre-t-elle désormais à l’écriture à plein temps, depuis 2006, elle qui a longtemps travaillé dans la restauration.
Aujourd’hui tout est propice à l’écriture, note-t-elle: ses deux enfants sont des adultes et son conjoint, Gérald Tremblay - qu’elle a épousé il y a 5 ans - l’encourage à nourrir cette pulsion d’écrire qui est sienne depuis longtemps. La jeune grand-maman qu’elle est a donc le temps et l’inspiration nécessaires. Et voila qu’une maison d’édition apprécie ce qu’elle fait et la publie!
«J’ai toujours aimé écrire. À l’école, ma matière préférée était le français. À la polyvalente, j’écrivais des poèmes.
À 16 ans, j’avais écrit un conte et mon prof lui avait donné une bonne note laissant toutefois entendre qu’il pensait que je l’avais copié. C’est là qu’il m’a dévoilé que je pouvais écrire…»
Une histoire inventée de toutes pièces
Troisième d’une famille de six filles, Lucy-France Dutremble a dit avoir surpris les siens avec la publication de ce livre : «C’est certain qu’on n’écrit pas comme on parle! On est seule devant une page et on a le temps de choisir chacun des mots qu’on y met. Quant au titre, il s’agit du surnom que son père adoptif avait donné à l’héroïne du roman.»
Ces mots qui racontent, elle les a si bien intégrés que, quand elle nous résume l’histoire de sa vieille laide, on a parfois l’impression qu’elle nous les lit. Et cette histoire, qui fait presque 300 pages, elle sait donner le goût de la lire, détails à l’appui, en quelques minutes!
Tout est inventé dans cette histoire de Marie-Anne Jolicoeur née à Louisville en 1943 mais vite donnée en adoption. Mais quand, adulte, elle vient vivre à Contrecœur, on reconnait l’environnement dans lequel elle évolue. Mais on peut difficilement imaginer les péripéties qu’elle y connaîtra.
Un second roman
Ainsi Mme Dutremble aime raconter des histoires, créer des personnages et les faire évoluer dans un milieu qui existe.
«Dans mon prochain roman, l’histoire se passe rue Royale – le boulevard Fiset d’aujourd’hui, où je suis née en 1955. J’ai pris la peine de fouiller archives et bottins téléphoniques de l’époque pour reconstituer exactement ce qu’était ce secteur de la ville entre les années 1960 et 1980, au moment où se déroule mon histoire. »
Mais pour le moment, place à la vieille laide!
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Lucy France Dutremble lance un nouveau livre, La rue Royale
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 15 septembre 2009
Culture > Littérature
La Sorelois Lucy France Dutremble est prolifique. Non seulement compte-t-elle à son actif deux tomes de La vieille laide dont le troisième et dernier est déjà entre les mains de l’éditeur. Mais voilà qu’elle lancera, le 22 septembre, dans une formule de 5 à 7 ouverte à tous, à la Brasserie Du Colisée, le premier tome de La rue Royale. Un roman qui se déroule dans Sorel même, sur la rue Royale – ancien nom du boulevard Fiset - où elle a grandi.
À l’aube de ce lancement, elle se dit excitée. «Car ce livre est mon premier bébé. Celui que j’avais écrit avant même La vieille laide, mais que je gardais dans mes tiroirs.» Elle se dit nerveuse aussi, elle qui est mal à l’aise de parler en public. Mais pour écrire, dit-elle, jamais elle ne connaît le syndrome de la page blanche.
Ce nouveau livre, résume-t-elle, raconte l’histoire de la famille Delormes. On est en 1962, à Sorel. «La ville est dynamique et prospère grâce aux usines qui percent le ciel et font vivre les familles de la région: la Québec Iron (QIT), la Celanese, la Marine Industries,… Tout va pour le mieux sur la rue Royale où habite la famille Delormes. Roger, fidèle et travaillant, aime sa femme comme aux premiers jours de son mariage. Angèle, quant à elle, est une mère juste et tendre. Sur leur union solide comme le roc, cependant, des destins moins heureux viennent se fracasser : Guylaine, la petite amie de classe de Rose Delormes, devient orpheline à six ans. Yolande est chassée de sa maison par un mari ivrogne et volage. Emma, la grand-mère, part dans le lointain Ontario afin de se recueillir, pour la toute première fois, sur la tombe de son mari. Que ce soit dans la cuisine familiale, au son des Beatles ou de la regrettée Édith Piaf, à Drummondville ou au chalet en bordure du Chenal du Moine où Roger déguste sa Dow en espérant attraper un brochet, se tissent entre les personnages des liens d’affection et de complicité. Au fil des saisons qui façonnent des décors tantôt doux, tantôt menaçants, La rue Royale donne vie à des personnages généreux, solidaires et authentiques» précise son éditeur, JKA, en quatrième couverture.
