Masashi Asaki

Un passionné de romans policiers (au point d'en écrire sur la toile) se retrouve, par une suite de bien malheureuses circonstances, à devoir assassiné quelqu'un. La situation est déjà difficile à vivre quand on a passé 47 ans sans histoire et sans ennui avec la justice, mais quand il se trouve en plus que ce type avait des liens avec une bande de yakuzas, les complications montent encore d'un cran !

Que ne ferait-on pas pour protéger sa famille... mais tout le monde vient d'une famille... même des membres de gangs !



C'est un premier tome réussi où le mangaka nous balade entre tension et humour, ce décalage est aussi visible dans le graphisme, ce qui permet un équilibre avec le découpage ultra classique choisi.



Tout cela fait suffisamment d'éléments pour que le lecteur -même si ce n'est pas un grand amateur du genre policier - soit curieux de découvrir la suite.

Comment tirer son plan pour ne pas se faire assassiner par les yakuzas ? En les montant l’un contre l’autre, en créant de la suspicion, en faisant en sorte que le plus gradé ne sache pas si le menteur est Tetsuo ou Kyôich.



C’était plus que serré, ce match au sommet. Le suspense est toujours présent, même lorsque Tetsuo nous explique ce qu’il s’est passé durant son absence, ce que sa femme a accompli, comment il a réussi à faire certaines choses… On a beau connaître l’issue, on a tout de même les mains moites lors de la lecture.



Les auteurs sont des sadiques, bien entendu, au moment où l’on pense que tout est enfin terminé, que tout est réglé, bardaf, un retournement de situation et le vent tourne, menaçant de se transformer en tempête ou alors, Tetsuo doit refaire rebelote et tuer un autre membre du clan…



Mon cœur ne va pas survivre à cette lecture addictive !

« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd’hui, je trépigne de joie et d’impatience parce que je vais partager avec vous une ancienne lecture ! Je suis tellement émue ! pensez donc, un manga d’il y a vingt ans !



-Ouaip. Tu lisais déjà de la bonne grosse daube, à l’époque.



-Hein ?



-Je disais qu’on ne connaissait pas Adaube, à l’époque.



-Ah. Bref, Psychometrer Eiji est l’un de mes tout premiers mangas ! Et comme je viens de le retrouver à la bibliothèque, j’ai décidé de me faire un p’tit marathon solo !



Or donc Eiji, lycéen rebelle, mais gentil, possède le don de psychométrie. En touchant les objets ou les gens, il peut percevoir des images ou des souvenirs. Sa faculté est découverte par Ryôkô Shima, inspectrice de son état, venue enquêter sur de sinistres meurtres. L’occasion est trop belle ! Shima va le convaincre de participer à l’enquête…



Quelle joie de retrouver le duo de choc formé par Eiji et Ryôkô ! Le dessin est tellement sympa !



-On sent que les pieds donnent de la difficulté au dessinateur, cependant… et j’ai jamais compris pourquoi les persos ferment un œil en parlant. Et les trames, oh là là…



-Qu’est-ce que tu veux dire ?



-Je veux dire que, lorsque les persos portent des chemises ou des tissus à motifs, lesdits motifs ne forment aucun pli ! les rayures des manches forment une continuité exacte avec le tissu du tronc ! C’est pas très soigné comme travail, madame ! Je regrette, ça me sort de l’histoire.



-Mais c’est sans doute dû au rythme industriel de parution, Méchante Déidamie ! Quand tu n’as qu’une semaine pour livrer un chapitre, tu es obligée d’aller vite !



-Et donc, tu vas plus vite quand tu fais des microcases illisibles ? Regarde-moi ça, on n’y voit rien !



-Rhôôôh, quelques erreurs de découpage, ce n’est pas bien grave ! Si on parlait plutôt de ce qui marche bien dans ce manga, comme l’humour ? J’adore comment le dessinateur caricature Shima lorsqu’elle se laisse aller à la colère ou à la méchanceté !



-Ouaip. Dommage que ledit humour soit essentiellement constitué d’érection sous le pantalon ou de culotte sous jupe. Le fan-service reste bien trop présent dans ce manga et rien à faire : je déteste ça. Je ne suis plus la jeunette imbibée d’hormones jusqu’aux racines de poil de nez que la moindre allusion graveleuse faisait pouffer. Et c’est quoi, ce trip sur les relations frère-sœur ?



