Combine your love of sports and romantic reads with these 10 wonderful sports romances. Featuring heroes and heroines who are involved in the world of sports and athletics, these recommendations from Ashley (Ashheartbooks) are definitely all winners!
Do you have a favorite sport you like to see featured in your romance reads? Whether it's hockey, football, soccer or another activity, be sure to let us know in the comments section below!
Follow Ashley for more great book recommendations: https://www.youtube.com/channel/UC_zwZgEqBmoU_iRPB8eCouw?app=desktop
THE BOMBSHELL EFFECT by Karla Sorensen: https://www.goodreads.com/book/show/40506144-the-bombshell-effect?from_search=true&from_srp=true&qid=cJDVmILU5i&rank=1
ROOKIE MOVE by Sarina Bowen: https://www.goodreads.com/book/show/27190530-rookie-move?ac=1&from_search=true&qid=RP3¤££¤50THE BOMBSHELL EFFECT49¤££¤&rank=1
HEATED RIVALRY by Rachel Reid: https://www.harlequin.com/shop/books/9781488051241_heated-rivalry.html
THE LONG GAME by Rachel Reid: https://www.harlequin.com/shop/books/9780369704436_the-long-game.html
KULTI by Mariana Zapata: https://www.goodreads.com/book/show/24044596-kulti?ac=1&from_search=true&qid=y¤££¤46HarlequinBooks45¤££¤7H&rank=1
SCORING WILDER by R.S. Grey: https://www.goodreads.com/book/show/21843117-scoring-wilder?ac=1&from_search=true&qid=rerRkBg7kA&rank=1
PLAYING DIRTY by Taryn Leigh Taylor: https://www.harlequin.com/shop/books/9781488011023_playing-dirty.html
WITH LOVE by Mariana Zapata: https://www.goodreads.com/book/show/37683751-from-lukov-with-love?ac=1&from_search=true&qid=O5mM2LDLnH&rank=2
SWEET HOME by Tillie Cole: https://www.goodreads.com/book/show/18105011-sweet-home?ac=1&from_search=true&qid=ykB9HnK9aw&rank=1
LONG SHOT by Kennedy Ryan: https://www.goodreads.com/book/show/39336718-long-shot?ac=1&from_search=true&qid=FvDJ7l6PmE&rank=1
Looking for more sports romance? Click here for more winning reads: https://www.harlequin.com/shop/category/sports-romance.html?sortci=onsaledate%20asc
***
Subscribe for more from Harlequin: https://www.youtube.com/channel/UCxCJKbFiPONVnPv_R6JGDAg?sub_confirmation=1
https://www.harlequin.com
Subscribe to Harlequin Plus! Start your 7-day FREE TRIAL today: https://www.harlequinplus.com/shop/index.html?pubid=100126&subid=GEN&utm_source=youtube&utm_medium=youtube_description&utm_campaign=launch_startfreetrial&utm_id=mar_2022&utm_content=GEN
Facebook: https://www.facebook.com/HarlequinBooks
Twitter: https://twitter.com/HarlequinBooks
Instagram: https://www.instagram.com/harlequinbooks/
+ Lire la suite
" Cuisiner, c'est comme aimer. On devrait le faire en s'abandonnant complètement ou ne pas le faire du tout." Harriet Van Horne.

Si mes calculs sont corrects, mon dernier premier baiser remonte à plus de dix ans. Peut-être est-ce pour cela que celui de Matt m’a tellement excitée.C’est horrible, mais je ne me souviens pas de mon premier baiser d’adolescente avec Jackson. Je ne saurais dire où nous étions ou si ça m’avait plu.Pas étonnant que je sois divorcée.Le baiser de Matt, en revanche, n’arrête pas de s’insinuer dans mon esprit, me surprenant dans les moments les plus incongrus. Tandis que j’attends la fin du téléchargement d’un fichier, je me rappelle sa main virile agrippant ma cuisse. Et quand Dion essaie de m’expliquer pourquoi nous ne pouvons pas commander le thé d’import qu’exige un nouveau client, je repense à la langue de Matt caressant mon oreille dans le taxi sur le trajet du retour.— Tu vas bien, Hailey ? s’enquiert Dion.Je reporte aussitôt mon attention sur l’homme planté devant la porte de mon bureau. Je m’empresse de répondre.— Absolument ! Alors, euh… il y aura un délai ?J’essaie de me rappeler le sujet de notre conversation.— Ouais. Il n’est pas content, mais je lui ai dit qu’il pouvait s’adresser à toi s’il avait des questions.— Tout à fait ! Bien joué. Autre chose ?Dion me gratifie d’un sourire patient.— Les cartons non étiquetés s’entassent de nouveau dans le couloir. Jettes-y un œil quand tu en auras l’occasion.— Je n’y manquerai pas.Il s’éloigne, et je me cale dans mon fauteuil, m’efforçant de me ressaisir. La soirée passée avec Matt m’a fait l’effet d’un séisme émotionnel dont les répliques continuent de me secouer.Peut-être suis-je enfin prête à accepter que Jenny ait raison : je devrais recommencer à sortir, à fréquenter des hommes. Je doute toutefois que Matt soit le compagnon idéal pour une réintroduction aux rendez-vous galants. Il est bien trop intimidant. Trop incroyable. Trop… tout.Alors que cette pensée prend forme, une notification m’informe de l’arrivée d’un message en même temps que l’identifiant de Matt s’affiche sur mon écran.