Ceux et celles qui ne pourront assister à ce lancement pourront rencontrer l’auteure en séance de signature, les 26 et 27 septembre à la Librairie Renaud Bray des Promenades de Sorel, entre 13 h 30 et 17 heures.
Copyright © 2007 Tous droits réservés
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 15 septembre 2009
Culture > Littérature
La Sorelois Lucy France Dutremble est prolifique. Non seulement compte-t-elle à son actif deux tomes de La vieille laide dont le troisième et dernier est déjà entre les mains de l’éditeur. Mais voilà qu’elle lancera, le 22 septembre, dans une formule de 5 à 7 ouverte à tous, à la Brasserie Du Colisée, le premier tome de La rue Royale. Un roman qui se déroule dans Sorel même, sur la rue Royale – ancien nom du boulevard Fiset - où elle a grandi.
À l’aube de ce lancement, elle se dit excitée. «Car ce livre est mon premier bébé. Celui que j’avais écrit avant même La vieille laide, mais que je gardais dans mes tiroirs.» Elle se dit nerveuse aussi, elle qui est mal à l’aise de parler en public. Mais pour écrire, dit-elle, jamais elle ne connaît le syndrome de la page blanche.
Ce nouveau livre, résume-t-elle, raconte l’histoire de la famille Delormes. On est en 1962, à Sorel. «La ville est dynamique et prospère grâce aux usines qui percent le ciel et font vivre les familles de la région: la Québec Iron (QIT), la Celanese, la Marine Industries,… Tout va pour le mieux sur la rue Royale où habite la famille Delormes. Roger, fidèle et travaillant, aime sa femme comme aux premiers jours de son mariage. Angèle, quant à elle, est une mère juste et tendre. Sur leur union solide comme le roc, cependant, des destins moins heureux viennent se fracasser : Guylaine, la petite amie de classe de Rose Delormes, devient orpheline à six ans. Yolande est chassée de sa maison par un mari ivrogne et volage. Emma, la grand-mère, part dans le lointain Ontario afin de se recueillir, pour la toute première fois, sur la tombe de son mari. Que ce soit dans la cuisine familiale, au son des Beatles ou de la regrettée Édith Piaf, à Drummondville ou au chalet en bordure du Chenal du Moine où Roger déguste sa Dow en espérant attraper un brochet, se tissent entre les personnages des liens d’affection et de complicité. Au fil des saisons qui façonnent des décors tantôt doux, tantôt menaçants, La rue Royale donne vie à des personnages généreux, solidaires et authentiques» précise son éditeur, JKA, en quatrième couverture.
Ceux et celles qui ne pourront assister à ce lancement pourront rencontrer l’auteure en séance de signature, les 26 et 27 septembre à la Librairie Renaud Bray des Promenades de Sorel, entre 13 h 30 et 17 heures.
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Je viens de refermer ce livre, et quelle belle histoire, que d'émotions nous vivons à travers ce livre. Quel coup de cœur pour moi ! Le talent de Lucy-France Dutremble, qui avec beaucoup d'habilité dans sa façon d'écrire, nous fait ressentir plein de sentiments tout au long de la lecture de ses romans, et celui-ci ne fait pas exception.
En lisant le résumé, nous savons qu'il va se passer quelque chose, mais on ne sait pas quoi, même si on ressent assez tôt dans la lecture que se sera important.
Rose-May, personnage que j'ai adoré, attachante sans bon sens, on ne lui veut que du bien et on souhaite tellement de tout cœur que sa rencontre avec Jacques, lui apportera le bonheur tant mérité.
Alors que le tout commence tout doucement, mettant l'emphase sur Rose-May, sa famille et son amie Flora, c'est le drame, cette dernière disparaît. En passant disons que Flora, n'est pas de tout repos, un caractère et une attitude assez particuliers, mais elle aussi, est attachante à sa façon. Quand elle est retrouvée, commence alors une partie pas facile à vivre ni pour elle, ni pour sa famille et surtout pas pour Rose-May. Je n'en dirai pas plus, pour ne pas gâcher votre lecture!
