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Critiques de Marie Fugain (35)
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

La mort de Laurette Fugain a ébranlé toute la famille.

C’est Marie qui était à ses côtés lorsqu’elle a rendu son dernier soupir.

Elles étaient très proches et complices.

Sa mère se donne corps et âmes à son association pour lutter contre la leucémie, son père se réfugie dans la musique.

Marie se sent doublement abandonnée. Par sa sœur et par ses parents

J’appréhendais la lecture de ce livre.

D’abord le titre me faisait craindre le pire.

Mais au final, il est très compréhensible, et on n’a pas à faire à un apitoiement sur soi comme je le craignais.

Il analyse très bien comment le deuil peut être ressenti différemment par chaque membre de la famille, et comment chacun se débrouille à sa façon pour accepter l’inacceptable.

Le ton est juste, l’écriture très fluide.

J’espère sincèrement que ce livre a su redonner à Marie un peu de la force qu’elle avait perdue.

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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Marie Fugain retrace dans «Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais», la douloureuse expérience de la perte de sa sœur cadette, Laurette, décédée à 22 ans d'une leucémie foudroyante.

Le livre est sorti 10 ans après le décès de sa sœur car c'est le temps qui lui a été nécessaire pour sortir de ce choc, sans traumatiser son mari, ses enfants, sans haïr un père reconstruit ailleurs et une maman éplorée, chargée de tout le malheur du monde avec son association pour informer la France sur le don de moelle osseuse et de plaquettes sanguines. Dix ans pour associer des mots à ce grand vide : « dépression », « culpabilité », « abandon ». Marie avait « besoin de ses parents, besoin qu'ils arrêtent de dire qu'ils étaient morts avec Laurette ».

Parce qu'également, pour les autres, seul semble compter le deuil des parents. Elle n'est que la sœur, aînée de surcroît. Il semble acquis qu'elle n'ait pas le droit de souffrir : « Tu es grande, tu as ta vie, tu vas t'en sortir ». Sa plus grosse erreur a été de jouer le rôle de l'aînée qui assume, celle dont on croit qu'elle ne connait pas la douleur parce qu' elle ne l'exprime pas

C'est un livre qui ne donne pas dans le pathos, qui est simple, direct et honnête car Marie Fugain utilise une franchise, une vérité, une sensibilité dans les mots et les émotions, qui nous entraîne dans le labyrinthe d'un deuil impossible, sans oublier que la vie s'impose encore et toujours...

J'ai été touchée par ce livre à l'écriture simple mais captivante.

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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Ce témoignage de Marie Fugain sur la mort de sa soeur Laurette d'une leucémie est très émouvant. Il réussit à ne pas tomber dans le pathos mais au contraire à nous faire réfléchir aux émotions éprouvées par la soeur de Laurette, Marie, de qui elle était si proche, et par ses parents. Nous voyons combien la maladie et au delà la mort peuvent ébranler une famille, jusqu'à faire se déchirer les personnes les plus fortes apparemment. Où trouver la force de continuer à vivre quand on a perdu une soeur ? Marie Fugain nous relate sa vie, son parcours avec force, parfois humour ou dérision mais brillamment. Une belle lecture pour les personnes qui aiment ce genre de témoignages qui ne laissent pas indifférents.
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

C'est un livre bien écrit, elle a su montrer combien une famille peut voler en éclats suite à la perte d'un de ses membres, la complexité de ce que l'on peut ressentir, la vie qui continue malgré tout. Sa mère qui lui impose la photo de sa soeur lors de son mariage. Le processus de deuil est complexe pour elle, ce livre est une facon d 'exorciser son chagrin et sa souffrance invisible aux yeux des siens.
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

"Le 18 mai 2002, j'ai perdu ma petite soeur Laurette d'une leucémie."

Le témoignage de Marie Fugain ("fille du sud", actrice et fille du chanteur Michel Fugain) de Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais (titre évocateur du sujet de ce livre) parle de fin de vie, des efforts de l'entourage,des traitements lourds subis, des réactions face au manque "d'un bout de notre forteresse familiale", des souvenirs du bonheur et des tentatives pour vivre malgré tout .

Ce livre est touchant de la part d'une femme mariée, mère de deux enfants, qui montre, sous sa carapace, la petite fille élevée dans les contes de fées (du "Big Bazar" et des Walt Disney) qu'elle est toujours et qui a manqué de reconnaissance familiale (mais peut-on soutenir lorsque l'on est foudroyé?).

