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Critiques de Martin Provost (94)
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Bifteck

Voici un petit livre qui n’a l’air de rien comme ça mais qui en peut de pages vous fait voyager dans de lointains pays.



André a grandi dans l’amour de la bonne chair et lorsqu’il fut en âge de rendre cet amour, on lui a rendu 7 fois sous les traits des 7 beaux bébés joufflus.



Débordant d’amour envers sa progéniture, il décide envers et contre tous de les garder près de lui et advienne que pourra. Cependant, ce n’est trop du gout d’un mari jaloux et voilà qu’André est contraint de prendre la fuite avec sa marmaille vers de lointaines contrées.



Sa destination : l’Amérique terre de tous les possibles. Tel un Christophe Colomb sur sa Santa Maria, la traversée va lui permettre de se rapporcher encore plus de sa descendance et de les voir grandir tranquillement. Ce ne sont pas les tempêtes ou la neige qui vont les arreter.



J’ai souvent souri en lisant ce livre et j’avoue avoir une certaine tendresse pour André qui allie amour de la viande et assurer coute que coute la pitance de ses enfants.



Une chose est sure c’est que la passion de la viande est génétique et peu importe que la descendance soit légitime ou non.

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Bifteck

Un petit roman à savourer tranquillement: c'est sans prétention, sans sauce, tout plein d'humour et de bonnes intentions.
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Bifteck

Livre idéal à lire pendant cet été caniculaire :D C'est un joli conte un peu fantastique dans lequel paternité rime avec rondeur, douceur et tendresse. Un joli pied de nez à tous ceux qui croient qu'il n'y a rien de plus réconfortant que les bras d'une maman. Un papa ça fait super bien l'affaire. D'après les lectures que je vient de faire des critiques sur babelio nombreux lecteurs n'ont pas aimé là fin. Donc je dirai aux futurs lecteurs d'essayer d'accepter autant que possible le fait que la fiction n'a pas l'obligation d'être réaliste, histoire de ne pas être déçus... :)

C'est une façon de découvrir aussi un peu plus de la culture bretonne sous une facette un peu moins rustique, celtique et grave.

J'ai particulièrement aimé son humour, l'impression de ne pas se prendre au sérieux, le mouvement agréable de l'écriture. En quelques lignes j'étais totalement partie à Plomeur et les personnages prenaient vraiment vie. Alors peut être que je dois être un peu folle mais j'ai du mal à croire que cette histoire ne soit pas vraie .

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Bifteck

En pleine première guerre mondiale, Loïc et Fernande Plomeur, à Quimper, doivent la réussite de la boucherie familiale en grande partie à leur fils André. En effet le jeune garçon manie la chair humaine aussi bien que la viande des étals du magasin... Sa réputation ne tarde pas à se faire et toutes les femmes de Quimper, loin de leurs maris partis au front, se presse devant la boucherie en quête d'un rendez-vous amoureux. Au bout de quelques mois, les hommes rentrent du combat et André voit les bébés se multipliaient devant sa porte. Il se retrouve rapidement père de sept enfants, à la plus grande honte de ses parents. Il se voit contraint de quitter Quimper pour éviter la colère d'un mari. Commence alors un long et enrichissant voyage.



Avec ce petit livre, l'auteur nous offre un condensé d'humour, d'humanité, d'amour et de tendresse sur fond de première guerre mondiale et de viande en tous genres ! Il faut un esprit grand ouvert à l'imagination pour suivre le jeune André dans son périple en mer avec ses sept bambins! On s'amuse, on est touché, on s'attache rapidement aux personnages, on sourit en imaginant les femmes de Quimper se pressant devant les étals de la boucherie Plomeur, on plonge au coeur de cette famille atypique, on vogue avec ce père attentionné, on débarque avec les enfants aux prénoms chantant et on referme ce drôle de récit en en gardant une impression de grande douceur. Un voyage initiatique fort plaisant dont on se délecte jusqu'au bout !
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Bifteck

J'ai tout simplement adoré : tout est chair façonnée par les mains de l'homme, cet homme c'est André que les aléas de la vie de famille amène à travailler à la boucherie familiale, qui palpe avec doigté, poésie et gourmandise tantot la viande de boeuf tantot la chair féminine. Sa virtuosité gagne les alentours de la boucherie familiale bientôt envahie par une engeance féminine que ses exploits attirent inexorablement. Notre André donne tant et si bien de lui-même qu'il découvre un jour sur son palier...un landeau et son bébé. Puis un autre. Puis un autre... fruits de ses débordements. Ainsi nait sa vocation paternelle débordante, protectrice. Tout est charnel, voluptueux, sensuel et l'amour paternel est merveilleusement inspiré dans ce récit drôle, pittoresque aux aventures surprenantes et irréelles.
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Bifteck