Quels beaux souvenirs l'auteure a évoqu pour moi, musique, festival Woodstock, et bien d'autres qui m'ont vraiment fait chaud au cœur.
Lucy-France, à travers les lignes de son roman effleure plusieurs sujets, séparation, maladie d'Alzheimer, couples, deuils, famille, la violence conjugale et les effets si néfastes de la drogue, LSD en autre, et bien d'autres.
Encore une fois, elle nous fait sentir comme si nous vivions à Labelle, entourée de toutes ces personnes. Lucy-France, a ce précieux don, elle nous fait vraiment ''vivre'' l'histoire qu'elle nous raconte, elle nous fait ressentir les émotions et les sentiments des ‘’gens du livre’’. Elle m'a fait rire, mais elle m'a aussi fait pleurer. Dans la deuxième partie de livre, disons que j'ai pleuré avec Rose-May et avec Flora. J'ai ressenti l'inquiétude de Rita, face à Urgel.
Et puis, en dernière partie de cette lecture, un dénouement que nous n'attendons vraiment pas, et puis là, et bien, je vous mets au défi de refermer le livre sans l'avoir terminé, moi de mon côté, j'en fus incapable, donc une courte nuit de sommeil pour moi.
Lucy-France Dutremble, encore une fois, bravo, pour cet excellent roman, rempli de sentiments et d'émotions de toutes sortes, j'aurais continué encore et encore, ma lecture sur Rose-May, Jacques, Flora et tous les autres, et comme le dit si bien le résumé, je ne suis pas prête d'oublier cette histoire ! Merci à toi, pour cette superbe lecture, qui a plusieurs moments, a fait chaviré mon coeur ! Un roman à lire sans aucune hésitation!
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
En lisant le résumé, nous savons qu'il va se passer quelque chose, mais on ne sait pas quoi, même si on ressent assez tôt dans la lecture que se sera important.
Rose-May, personnage que j'ai adoré, attachante sans bon sens, on ne lui veut que du bien et on souhaite tellement de tout cœur que sa rencontre avec Jacques, lui apportera le bonheur tant mérité.
Alors que le tout commence tout doucement, mettant l'emphase sur Rose-May, sa famille et son amie Flora, c'est le drame, cette dernière disparaît. En passant disons que Flora, n'est pas de tout repos, un caractère et une attitude assez particuliers, mais elle aussi, est attachante à sa façon. Quand elle est retrouvée, commence alors une partie pas facile à vivre ni pour elle, ni pour sa famille et surtout pas pour Rose-May. Je n'en dirai pas plus, pour ne pas gâcher votre lecture!
Quels beaux souvenirs l'auteure a évoqu pour moi, musique, festival Woodstock, et bien d'autres qui m'ont vraiment fait chaud au cœur.
Lucy-France, à travers les lignes de son roman effleure plusieurs sujets, séparation, maladie d'Alzheimer, couples, deuils, famille, la violence conjugale et les effets si néfastes de la drogue, LSD en autre, et bien d'autres.
Encore une fois, elle nous fait sentir comme si nous vivions à Labelle, entourée de toutes ces personnes. Lucy-France, a ce précieux don, elle nous fait vraiment ''vivre'' l'histoire qu'elle nous raconte, elle nous fait ressentir les émotions et les sentiments des ‘’gens du livre’’. Elle m'a fait rire, mais elle m'a aussi fait pleurer. Dans la deuxième partie de livre, disons que j'ai pleuré avec Rose-May et avec Flora. J'ai ressenti l'inquiétude de Rita, face à Urgel.
Et puis, en dernière partie de cette lecture, un dénouement que nous n'attendons vraiment pas, et puis là, et bien, je vous mets au défi de refermer le livre sans l'avoir terminé, moi de mon côté, j'en fus incapable, donc une courte nuit de sommeil pour moi.
Lucy-France Dutremble, encore une fois, bravo, pour cet excellent roman, rempli de sentiments et d'émotions de toutes sortes, j'aurais continué encore et encore, ma lecture sur Rose-May, Jacques, Flora et tous les autres, et comme le dit si bien le résumé, je ne suis pas prête d'oublier cette histoire ! Merci à toi, pour cette superbe lecture, qui a plusieurs moments, a fait chaviré mon coeur ! Un roman à lire sans aucune hésitation!
