Comment survivre au retour de vacances ?
Vous êtes responsable de vous. Soyez unique, soyez vous, dans sa plus jolie version, même si elle ne vous semble pas la plus productive ou la plus parfaite. Irradier est souvent plus puissant que produire. N'oubliez pas votre être au profit du faire. Car sans être, pas de faire. Sans rêves fous, pas de découvertes. Si vos rêves sont en vous depuis toujours, c'est sans doute... qu'ils s'y sont sentis bien et qu'il y a quelque chose à en faire. Dites leur bonjour, ils vont sûrement vous inspirer des réalisations fantastiques pour les autres et vous-même. Tendez l'oreille à cet enfant intérieur que vous avez toujours rabroué. S'aimer, c'est la santé et c'est la liberté.
...mais quand on isole un enfant en critiquant le monde et en exploitant son admiration d’enfant pour l’humilier et le dégoûter du monde, le syndrome de Stockholm se met en place et même les études de psychologie ne suffisent pas à faire prendre conscience de ce que l’on a vécu. Il faut une thérapie mais aussi des relations familiales autres, des relations amoureuses et filiales, qui, parce que vous établissez un autre type de lien, vous font mesurer le gouffre qui existe entre une relation humaine et un lien dangereux.
Vivre sans avoir connu l’amour d’une mère, vivre en ne rencontrant chez sa génitrice que la persécution rend la confiance en soi et en la vie quasi inaccessibles..
La maltraitance et la violence, au même titre que chez d’autres l’inceste ou l’alcoolisme menaçant d’un père, sont des mines antipersonnel à proprement parler. Elles empêchent d’avoir une pensée personnelle concernant son être propre, elles fragmentent la mémoire de sorte que l’identité est introuvable, tant on navigue avec panique entre deux injonctions paradoxales, ou deux souvenirs minuscules qui font écran à tout le reste.
bonjour.lorsque j'avais 15 ans j'ai du sciez involontairement la branche ou j'étais douillettement assis,étrangement s'est la branche qui est tombé est je suis rester suspendu dans le vide! 50 année plus tard ça donne le roman, l'horizon bleu qui à probablement un rapport avec cette citation.
Mais je suis encore toute petite à l’époque, et je ne vois pas que tout est mort.
Je crois réellement qu’on a le pouvoir de mettre de la conscience dans les relations pour enseigner aux enfants que les émotions négatives et la jalousie sont naturelles mais qu’il faut les canaliser pour qu’elles ne détruisent pas un lien absolument nécessaire et vital, le lien familial.
Muselée, et on me dit handicapée affective. Mais cela me met en danger, à la fin. Et puis, comme dit Hicham Ayouch, le scénariste de Fièvres, « peut-être que le silence, il en a marre de fermer sa gueule ». Je me sens à double fond. Je me sens fausse en me taisant, répugnante en parlant. Je sens bien que, seule, je vais mieux. Je n’ai plus besoin d’être en hypervigilance, de me suradapter à l’autre pour éviter un danger. Bref, je projette que les autres risquent de se conduire comme elle. Elle a réussi à scier mon désir relationnel.
Changer, c'est penser et agir plus grand que nos circonstances présentes et notre environnement.
Joe Dispenza
Le plus dur, c’est de se défaire de la honte, de la culpabilité d’exister et du doute quant au bien-fondé de la vie, autrement dit d’une forme polie du désespoir.
La culpabilité, ce poison par lequel elle vous a gelé l’âme.
Le doute, qui rend votre pas hésitant et votre désir ambivalent plus que de raison, et la timidité à exister qui vous pousse à l’effacement. Pensez simplement que vous sauver, c’est sauver un petit morceau du monde, et souriez, car leur dictature du malheur n’a pas de sens. Ne leur donnez pas raison en fuyant les relations.