« – C’est tellement bon, murmure Lark.
J’ai du mal à croire qu’elle puisse être si belle, offerte à mes désirs dans l’obscurité. Mes fantasmes n’ont jamais été aussi agréables. J’éprouve une surcharge sensuelle, la sensation de sa peau si douce contre la mienne et le goût salé de son corps dans ma bouche. Je l’embrasse en descendant le long de son ventre. Je pose quelques baisers sur son mont-de-Vénus. Sa respiration s’accélère de plus en plus. Je rassemble mon courage pour passer ma langue sur son sexe. Elle pousse un petit cri de plaisir.
Son goût est unique, un délice de miel et de musc. Je l’explore avec ma langue, elle gémit et halète. Les sons qui sortent de sa bouche son hachés, joyeux. Maintenant je sais comment la rendre heureuse. Tant que je couvrirai cet endroit de baisers, elle sera béate, sans appréhension. »
Mais pas de doute, c'est bien moi sur cette photo. C'est nous. Et c'est parfait.

Quand j’étais plus jeune, je croyais que chacune de ses chansons reflétait la pure vérité. J’écoutais ses nouveaux albums du début à la fin, en croyant qu’au cours des dix-huit derniers mois, il était tombé en panne au bord d’une route désertique et que ça l’avait fait réfléchir sur sa vie, qu’il avait manqué un avion destiné à le ramener vers son grand amour, surpris son amoureuse en train de le quitter avant l’aube et s’était interrogé sur la destinée de ces jeunes gens qui mouraient en Afghanistan.
S’il chantait : « Je voulais que tu restes un instant », je croyais qu’il avait reproduit les mots exacts adressés à quelqu’un dans la vraie vie.
Les paroles constituaient mon seul moyen de capter ses pensées et je les prenais au pied de la lettre. Jamais je n’aurais imaginé qu’il puisse embellir la situation, inventer quelque chose. J’ai même essayé de trouver « Wild City » sur une carte.
En vain, à mon grand effroi.
En grandissant, j’ai appris à ne pas tout prendre pour argent comptant. Pourtant, je passais des heures sur mon lit à disséquer les paroles de ses chansons, à scruter les allusions à une petite amie nommée Jenny ou à une fille disparue depuis longtemps.
Je n’en ai jamais trouvé.
— Rince-toi la bouche et crache, d’accord ? Ne bois pas l’eau, même si tu as soif.
— Pourquoi ?
— Parce que ton ventre est encore en colère pour le moment. Ce serait con. Fais-moi confiance.
— Tu as dit un gros mot, dit-elle d’une petite voix.
Je tournai le robinet à sa place.
— Tu peux en dire un, toi aussi. Quand on vomit, on a droit à un gros mot gratuit.
— Merde, dit Lucy.
— Bon choix.

— Rafe, murmurai-je. Il y a peut-être une partie de ta mésaventure que je peux arranger.
Il déglutit péniblement et son regard se posa sur mes lèvres, mais il ne bougea pas. Au lieu de ça, le temps ralentit et je sentis chaque fibre de sa personne prendre conscience de ma présence. Son corps s’immobilisa et ses yeux s’assombrirent.
Pendant quelques battements de cœur, je laissai Rafe se faire à cette idée. Quand je posai lentement mon autre main sur sa poitrine, il lâcha un grognement de surprise. Il ne bougeait toujours pas d’un cil et me regardait d’un œil avide.
— Je t’ai toujours trouvé sexy, murmurai-je en appuyant ma paume contre ses pectoraux. Le moment me paraît bien choisi pour te le dire.
C’était la pure vérité. Et la vérité, comme j’avais pu l’apprendre, était plus sexy que tout.