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. Meilleur vendeur dans la semaine du 17 mai 2009
www.prologue.ca, section Meilleurs Vendeurs
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Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥
Je dois d’abord vous avouer que j’avais extrêmement hâte de découvrir ce roman qui parle de la ville de St-Ours, un lieu que je connais. Un roman historique bâti avec les critères que l’on connaît bien, c'est-à-dire nous faire découvrir la vie de nos ancêtres. Nous commençons en 1932 et nous allons suivre plusieurs générations de la famille Allaire, donc on doit se concentrer sur les noms et leur rôle. Marguerite est la femme de l’éclusier et la fille de Wilbrod et Gracia, ceux-ci eurent trois autres enfants Julien-Charles, Marcel et Jules. Chacun aura son lot de problèmes, mais contrairement à ce que nous sommes habitués, l’auteure est réaliste dans les faits. On va rencontrer l’alcoolique, l’infidèle, le voleur et l'itinérant, certains vont être frappé par la maladie, d'autres ont des secrets de famille, bref du quotidien dans une belle grande famille d’agriculteurs. Ce qui est intéressant dans cette duologie, c’est qu’on ne se noie pas dans le malheur, le bonheur est omniprésent et le lien familial est au premier plan. Le tempo est rapide, on ne s’attarde pas sur un cas en particulier, ça roule vite, bien que l’auteure aime particulièrement mettre du détail, c’est d’autant plus plaisant, puisqu’on imagine le Richelieu et la ville de St-Ours comme si nous y étions. J’ai aimé, dans la lecture, l’évolution que les personnages vivent en découvrant la lumière au bout des doigts, l’eau courante, et même le téléphone. On n'oublie pas que les curés à cette période contrôlaient d’une main juste ses fidèles citoyens, mais il ne faut pas oublier qu’eux aussi n’étaient pas parfait. Je vous invite à découvrir la famille Allaire de génération en génération, ils nous font vivre de belles émotions et nous nous attachons à eux. Une histoire de vie plaisante à lire comme Lucy-France Dutremble sait très bien y faire, elle qui a une plume gracieuse qui nous amène à découvrir la vie de nos ancêtres.
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Je dois d’abord vous avouer que j’avais extrêmement hâte de découvrir ce roman qui parle de la ville de St-Ours, un lieu que je connais. Un roman historique bâti avec les critères que l’on connaît bien, c'est-à-dire nous faire découvrir la vie de nos ancêtres. Nous commençons en 1932 et nous allons suivre plusieurs générations de la famille Allaire, donc on doit se concentrer sur les noms et leur rôle. Marguerite est la femme de l’éclusier et la fille de Wilbrod et Gracia, ceux-ci eurent trois autres enfants Julien-Charles, Marcel et Jules. Chacun aura son lot de problèmes, mais contrairement à ce que nous sommes habitués, l’auteure est réaliste dans les faits. On va rencontrer l’alcoolique, l’infidèle, le voleur et l'itinérant, certains vont être frappé par la maladie, d'autres ont des secrets de famille, bref du quotidien dans une belle grande famille d’agriculteurs. Ce qui est intéressant dans cette duologie, c’est qu’on ne se noie pas dans le malheur, le bonheur est omniprésent et le lien familial est au premier plan. Le tempo est rapide, on ne s’attarde pas sur un cas en particulier, ça roule vite, bien que l’auteure aime particulièrement mettre du détail, c’est d’autant plus plaisant, puisqu’on imagine le Richelieu et la ville de St-Ours comme si nous y étions. J’ai aimé, dans la lecture, l’évolution que les personnages vivent en découvrant la lumière au bout des doigts, l’eau courante, et même le téléphone. On n'oublie pas que les curés à cette période contrôlaient d’une main juste ses fidèles citoyens, mais il ne faut pas oublier qu’eux aussi n’étaient pas parfait. Je vous invite à découvrir la famille Allaire de génération en génération, ils nous font vivre de belles émotions et nous nous attachons à eux. Une histoire de vie plaisante à lire comme Lucy-France Dutremble sait très bien y faire, elle qui a une plume gracieuse qui nous amène à découvrir la vie de nos ancêtres.
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Le Coconut Pizza, anciennement connu sous le nom de Chez Ti-Phonse patates frites, est un restaurant appartenant à Marielle Bellavance et à son défunt mari Gracien. Pour autant, malgré le décès de ce dernier, la vie continue son cours et nous allons pouvoir aller à la rencontre de la famille de Marielle (ses frères, ses enfants…) mais aussi des employés du Coconut Pizza et tout le reste de son entourage. Et ma foi ! Ils sont plutôt attachants.