Ce livre démarre sur les chapeaux de roue avec la naissance d'un futur héritier boucher dont le premier mot est "bifteck". La première partie est burlesque, drôle et frôlant parfois le fantastique avec une très belle plume. En revanche la deuxième partie est poussive et se transforme en n'importe quoi. Dommage vraiment parce que le début est plein de promesses. A lire pour ce début qui vaut vraiment le coup !
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Bifteck

Je ne me souviens plus de l'incipit, une chose est sûre, l'entame accroche et oblige à poursuivre. La première partie du récit est alléchante avec une plongée chez les Ploumer, famille de bouchers de Quimper.



On est en 14-18 et le fiston, André, fait la joie de ses dames. Pendant que les maris sont au front, il console les esseulées à ses heures perdues. Sauf qu'une fois la guerre achevée, les maris rentrent chez eux et du jour au lendemain des bébés sont déposés sur le paillasson des Ploumer. C'est qu'André n'y est pas allé de main morte et donc les marmots indésirables sont confiés au bon soin de leur géniteur. André est ravi... mais c'est sans compter les conséquences de ses actes.



Il va falloir lever l'ancre.Voilà donc le père et ses 7 enfants embarqués sur une construction de fortune. C'est qu'ils veulent joindre l'Amérique et tout reconstruire ailleurs. La traversée est mouvementée mais tout le monde arrive sain et sauf. Sur la terre ferme, un nouveau périple commence. André peut-il regretter sa vie de boucher prospère?Voilà un livre étonnant qui nous fait partir sur la voie des joyeusetés quans les soldats sont au front à l'exil salvateur d'une équipée bien atypique. On ne sait pas trop comment on en est arrivé à là et c'est vrai que le final a un goût d'absurde.Mais le style est bon, le personnage est sympathique et sa marmaille devient vite indispensable à la pousuite de l'histoire.
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Bifteck

Comme c'est écrit en quatrième de couverture : une fable savoureuse. Malheureusement ,en ce qui me concerne, le charme n'a opéré que dans la première moitié du bouquin ; les hallucinations de la seconde partie ont gâché mon plaisir de lecture. Dommage...
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Bifteck

Bifteck, c'est l'histoire d' André, un jeune boucher breton qui porte en lui le savoir de plusieurs générations. Dans cette famille, ils sont bouchers de père en fils, au point que le premier mot qu'a balbutié André n'est pas papa ou maman mais Bifteck !



André a son métier dans le sang, on dit même qu'il fait chanter sa viande ! Mais il a une autre qualité, c'est un amant tout aussi doué pour s'occuper de la chair féminine qu'il fait chanter sous ses doigts. C'est la guerre, les hommes sont au front. Pendant ce temps, André partage son temps entre son métier et ses innombrables aventures féminines !



Le jour où sept berceaux vont être déposés devant le perron de la boucherie, la douce vie d'André prend fin. Enfants illégitimes, maris trompés, la colère gronde dans le village. André décide de quitter sa Bretagne avec ses sept enfants. Il achète un bateau et s'enfuit vers l' Amérique......



Cette histoire est racontée à la manière d'un conte, avec beaucoup de finesse et d'humour. L'aventure d'André est une épopée fantasque, farfelue et très drôle. La morale de cette histoire s'il y en a une, c'est que ces sept enfants ont pu choisir un autre destin que celui imposé par la famille. A la différence du conte du petit Poucet, André n'est pas un ogre mais un père aimant qui laisse à ses enfants le choix d'inventer une autre manière de vivre leur vie à la lumière de l'héritage familial.
Lien : http://de-page-en-page.over-..
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Bifteck

La biographie surréaliste d'un certain André Plomeur, fils de boucher, et inventeur du hamburger. C'est une fiction, une sorte de fable gargantuesque que le réalisateur de Séraphine a écrite en hommage aux émigrés allemands qui, débarquant aux USA avec leurs habitudes culinaires ont importé cette spécialité de Hambourg, d'où son nom.



Un livre à lire juste avant, ou juste après fruits et légumes d'Anthony Palou.
Lien : http://abrideabattue.blogspo..
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Bifteck

Il était une fois, au fin fond de la Bretagne bretonnante, au cours de la Grande Guerre qui ne fut hélas pas La Der des Ders, une boucherie tenue de père en fils à Quimper par les Plomeur.







