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Citations de Mariana Zapata (85)


Tandis que je m’arrêtais devant la porte, j’avais remarqué que, même de profil, cet homme avait le visage le plus grincheux et le moins avenant que j’aie vu de toute ma vie. Je n’aurais su comment l’expliquer, mais c’était le cas. Et il était tout simplement magnifique. Je veux dire, il était juste si mâle. De la pure testostérone, associée à autre chose d’absolument masculin.
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Assumer mes responsabilités et ne pas rejeter la faute sur les autres quand je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même était l’une des rares choses que j’avais apprises de ma famille, même si ce n’était pas elle qui avait voulu me l’enseigner. Je m’empressai de couper court à mes pensées. Certaines choses et certaines personnes étaient tellement toxiques que rien que de songer à elles pouvait être destructeur. Je préférais faire le choix d’être heureuse, et ça impliquait de ne pas ressasser le passé. Aujourd’hui serait une bonne journée, ainsi que demain, et le jour suivant, et celui d’après. C’est cette pensée qui me permit de garder mon sourire en place tout en soutenant le regard de Rip. Il m’en fallait plus que lui et son tee-shirt blanc pour me mettre de mauvaise humeur ou pour me blesser. Il m’en fallait aussi beaucoup plus que de penser à certaines personnes pendant ne serait-ce qu’une seconde. En résumé : j’étais fatiguée. J’avais fermé les yeux. Il m’avait prise sur le fait. Il n’y avait aucune raison que je sois contrariée. — Luna, continua Rip de sa voix ridiculement basse qui m’avait surprise la première fois que je l’avais entendue. On se comprend ? Fini, les putains de sieste pendant ces réunions. C’est pas si compliqué à comprendre, si ? Deux chaises plus loin, quelqu’un lâcha un petit rire, mais je reconnus le coupable sans même le voir et ne perdis pas de temps à tourner la tête vers lui ou même à m’agacer de son amusement. Le sourire toujours vissé au visage, je hochai la tête en direction de mon patron. Je le comprenais cinq sur cinq.
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I don't know anything about relationships, Van, but I know I love you. I know I've waited my entire life to love you, and I'll do whatever I have to, to make this work.
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You can’t always wait for someone else to do the right thing when you can do it yourself.
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If you fucked up, admit it, learn from it, and move on. Exactly. It’s embarrassing and it sucks, but it would be worse than being an idiot twice.
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Real love was gritty. The real kind of love never quit. Someone who loved you would do what’s best for you; they’d stand up for you and sacrifice. Someone who loved you would face any inconvenience willingly. You didn’t know what love was until someone was willing to give up what they loved the most for you.
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"I’d rather be a girl than a boy.” I poked him. “Girls rule, boys drool.”
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Everyone dealt with grief differently. Hell, we all dealt with life differently.
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J’ai mené des tas de combats dans ma vie. Je commence à penser qu’ils n’avaient qu’un seul but : me préparer à me battre pour toi.
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Je n’ai jamais vu une cuirasse aussi épaisse que la sienne, malgré tout, je sais que ses os sont faits d’amour à l’intérieur, comme… autrefois.
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Il était plus facile d’oublier et d’ignorer que de s’accrocher aux choses qui faisaient mal.
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Parfois, il était beaucoup plus facile d’accepter les choses quand vous preniez conscience que, au bout du compte, vous n’étiez qu’une victime collatérale dans un accident causé par des pièces ayant lentement rouillé et s’étant désagrégées pendant des décennies.
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If I didn't put up with people who should have mattered why the hell was I putting up with people who didn't.

VANESSA

( Si je ne supportais pas les gens qui devraient comptait, pourquoi diable je supporterai les gens qui ne comptait pas.)
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Life was all about choices.

VANESSA


(La vie est faite de choix.)
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- I'm not fine with you always thinking you have to deal with thing on your own.

AIDEN

(- Je ne suis pas d'accord avec le fait que tu penses devoir régler les choses par toi-même.)
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Si Louie était un petit soleil, Josh était la lune et les étoiles. Mon premier neveu, mon premier grand amour. Avec lui, c'était à la vie, à la mort. Je le considérais presque sur comme un petit frère... Dans un certain sens, nous avions grandi ensemble.
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À vingt-sept ans, sachant ce que je savais de lui à ce stade, j’aurais été ravie de passer le reste de ma vie dans la plus grande discrétion.
Seulement parfois, le destin était inconstant et immature, car quelques jours après que j’eus raconté à Gardner comment le manque d’attention de l’ancienne superstar affectait tout le monde dans l’équipe, mes prières de préadolescente furent exaucées par miracle.
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On ne mettait pas en danger une carrière qui avait coûté tant de sacrifices pour un rien. Chacune d’entre nous sans exception avait fait une croix sur les anniversaires, les fêtes de famille, la vie sociale, les relations, le temps libre avec ses proches et autres pour obtenir ce que nous avions. Cette réussite était précieuse à mes yeux, et je serais bien bête d’y renoncer sur un coup de tête. Et jusqu’à un certain point, toutes les autres filles de l’équipe devaient penser la même chose.
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— Les gens te jugeront quoi que tu fasses, Sal, m’avait-il avertie. Ne les écoute pas car, au bout du compte, c’est toi qui devras vivre avec tes choix et l’endroit où ils te mèneront. Personne ne vivra ta vie à ta place.
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Quand j’avais grandi, les gens avaient trouvé d’autres sujets de moquerie à mon égard. On m’avait traitée de bégueule, de coincée, de garce, de garçon manqué, voire de gouine, plus de fois que je ne pouvais les compter. Tout ça parce que j’aimais jouer au foot et que je prenais ça au sérieux.
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