Dans ce roman, nous découvrons leur vie à tous, avec ses hauts et ses bas, entre histoires d’amour, de séparation et même de tromperies et de malentendus... C’est sans compter Mémère n’a pas la langue dans sa poche et nous offre un bel exemple de parler québécois (du moins plus que les autres…) et apporte du piment au récit.
Le panel de personnages est d’ailleurs un bel exemple de brassage culturelle, si certains personnages sont bel et bien québécois, d’autres sont d’origine grecque mais québécois d’adoption (et de cœur !) et nous rencontrons même des Anglais et des Français ! Comme quoi la petite municipalité de Saint-Jean-de-Matha est très loin d’être inanimée !
Il ne s’agit pas d’un coup de cœur mais je garderai un bon souvenir de cette lecture. Ce petit feel-good est parfait pour se détendre peu importe la saison, bien que me concernant ce fut sous un plaid avec une petite tasse de thé voire plus…
Dans ce roman, nous découvrons leur vie à tous, avec ses hauts et ses bas, entre histoires d’amour, de séparation et même de tromperies et de malentendus... C’est sans compter Mémère n’a pas la langue dans sa poche et nous offre un bel exemple de parler québécois (du moins plus que les autres…) et apporte du piment au récit.
Le panel de personnages est d’ailleurs un bel exemple de brassage culturelle, si certains personnages sont bel et bien québécois, d’autres sont d’origine grecque mais québécois d’adoption (et de cœur !) et nous rencontrons même des Anglais et des Français ! Comme quoi la petite municipalité de Saint-Jean-de-Matha est très loin d’être inanimée !
Il ne s’agit pas d’un coup de cœur mais je garderai un bon souvenir de cette lecture. Ce petit feel-good est parfait pour se détendre peu importe la saison, bien que me concernant ce fut sous un plaid avec une petite tasse de thé voire plus…
Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!
Une fois de plus, un coup de cœur pour un roman de Lucy-France Dutremble, est-ce une surprise ? Non vraiment pas !
Dès le début de la lecture, on est embarqué très solidement dans l'histoire de ces 2 familles avec lesquelles on partagera le quotidien, bonheur, malheur, décès, naissance, tout y est, et on a vraiment l'impression d'être sur place dans ce village québécois.
Les deux familles se fréquentent, les chefs de famille, l'un est forgeron, l'autre agriculteur. Plusieurs générations composent ces familles également.
Lors d'une promenade, les Maheu, Joseph-Ovide et sa femme Marie-Alice, alors qu'ils font une pause, trouvent un bébé abandonné. Il n'en faut pas plus pour que le cœur de Marie-Alice se mette à battre pour cette petite fille à qui elle a déjà donné un nom, Lina. Mais ça ne se fait pas comme ça, ils doivent remettre l'enfant aux services sociaux et ils feront une demande d'adoption en bonne et due forme pour adopter la petite.
Cette histoire de bébé n'est qu'une partie de l'histoire, parce qu'il y a tant de choses qui s'y passent, que c'est presque impossible de toutes les nommer.
Adèle, qui commettra un geste irréparable poussée à bout par les agissements de son mari Jean-Claude.
Sébastien ce jeune, qui lui aussi, poussé à bout parce qu'il se sent exclu de la famille.
Le patriarche, qui ne veut qu'une chose aller rejoindre sa femme.
C'est une histoire de famille, des plus vieux aux plus jeunes, ils viennent chercher notre cœur, certains personnages, on les aime un peu moins, et je crois bien que j'aurais aimé en brasser quelques-uns, mais tous prennent une grande place dans notre cœur.
J'ai beaucoup aimé plusieurs expressions typiques des gens de la campagne et de ces années-là, j'avais l'impression d'entendre mes grands-parents, de reconnaître leurs façons de parler, et ça fait chaud au cœur.
À plusieurs reprises, mes émotions étaient au summum. Il m'est arrivé d'avoir la grosse boule dans la gorge et les larmes aux yeux. Mais à d'autres moments, un petit sourire, une petite phrase qui m'a fait rire, mais c'est ça la vie n'est ce pas ? Un mélange de rires, de larmes, d'émotions. La tristesse de voir partir ceux qu'on aime, et la joie avec la naissance d'un nouveau bébé ou d'un nouvel amour. Parce que la forge des Maheu, et bien oui, c'est tout simplement la vie.