Ce document, qui déballe tout du déchirement familial ne m'a pas intéressée pour son côté intime, trop personnel, mais pour la tentative (humaine) de reconstruction de chacun (amour, autre amour, création d'une association..), la lutte pour la survie menée comme un combat. Un combat (ne serait-ce que pour la vie) n'entraine-t-il pas des pertes et fracas? Ne faut-il pas détruire pour (se) reconstruire?

Un livre qui nous rappelle que le malheur peut sonner à notre porte du jour au lendemain et qu'il faut s'armer de courage pour le repousser.

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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Ce témoignage est si touchant, si émouvant et raconte en toute humanité que l'on ne peut que être touché par ce récit.

Des mots simples et des phrases courtes nous plonge dans la vie de Marie et de sa soeur Laurette, qui vont traverser des épreuves plus que douloureuses : vivre avec ce fichu crabe.

Un témoignage sincère et réaliste qui nous émeut
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Je suis une fille de la génération Big Bazar… j’ai grandi avec les chansons de Michel et Stéphanie Fugain et leur joyeuse troupe toute bariolée… j’ai chanté, dansé sur ces musiques si entrainantes et gaies, pleines de vie… donc forcément quand Laurette Fugain est décédée d’une leucémie à 22 ans, cela m’a touché… et puis mourir si jeune. J’ai admiré le combat mené par sa mère pour les dons de plaquettes, de sang… celui de toute la famille.

Et puis quand j’ai vu que sa sœur ainée, Marie, que je connaissais, entre autres, pour l’avoir vu dans la série Navarro, qui sortait ce livre… j’ai su de suite que je le lirai. D’emblée son cri, sa détresse, je la comprenais et je voulais la lire, par solidarité peut être… je ne sais.

Donc je l’ai sous le coude, depuis quelques temps, quand j’ai pu me le procurer, et là, alors que ce n’était pas vraiment le moment, j’ai senti qu’il fallait que je le lise.

Livre lu en 24h, ce qui ne veut pas dire, livre facile ou insignifiant. Bien au contraire.

Livre bien écrit, ce n’est pas toujours le cas de la part de personnalités, sans pathos (je n’aurais pas supporté d’ailleurs), avec simplicité, sincérité mais retenue. Elle parle, explique, mais n’étale pas et ça, j’ai apprécié.

Et ce qu’elle écrit m’a parlé, m’a un peu rassuré, je ne suis pas seule à ressentir certaines chose, à être confrontée à certaines choses si dures et incompréhensibles.

Et bien que ce livre parte de la mort d’une jeune fille qui avait encore toute sa vie à vivre, il est plein de vie et donne un certain espoir. Enfin c’est ce que j’ai ressenti.

Bref, je le conseille vivement. Sans prétention, c’est un livre qui m’est utile.

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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

la curiosité, la volonté de découvrir l'auteur - ici Marie, de la famille Fugain, qui comme nous tous, je ne connaissais que très peu -, l'empathie pour ceux qui sont contraints d'écrire pour laisser sortir ce qui les ronge et qu'ils n'ont pas su dire, font des témoignages, un de mes thèmes de prédilection.

l'euphorie d'une frustration enfin levée, le caractère enjouée de " la fille de l'homme qui chante la fête, la vie, l'amour et ne [peut pas] voir que le verre à moitié vide " produisent une écriture hystérique agrémentée de points de suspension et points d'exclamation à tout va, et aura eu raison de ma motivation.

la vie est courte et beaucoup d'histoires écrites autrement restent à parcourir.

abandonné à la fin de la page 51.
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Marie Fugain a attendu dix ans pour écrire ce livre sur la mort de sa soeur. Dix années pendant lesquelles elle a dû faire face à la souffrance alors que sa famille était toujours sur le devant de la scène, sa mère ayant créé l'association Laurette pour combattre la leucémie et son père se produisant toujours en concert. Marie semble écrire comme elle parle, comme elle pense surtout. Elle raconte les faits, de la nouvelle de la maladie de sa soeur à son décès en passant par les différentes étapes des soins, des événements de la vie de famille et en racontant l'après Laurette.



Chacun est égal face à la maladie, à la souffrance d'avoir perdu un proche. Marie est une fille mais aussi et surtout ici une grande soeur. Elle raconte des parties de sa vie professionnelle mais aussi privée afin de nous faire comprendre dans quel environnement elle vivait à cette époque. Comment faire face à la maladie de sa soeur ? Comment être présente à ses côtés dans ce malheur tout en étant amoureuse de celui qui deviendra son mari ? Ses sentiments sont sincères et exprimés simplement sans artifice ce qui est d'autant plus touchant car criant de vérité. On découvre aussi les parents de Marie Fugain... ce père célèbre qui va quitter le foyer familial pour une autre femme alors que la mère se dévoue à l'association qu'elle crée.



