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Citations de Marian Izaguirre (41)


Encouragée par la lecture des lettres, Teresa imitait-elle Elisabeth Babel, reproduisait-elle inconsciemment sa vie ? Ou bien étaient-elles réellement connectées, liées par quelque chose qui s’imposait, échappant à toute volonté ? Il est délicat de céder à cette explication plutôt extravagante, d’y accorder du crédit. Pourtant, si on ne le fait pas, tout bat de l’aile. Une connexion entre deux personnes que presque ans séparent. Pourquoi pas ? Doutez-en, je vous en prie.
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Marian Izaguirre
L'amour véritable provoque de l'envie, de la jalousie, de l'irritation chez ceux qui ne l'ont jamais éprouvé, du ressentiment chez ceux qui l'ont perdu, des rivalités absurdes, des préjugés, des affrontements. L'amour, c'est presque toujours la guigne.
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Lola fait alors sienne cette phrase qu'elle a lue le matin même dans le livre de la vitrine: "Le premier baiser ne se donne pas avec la bouche mais avec le regard". Ce fut ainsi alors, il y a seize ans. Au pied des escaliers du métro, au milieu des gens avec leurs parapluies et leurs manteaux trempés, eux se sont embrassés parce que personne n'a rien pu faire pour l'éviter et parce que aucun des deux n'a voulu résister.
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Le futur est le lieu le moins assuré de tous ceux qu'il nous est possible d'imaginer.
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Ce qui est bon, c’est toujours pour les riches.
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Lui ne peut pas savoir ce que pense cette vieille aux cheveux blancs qu'il a en face de lui. Il ne peut pas non plus imaginer que j'ai été jeune et passionnée un jour.
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Qu'on a besoin de peu de choses quand on devient vieille... Tout est superflu, sauf la tendresse.
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C'était un monde qui ne pesait pas, une vie aérienne.
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"Parfois avant de commencer ma lecture, surtout si c’est un nouveau livre, j’aime le garder un moment entre les mains. Henry disait que je réchauffais les livres comme les Anglais les théières avant de commencer à préparer le thé. C’est vrai, j’aime faire cela. C’est un petit rituel qui fait partie de mon approche particulière de la lecture. J’ai besoin de toucher le livre, de le reconnaître de la paume de la main. Je le parcours de la pulpe des doigts, lentement, très lentement, jusqu’à ce que la rugosité du papier, du cuir ou de la toile me devienne familière. Je touche le livre pour que nous fassions mieux connaissance."
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Je lis.Je lis beaucoup.C'est alors que les paroles de James prennent leur véritable ses:"Quand tu te sens seule,lis un livre...Ça te sauvera"
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_Exactement.Oui,je sais bien que c'est...je ne sais plus comment vous dites...un lapali...
_Une lapallissade.
_C'est ça,une lapalissade.
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Cet hiver-là a été terrible.Je ne me suis jamais sentie aussi seule.Heureusement,il y avait des livres,des livres,des livres...Des histoires où se réfugier,grâce auxquelles fuir.Des livres.
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Et parfois une séparation douloureuse transforme l'amour en quelque chose d'éternel. C'est du moins ce que racontent certains romans.
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Mais figurez-vous que l'homme qui est le bon n'est pas celui qui nous aime le plus mais celui qui fait que notre amour nous modifie, nous fait découvrir quelque chose de nous que nous ignorions.
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Pourquoi remettre à plus tard ? Il y a certains plus tard qui n'adviennent jamais.
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- Mais ça parle d'amour ? demande-t-elle
- C'est beaucoup mieux, répond Lola. Ça parle de réalité.
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Où est-il écrit que l'amour doive durer toujours ? S'il vous plait... Nous tous adultes que nous sommes, nous savons bien que l'amour apparait et disparait, que c'est cela sa condition naturelle. A moins bien sûr, que les deux parties soient suffisamment intelligentes pour le transformer peu à peu à l'unisson. Cela arrive parfois. Rarement, mais cela arrive. Et parfois, une séparation douloureuse transforme l'amour en quelque chose d'éternel. C'est du moins ce que racontent certains romans.
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La maison s'est soudain remplie de mots creux et dénués de sens, des mots qui tombent par terre et qu'ils foulent en allant d'une pièce à l'autre. La nuit, quand ils s'allongent dans le même lit, les mots vides créent une poche d'opacité qui les maintient séparés.
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Tout était imprégné de romantisme et d'idéalisme, d'une complicité périlleuse qui flottait parmi les décombres et qui ressemblait à une rafale de mitraillette...Il fallait ça pour pouvoir continuer la lutte...L'épopée a besoin de gamins innocents pleins d'idéalisme. L'épopée a besoin de morts.
Si la balle me frappe...
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Cet hiver a été terrible. Je ne me suis jamais sentie aussi seule. Heureusement, il y avait des livres, des livres, des livres ... Des histoires où se réfugier, grâce auxquelles fuir. Des livres.
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