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Citations de Margaret Landon (21)


Nous sommes au Siam. Il ne faut rien précipiter. L’important, ici, est de savoir attendre ; les choses, ensuite, s’arrangent toutes seules.
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Qu’importe un peu de soleil à un homme accoutumé à la chaleur ?
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Je suis ici pour éduquer les enfants royaux et non pour entrer au harem. Comprenez-moi, je suis différente de vous. Il vous suffit de jouer, de danser et de vous parer pour plaire à votre maître. Moi, je dois travailler pour nourrir les miens puisque mon mari est mort.
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La hauteur, la profondeur et la gloire, à travers les choses bonnes et mauvaises, à travers la vérité et l’erreur, la sagesse et la folie, à travers la tristesse et les souffrances, l’espoir, la vie, la joie, l’amour, la mort, à travers l’éternel changement, jusqu’à l’immuable !
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Ce monde enfermé dans le palais était un univers en raccourci, qui ne comptait qu’un soleil autour duquel gravitaient de nombreuses lunes. Tout tournait autour du roi. Ses faits et gestes quotidiens déterminaient ceux des femmes du harem.
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L’amour du roi pour les enfants constituait son trait de caractère le plus sympathique. Leur beauté et leur sincérité lui plaisaient. Ils l’amusaient aussi par leur impudence innocente. Il prenait les bébés dans ses bras et grimaçait pour les faire rire.
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Vivre ici ? Comment pourrait-elle supporter cet endroit, où la tyrannie s’exerçait avec une telle violence qu’elle pouvait la sentir ? Où l’ombre de l’esclavage était si dense que même la lumière du soleil s’en trouvait assombrie ? Vivre là ? Où nulle indépendance ne lui serait accordée, nul répit de la part du harem, nulle liberté d’aller et de venir ? Là où toutes les portes sont gardées, où chaque geste est surveillé par des espions, où elle n’aurait pas de foyer où élever son fils dans les chères traditions anglaises ? Elle serra ses lèvres tremblantes. Jamais ! Elle ne consentirait jamais à s’enfermer, loin de la protection du consul anglais et des missionnaires américains.
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Elle se demanda, comme à chaque occasion où le découragement s’emparait d’elle, pourquoi elle était venue en ce pays où sa sensibilité souffrait chaque jour du manque d’égard pour toute valeur humaine, base de tous les maux constatés autour d’elle : l’injustice, le favoritisme, l’esclavage et le concubinage. Le roi traitait ses femmes comme des animaux familiers, élevés et nourris pour son seul plaisir et qu’il pouvait supprimer à son gré.
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Punir une femme pour un geste qui serait autorisé et encouragé venant d’une autre est une injustice flagrante, et qui ne contribuera nullement à accroître le respect que portent à Sa Majesté ses amis étrangers !
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La géographie et l’astronomie enflammaient ces vives imaginations orientales d’un enthousiasme tout particulier. Chacun avait son idée sur la forme de la terre et il fallut beaucoup de patientes répétitions pour les convaincre tous qu’elle n’était ni plate, ni cubique.
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J'ai 67 enfants, déclara-t-il [...]. Vous leur enseignerai l'anglais, ainsi qu'à toutes celles de mes épouses qui le désirent. J'aurai aussi besoin de votre aide pour mon abondante correspondance. En outre [...] je reçois de l'étranger des lettres dont l'écriture est difficile à déchiffrer. Vous les copierez.
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Le Chow Phya, le plus moderne des bateaux à vapeur faisant la navette entre Singapour et Bangkok, jetait l'ancre devant la barre, à l'embouchure du fleuve dont il portait le nom. Penchés sur le bastingage, les artistes d'un cirque s'efforçaient d'apercevoir ce pays dont le souverain avait prié leur troupe de venir distraire sa vaste famille. Les chiens savants aboyaient et montraient les dents à ceux du capitaine George Orton , mais Jip et Trumpet, hautains, ne leur témoignaient que mépris.Une jeune Anglaise, mince et gracieuse, se tenait à l'écart de ce groupe bruyant et rieur. Elle portait une modeste robe couleur lavande à manches longues et à col montant. Des boucles brunes encadraient son joli visage, dont le nez trop grand n'atténuait pas le charme. Ses yeux sombres étaient fixés sur la ligne de terre, à l'horizon. Debout, presque immobile, elle jouait avec un curieux bijou épingle sur sa poitrine : une broche en or faite de deux griffes de tigre. Une chienne terre-neuve était assise à côté d'elle, paisible. Les chiens de cirque s'approchèrent, la flairèrent et aboyèrent, mais elle ne leur rendit pas la politesse. Calme et digne, elle ne se laissait point séduire par les familiarités d'inconnus. Elle contemplait le visage de sa maîtresse qui regardait, au-delà des flots, le lointain rivage.
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Margaret Landon
Un être humain, quels que puissent être sa couleur, sa foi ou son sexe, possède certains droits inaliénables que nul ne doit violer.
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Margaret Landon
La géographie et l’astronomie enflammaient ces vives imaginations orientales d’un enthousiasme tout particulier. Chacun avait son idée sur la forme de la terre et il fallut beaucoup de patientes répétitions pour les convaincre tous qu’elle n’était ni plate, ni cubique.
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Margaret Landon
Il semblait que le temps eût effacé toute intelligence et tout sentiment humain du masque qui lui servait de visage.
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Margaret Landon
Si les Anglais avaient pris l’Inde de force, on ne pouvait blâmer les Indiens d’employer les mêmes moyens pour reconquérir leur pays.
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Margaret Landon
On entre dans ce royaume mais on n’en sort jamais.
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Margaret Landon
Mieux lui valait partir que d’éclater en mortifiants sanglots, qui ne feraient que révéler sa faiblesse en un lieu où il n’était pas permis d’être faible. Plutôt être impolie !
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Margaret Landon
Comment pourrait-elle supporter cet endroit, où la tyrannie s’exerçait avec une telle violence qu’elle pouvait la sentir ? Où l’ombre de l’esclavage était si dense que même la lumière du soleil s’en trouvait assombrie ? Vivre là ? Où nulle indépendance ne lui serait accordée, nul répit de la part du harem, nulle liberté d’aller et de venir ?
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Margaret Landon
Regarde le bleu du ciel chaque soir, ta maman le regarde aussi à ce moment-là, et pense à tout ce qu’il t’envoie : rayons de soleil, pluie, vent ou brise, rosée et arcs-en-ciel, et souviens-toi que tout cela nous est donné par Dieu dans son amour, qui se fait petit dans la goutte de rosée mais qui est vaste comme le soleil.
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