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Citations de Manon Donaldson (159)


Je suis amoureuse c’est ça ? Totalement éprise d’un Steel ? Bah merde alors…
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Pauvre petite fille, elle a envie de se faire le grand méchant loup… Si seulement elle savait à quel point il a envie de la bouffer toute crue, elle partirait au pas de course et ne reviendrait jamais.
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— Et la deuxième ? me demande-t-il.
— La deuxième quoi ?
Je fais mine de n’avoir aucune idée de ce dont il parle.
— Ta deuxième phrase préférée beauté, tu m’as dit hésiter entre deux.
Il est debout devant la porte et me déshabille du regard. Il ne s’est pas encore changé et porte toujours sa veste aux couleurs des Steel. Ça le rend vraiment sexy. Je réfléchis quelques secondes pour être sûre de bien utiliser cette opportunité.
— Celle où tu me dis que tu vas me baiser jusqu'à ce que je demande grâce.
Ses yeux s’arrondissent sous l'effet de surprise.
— Oh, attends, je dis la bouche en cœur. Je crois que c'était dans mon rêve celle-là, j’ajoute l'air innocent.
Il s'approche tranquillement de moi avec une démarche de fauve. Ses yeux transpirent une excitation qui m’est familière et son seul regard suffit pour allumer un brasier dans mon ventre.
Il est maintenant tout près de moi. Il se penche à hauteur de mon visage.
— Beauté, je vais te baiser jusqu'à ce que tu demandes grâce.
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"Que cet endroit soit votre échappatoire, votre paradis terrestre et un lieu d'amour et de rassemblement. Puisse ce lui vous rappeler que vous êtes une famille et qu'ensemble vous êtes plus forts que tout. Qu'il vous rappelle que, même quand le chaos règne partout autour, vous trouverez un coin empreint d'amour et de zénitude"
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"Ce baiser, c'est passion, séparation, enfer et damnation et c'est là que je décide que, même si je ne sais pas dire je t'aime avec des mots, je peux lui dire avec mon âme et la lui dédier entièrement. C'est à moi que je promets cette fois." (chapitre 31)
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— [...]Alors tu es amoureux ? Vraiment, cette fois ?
— Je crois que… c’est… ma « Kaly » à moi.
Oh merde, je ne me sens pas bien. Être cul-cul à ce point, c’est punissable d’écartèlement.
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- Même un bain d'acide ne parviendrait pas à détruire toutes les maladies que le vagin de cette pute héberge ! Beurk Beurk Beurk !
Mon expression n'est que le miroir de ce que je sens remonter et que j'ai envie de lui balancer à la tête. je le pousse du plat des paumes sans parvenir à l'ébranler. je repousse le couvre-lit et me lève presque en panique à la recherche de mes vêtements.
- Elle a eu tellement de litres de sperme en elle que je suis étonnée qu'il ne lui ait pas encore poussé un pénis à cette garce !
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« Il est le noir de la mer, les profondeurs abyssales du vide. Je suis la lumière, celle dont se nourrissent les êtres du néant. L'un n'existe pas sans l'autre mais le plus léger des déséquilibres peut tout faire disparaître. »
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"Je sais que bien des gens ne comprendraient pas. Ces mêmes personnes qui n'ont jamais aimé au-delà de leur être. Qui ne se sont jamais perdues dans l'autre au point de ne plus savoir démêler ce qu'ils sont de ce que l'autre est. [..] Le déchirement, la passion, la douleur, la volupté voilà ce qui est vrai"
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La douleur est supportable et j'irais même jusqu'à dire qu'elle me fait du bien. Elle me rappelle que je suis humain, que j'arrive encore à ressentir des trucs même si ce n'est que physique.
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Un texto de Chris. Bien sûr...
[Il fait froid dans ton salon, et ta couverture est trop petite.]
[J'ai des draps supplémentaires dans le placard de la salle de bain.]
[Ok].
Je l'entends se lever, faisant grincer les ressorts de mon vieux sofa. Il passe devant ma chambre et ressort de la salle de bain. Je l'écoute se recoucher et ne peux m'empêcher de le narguer par texto :
[Et là, tu es mieux ?]