Lucy-France Dutremble a encore une fois réussi à nous offrir un roman touchant, émouvant, vibrant d'émotions, un roman que l'on ne veut pas voir se terminer, parce qu'on voudrait rester encore et encore avec ces gens qui, au fil des pages, sont devenus un peu notre famille.
Des descriptions qui nous amènent dans cette belle région du Québec, des personnages colorés, typiques des gens du Québec, et surtout, des rebondissements qui se présentent et qui nous font dire : ''bien voyons donc''. Oui Lucy-France Dutremble et bien, c'est tout ça, et c'est la raison pourquoi, c'est si souvent un coup de cœur quand je lis ces romans !
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
Une fois de plus, un coup de cœur pour un roman de Lucy-France Dutremble, est-ce une surprise ? Non vraiment pas !
Dès le début de la lecture, on est embarqué très solidement dans l'histoire de ces 2 familles avec lesquelles on partagera le quotidien, bonheur, malheur, décès, naissance, tout y est, et on a vraiment l'impression d'être sur place dans ce village québécois.
Les deux familles se fréquentent, les chefs de famille, l'un est forgeron, l'autre agriculteur. Plusieurs générations composent ces familles également.
Lors d'une promenade, les Maheu, Joseph-Ovide et sa femme Marie-Alice, alors qu'ils font une pause, trouvent un bébé abandonné. Il n'en faut pas plus pour que le cœur de Marie-Alice se mette à battre pour cette petite fille à qui elle a déjà donné un nom, Lina. Mais ça ne se fait pas comme ça, ils doivent remettre l'enfant aux services sociaux et ils feront une demande d'adoption en bonne et due forme pour adopter la petite.
Cette histoire de bébé n'est qu'une partie de l'histoire, parce qu'il y a tant de choses qui s'y passent, que c'est presque impossible de toutes les nommer.
Adèle, qui commettra un geste irréparable poussée à bout par les agissements de son mari Jean-Claude.
Sébastien ce jeune, qui lui aussi, poussé à bout parce qu'il se sent exclu de la famille.
Le patriarche, qui ne veut qu'une chose aller rejoindre sa femme.
C'est une histoire de famille, des plus vieux aux plus jeunes, ils viennent chercher notre cœur, certains personnages, on les aime un peu moins, et je crois bien que j'aurais aimé en brasser quelques-uns, mais tous prennent une grande place dans notre cœur.
J'ai beaucoup aimé plusieurs expressions typiques des gens de la campagne et de ces années-là, j'avais l'impression d'entendre mes grands-parents, de reconnaître leurs façons de parler, et ça fait chaud au cœur.
À plusieurs reprises, mes émotions étaient au summum. Il m'est arrivé d'avoir la grosse boule dans la gorge et les larmes aux yeux. Mais à d'autres moments, un petit sourire, une petite phrase qui m'a fait rire, mais c'est ça la vie n'est ce pas ? Un mélange de rires, de larmes, d'émotions. La tristesse de voir partir ceux qu'on aime, et la joie avec la naissance d'un nouveau bébé ou d'un nouvel amour. Parce que la forge des Maheu, et bien oui, c'est tout simplement la vie.
Lucy-France Dutremble a encore une fois réussi à nous offrir un roman touchant, émouvant, vibrant d'émotions, un roman que l'on ne veut pas voir se terminer, parce qu'on voudrait rester encore et encore avec ces gens qui, au fil des pages, sont devenus un peu notre famille.
Des descriptions qui nous amènent dans cette belle région du Québec, des personnages colorés, typiques des gens du Québec, et surtout, des rebondissements qui se présentent et qui nous font dire : ''bien voyons donc''. Oui Lucy-France Dutremble et bien, c'est tout ça, et c'est la raison pourquoi, c'est si souvent un coup de cœur quand je lis ces romans !
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Une histoire aussi intrigante que touchante !
''Le bonheur, c'est comme du sucre à la crème : quand on en veut, on s'en fait.'' Eh bien Grand-maman Simone, je m'en suis fais un super bon avec La veuve de Labelle. Je l'attendais avec impatience et je dois dire que j'ai été comblée..Lucy-France Dutremble est une auteure vraiment exceptionnelle. J'ai été Rose-May pour le temps du roman et j'ai revisité tellement de souvenirs avec elle. Lucy-France à ce don de nous faire ressentir une foule d'émotions à travers ces écrits. Il me tarde de lire le prochain ! Merci Lucy-France !