"Élevé au lait entier, le jeune André évolua rapidement dans la tradition ancestrale en travaillant au magasin dès l'âge de cinq ans."







Mais le jeune André n'est pas doué qu'en art boucher, il déploie aussi ses talents dans tout autre domaine, et les dames du coin font la queue dans la boutique. Ce qui devait arriver arriva : des couffins d'osier furent déposés anonymement sur le pas de la porte, et André, chez qui la fibre paternelle s'éveilla aussi très vite, prit sous son aile Tanguy, Yannick, Cédric, Pierric, Guénolé , Maryvonne et Gretchen (petit jeu : cherchez l'erreur, qui en fait n'en est pas une).



Las! Un mari cocu devint fort mécontent, et André et sa couvée durent fuir sur un navire, direction plein Ouest, pour un périple étonnant...







N'aimant pas franchement la viande rouge, ce Bifteck n'aurait jamais dû atterrir dans mon assiette, mais la chair est faible et les billets positifs. Assez vite le récit largue les amarres de la vraisemblance et flirte avec l'imaginaire, ce qui n'est pas pour me déplaire, mais me laisse cependant un goût d'inachevé. La pirouette finale est bienvenue mais le sort d'André m'a laissée coite.







L'auteur use d'une écriture ciselée et imagée allegro con carne ma non troppo mise au service d'une imagination débordante et fort originale. C'est sensuel, oui!
Lien : http://en-lisant-en-voyagean..
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Bifteck

Je donne donc dans la viande ces derniers jours. Et le moins que l’on puisse dire est que la qualité varie. Mettons que l’araignée soit le morceau de choix du bœuf, disons que ce Bifteck n’est pas mon araignée…
Lien : http://manoes.canalblog.com
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Bifteck

Toute la vie de la famille Plomeur tourne autour de la viande, et la première partie du livre m'a vraiment fait sourire avec toutes les allusions incessantes aux différents morceaux de viande, à une chair fraîche et apétissante. Le jeune André apprend à lire ainsi A comme abats, B comme bifteck, C comme côtelette, D comme dindon, E comme épaule, F comme filet mignon, G comme gigot, H comme hure, I comme indigestion ! Chez eux tout tourne autour de la viande et c'est assez amusant.



En revanche, j'ai eu plus de mal avec toute la partie sur le voyage en bateau et l'arrivée sur l'île mystérieuse, cette partie là est plutôt imaginaire, les enfants grandissent à toute vitesse, il se passe des choses bizarres. J'ai beaucoup moins accroché à ce genre de récit mais la fin m'a surprise et amusée à nouveau.



Un avis assez mitigé, en fait j'ai surtout aimé le premier tiers du livre ......




Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
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Bifteck

Ca m'emmerde de ne pouvoir dire autant de bien de Bifteck, mais j'en parle quand même parce que je ne peux pas non plus en dire de mal.
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Bifteck

Ce court roman est un joyeux fourre tout. Commençant comme une comédie lorgnant sur le vaudeville, le récit emprunte à l’aventure maritime façon Hemigway (Le vieil homme et la mer) avant d’accoster sur une île que n’aurait pas reniée Robinson Crusoé. Survient alors une légère dose de fantastique avant une apothéose finale qui tend allègrement vers un genre bien particulier, l’absurde.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Bifteck

Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils aussi André, fils unique de Loïc et Fernande, est élevé pour en devenir un. Alors que la première guerre mondiale fait rage, André, adolescent, développe un don très particulier. Sous ses doigts, la chair des femmes atteint le plaisir suprême. Et, en ces temps de disette du bas ventre, toutes ces dames font la queue devant la boucherie.

Un matin, André trouve devant la boucherie un panier en osier avec à l'intérieur un beau bébé.

Puis un deuxième, un troisième… Et voilà qu’André se retrouve père de sept enfants qu’il aime inconditionnellement. Mais, l’armistice est signé et les valeureux soldats reviennent. André décide de prendre la mer avec ses sept enfants pour rejoindre l’Amérique.

Non, je n’ai pas aimé ce livre, je l’ai adoré car il est un petit bijou dans son genre ! Une lecture truffée d’humour qui flirte avec le conte et qui se lit comme du petit lait.

C’est que Martin Provost a une belle écriture entraînante, joyeuse qui m’a prise par la main. Et les noms des viandes chantent, roucoulent sous sa plume.

J’ai souri, j’ai rigolé, j’ai été émue car c’est une très belle histoire qu’il nous raconte ! Il y a l’amour charnel mais surtout l’amour de ce jeune père pour ses enfants.