-Hein ?



-Ne fais pas la niaise, Déidamie, dès le premier tome tu sais qu’Emi, la sœur d’Eiji, en est amoureuse. Je regrette, quand on dit « Tu sais bien qu’on n’est pas frère et sœur de sang » en te blottissant contre son dos à cheval sur sa moto, avec un contrejour judicieux, ça n’est pas pur, candide ni innocent. Ca me met hyper mal à l’aise, ces histoires de frère et de sœur, sang entre eux ou pas ! Déjà, j’ai jamais compris comment ça pouvait faire rêver les minettes avec Angel Sanctuary* !



-Oui, mais Angel Sanctuary, au-delà du premier tome, le manga faisait en sorte que tu ne comprennes rien en général, alors… Bon, mais les enquêtes restent fort sympathiques…



-Moi, j’ai de gros doutes sur la pertinence des analyses de Shima une fois les cas résolus. Et depuis que j’ai lu King Kong Théorie, je pense à chaque cadavre que Virginie Despentes a raison : la fiction n’aime jamais autant les femmes que froides. Pinaise, au rythme où les lycéennes sont assassinées, tu n’en as plus une vivante à Tôkyô à la fin de la série ! Sauf les moches, évidemment…



-Méchante Déidamie, tu ne peux quand même pas nier que cette série porte un message féministe.



-Ah bon ?



-Mais oui ! Shima vit des situations de harcèlement et de discrimination sexistes, et le manga ne garde aucune ambiguïté sur ce chapitre-là : il condamne sans réserve l’attitude des chefs masculins.



-Ca reste trop léger pour compenser le reste, entre l’humour graveleux et relou et l’abondance de culottes. »



*Manga racontant l’histoire de Setsuna, jeune homme amoureux de sa sœur, Sara. Cet amour est réciproque et consommé. Et après il y a des anges, des démons, des intrigues, et ne m’en demandez pas davantage, je n’ai rien compris.

Le tome 6 commence sur le cliffhanger du tome précédent, mais cependant, les auteurs vont en profiter pour nous parler un peu plus en profondeur des personnages, et notamment sur Matori, le père de Nobuto, l’assassiné.



On avait déjà aperçu la carapace se fendre dans les précédents tome. Matori n’a jamais su comment aimé, n’a jamais été aimé par ses parents, n’a jamais su y faire avec son fils qui a grandi en délinquant. Il aurait aimé être un bon père, c’était raté et il a encore tout loupé ensuite.



L’épisode entre Matori, des yakuzas et Tetsuo était d’une grande intensité et le suspense à couper au couteau. Après ça, on se dit qu’enfin Tetsuo va pouvoir vivre tranquillou pour le restant de ses jours, ben non…



Quelques moments bucoliques, quelques moments en famille et puis à nouveau les emmerdes se pointent à l’horizon. Et comme nous le savons, les emmerdes, ça vole en escadrille !



Toujours aussi chaud, après un bref moment d’accalmie ! Je me demande bien où cette deuxième partie va nous entraîner...

Un manga seinen qui parle de yakuzas, de mafia, de gans, de meurtres, de découpage de cadavre et qui arrive à me faire rire… Étonnant, non ? Et pourtant, comme le disait une actrice connue "Je ne suis pas folle, vous savez".



Tetsuo est un modeste père de famille, le genre de papa gâteau qui fait tout pour sa fille, qui la couve, que cherche à la voir, à passer des moments avec elle.



À ses heures perdues, il écrit des polars. Rien de prétentieux, il s’inspire beaucoup de ce qu’ont déjà écrit les autres.



Et alors que tout semblait bien aller dans sa ville monotone et tranquille, le voilà avec un cadavre sur les bras, à se demander comment faire pour s’en sortir et s’en débarrasser.



Bourré de situations cocasses et d’humour noir, ce manga m’a fait découvrir des choses intéressantes, notamment comment se débarrasser le plus facilement possible d’un corps. Par certains aspects, j’ai pensé à un épisode de la série Breaking Bad où Walter White doit lui aussi réduire un cadavre à l’état le plus liquide possible.