[Ouais, mais ton sofa grince beaucoup et mes pieds dépassent.]
[Dommage que tu sois si mal, peut-être aurais-tu préféré être dans ton lit chez toi ?]
[Malheureusement, je suis de corvée de gardiennage, une enfant terrible et gâtée pourrie sans même une once de reconnaissance.]
[Oh, pauvre petit. Elle est si dure ? Je te plains. J'espère que tu es bien rémunéré au moins.]
[Allez laisse-moi dormir dans un vrai lit, je promets de ne pas te toucher.]
[Humm attend que je réfléchisse…. Non ! ]
Je me trouve très drôle et ferme mon téléphone sur cette phrase pour avoir le dernier mot et mettre fin à cette discussion. Mais quelques instants plus tard, une silhouette masculine terriblement sexy, portant un boxer moulant, se découpe dans l'embrasure de ma porte.
— Ivy ? Tu dors ?
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Bordel, mais t'es dure de la feuille! J'ai envie de la b*iser, c'est un fait, mais pas qu'une fois! Pour toutes les putains de nuits de mon existence!
-Drake-
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Mais tu ne comprends pas que j’en ai rien à foutre de toi ?
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Ses yeux me transpercent et j’essaie de ne pas me perdre dans leur océan. Il ne peut pas me voler ces mots et partir ensuite. Me laissant encore une fois me languir de lui. Il ne doit pas m’arracher le cœur pour avoir de quoi s’accrocher là-bas, me laissant complètement vide ici.
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« Je l'aime au point où je souffre de son absence, au point où sa colère me met hors de moi, où sa douleur trouve un écho dans mon âme. Je l'aime au point où je sens sa présence quand il entre dans un endroit. Je l'aime au point où dans les pires souffrances et tourments, mes dernières pensées étaient pour lui. Je l'aime... au point de ne pas savoir si mon cœur sera en mesure de supporter une vie sans lui. »
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Nous sommes destinés l’un à l’autre, pour le meilleur et pour le pire, je n’escompte mourir nulle part ailleurs que dans tes bras.
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Je savoure ma victoire, je déguste l’étincelle de convoitise miroitant au fond de ses prunelles. C’est moi qui ai gagné, lui qui a perdu… C’est une évidence, mais le fait de l’évoquer ainsi m’emplit d’un sentiment de contrôle. J’occulte volontairement le moment où, lorsque j’ai frôlé sa paume, j’ai été envahie d’images, de sensations et de souvenirs appartenant à ce nous qui n’existe plus. Je prétends que ce n’est rien, que je suis indifférente à présent. Ce mensonge, je m’y accroche férocement afin qu’il devienne ma seule vérité.
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Au fil des mots que je lis, ma colère se décuple. Je suis irascible, voire imbuvable depuis un moment, mais ce qu’elle m’annonce là me heurte si fort que le moi d’avant s’apparente à un bébé chat. Mes doigts se resserrent inconsciemment sur le papier et d’un coup, je me sens devenir une bête sanguinaire et assoiffée de sang, et plus précisément de celui d’****. Je vais me faire ce mec, je vais le dépecer, le vider de chacun de ses organes et le mettre sous machine pour qu’il survive et assiste au carnage de son propre corps !
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La douce caresse de sa peau sur la mienne m’ouvre à ce monde parfait dans lequel je rêve de me perdre. Il est mon utopie, comprends-je. Mon paradis, le lieu qui me permet d’avoir foi et d’aspirer au bonheur. Il a explosé mon enfer et m’a attirée dans le nirvana qu’est son âme. 
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— Il l’avait mérité, évoque-t-il en haussant les épaules simplement.

Je lui offre une moue qui j’espère lui fera anticiper le pire. Je confirme presque aussitôt ses peurs alors que de mes grosses bottes, j’envoie valser un coup de pied féroce sur le flanc de Ridge qui s’étouffe aussitôt.

— Et là ! Bande de sans couilles ! Vous allez tenter de m’arrêter ? Et si j’allais jusqu’à le tuer devant vos yeux ? L’un de vous oserait-il quelque chose ? Je suis d’avis qu’il devrait crever en se vidant de son sang, mais moi je suis le méchant de l’histoire donc ça n’a rien de surprenant non ? Mais vous ? C’est quoi votre excuse ? 
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