Et dès demain je vais aller embrasser gaiement mon boucher !

Un seul conseil : lisez- le !
Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Bifteck

« La terre en eux avait pris place et bientôt elle prendrait toute la place. Ils étaient devenus mortels. »

« André pensa que le monde était bien fait et il ne regretta pas d’être né ni d’être obligé de mourir. »

Une couverture qui met l’eau à la bouche (même si on n’apprécie pas les hamburgers, la nappe est jolie et la présentation amusante), un titre alléchant …. Et un livre à consommer sans modération !!!

Seize courts chapitres et un épilogue pour découvrir un conte moderne, très bien écrit, sur la paternité, la relation entre frères et sœurs, le rapport à la nourriture et à notre terre nourricière …

De l’humour, parfois décalé, de la tendresse et en filigrane, des réflexions profondes sur les relations humaines … Mais tout cela abordé avec beaucoup de délicatesse, donc jamais de lourdeur ni de longueur ….

Martin Provost sait manier « le verbe » pour nous entraîner à sa suite, en Amérique avec beaucoup de poésie …. C’est un conte, une fable, un opus, une leçon de vie, un rafraichissement …

Il faut le lire, le déguster comme un mets particulier, prendre le temps de s’imprégner de cette écriture parfois farfelue, déjantée mais aussi poétique et si bien dosée que l’on a envie de poursuivre sa lecture.


Lien : https://wcassiopee.blogspot...
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Bifteck

Une grosse déception, je ne m'attendais pas du tout à ça, totalement destructuré.
Lien : http://biblidamelie.blogspot..
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Bifteck

ça commence fort et ça s'essouffle un peu ensuite mais ça reste une jolie histoire pleine de poésie
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Bifteck

André, jeune adolescent, est fils de boucher. Sa famille tient une boucherie familiale sur la place de Quimper. Cette boucherie fonctionne admirablement bien. La première guerre fait rage à cette époque. Les hommes sont donc souvent partis servir leur pays. André aime la boucherie, la viande, la chair. Très vite, il va se découvrir un nouveau talent... L'art de conduire les femmes jusqu'au septième ciel. La rumeur se répand vite dans le pays et la boucherie ne désemplit plus. De nombreuses femmes, jeunes comme âgées, font la file dans l'espoir d'être l'heureuse élue, de recevoir le meilleur morceau: l'araignée et surtout de recevoir, durant la pause déjeuner, les honneurs du jeune homme, derrière la cathédrale.

La guerre se termine et par un beau matin, André retrouve devant sa porte un nourrisson (fruit de l'une de ses escapades). A partir de ce jour, cela n'en finit plus et régulièrement, il retrouve un landau avec à l'intérieur, le fruit d'une infidélité féminine. A 16 ans, il se retrouve père de 7 enfants. La paternité ne lui fait pas peur et il s'occupe même très bien de toute cette marmaille.

Pourtant, un évènement va venir perturber la vie d'André. Une ancienne maîtresse lui demande de quitter le pays. Son mari, étant revenu, et ayant eu connaissance de l'existence d'un enfant illégitime, veut le retrouver et lui faire la peau. Une seule solution pour protéger ses enfants... Partir!!!

Partir loin, en bateau, dans le but de reconstruire sa vie en Amérique. Seul hic, André ne se retrouve pas en Amérique mais sur une île inconnue et surtout très étrange...





Mon avis



J'ai beaucoup de mal de vous parler de cette lecture tant elle est bizarre. On se retrouve face à une fable concernant la mort, la vie, l'amour, la paternité, l'infidélité, ...

Au départ, j'ai trouvé ce roman très agréable. L'histoire était déroutante mais j'avais envie d'en savoir plus. De nombreuses métaphores intéressantes et surprenantes donnaient l'envie de continuer la lecture. A plusieurs reprises, certains passages m'ont donné le sourire. Parfois, j'ai même été émue...

Cependant, très vite, je me suis lassée... Le récit avançait trop lentement. Il n'y avait pas assez de rebondissements, l'histoire était belle mais bon... où cela allait-il mener?

Grosse déception pour moi au moment où André prend la route vers l'Amérique...!!! De la fable, jolie et sympathique, on passe à une farce grotesque où s'enchaîne des évènements plus rocambolesques les uns que les autres. La fin, bien que imprévisible, laisse l'impression d'inachevé...



Bref, je ne vous le conseille pas!!! C'est pour moi, la première grosse déception de cette année 2013... Certaines lectrices l'ont aimé, moi j'ai détesté!!!




Lien : http://amis-lecteurs.blog4ev..
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