En prenant ce manga au second degré, il me fut plus facile d’accepter que notre pauvre homme de 47 ans, le genre d’homme tranquille qui ne sera jamais le meneur d’un groupe, ait su trouver toutes les astuces pour liquéfier le corps dans la baignoire et rapporter ensuite les restes dans une sorte de doggy bag valise.



Notre Tetsuo n’a rien d’un super héros, ni d’un mec couillu, il est monsieur-tout-le-monde, mais je me demande combien réussirait cette mission sans craquer, sans foirer le truc, sans rien oublier… Tetsuo est à deux doigts de craquer, il a la trouille de sa vie, mais il y arrive, lui !



Le tout sous la compréhension absolue de son épouse qui va l’aider et sous le regard un peu absent de sa fille qui ne se rend pas compte de ce que ses parents sont en train de faire pour elle et qui me semble fort apathique. Limite à baffer, la fille !



En tout cas, dans ce manga, on ne voit pas le temps passer, le rythme est assez élevé, sans pour autant aller trop vite et le mangaka nous évite les scènes les plus gores. L’humour noir est présent, les situations cocasses font sourire, il y a du suspense et on se demande bien comment cette petite famille va s’en sortir avec les yakuzas.



J’ai bien envie de poursuivre avec le tome suivant, lorsque je l’aurai acheté, pour voir comment ce manga va évoluer.


Lien : https://thecanniballecteur.w..

Une découverte glaçante...



J'ai choisis ce manga par hasard, parce que la couverture me plaisait... Et je ne le regrette pas.



My home hero, c'est une bonne dose de macabre, une cuillère d"humour et une pincée de raté...

Raté, comme notre personnage central, une homme moyen, à la vie banale, qui va devenir un meurtrier, presque par hasard.

Humour, il y en a, de l'humour déplacé, de l'humour cynique, de l'humour comme j'aime.

Et le macabre? Je n'étais clairement pas prête, mais j'ai adoré !



A cela s'ajoute des graphismes travaillés, une intrigue fascinante, et des personnages classiques plongés dans une histoire de folie !



En bref, une belle découverte.



Belle lecture à tous !

Il était temps que je revienne à la vie mouvementée de Tetsuo : comment allait-il faire pour se débarrasser de l’encombrant yakuza Kyôichi ?



Sachant que le maillon faible de sa famille, c’est sa fille ! Et cette petite conne n’en fait qu’à sa tête, risquant de mettre en péril le jeu serré que ses parents jouent avec les yakuzas depuis que son père a assassiné son petit ami.



Jusqu’à présent, en lisant ce manga, j’ai eu des palpitations cardiaques tant le suspense est grand, serré et que l’on ne sait jamais comment tout cela va se terminer.



Depuis une semaine, Tetsuo joue au chat et à la souris avec Kyôichi. Sueurs froides garanties pour lui et pour les lecteurs aussi.



Une relation forte est en train de naître entre Kyôichi et Tetsuo, pas au point qu’ils deviennent amis, loin de là, mais à force de rester ensemble, Tetsuo tentant par tous les moyens de se disculper et l’autre tentant de trouver des preuves, ça crée des liens. L’un des deux va mourir, c’est sûr.



Pour l’instant, je ne suis pas déçue de cette série qui allie un scénario de grande qualité, des retournements de situation, du suspense, des sueurs froides et des dialogues relevés.



C’est plus qu’addictif !

Tetsuo se creuse toujours la tête pour détourner les soupçons de Kyôichi son garde chiourme et le faire accuser à sa place. Mais quand on est menotté ça complique les choses... Mais pas pour notre personnage ni Ksen, sa femme, qui déborde toujours autant d'idées lumineuses et créer de gros quiproquos pour semer le doute chez les yakuzas en herbe.

Et pour laisser souffler le lecteur entre deux scènes, le mangaka amène ses personnages à se dévoiler en révélant des épisodes marquant et traumatisant de leur passé. Et curieusement, les deux sont très semblables.. Seuls les choix qui ont résulté de ces événements sont radicalement différents.



J'ai un peu moins apprécié ce tome où tout devient vraiment gros, et un peu trop parfois.

La dernière scène qui fait basculer la narration m'amène quand même à me demander comment le personnage va s'en sortir de façon assez crédible pour sauver sa peau.

À voir...