Annonce de la parution du roman sur Planète Québec
Lien : http://planete.qc.ca/culture..
Lien : http://planete.qc.ca/culture..
Article paru dans le journal La Voix par Stéphanie Guévremont – Paru le 11 décembre 2009
http://www.flippage.ca/flipjournal/VST/20091211/pdf/vst_06.pdf
Lien : http://www.flippage.ca/flipj..
http://www.flippage.ca/flipjournal/VST/20091211/pdf/vst_06.pdf
Lien : http://www.flippage.ca/flipj..
Article paru dans le journal Les 2 Rives par Louise Grégoire-Racicot – Paru le 8 décembre 2009
http://www.flippage.ca/flipjournal/DRS/20091208/pdf/drs_33.pdf
Lien : http://www.flippage.ca/flipj..
http://www.flippage.ca/flipjournal/DRS/20091208/pdf/drs_33.pdf
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Article paru dans le magazine Belle Vie 50+ par Jacqueline Roch – Paru en Novembre 2009
La vieille laide, tome 2 est maintenant en librairie
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 28 avril 2009
Culture > Littérature
(LGR) - La Soreloise Lucy-France Dutremble est toute excitée : le deuxième tome de La vieille laide – Le chemin des aveux sera sur les tablettes des librairies ces semaines-ci, si ce n’est déjà fait, reprenant l’histoire d’Anne-Marie là ou elle l’avait laissée à la fin du premier.
Mme Dutremble est une auteure prolifique qui nous confirmait la semaine dernière qu’il y aura possiblement une suite à La Vieille laide. De même que la publication certaine, en septembre d’une autre série – La rue Royale – tome 1 - qui se situera dans le Sorel de son enfance.
Rencontre avec les lecteurs le 31 mai
Entretemps, elle est de tous les Salons du livre au Québec et rencontrera ses lecteurs de la région à Saint-Antoine-sur-Richelieu où elle sera en séance de dédicace le dimanche 31 mai, à la bibliothèque du 1060, rue du Moulin-Payet de 10 heures à midi. Puis à la librairie Renaud Bray aux Promenades de Sorel à partir de 13 h 30.
Vous pouvez toujours la rejoindre au lucy_france@videotron.ca ou sur son site http://pages.videotron.com/lucyfran/
http://monteregieweb.com/main+fr+01_300+La_vieille_laide_tome_2_est_maintenant_en_librairie.html?ArticleID=578318&JournalID=9
Copyright © 2007 Tous droits réservés
Lien : http://monteregieweb.com/mai..
Louise Grégoire-Racicot
Les 2 Rives - 28 avril 2009
Culture > Littérature
(LGR) - La Soreloise Lucy-France Dutremble est toute excitée : le deuxième tome de La vieille laide – Le chemin des aveux sera sur les tablettes des librairies ces semaines-ci, si ce n’est déjà fait, reprenant l’histoire d’Anne-Marie là ou elle l’avait laissée à la fin du premier.
Mme Dutremble est une auteure prolifique qui nous confirmait la semaine dernière qu’il y aura possiblement une suite à La Vieille laide. De même que la publication certaine, en septembre d’une autre série – La rue Royale – tome 1 - qui se situera dans le Sorel de son enfance.
Rencontre avec les lecteurs le 31 mai
Entretemps, elle est de tous les Salons du livre au Québec et rencontrera ses lecteurs de la région à Saint-Antoine-sur-Richelieu où elle sera en séance de dédicace le dimanche 31 mai, à la bibliothèque du 1060, rue du Moulin-Payet de 10 heures à midi. Puis à la librairie Renaud Bray aux Promenades de Sorel à partir de 13 h 30.
Vous pouvez toujours la rejoindre au lucy_france@videotron.ca ou sur son site http://pages.videotron.com/lucyfran/
http://monteregieweb.com/main+fr+01_300+La_vieille_laide_tome_2_est_maintenant_en_librairie.html?ArticleID=578318&JournalID=9
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. Meilleur vendeur dans la semaine du 10 mai 2009
www.prologue.ca, section Meilleurs Vendeurs
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L'auteure a une belle plume et du vocabulaire. J'ai même appris quelques nouveaux mots, dont : patenôtrier (artisan qui fabrique des chapelets), gélifié (transformé en gel) et glèbe (champ). De plus, l'histoire est suffisamment intéressante pour lire le roman jusqu'à la fin. J'avoue cependant que, s'il y avait une suite, je ne m'empresserais pas de l'acheter, parce que j'ai eu de la difficulté à m'attacher et à m'identifier aux personnages. Parmi ces derniers, il y en avait plusieurs qui m'étaient antipathiques, parce que je ne comprenais ni leurs réactions ni leurs motivations.
Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥
Je dois d’abord vous avouer que j’avais extrêmement hâte de découvrir ce roman qui parle de la ville de St-Ours, un lieu que je connais. Un roman historique bâti avec les critères que l’on connaît bien, c'est-à-dire nous faire découvrir la vie de nos ancêtres. Nous commençons en 1932 et nous allons suivre plusieurs générations de la famille Allaire, donc on doit se concentrer sur les noms et leur rôle. Marguerite est la femme de l’éclusier et la fille de Wilbrod et Gracia, ceux-ci eurent trois autres enfants Julien-Charles, Marcel et Jules. Chacun aura son lot de problèmes, mais contrairement à ce que nous sommes habitués, l’auteure est réaliste dans les faits. On va rencontrer l’alcoolique, l’infidèle, le voleur et l'itinérant, certains vont être frappé par la maladie, d'autres ont des secrets de famille, bref du quotidien dans une belle grande famille d’agriculteurs. Ce qui est intéressant dans cette duologie, c’est qu’on ne se noie pas dans le malheur, le bonheur est omniprésent et le lien familial est au premier plan. Le tempo est rapide, on ne s’attarde pas sur un cas en particulier, ça roule vite, bien que l’auteure aime particulièrement mettre du détail, c’est d’autant plus plaisant, puisqu’on imagine le Richelieu et la ville de St-Ours comme si nous y étions. J’ai aimé, dans la lecture, l’évolution que les personnages vivent en découvrant la lumière au bout des doigts, l’eau courante, et même le téléphone. On n'oublie pas que les curés à cette période contrôlaient d’une main juste ses fidèles citoyens, mais il ne faut pas oublier qu’eux aussi n’étaient pas parfait. Je vous invite à découvrir la famille Allaire de génération en génération, ils nous font vivre de belles émotions et nous nous attachons à eux. Une histoire de vie plaisante à lire comme Lucy-France Dutremble sait très bien y faire, elle qui a une plume gracieuse qui nous amène à découvrir la vie de nos ancêtres.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
Je dois d’abord vous avouer que j’avais extrêmement hâte de découvrir ce roman qui parle de la ville de St-Ours, un lieu que je connais. Un roman historique bâti avec les critères que l’on connaît bien, c'est-à-dire nous faire découvrir la vie de nos ancêtres. Nous commençons en 1932 et nous allons suivre plusieurs générations de la famille Allaire, donc on doit se concentrer sur les noms et leur rôle. Marguerite est la femme de l’éclusier et la fille de Wilbrod et Gracia, ceux-ci eurent trois autres enfants Julien-Charles, Marcel et Jules. Chacun aura son lot de problèmes, mais contrairement à ce que nous sommes habitués, l’auteure est réaliste dans les faits. On va rencontrer l’alcoolique, l’infidèle, le voleur et l'itinérant, certains vont être frappé par la maladie, d'autres ont des secrets de famille, bref du quotidien dans une belle grande famille d’agriculteurs. Ce qui est intéressant dans cette duologie, c’est qu’on ne se noie pas dans le malheur, le bonheur est omniprésent et le lien familial est au premier plan. Le tempo est rapide, on ne s’attarde pas sur un cas en particulier, ça roule vite, bien que l’auteure aime particulièrement mettre du détail, c’est d’autant plus plaisant, puisqu’on imagine le Richelieu et la ville de St-Ours comme si nous y étions. J’ai aimé, dans la lecture, l’évolution que les personnages vivent en découvrant la lumière au bout des doigts, l’eau courante, et même le téléphone. On n'oublie pas que les curés à cette période contrôlaient d’une main juste ses fidèles citoyens, mais il ne faut pas oublier qu’eux aussi n’étaient pas parfait. Je vous invite à découvrir la famille Allaire de génération en génération, ils nous font vivre de belles émotions et nous nous attachons à eux. Une histoire de vie plaisante à lire comme Lucy-France Dutremble sait très bien y faire, elle qui a une plume gracieuse qui nous amène à découvrir la vie de nos ancêtres.
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