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3.21/5 (sur 34 notes)

Nationalité : Norvège
Né(e) à : Hobro , le 20/11/1973
Biographie :

Matias Faldbakken, né en en 1973, vit et travaille à Oslo.
Artiste, plasticien et écrivain, il est le fils du célèbre auteur norvégien Knut Faldbakken mais aussi le frère du réalisateur Stefan Faldbakken.

Matias Faldbakken a étudié à la National Academy of Fine Arts de Bergen et à la Städelschule de Francfort. Il a représenté la Norvège au Pavillon nordique de la Biennale de Venise en 2005. Ses œuvres ont également été présentées à la Wrong Gallery pour la Whitney Bienniale, au Stedelijk Museum d'Amsterdam, au Musée national d'Oslo, à la Biennale de Sydney, ou encore au KW Institute for Contemporary Art de Berlin.

Sous le pseudonyme d'Abo Rasul il a publié deux romans, The Cocka Hola Company et Macht und Rebel àl'humour décapant.

Bibliographie:
- Not Made Visible (livre d'artiste et monographie) «Christoph Keller Éditions», 2007. Texte en anglais
- Le serveur Fayard 2020
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Source : https://www.lespressesdureel.com/auteur.php?id=537&menu=0
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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
L’assurance et le naturel qu’elle affiche peuvent facilement se confondre avec l’intelligence, et peut-être en est-ce.
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.....téléphone. Les quelques centimètres carrés de l’écran ont en quelque sorte remplacé la fonction du billet de banque – celle du convertisseur universel parfait, ai-je pensé, via Edgar. Travail, loisirs, photos, relations, savoir, bêtises, textes, harcèlement et asservissement, achats et échanges, production et consommation effrénée, faune et flore, créativité illimitée et folie du contrôle, désir et système, tout peut se convertir en argent, et en définitive, tout se convertit et s’affiche sur l’écran
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Mais la Femme-enfant, ne dort-elle pas ? Elle porte de nouveaux vêtements, tout frais. Pas d’épis dans les cheveux. Absolument pas de cernes sous les yeux. Elle a l’air opérationnel.
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Bratland est fourbe. Il a toujours l'air fourbe. Un sourire de serpent. Des yeux de merlan frit. Le commentaire facile. Bratland n'aura bientôt plus un poil sur le caillou. Il n'est pas vraiment beau. Pour être plus précis et respecter le style du début des années vingt: il ressemble en fait à Jacques Vaché. Comme lui, il a la face de rat d'un Conan O'Brien posée sur les hautes épaules d'un Bernie Sanders. Et de mauvaises dents.
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Une fois les enfants partis à l’école et Tormod en voiture pour se rendre sur son chantier, elle passa les bras dans la trappe et sortit le pâton. Il se recroquevilla.

Viens, on va faire un tour, dit Siv. Ce jour-là en effet, elle avait décidé d’emmener le machin-chose au village. La forme de chien que les enfants lui avaient donnée avant de se coucher s’était affaissée pendant la nuit et il ne ressemblait plus à rien. Siv s’octroya une double dose d’Ibuprofène avant de s’asseoir devant la trappe. Elle modela une queue, un cou et une tête au pâton. Mais avec les pattes qu’elle lui avait faites, il était tout de travers, complètement raté. Le pâton ressemblait plus à un glouton, ou quelque chose du genre, qu’à un chien.
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Le Hills est d’un temps où le cochon était du cochon et le porc du porc, comme aime à dire le Maître d’hôtel – en d’autres termes, le restaurant remonte au milieu du XIXe siècle. Raide dans mon habit de serveur, je me tiens là, comme j’aurais pu le faire il y a cent ans, voire plus. Tous les jours les gens commettent des actes extravagants. Pas moi. J’attends. Je me tiens à disposition. Je circule dans la salle et prends les commandes, je sers et je débarrasse.
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De là où il était, Tormod regarda, impuissant, la silhouette du pâton disparaitre sur la route, dans la nuit d’été, avec ses dents de travers, son chapeau en feutre, sa longue chemise, ou sa robe, et le thermomètre toujours entre les fesses. ses cheveux clairsemés – ces beaux fils de soie dorée – flottaient maladivement.
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La parure d'une cité, c'est le courage de ses héros; celle d'un corps, c'est sa beaute ; celle d'une âme, sa sagesse; celle d'une action, c'est son excellence, celle d'un discours, c'est sa vérité.
(l'Eloge d'Hélène de Gorgias)
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