Tout parent est prêt à tout pour protéger son enfant, et en cas de danger cet instinct se mue en une véritable chasse contre le coupable. Et comme la couverture le suggère : l'affrontement s'annonce serré !



Dans sa situation très peu confortable, Tetsuo, le père qui a assassiné le petit ami de sa fille tente toujours de gagner du temps et de brouiller les pistes pour que l'organisation mafieuse ne lui fasse pas la peau. Pour une seule personne c'est déjà pas mal mais à cela s'ajoute le fait qu'il rencontre le père du feu petit ami , prêt à tout pour retrouver qui a fait du mal à son petit. Et cela va son dire que, comme son rejeton, il travaille dans l'organisation lui aussi.



Dans le tome précédent, de nouvelles révélations avaient permis au mangaka d'attiser grandement ma curiosité, cette fois-ci on est surtout dans la suite logique sans grand rebondissement, ce qui est assez logique et on reste bien accroché à chaque page pour être sur que personne ne fera LE faux pas fatal.

Seulement voilà, Kyôchi le garde du corps/ surveillant de Tetsuo a de très très gros soupçons sur la culpabilité de Tetsuo et ne se gène pas pour lui faire savoir. Et il est prêt à tout pour obtenir les preuves qui viendront étayer son raisonnement ; ce qui vaut un sacré retournement de situation sur les deux dernières pages !



Pour ma part, j'ai bien apprécié cette lecture ponctuée de quelques moments d'humour soit grâce à la femme de Tetsuo, un ancien ami de famille lourdo ou des remarques bêtes de Tetsuo dans des conversations ultra sérieuses.

Je ne vais pas vous mentir : je suis totalement passée à côté. Techniquement, ça devrait pouvoir fonctionner et graphiquement, ça passe. Mais ça n'a pas pris. Aucune empathie pour les personnages (bon, le protagoniste est particulier, mais rien pour sa fille), aucun intérêt pour ces méchants yakuzas, ennui total.

J'ai mis deux étoiles et pas une car je pense que ce titre peut plaire à beaucoup de lecteurs. Peut-être plus à des lecteurs moins connaisseurs de manga ?

Tetsuo doit toujours jongler avec ses mensonges pour que les yakuzas ne découvrent le meurtre tout en protégeant sa famille et de suivre Kyoichi pour pouvoir l'incriminer à sa place.



L'intrigue de ce manga est bien et tortueux mais il y a trop de bla-bla. C'est cela qui me gêne depuis le début. Sur certaines pages, les expressions des personnages ou le dessin en lui-même se suffit.

Tetsuo essaye toujours de convaincre le clan qu'il n'a rien à voir dans la disparition de Nobuto. Mais quoi qu'il fasse rien ne va dans le bon sens même si sa femme l'aide du mieux qu'elle peut.



Nous sommes seulement au troisième tome mais je me lasse déjà. L'intrigue n'avance pas et le personnage de Tetsuo ne m'est pas plus attachant que ça. J'ai les deux prochains tomes sous la main donc je vais les lire. Mais si l'intrigue n'évolue pas rapidement je pense ne pas aller beaucoup plus loin dans cette lecture.

Whaa Tetsuo est pris entre 2 feux : la mafia et la secte et il ne voit aucun moyen de s'en sortir à part fuir le restant de ses jours avec sa femme et sa fille. Emprisonné, il n'est pas le personnage que nous allons tant suivre aujourd'hui. Ce sera sa fille Reika qui va céder au gros mensonge pour infiltrer la secte et faire sortir ses parents de cette bande de fanatiques. Tout le flou financier se cachant dans la secte va être démasqué par la mafia qui est encore plus motivé pour la détrousser. La guerre va être déclarée. C'est fou ce que nous ont préparé les auteurs !

J'adore !



Ce manga à clairement tout pour plaire, de son humour en parfait décalage avec la noirceur de cette oeuvre. De ces personnages banals au possible, qui s’entrechoquent avec le gang des Yakusas. De l'imagination sans fin de ce père de famille, qui se heurte à la technologie... Tout est étudié pour mettre à mal Tetsuo et ça marche.



je réitère ce que j'ai dit, My home Hero, c'est breaking Bad, avec moins de drogue mais plus de meurtres !



Et cette fin tome est simplement magistrale... Elle ouvre une voie royale pour la suite et me fais trépigner d'impatience !