Marie Fugain nous raconte chronologiquement les débuts de la maladie de sa soeur Laurette mais aussi l'après Laurette. Elle nous dévoile les drames de sa famille qui auront lieu juste après la mort de sa cadette et qui nous font que plus compatir à sa douleur. On ne peut que se mettre à sa place, qu'on ait des frères et soeurs ou non car cela ressemble à la vie de chacun. Elle raconte des sentiments que nous connaissons tous et questionne la vie, réfléchit sur papier comme si elle pouvait se délivrer de sa douleur en trouvant les réponses par l'écriture.



Ce livre est particulièrement émouvant et touchant car il est personnel et raconte des sentiments profonds ainsi que la douleur de la perte d'un être cher. J'ai été conquise par cette lecture ne pouvant m'empêcher de penser à ma petite soeur et de me faire des réflexions à moi-même, un peu comme le fait Marie Fugain avec ce livre, me disant à quel point j'aime ma soeur et comme je serais malheureuse si elle n'était plus là. Ce livre permet de voir différemment certaines choses, comme le fait que tout le monde a le droit à sa souffrance et qu'il n'y a pas d'échelle de la douleur, qu'elle est propre à chaque individu.
Lien : http://mary-book.blogspot.fr..
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Que dire de ce livre si ce n'est que c'est qu'on ne peut que s'identifier (tout du moins en partie à l'auteure).

Oui elle a du en plus supporter le battage médiatique autour du décès de Laurette, oui elle a été déchirée entre ses deux parents, deux "stars", oui elle a le calvaire de la marche commémorative même si c'est pour une bonne cause.



Ce livre nous montre comment tout à chacun réagit différemment face à la mort d'un être cher et aimé.



Ce livre nous montre qu'on a beau essayé d'être fort pour tout le monde, on finit par s'écrouler et avoir besoin des autres et heureusement elle a trouvé du réconfort auprès de la famille qu'elle avait constitué.



J'aime ce livre car il ne pleure pas sur la mort de Laurette, certes elle en parle avec émotion, elle parle plus de la vie de sa soeur que de sa mort.

Elle parle de sa vie , de leur vie, de leur complicité.

Elle parle des conséquences du décès.



Elle m'a émue, elle m'a fait sourire.



Et dans une période où je perdais un être cher, je me suis sentie proche d'elle, de celle qui prend en charge pour aider ceux qu'elle aime, et qui finit par devoir se débrouiller avec sa propre peine, et le fait d'être la survivante.



Beau livre.
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Lu il y a quelques mois déjà mais je voulais transmettre de ce livre-témoignage de l importance aujourd'hui de la prise en charge des frères et soeurs lors d un décès dans la fratrie.

Marie fugain nous exprime sa souffrance lors de la mort de sa soeur Laurette et le fait que personne ne l'ait pris en compte.c est un livre touchant, authentique .
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Très beau livre, profond, bien écrit.

Jamais larmoyant, malgré la gravité du sujet.

Très beau témoignage sur l'amour fraternel.
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

J'ai été très touchée par ce livre. Marie Fugain nous livre ici une sorte de confession, un témoignage poignant mais pas larmoyant, sur sa vie, le décès de sa sœur, les dommages collatéraux que cet évènement a produit autour d'elle. Elle nous confie ses souvenirs, ses états d'âme, ses douleurs, ses chagrin, mais aussi ses joies.

L'écriture est très fluide et rend ce livre léger (à sa lecture non pas sur le sujet) malgré le drame qu'il raconte.


Lien : http://emysbooks.blogspot.fr/
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

"Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais... (pourtant Laurette était ma soeur)" de Marie Fugain.

Témoignage de Marie dont la soeur Laurette est morte de la leucémie.

Un peu douloureux à lire mais cheminement nécessaire pour moi (ma maman est décédée des suites d'une leucémie)

Livre positif aussi, je retiendrai cette phrase : "Il faut savoir reconnaître le bonheur quand il pointe le bout de son nez."
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

A vrai dire je ne suis pas une accro aux autobiographies et encore moins de celles des people, mais j'avoue avoir , par le hasard des échanges de livres , fait de belles découvertes. Merci Annie pour ce cadeau, sans toi je n'aurais jamais lu ce livre.

Ceci est le témoignage émouvant de la fille de Michel et Stéphanie Fugain sur les bouleversements engendrés par la mort de Laurette sa sœur en 2002, dans sa propre vie de femme et au sein la cellule familiale des Fugain.