Manifestement, il était d’accord avec moi, car son beau visage se rapprocha. Les lèvres de Rafe, étonnamment douces, effleurèrent les miennes et il soupira. Il s’attarda sur les commissures sensibles de mes lèvres, me mordillant tout doucement avant de plaquer avec plus de ferveur sa bouche chaude et ferme.
Mon cœur faillit s’arrêter, séduit par sa manière silencieuse de prendre le contrôle. Mama mia. Il ne m’enlaçait pas sauvagement. Il n’en avait pas besoin. C’était une conquête subtile. Je reçus un baiser lent et insistant. Puis un autre. Sa poitrine s’avançait lentement vers la mienne, jusqu’à ce que je sente la chaleur qui émanait de son corps. Je n’eus d’autre choix que de presser mes seins contre lui tandis qu’il approfondissait notre baiser.
J’entendis un gémissement rauque et me rendis compte qu’il provenait de moi.
Rafe passa deux doigts sous mon menton. Son autre main effleura ma taille avec une telle légèreté que je faillis ne pas m’en apercevoir.
Cet homme me touchait à peine et j’éprouvais déjà une envie éperdue. J’entrouvris les lèvres sous les siennes. La première fois que sa langue glissa sur la mienne, mon désir redoubla. Il avait le goût du bon vin et du sexe. Mes doigts agrippèrent sa chemise en coton. Ralentis, m’intimai-je. Mais l’intense vibration que je ressentais chez Rafe ne me facilitait pas la tâche. Nous avions tous les deux passé une mauvaise journée. Il était logique que nous cherchions à évacuer la pression par une bonne séance de jambes en l’air.
Qui n’en ferait pas autant ?
Souriant contre ses lèvres, je montai sur ses genoux. Alors que mon corps se détendait contre le sien, il poussa un gémissement de désir.
Je le ressentis partout.
— Bella, chuchota-t-il entre deux baisers. Me matas.
Il suffisait d’avoir grandi à New York pour savoir le traduire. Tu me tues.
— Oh, Bridger. Je suis désolée.
— Moi aussi, je suis désolé.
— Tu sais…
Sans doute voulait-il que je change de sujet, mais je ne pouvais pas m’en empêcher.
— Je ne l’aurais dit à personne.
Il soupira dans le téléphone.
— Je le sais, Scarlet. Ce n’est pas pour cette raison que je ne t’ai rien dit. Avec toi, je n’ai pas envie d’être ce type-là. Le type avec un tas de problèmes.
Je pris une grande inspiration. Parce que j’avais fait exactement la même chose – exactement le même choix. Il ne connaissait rien de moi, car je ne voulais pas être cette fille-là.
— Tu es toujours là ?
— Oui, répondis-je.
— Ça te paraît sensé ?
— Plus que tu ne le crois, lui avouai-je.
Je l'aime depuis toujours. J'aime tout chez lui. Sa force tranquille son humour pince-sans-rire, sa façon d'aborder la vie avec désinvolture, qui contrastent avec son besoin de tout contrôler sur la glace. Ce corps, tellement érotique.

— Putain, tu es magnifique. J’ai envie de goûter ta peau depuis le premier soir où je suis entré dans ce foutu bar.
Je n’avais pas l’habitude d’entendre des compliments et je ne leur faisais pas entièrement confiance. Mais ses lèvres et sa langue vénéraient mon cou sensible, propageant des frissons dans tout mon corps. Son souffle me caressait tandis que sa bouche chaude déposait un autre baiser dans mon cou. Quand il me suça légèrement la peau, je me sentis fondre contre la porte.
Mes choix de vie commençaient à me paraître plutôt malins, tout compte fait. Je levai la main pour toucher enfin ces pectoraux sculpturaux et il émit un petit rire contre ma peau.
— Ça te plaît ? Enlève mon haut, beauté. Vas-y.
Je m’empressai d’obéir, soulevant le coton de son polo, mes paumes se livrant à l’exploration de chaque relief et ondulation, sous son regard vaguement narquois. Son expression amusée me facilitait la tâche. Ce mélange d’autorité et d’humour me mettait à l’aise.
Apparemment, je prenais trop de temps, car il prit l’initiative d’ouvrir le bouton de son col, puis il attrapa l’ourlet de son polo et le glissa par-dessus sa tête. Waouh ! Ce type était baraqué. Même ses muscles avaient des muscles.
— Tu dois passer beaucoup de temps à la salle de sport.
— Tu n’as pas idée. Assez parlé, beauté.
Saisissant mes deux mains, il les posa sur son torse chaud. Puis il se pencha et m’embrassa à nouveau dans le cou. Décidément, ses lèvres avides et sa langue autoritaire opéraient des merveilles sur mon état d’esprit.