J'adore aussi les couvertures, celle de ce tome est particulièrement bien étudié et à 100% dans le thème, car elle pose les bases de cet opus : le combat de deux pères pour leurs enfants !



Les graphismes sont tout aussi géniaux.



Bref, cette saga me comble et j'espère que ce sera encore le cas...



Belle lecture à tous.

Pour protéger sa fille Reika de son petit ami violent, yakuza et meurtrier, Tetsuo son père tue ce dernier. S'engage alors une course contre la montre pour faire disparaître le corps et cacher à sa fille ce qu'il a fait avec l'aide de sa femme. Mais tuer un yakuza engendre des conséquences qui font basculer petit à petit la famille dans un engrenage infernal.



Pas le temps de respirer à la lecture de ce premier tome où les situations s'enchaînent mais pas au détriment de la mise en place de l'intrigue. Cela se lit aisément même si ça un air de déjà vu. A voir comment tout cela évoluera dans les prochains tomes.

Absolument passionnant. On apprend le rôle que vont choix 3 des 4 prétendants. On a droit à la réinjection d'un personnage de bien belle manière et à une vengeance passive qui risque de faire quelques remous.

On est bien loin d'une perte d'intensité

Juste encore plus excellent. Développement pour le père de Nobuto qui permet quelques questions morales pour notre héros. Toujours plus de présence dans les mauvais coups pour s'en sortir. Le temps s'écoule rapidement. Passionnant !

C'est stressant !! La tension est à son comble. Tetsuo tente toujours de se dépatouiller de sa situation mortellement dangereuse en s'enfonçant dans une montagne d'actions. Ça peut partir en vrille mais ça démontre l'intelligence des mangaka à aller aussi loin dans leur scénario. Je me suis rapidement attachée à un personnage secondaire important depuis son entrée en scène : Kyoichi Majima. Jeune, intelligent et ciblant Tetsuo comme le meurtrier de Nobuto dès leur rencontre, ce tome est centré sur lui. Vraiment hâte de connaître la suite de ces événements fous qui entraînent Tetsuo dans une spirale infernale !

Oui je commence seulement à chroniquer les Psychometrer alors que c’est un manga que j’ai beaucoup affectionné fut une époque ! (et maintenant encore aussi). Que dire de Eiji ? Il me fait rire ! C’est un ado tout plein d’hormones que l’on devine plus profond que cela bien évidemment puisqu’il a un lourd secret : la psychométrie ! A part cela, il aime la moto et surtout sécher les cours. Ce qu’il y a de très important à ses yeux : sa demi sœur, Emy qu’il affectionne. Ces deux-là ont créé un lien frère sœur très profond, ce qui fait qu’Eiji se transforme en super héros rien que pour elle dans la vie du quotidien, cherchant ainsi à la préserver de tout ce qui a de mauvais. Dans ce qui est important aussi, c’est son groupe d’ami dont nous découvrons un tout petit bout. Il rencontre Shima, une inspectrice de police qui va le mêler à cette histoire de tueur en série.



Dans ce premier tome, on découvre les meurtres, la psychométrie d’Eiji (et on s’étonne d’ailleurs qu’il ne soit pas plus perturbé que cela, ce qui prouve sa force), les personnages… Nous naviguons dans un univers sombre, qui nous décrypte toute la psychologie des meurtriers, tout ceci mêlé dans des problèmes d’adolescent et ponctué d’un humour hilarant ! J’ai tout de suite adhéré au principe, ce mélange de chaud froid constant. Un vrai délice sous couvert d’une enquête policière bien menée. Je vous donne rendez-vous pour le tome 2 qui nous dire comment Eiji boucle sa première enquête


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Alors que Tetsuo est emprisonné dans le village de la secte de sa belle-famille, les mafieux arrivent au village pour soutirer de l'argent. Tout ce qui se tramait en fond revient à la charge, finalement c'est sacrément une bataille de gangsters entre les 2 clans où la famille de Tetsuo est entre ces feux. Vient se poser l'ultime question pour ce père de famille : est-il prêt à perdre son humanité pour la survie de ses amours ? Scenario au rythme haletant dont j'ai hâte d'avoir la conclusion car les mailles du filet rétrécissent autour de notre héros pas comme les autres.