C'est avec beaucoup de pudeur que Marie Fugain nous fait partager son chagrin, dévastée par la mort de sa sœur,sa souffrance ignorée par tous comme si seuls les parents avaient besoin que l'on compatisse à leur peine et qu'on les accompagnent. Quelle place dans la hiérarchie de la douleur pour une sœur deja adulte qui plus est ?

" Cette manie d'établir une hiérarchie dans la douleur :dis moi qui tu est par rapport à la disparue et je te dirais à quel point tu peux souffrir et combien de temps"

Enfants oubliés, elle et son frère, tandis que sa mère ne vit plus que pour son association et que son père se réfugie dans la musique, elle tente vaille que vaille, entre colère et désespoir d'avancer sans faire trop souffrir son entourage.

"il existe une catégorie d'endeuillés qui demeurent invisibles aux yeux des autres : les oubliés de la douleur

A cette perte terrible s'ajoute le délitement de sa structure familiale et les non dit qui la tiendront éloignée un temps de son père

On sens beaucoup d'amour pour eux, ainsi que pour tous les autres membres de la tribu Fugain, de son attachement pour la Corse (ou la famille Fugain était très appréciée pour sa gentillesse et sa simplicité, une de mes connaissances qui vivait pas très loin de chez eux a bien connu Laurette m'en avait parlé un jour alors que nous passions devant chez eux, et j'avoue que çà laisse une drôle d’impression de suivre Marie évoquant I' Ile Rousse, Pina et Corbara)

Ce témoignage est touchant, c'est entre rire et larmes, c'est une histoire qui peut être celle de n'importe qui, parce qu'on est tous la sœur de quelqu'un.

Entre confessions intimes, mais avec beaucoup de respect pour ses proches, et thérapie, Marie Fugain fait vivre pour elle et pour nous sa sœur adorée, nous sensibilise à la Leucemie et ses ravages et aux dons de plaquettes, un si petit geste.

C'est poignant et drôle, la plume de Marie Fugain est fluide et agréable malgré le sujet, un témoignage qui fait beaucoup réfléchir, enfant de star, ou anonyme face à des drames personnels nous sommes tous les meme.
Lien : http://missneferlectures.ekl..
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Ayant comme Marie perdu ma sœur, c'est avec une certaine appréhension que j'ai abordé ce livre et pourtant il m'a accroché et j'ai adoré cette auteur de talent qui réussi a mêler les sentiments le courage mais aussi l'humour.....bravo j'adore !
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Livre très touchant, plein de sincérité à lire !
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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Dans la famille Fugain je demande la fille, l'aînée, Marie.

Celle qui n'a pas osé exprimer sa peine, la rage qui l’envahie lors de la perte de son unique petite sœur. Celle qui s'est toujours tenue "debout" Celle qui est restée forte pour les autres...

Personnage publique certes, je ne connais pas bien Marie Fugain, mais ce livre si court soit-il, à peine 190 pages, m'a transportée l'aspect d'un instant dans sa vie... J’ai été bouleversée à certains moments, j'avais envie de la prendre dans mes bras, de lire dire que le temps ne guéri pas mais qu'il aide à accepter...

C'est une immersion dans la famille Fugain qui ne peut pas laisser indifférent...

Je ne ferai pas de résumé du livre, simplement vous dire que oui il parle de la maladie, mais c’est aussi un hommage a la vie. La grande sœur qui présente sa petite sœur comme elle était ; pas une icone de la maladie suite a une association crée en son nom, mais la jeune fille pétillante, belle, et parfois chiante (entre sœurs c’est normal 😉) qu’était son unique petite sœur.

« Il existe une catégorie d’endeuillés qui demeurent invisibles aux yeux des autres : les « oubliés de la douleur » … La souffrance ne se quantifie ni ne se qualifie. »

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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

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Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais

Ce livre m'a été conseillé par une personne touchée par le deuil de sa sœur. Elle m'avait dit qu'il l'avait beaucoup aidée et je me suis donc laissée tenter. J'ai malheureusement été déçue et je suis restée sur ma faim. J'attendais une analyse plus "poussée" sur ce que l'on peut ressentir lors du décès d'un frère ou d'une sœur. En réalité, il s'agit davantage du récit de la vie de Marie Fugain durant la maladie de sa sœur et hormis le début du livre, que j'ai trouvé assez émouvant, la suite m'a parue sans réel intérêt (à dire vrai, Marie Fugain m'a même parfois agacée par son côté nombriliste !).

Bref, mises à part quelques phrases qui m'ont "parlé" dans la première partie du livre , et même si les critiques de ce témoignage sont plutôt positives dans l'ensemble, personnellement il ne m'a pas touchée (et en tout cas, pas apporté ce que j'en attendais).
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